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Livres - Page 223

  • Le shintô, la source de l'esprit japonais...

    Les éditions Sully viennent de publier un court essai d'Emiko Kieffer intitulé Le shintô, la source de l'esprit japonais. Emiko Kieffer, Née à Tokyo, diplômé de littérature, Emiko Kieffer est installée en France depuis 1999. Elle a publié plusieurs ouvrages en japonais, et a été lauréate du prix Shimazaki.

     

    " Le Shintô est la religion ancestrale du Japon. C'est la Voie des kamis qui n'a ni fondateur, ni doctrine, ni texte sacré, ni dogme. Il est cette grande force invisible qui traverse l'histoire de l'Archipel depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. " Les ancêtres et la grande nature font de nous ce que nous sommes maintenant, nous leur devons gratitude, honneur et crainte respectueuse ". Emiko Kieffer présente dans cet ouvrage les multiples manifestations du Shintô qui imprègnent la vie quotidienne du Japon : l'omniprésence des kamis, le respect de la nature et des objets, les rituels et les fêtes, les sanctuaires, la morale, le comportement...Elle nous fait ainsi ressentir ce qui est au coeur de la culture et du peuple japonais et qui interroge l'Occident depuis toujours. "

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  • Thibault Mercier : « empêcher toute discrimination, c'est revenir au néant ! »...

    Vous pouvez ci-dessous découvrir un entretien avec Thibault Mercier, réalisé par Edouard Chanot pour son émission Parade - Riposte, et diffusé le 7 mars 2019 sur Sputnik, pour évoquer la discrimination comme impératif de survie pour toute communauté nationale. Thibault Mercier vient de publier, sous l'égide de l'Institut IliadeAthéna à la borne - Discriminer ou disparaître ? (Pierre-Guillaume de Roux, 2019).  

                                   

     

     

     

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  • Viva Cinecittà !...

    Les éditions de Fallois viennent de publier un essai de Philippe d'Hugues intitulé Viva Cinecittà ! - Les douze rois du cinéma italien. Écrivain et historien du cinéma, Philippe d'Hugues est notamment l'auteur de L'envahisseur américain (Favre, 1999), Les écrans de la guerre (De Fallois, 2005), Chronique buissonnière des années 50 (De Fallois, 2008), Les Causeries du dimanche (Auda Isarn, 2013) et Au temps de la Nouvelle Vague (Auda Isarn, 2016).

     

     

    " Viva Cinecittà! est une évocation vivante du cinéma italien en son Âge d’Or, à travers douze portraits consacrés aux Maîtres qui, en quelques années, hissèrent les films de la Péninsule au sommet du 7e art et l'y maintinrent pendant quelques décennies: De Sica, Rossellini, Fellini, Visconti, Pasolini, Antonioni, Blasetti, Soldati, Cottafavi, Comencini, Rosi, Olmi.
    Ces noms sont incontournables. Ce sont eux les rois du cinéma italien, les grands registi de Cinecittà.
    L’idée de Cinecittà et sa réalisation furent l’un des grands projets du régime mussolinien, attentif, comme ses homologues, au développement d’un art éminemment populaire. Le chantier est inauguré en 1937. «Hollywood sur Tibre» est né. Il s’agit de rivaliser avec les grands studios américains. Plus de soixante hectares, des dizaines d’édifices, plus de 20 studios de tournage seront mis au service de cette entreprise. Par-delà les variations et les fluctuations des idéologies dominantes, Cinecittà s’affirmera comme le plus prestigieux sanctuaire de la création cinématographique en Europe.
    Avec les douze metteurs en scène retenus par Philippe d’Hugues, sont ici présents tous les genres illustrés dans le fameux studio romain et dans son environnement: la fresque historique, le drame romantique, le fait divers néoréaliste, etc. Cette diversité montre l’exceptionnelle richesse du cinéma italien.
    On ne peut aborder la lecture de ce livre sans éprouver le besoin de la poursuivre. On ne peut l’achever sans rêver de repartir à la découverte de Cinecittà, des chefs-d’œuvre qui en sont sortis, des acteurs et des actrices qui n’ont cessé d’enchanter les publics les plus variés. "

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  • Raskar Kapac, l'anthologie...

    Les éditions du Rocher ont eu l'excellente idée de publier une anthologie de la jeune revue littéraire Raskar Kapac, dirigée par Maxime Dalle, Yves Delafoy et Archibald Ney. Elle permettra à un public plus nombreux de découvrir ses textes.

     

     

    " La première Anthologie de Raskar Kapac regroupe les dix premiers numéros de cette gazette artistique et inflammable parus entre 2016 et 2018. Vous y découvrirez une tribu élective de dix écrivains et aventuriers intempestifs qui retrouvent vie grâce à la plume acérée de prestigieux collaborateurs (Eric Neuhoff, Gabriel Matzneff, Pierre Arditi, Michka Assayas, Christian Dedet, Olivier Maulin, Alain de Benoist, Romaric Sangars...), à de nombreux textes et photographies inédits (Jean-René Huguenin, Maurice Ronet ou Henry de Monfreid), mais aussi par l'intermédiaire d'entretiens de haute volée (Jean-Paul Kauffmann, Michael Lonsdale, Michel Maffesoli, Guillaume de Tanoüarn, Olivier Renault ou encore Benoît Heimermann).
    Chaque numéro de Raskar Kapac enclenche une nouvelle éruption, de nouvelles découvertes. La bande que constitue Raskar est animée par le désir ardent de vous conduire vers des continents inexplorés où la création radicale et le risque règnent en maîtres. D'Huguenin à Mishima, ces dix coeurs aventureux sont allés, à leur manière, au bout de leur impérialisme et de leur destin d'artiste. Raskar Kapac, dans cette Anthologie, s'emploie à les ressusciter ! "
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  • L'énigme Pierre Pucheu...

    « Mort superbe et ressemblante. Tant qu'il reste un souffle de vie, rien n'est fini : tel est le message de Pucheu. Car ses derniers gestes reprennent et magnifient les grands thèmes de sa vie. Quand face au peloton, il commande le feu, il est, comme dans son bureau de ministre, le chef qui prend sur lui les responsabilités. La mort qui nous saisit d'ordinaire au plus bas de notre courbe, le fixe à ce sommet. » Alfred Fabre-Luce, Journal de France

     

    Les éditions Nouveau Monde viennent de publier une étude historique de Gilles Antonowicz intitulée L'énigme Pierre Pucheu, avec une préface de Jean-Marc Berlière. Déjà biographe, notamment, de l'avocat Jacques Isorni, Gilles Antonowicz revient avec ce livre sur le parcours complexe de ce normalien, esprit brillant et homme d'action, engagé dans l'industrie puis dans la politique active, qui finit broyé par la raison d'état. Il en profite, dans la lignée des travaux de son préfacier, pour tordre le cou à quelques mensonges forgés par le résistancialisme communiste, et pour rappeler les conditions particulièrement indignes dans lesquelles le procès de Pierre Pucheu, premier procès de l’Épuration, s'est déroulé.

     

     

    " « Allemands et collabos me haïssent pour ma réalité, tandis que gaullistes et Anglais me détestent sur ma légende »… Pierre Pucheu, ministre de l'Intérieur du gouvernement de Vichy de juillet 1941 à avril 1942, nourrit les controverses : a-t-il réellement désigné lui-même les otages fusillés à Châteaubriant, dont Guy Môquet, comme il en est systématiquement accusé ? A-t-il organisé les crimes judiciaires perpétrés par la section spéciale de la cour d'appel de Paris et le tribunal d'Etat, condamnant à mort des communistes pour avoir distribué quelques tracts ? Ou est-il au contraire le ministre qui, en zone libre, a permis l'arrestation de plusieurs centaines d'agents ennemis ? Celui qui adjura Pétain de partir pour Alger en octobre 1942 de manière à y appeler les Américains, rompre l'armistice et reprendre la guerre contre l'Allemagne ? Alors qu'il rejoint le camp allié dès novembre 1942 pour aller se battre en première ligne contre les Allemands avec l'aval du général Giraud, Pierre Pucheu est arrêté à son arrivée en Afrique du Nord, incarcéré, jugé, condamné, fusillé.
    Son procès, le premier de l'épuration, préfigure tous les autres. De Gaulle, tout en refusant sa grâce pour "raison d'Etat", fait cependant savoir qu'il lui « garde son estime ». Symbole de cette contradiction, voire de ce regret, Pierre Pucheu est, avec le maréchal Ney, le seul condamné à avoir été autorisé à commander le peloton chargé de l'exécuter…

    Ni réquisitoire ni plaidoirie, cette captivante biographie conçue comme une enquête « comble – enfin ! – un trou noir de l'historiographie concernant Vichy, l'Occupation et la "collaboration" » (Jean-Marc Berlière). "

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  • Le retour de Jean Lafargue...

    Les éditions Terres de l'Ouest viennent de publier un roman de Bruno Lafourcade intitulé Saint-Marsan, dans lequel on retrouve le héros de L'ivraie (Léo Scheer, 2018). Ayant enchainé des expériences professionnelles variées, dont celle de l'enseignement, Bruno Lafourcade est l'auteur de plusieurs romans, et dernièrement, d'un pamphlet, Les Nouveaux Vertueux (Jean-Dézert éditeur, 2018).

     

    " Jean Lafargue, quinquagénaire désabusé et écrivain sans succès, revient à Saint-Marsan, en Chalosse. Ce village natal, que Jean a fui très tôt, avec l'existence médiocre qui lui était promise, il le trouvait mort, désert. Aujourd'hui, il comprend que c'est à sa désertification, à l'absence de supermarchés, de lotissements, d'usines, que le village doit d'avoir survécu, de ne pas avoir été défiguré, dénaturé. Or voilà que les autorités se sont mis en tête de le repeupler, de « redynamiser le tissu économique » en y accueillant plusieurs dizaines de migrants. Du curé à l'instituteur, tout le Marsanais s'enthousiasme pour ce projet. Seul Jean s'en inquiète, car « c'est une chose, pense-t-il, que de recevoir, dans une France prospère et conquérante, quelques milliers d étrangers, conscients de leur chance ; c'en est une autre que d'en accueillir, dans un pays appauvri et déclinant, des centaines de milliers, d'une culture et d'une religion différentes, et qui n'éprouvent pas de reconnaissance particulière pour leurs hôtes. » "

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