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Décryptage - Page 45

  • Feu sur la désinformation... (250)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous, dans son nouveau format, un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      La censure contre Eric Zemmour franchit un nouveau cap après que des annonceurs aient annoncé leur volonté de supprimer leur publicité des chaînes soutenant le journaliste et écrivain de droite.
    • 2 : Attentat islamiste à la préfecture : les médias en mode autruche !
      Alors que le caractère islamiste de l’attaque ne faisait aucun doute, les médias ont préféré surjouer la prudence… Désormais, ils font semblant de découvrir le problème de la radicalisation...
    • 3 : Revue de presse
      Il y en aura pour tous les goûts dans la revue de presse cette semaine avec notamment une énorme auto-censure de France 3 qui n’a pas assumé d’avoir publié une grosse Fake News sur l’incendie d’une église à Grenoble.
    • 4 : Manif anti-PMA : la mauvaise foi des médias
      Les médias ont tout fait pour minorer le succès de la manifestation des opposants à la loi bioéthique. Le Monde et Quotidien ont notamment démontré leur incompétence.
    • 5 : Coup de chapeau
      Dans le silence médiatique, la Nouvelle Librairie a une nouvelle fois été la cible d’une attaque par des militants d’extrême gauche.

     

                                

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  • Feu sur la désinformation... (249)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous, dans son nouveau format, un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Alors que les médias ont les yeux tournés vers Paris après la mort de Jacques Chirac, un drame terrible a lieu à Rouen.
    • 2 : Eric Zemmour, l’homme à abattre
      Après son discours offensif à la Convention de la Droite, le journaliste et essayiste engagé à droite subit des attaques féroces de la part de nombreux confrères. Caricaturé en nazi ou en pétainiste, visé par l’ouverture d’une enquête par le parquet… Eric Zemmour reste debout malgré la violence des coups.
    • 3 : Revue de presse
      Un gros bobard de Clément Viktorovitch, les mots de Riss de Charlie Hebdo contre l’angélisme et la soumission de la gauche et la France parmi les pays où la censure des réseaux sociaux est la plus dure… La revue de presse d’I-Média reviendra sur quelques informations marquantes.
    • 4 : Censeurs contre défenseurs de la liberté
      Dans l’affaire Zemmour, la tentation de la censure contre le journaliste est plus forte que jamais chez les journalistes, y compris au Figaro ! Heureusement, de nombreuses voix se sont élevées en soutien à Zemmour.
    • 5 : L’appel de François Bousquet au courage
      Le rédacteur en chef de la revue Eléments publie un nouveau livre, intitulé « Courage ! ».
      Une vibrante exhortation bienvenue dans une période où cette qualité est plus que jamais nécessaire.

     

                                     

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  • Feu sur la désinformation... (248)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous, dans son nouveau format, un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Eric Zemmour : le retour qui affole les médias !
      C’est la nouvelle qui provoque des crises d’urticaire à tous les journalistes de gauche – et ils sont quelques uns ! L’écrivain et éditorialiste de droite va vraisemblablement avoir une émission quotidienne sur CNews.
    • 2 : Revue de presse
      La semaine médiatique aura une fois de plus tenu toutes ses promesses ! Parmi les sujets abordés dans cette revue de presse : le parti pris pro-PMA et la soumission médiatique à l’islamisme...
    • 3 : Greta Thunberg : le crépuscule d’une idole ?
      Après un discours très violent à la tribune de l’ONU, les éditorialistes et journalistes français semblent vouloir prendre un peu de recul par rapport à la folie Greta. L’ado n’est plus en odeur de sainteté médiatique !
    • 4 : Une convention médiatiquement incorrecte
      La Convention de la Droite aura lieu ce samedi à Paris. Co-organisé par le média L’Incorrect, l’événement a suscité une belle polémique médiatique cette semaine. Jean-Yves Le Gallou nous expliquera pourquoi.

     

                                      

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  • Immigration : comment décrypter les chiffres de l’Insee ?...

    Nous reproduisons ci-dessous une analyse de Jean-Yves Le Gallou, cueillie sur Polémia et consacrée à l'évaluation de la part de la population d'origine extra-européenne présente en France. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018). 

     

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    Immigration : comment décrypter les chiffres de l’Insee ?

    Régulièrement les médias mainstream s’appuient sur les chiffres de l’INSEE ou de l’INED pour essayer de démentir ceux qui partagent l’opinion que la France et l’Europe font l’objet d’un Grand Remplacement démographique et civilisationnel.

    L’argument d’autorité le plus couramment utilisé est le suivant : l’INSEE et l’INED seraient des « organismes scientifiques ». La réalité est un peu différente : il s’agit de services statistiques dirigés par des hommes nommés par le pouvoir politique et prenant en compte la pression médiatique. Des services statistiques qui, de surcroît, ne font aucun effort pour faciliter l’accès des citoyens aux données brutes. Approcher la réalité relève du jeu de piste face au « camouflage statistique ».

    Il est particulièrement difficile d’apprécier la réalité sociologique telle qu’elle est perçue par les Français : des minorités « visibles « (Africaines, Indo-Pakistanaises, Asiatiques) ou se rendant visibles (musulmanes) de plus en plus nombreuses. Car pour mesurer ce phénomène, il faudrait des statistiques raciales ou religieuses, interdites en France.

    L’INSEE et l’INED approchent – de manière très imparfaite la question – en s’intéressant à la nationalité (donnée juridique) et au lieu de naissance (donnée géographique). Des données utiles mais ne permettant pas de répondre directement à la question de la capacité d’assimilation des personnes concernées.

    Sur ces données là (nombre d’étrangers, d’immigrés, de descendants d’immigrés), les chiffres eux-mêmes sont sujets à question : il n’y a plus de recensement général de la population en France depuis… 1999 ! « Un crime contre la nation » selon le démographe Philippe Bourcier de Carbon. D’autant plus que la fiabilité des recensements annuels partiels est sujette à caution.

    Ainsi, selon les estimations publiées par l’INSEE, la Seine-Saint-Denis compterait 1,6 millions d’habitants au 1er janvier 2018. Parmi ces derniers, on dénombre plusieurs centaines de milliers de personnes de nationalité étrangère en situation régulière (en 2014, 420 000).

    Mais, selon une commission d’évaluation de l’Assemblée nationale présidée par MM.Cornut-Gentille (LR) et Rodrigue Kokouendo (LREM), « la seule certitude est l’incertitude dans laquelle l’État est plongé concernant le chiffre d’étrangers en situation irrégulière en Seine-Saint-Denis ». Selon les estimations des interlocuteurs rencontrés par les rapporteurs, ces clandestins seraient entre 150 000, 250 000, voire 400 000 personnes.

    Voilà qui jette un froid sur la confiance qu’on peut accorder aux chiffres de l’INSEE.

    Examinons néanmoins avec la prudence de rigueur les chiffres publiés sans beaucoup de précautions méthodologiques par l’INSEE.

    1- Immigrés extra-européens : personnes nées à l’étranger et de nationalité étrangère à leur naissance (source recensement, chiffres 2016)

    Afrique : 2 834 000

    Asie : 900 000

    Amérique/Océanie : 356 000

    Total immigrés extra-européens : 4 090 000

    Observations : il peut y avoir des Européens d’origine parmi les immigrés d’Amérique. A contrario un certain nombre d’immigrés européens d’origine balkanique (au nombre de plus de 200 000 mais non comptés ici) peuvent appartenir aux communautés musulmanes ou Roms dont la capacité d’assimilation de beaucoup de leurs membres est problématique.

    A noter aussi, l’augmentation rapide du nombre des immigrés originaires d’Afrique recensés :

    2 834 000 en 2016 à comparer à 2 410 000 en 2011, soit plus de 85 000 par an.

    Au total, d’après l’INSEE, la population immigrée non européenne a progressé de 113 000 personnes par an de 2011 à 2016.

    Des chiffres certainement inférieurs à la réalité compte-tenu de la perte de contrôle d’une partie du territoire par les autorités administratives françaises.

     

    2- Descendants d’immigrés extra-européens

    Il s’agit là de personnes nées en France mais dont un ou 2 ascendants sont nés étrangers à l’étranger.

    Afrique : 3 305 000

    Asie : 722 000

    Amérique, Océanie : 310 000

    Total descendants d’immigrés non Européens : 4 337 000

    Observations : là aussi, grandes incertitudes statistiques quant à la réalité de chiffres portant sur des populations vivant pour beaucoup dans « les territoires perdus de la République » et les « zones de non droit ».

     

    3- Ensemble immigrés et descendants d’immigrés extra-européens

    On atteint par totalisation 8 427 000 personnes, soit 13 % de la population résidente en France.

    C’est évidemment un chiffre par (double) défaut compte-tenu des imperfections de recensement mentionnées plus haut.

    Total Ensemble immigrés et descendants d’immigrés non européens : 8 427 000

     

    4- Le chiffre noir : les descendants d’immigrés à la deuxième et troisième génération

    Aucune statistique n’est disponible sur ce sujet.
    Michèle Tribalat a néanmoins produit plusieurs estimations très précises, reprises dans la vidéo de Sunrise : Grand Remplacement : une réalité.

                                         

    Par ailleurs, les marqueurs d’un retour vers la communauté d’origine sont en forte expansion. Dans L’Archipel français, Jérôme Fourquet cite la proportion de prénoms noms d’origine arabo-musulmane donnés aux nouveau-nés garçons : partant de 0 % des déclarations de naissance dans les années 1900/1950, ils montent à 2 % en 1964, atteignent 7 % en 1983/84, régressent légèrement puis remontent à 8 % en 1997 et approchent les 20 % aujourd’hui.

    Il est donc légitime de poser la question de la troisième génération.

    En l’absence de sources officielles et accessibles sur ce sujet, nous formulons l’hypothèse de 3 millions d’immigrés extra-européens à la troisième génération. Des contributions sont en cours pour permettre de documenter ce chiffre.

    Cela permet d’estimer les immigrés non européens (toutes générations confondues) à 11,5 millions, soit 17, 5 % de la population.

    On observera que le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) considère ce chiffre comme inférieur à la réalité puisqu’il reproche aux chaines de télévision de ne faire apparaître que 17 % de « représentants de la diversité » dans leurs programmes. Mais il est vrai que le CSA, dans la logique raciale qui est la sienne doit aussi prendre en compte les Français d’Outre-mer qu’on peut estimer entre 2 et 3 %.

     

    5- Le nombre d’enfants nés de mères nées à l’étranger (source INSEE)

     

    Maghreb

    Autres pays d’Afrique

    Autres pays

    total

    1996

    5,5%

    2,6%

    3,1%

    11,2%

    2016

    8,5%

    5,3%

    4,8%

    18,6%

     

    On observera l’augmentation de 55 % en 20 ans des naissances issues de mères nées au Maghreb et le quasi doublement des naissances issues de mères nées en Afrique subsaharienne (ou au Machreck).

    Aujourd’hui, près d’une naissance sur cinq provient d’une mère née hors d’Europe. Un chiffre qui ne prend évidemment pas en compte les naissances de mères d’origine non européenne à la troisième ou quatrième génération.

    Ces chiffres peuvent être considérés comme assez « robustes », sous la réserve de possibles fraudes à l’identité de déclarants se faisant passer indûment pour nés en France.

     

    6- Le nombre d’enfants nés de mères nées en France d’ascendants nés à l’étranger

    L’examen de statistiques plus anciennes permet d’estimer ces naissances aux alentours de 10 %.

    En effet, dans les années 1980/1990, les naissances issues de mères nées à l’étranger hors d’Europe se situaient autour de 10 % (11 % en 1996 ; 8 % en 1985). Les retours au pays d’origine d’enfants d’étrangers nés en France étant très rares, 20 à 40 ans plus tard les femmes issues de ces cohortes sont en âge de procréer en France. Or le taux de fécondité des femmes d’origine africaine et magrébine, même installées en France depuis longtemps, reste encore supérieur au taux français moyen.

    Dans ces conditions, on peut donc estimer ces naissances à la troisième génération à plus de 11 %.

    Les naissances à la quatrième génération sont plus difficiles à chiffrer, étant toutefois observé que dans les années 1950/1960 le regroupement familial n’avait pas eu lieu et que le nombre d’étrangères non européennes présentes sur le territoire était faible.

     

    7- Total des naissances issues de l’immigration non européennes : plus de 30 %

    Si l’on totalise les naissances d’enfants nés de mères nées à l’étranger et nés de mères nés en France de mères nés à l’étranger, on parvient à 30 %. Chiffre qu’on peut estimer par défaut.

     

    8- Le dépistage des nouveaux-nés à la drépanocytose : 38 %

    La drépanocytose est une maladie génétique rare touchant les populations issues d’Afrique, du Moyen Orient, d’Asie du sud, des Caraïbes et pour partie des Amériques et de la petite pointe sud de l’Europe.

    La France a mis en place un dépistage à la naissance. Depuis 1994 en Île-de-France et depuis 2001 sur l’ensemble de la France.

    Les chiffres de nouveaux nés dépistés sont les suivants :

    2001 (France métropolitaine) : 20%

    2017 (France métropolitaine) : 38 %, soit un quasi doublement en moins de 20 ans.

    2017 (Île-de-France) : 70 %.

    Ces chiffres montrent l’ampleur de la progression migratoire.

    Certains experts les contestent, estimant qu’il peut y avoir du sur diagnostic (dans les quartiers à fort dépistage on dépisterait tout le monde) mais ce point de vue est peu documenté.

    En revanche, il est exact que ce dépistage concerne aussi les Français issus des collectivités d’outre-mer présents en métropole tout comme certains Européens du sud (Italie du sud, Balkans).

    Même en introduisant ces correctifs on garde une estimation supérieure à 35 %.

     

    Conclusion

    Ce qui est en jeu c’est bien le Grand Remplacement de la population français : si rien ne change les Français de souche européenne deviendront inévitablement minoritaires sur la terre de leurs ancêtres.

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 17 septembre 2019)

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  • Feu sur la désinformation... (247)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous, dans son nouveau format, un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Macron et l’immigration : l’arnaque ?
      Le président de la République a provoqué une tempête médiatique et politique en évoquant les problèmes posés par l’immigration. Les retournements de veste ont été nombreux chez les journalistes engagés à gauche.
    • 2 : Revue de presse
      Faillite journalistique au New York Times, condamnation d’Eric Zemmour, propagande éhontée et même… Jean-Marie Bigard… Il y en aura pour tous les goûts dans la revue de presse de la semaine !
    • 3 : Snowden, lanceur d’alertes venu du froid
      Edward Snowden est un des lanceurs d’alertes les plus connus au monde puisque cet ancien membre de la NSA a révélé des scandales d’espionnages massifs des populations occidentales. Il a donné un entretien à France Inter cette semaine, nous analyserons ses propos sur la Russie et la loi Avia.
    • 4 : Renaissance(s), exposition artistique et médiatique
      Enfin, nous verrons si une exposition artistique sans art contemporain passionne les médias puisque Jean-Yves Le Gallou reviendra sur le traitement médiatique de la prochaine exposition de l’Institut Iliade.

     

                                       

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  • Légitime défense : face à une agression, peut-on encore se défendre en France ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un excellent reportage d'Edouard Chanot diffusé le 10 septembre 2019 sur Sputnik France et consacré à la légitime défense...

     

                                        

    " Peut-on réellement se défendre aujourd’hui en France face à une agression? Aussi absurde que cela puisse paraître, tel n’est pas toujours le cas. Nous avons en effet un gros souci avec la légitime défense dans notre pays.

    Les violences gratuites augmentent en France et le danger ne peut pas toujours être évité. Quand il est pris au piège, l’agressé en vient quelquefois à se défendre. Il peut alors risquer une condamnation par les tribunaux, notamment si sa riposte est jugée disproportionnée. L’affaire du légionnaire qui a retourné contre lui le couteau de son agresseur, lequel en est mort, a fait grand bruit au début de l’été. Le sentiment d’insécurité, aujourd’hui justifié en France, se double alors d’un sentiment d’injustice.

    Comment vit-on une agression? Pourquoi la légitime défense est-elle si difficilement reconnue par les juridictions? Surtout, les textes du code pénal sont-ils adaptés à la réalité d’une agression ? Quel remède peut-on trouver au risque grandissant de fracture entre les justiciables et les institutions judiciaires?

    Nous avons écouté des victimes d’agressions, interrogé le député et médecin Joachim Son-Forget, qui a déposé un projet de loi pour assouplir le régime de la légitime défense, mais aussi Me. Guillaume Janson, porte-parole de l’Institut Pour la Justice (IPJ), et Me. Henri de Beauregard, l’avocat du légionnaire qui est venu à bout de son agresseur gare du Nord. Mais peut-être est-ce surtout de la médecine que nous vient la plus grande leçon: la science a quelque chose à nous apprendre sur les réponses physiques et psychologiques face aux menaces. Des réactions qui gagneraient à être prises en compte devant les tribunaux. "

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