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  • Les anciens guerriers germaniques...

    Les éditions Certamen viennent de publier la traduction d'une étude historique de Michael Paul Speidel intitulée Les anciens guerriers germaniques - De la colonne trajane aux sagas islandaises, avec une préface de Yann Le Bohec. Historien américain d'origine allemande, Michael Paul Speidel (1937) est un des grands spécialistes de l'armée romaine et de la culture germanique antique.

    Cet ouvrage vient compléter celui publié, sur un sujet voisin, par Vincent Samson intitulée Les Berserkir - Les guerriers-fauves dans la Scandinavie ancienne (Septentrion, 2011).

     

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    " Michael Paul Speidel, spécialiste mondial de l’armée romaine, propose ici un ouvrage fondamental sur l’art de la guerre des antiques Germains, leurs armes, leurs rôles et tactiques, et bien sûr ces pratiques venues des âges les plus reculés qui stupéfièrent leur temps.
    L’auteur convoque toute l’abondance archéologique (bractéates, armes, orfèvrerie…) et la confronte de manière systématique à une multitude de sources : Tacite, César, Ammien Marcellin, Saxon le Grammairien, les scaldes, la colonne Trajane, l’art triomphal des Romains ou leurs stèles funéraires viennent tour à tour éclairer les hypothèses récentes comme les antiques clichés afin de donner corps à la figure de ces prodigieux combattants.
    Pour Michael Speidel, les Germains ont maintenu en époque historique les pratiques guerrières immémoriales des Indo-européens, que les autres peuples avaient oubliées ou rejetées durant leur transition vers la civilisation. Et pourtant, dès le Haut Empire, Rome elle-même, incarnation exemplaire de la guerre rationnelle, se convertit progressivement aux pratiques des Germains, et finit par remettre entre leurs mains son entière défense. C’est, pour l’auteur, la dernière victoire du guerrier sur le soldat.

    Cette édition française a bénéficié de la précieuse contribution du professeur Yann Le Bohec, qui a assuré la relecture et la validation scientifique de la traduction, et lui a fourni une mise à jour bibliographique. "

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  • Une passion française ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur son blog A moy que chault ! et consacré à la réforme des retraites...

    Animateur du site Paris Vox, rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulés Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019), d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019) et, dernièrement, d'Hécatombe - Pensées éparses pour un monde en miettes (La Nouvelle Librairie, 2021).

     

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    Une passion française

    Le désir farouche des bourgeois français de faire travailler davantage le populo est tout à fait fascinant. Ce n'est pas un banal calcul économique mais bien une véritable passion qui travaille le corps et l'esprit de la bourgeoisie depuis des lustres. Il faut que les ploucs, qui sont par nature des feignasses, travaillent davantage, plus longtemps. C'est ainsi, c'est une injonction, une incantation, c'est un mantra. Et peu importe que cela ne leur rapporte rien personnellement et que cela ne fasse qu'engraisser un peu plus les exilés fiscaux, les fonds d'investissements et les nababs de l'oligarchie libérale-mondialiste qu'ils rêvent secrètement de devenir en pensant n'être pour le moment que de vagues cousins éloignés de ces êtres d'élite et d'exception. Mais cela reste la famille !

    Il ne s'agit pas tant d'argent que de pouvoir, de rapports de force, de « morale », la leur. La réforme des retraites, c'est la poursuite de la lutte des classes par d'autres moyens. Le peuple doit marner, c'est son rôle, sa fonction. Les milliardaires n'ont jamais été aussi nombreux et aussi riches, croulant sous des fortunes qui ont depuis longtemps dépassées la plus abjecte indécence, pendant que les salaires sont au plus bas et que l'inflation ronge chaque jour un peu plus le pouvoir d'achat, mais peu importe, l'ennemi c'est le facteur, le cheminot, l'agent EDF, l'ouvrier, l'infirmier... Au boulot, au boulot, sinon cette belle économie, juste et équilibrée, risque de s'effondrer ! Vous imaginez le drame ?

    Et ce n'est pas l'incohérence complète du projet – entre chômage de masse, inactivité forcée des plus de 50 ans, immigration incontrôlée, milliards distribués à l'Ukraine et à l'Afrique... - qui gêne ces prétendus grands réalistes et « pragmatiques » puisqu'il s'agit avant tout d'un combat idéologique. C'est la revanche des descendants des Maîtres des forges et des propriétaires miniers privés du travail des enfants et de la semaine de 7 jours sans repos. Et ce n'est qu'un début ! A grands coups « d'efforts collectifs », de « lutte contre les avantages indus » et de « valeur travail », le 19e siècle est devant nous ! Ceux qui sont – ou pensent être – du bon côté du manche, du bon côté du système, s'en réjouiront sans doute, mais pour combien de temps ? Peut-être jusqu'au moment où leurs enfants ou petits-enfants, déclassés et paupérisés, viendront leur demander des comptes, réclameront des explications, voudront savoir pourquoi, au nom de mesquines jalousies et de mépris de classe, ils ont sabordé et détruit un système bâti dans le sang et la sueur, arraché à la cupidité et au froid calcul marchand, et qui, sans être parfait, apportait un peu de justice et d'équité à un monde qui ne peut être supportable que si l'on brise l'avidité féroce et sans limite des prédateurs, qui seront toujours plus néfastes et dangereux que les « parasites » au SMIC ou au RSA, exclus de facto de la société, du pouvoir décisionnel et de la vie publique, dont ils se servent comme de faciles boucs-émissaires.

    Xavier Eman (A moy que chault !, 9 février 2023)

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  • États-Unis : la guerre permanente...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le nouveau numéro de la Revue d'Histoire Européenne, dirigée par Laurent Berrafato. Ce trimestre le lecteur trouvera un dossier consacré aux États-Unis, un pays en état guerre quasi-permanent, des articles variés et les rubriques régulières : actualités, interview, mémoire des lieux, portrait, histoire politique, l’autopsie d’une bataille, l’histoire dans l’art,… 

    Il est possible de se procurer la revue en kiosque ou en ligne sur le site de la Librairie du collectionneur.

     

     

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    L'HISTOIRE EN ACTUALITÉ

    DE L'HISTOIRE 
    Jules Michelet, le père du roman national

    MÉMOIRE DES LIEUX
    Le chantier médiéval de Guédelon

    PORTRAIT 
    Jean de Bandes noires. Le condottière qui se riait de la mort

    ENTRETIEN 
    Laurent Ozon

    DOSSIER
    États-Unis : la guerre permanente (avec des articles de Philippe Conrad, Pascal Lepautremat, Evelyne Navarre, Sylvain Roussillon, Rémy Porte, Paul Villatoux, Max Schiavon, Claude Franc, Florent de Prévaux, Alain Sanders, Nikola Mirkovic et Antoine de Lacoste)

    DÉCOUVERTES
    La prise du Trocadéro et les Cent mille fils de Saint Louis

    Les mythes de la guerre d'Espagne

    AUTOPSIE D'UNE BATAILLE
    11 avril 1677 : la bataille de Cassel

    UN TABLEAU, UNE HISTOIRE
    Le miracle de saint Marc

    HISTOIRE POLITIQUE
    Lutte ouvrière ou le trotskisme de stricte obédience

    CONSEILS DE LECTURE

     

     

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  • Russie-Ukraine : revenir aux principes ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Denis Collin cueilli sur le site La Sociale et consacré à la guerre en Ukraine.

    Agrégé de philosophie et docteur ès lettres, Denis Collin est l’auteur de nombreux ouvrages consacrés à la philosophie, à la morale et à la pensée politique, dont Introduction à la pensée de Marx (Seuil, 2018), Après la gauche (Perspective libres, 2018) et  Malaise dans la science (La Nouvelle Librairie, 2022).

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    Russie-Ukraine : revenir aux principes

    Il y a un débat public, pas toujours clair et généralement étouffé par la propagande de guerre, à propos du conflit en Russie et Ukraine, conflit qui remonte maintenant à près de 10 ans, les troupes russes ayant envahi la Crimée au mois de février 2014. Les accords de Minsk, signés en 2015 entre la Russie et l’Ukraine, avec l’intervention de Hollande et Merkel n’ont fait que reculer la guerre ouverte.

    Je ne veux pas m’engager dans la confrontation des récits de ces 10 dernières années, récits contradictoires : pour les uns, il s’agit d’une guerre défensive menée par la Russie menacée par l’Occident et, pour les autres, il s’agit d’une agression russe contre l’Ukraine, pour assouvir le dessein chauvin grand-russe d’un Poutine qui veut reconstituer la grande Russie, autant que possible dans les frontières de l’ex-Union soviétique. Les premiers font valoir les livres de Brzeziński, qui constitueraient le programme suivi par les États-Unis et permettraient ainsi d’éclairer le conflit, les seconds pourraient voir en Poutine celui qui accomplit le programme de Soljenitsyne de restauration de la « grande Russie », mais ils ne le font tant ils ont par le passé encensé le grand écrivain. On a vu ressurgir à cette occasion la vieille idéologie rance du « panslavisme » défendu par Alexandre Douguine, un philosophe dont la fille fut assassinée dans des conditions mystérieuses – le crime fut évidemment attribué aux services ukrainiens, mais il pourrait s’agir de règlement de comptes au sein de la caste dirigeante, le panslavisme n’étant pas, et de loin, l’idéologie dominante chez les oligarques.

    Je préfère ici m’en tenir aux quelques faits indiscutables – en évitant les récits et les spéculations des politiciens et des stratèges internationaux qui ont tendance à présenter leurs propres spéculations et leurs propres interprétations comme des vérités indiscutables. Et des faits admis, je voudrais me contenter que rappeler quelques grands principes de droit.

    On le sait bien, la discussion sur les responsabilités d’une guerre est toujours une affaire fort polémique. Hannah Arendt rapporte une boutade de Clemenceau : « Durant les années vingt, Clemenceau, peu avant sa mort, se trouvait engagé dans une conversation amicale avec un représentant de la république de Weimar au sujet des responsabilités quant au déclenchement de la Première Guerre Mondiale. On demanda à Clemenceau : “À votre avis, qu’est-ce que les historiens du futur penseront de ce problème embarrassant et controversé ?” Il répondit : “Ça, je n’en sais rien, mais ce dont je suis sûr, c’est qu’ils ne diront pas que la Belgique a envahi l’Allemagne.” » L’histoire du mensonge au XXe siècle a montré que Clemenceau était exagérément optimiste. Si on revient au cas ukrainien, le fait est que le 25 février 2014, la Russie a envahi la Crimée et organisé un référendum qui a abouti au rattachement de la Crimée à la Russie. C’est le point de départ des événements qui vont se dérouler dans le Donbass et aboutiront en 2015 aux accords de Minsk. Il y a un autre fait non moins incontestable, c’est que c’est la Russie a envahi le quart du territorie ukrainien le 24 février 2022. Savoir si la Russie avait de bonnes ou de mauvaises raisons de le faire, savoir si les États-Unis avaient ou non entrepris de déstabiliser ce pays gigantesque qui n’a plus rien à voir avec l’URSS de jadis, c’est une autre affaire.

    Du point de vue du droit international tel qu’il a été inventé en 1648 par les traités de Westphalie qui ont mis fin à la guerre de Trente ans, la Russie a juridiquement tort. On pourra difficilement déclarer Poutine irresponsable. On peut lui chercher des circonstances atténuantes ou resituer tout cela dans le récit historique ou philosophico-historique, cela ne change rien aux faits, et, comme le disait Lénine, « les faits sont têtus ».

    Il y a une autre question de principe, la question du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, revers de la médaille de la souveraineté nationale. Nous ne pouvons pas défendre la souveraineté nationale de la France et dénier celle de l’Ukraine. Même si le gouvernement de ce pays n’est pas très reluisant et s’il est fort corrompu, nous devons reconnaître la souveraineté de l’Ukraine. De la même façon que les horreurs dont s’était rendu coupable Saddam Hussein ne pouvaient justifier l’invasion de l’Irak en 2003, pour ne citer qu’un exemple. Le « droit d’ingérence » est une minable tentative faite par une bande de politiciens d’extrême-gauche ralliés aux « néocons » américains pour donner un vernis « humanitaire » aux diverses opérations militaires depuis les bombardements « humanitaires » sur Belgrade, les opérations en Afghanistan, et d’autres encore. La situation en Ukraine n’autorisait pas plus la Russie à intervenir, même si les minorités russophones et russophiles (ce n’est pas la même chose) étaient en butte à la répression organisée par les dirigeants de Kiev.

    On ne peut pas avoir des principes à géométrie variable. Je sais bien qu’il y a une vieille russophilie française qui s’entretient de la nostalgie de l’Union soviétique, du regret de son effondrement, qui expliquent que les vieux staliniens et cryptostaliniens reportent aisément les sentiments qu’ils avaient envers l’URSS sur les nouveaux maîtres du Kremlin. Mais cela ne justifie pas qu’on change de principes quand il s’agit de faits qui mettent en cause Poutine et son régime dont l’orientation de plus en plus autoritaire n’a cessé de s’affirmer.

    On n’oublie évidemment pas le double jeu et les manœuvres permanentes du gouvernement des États-Unis, qui serait fort heureux de déstabiliser complètement l’Europe pour pouvoir préparer le coup suivant : son règlement de comptes avec la Chine. Sachant tout de même que pour ce dernier enjeu, il est sûrement trop tard et que les rapports de forces internationaux sont complètement bouleversés. Les États-Unis entretiennent les conflits comme des moyens d’essayer de se maintenir à flot, alors qu’ils sont déjà entrés dans la spirale du déclin, comme l’Europe, d’ailleurs.

    Dans l’idéal, il faudrait exiger l’arrêt des hostilités, le retrait des troupes russes sur les frontières d’avant 2014 et l’organisation sous contrôle international de référendums dans les provinces du Donbass et de Crimée qui permettraient à ces peuples de choisir librement, sous la menace d’aucun fusil, ni russe, ni ukrainien, s’ils veulent rester ukrainiens – éventuellement avec un statut spécial – devenir indépendants ou rejoindre la république fédérative de Russie. Ce serait la seule solution conforme au droit international.

    Malheureusement, le droit international étant ce qu’il est, c’est-à-dire un droit sans force, cette hypothèse est fort improbable dans l’immédiat. Que pouvons-nous faire ? En vérité, peu de choses, sinon spéculer sur les intentions des uns ou des autres. Entre les exégètes de la pensée de feu Brzeziński et les kremlinologues qui lisent dans les pensées de Poutine, on ne sait plus où donner de la tête !

    Il me semble cependant qu’on peut se mettre d’accord sur des exigences minimales. La première étant celle d’un cessez-le-feu. Comme le dit Kant, il n’y aucun droit de guerre, la guerre est le contraire du droit et donc il faut l’arrêter. Pour qu’il y ait un cessez-le-feu, il faut cesser de nourrir la guerre et donc refuser de devenir « cobelligérants » en envoyant des armes, des armes dont tout le monde sait par ailleurs qu’elles ne font qu’entretenir la guerre. Si nous avions un gouvernement soucieux des intérêts du peuple, et de la paix, il ferait tout son possible pour favoriser les négociations entre les deux parties en guerre. Quitte à paraître naïf, il faut lever, au moins partiellement les sanctions contre la Russie, sanctions inefficaces qui ne favorisent que les Russes et les Américains et donc les nations d’Europe sont les premières victimes et même les seules victimes.

    L’attitude agressive à l’égard de la Russie ne sert que le régime de Poutine. Et tous les autres régimes, car l’entretien permanent de la menace guerrière est une des ressources essentielles de toutes les tyrannies. Nous aussi, nous subissons notre « quart d’heure de la haine », comme dans 1984. La guerre contre la Russie vient à point remplacer la guerre au COVID… Une politique d’ouverture, publiquement proclamée et adressée à l’opinion russe, par-delà ses gouvernants, pourrait être fort efficace pour faire reculer le pouvoir en place et ouvrir la marche vers la paix, dans le respect des principes de souveraineté nationale.

    Je lance une flèche. La ramasse qui peut.

    Denis Collin (La Sociale, 7 février 2023)

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  • Auxiliaires féminines et prisonniers de guerre allemands fusillés - Poitou 1944-1945...

    Les éditions des Indes savantes viennent de publier une enquête historique de Laurent Busseau intitulée Auxiliaires féminines et prisonniers de guerre allemands fusillés - Poitou 1944-1945. Diplômé en histoire et journalisme  au Québec, Laurent Busseau est l’auteur de nombreuses recherches et publications historiques, tant au Canada  qu’en France.

     

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    " Bourreaux nazis ou simples soldats, plusieurs prisonniers allemands ont été exécutés pour des raisons diverses entre 1944 et 1945 par « quelques balles bien ajustées… »Après une enquête de dix-sept ans sur la fin tragique de trois auxiliaires féminines de la Luftwaffe fusillées dans le cimetière d’un village poitevin, l’auteur a retrouvé plusieurs cas de prisonniers allemands fusillés et enterrés sans sépulture en 1944. Comme ailleurs en France, raconter des exécutions sommaires pose la problématique d’un tabou historique. Mais plusieurs archives ont fait tomber des silences libérant la parole d'anciens résistants, qui racontent les plaies d’une guérilla sans pitié, menant au crime de guerre.
    Albert Londres a écrit : « Notre métier n’est ni de faire plaisir ni de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie ». Cette plaie, c’est le mensonge qui contamine la réalité de l’Histoire. Ce livre permet de ne pas oublier que la guerre est une infâme ignominie, hier comme aujourd’hui. Il décortique un angle mort oublié par les historiens locaux : l’exécution sommaire de prisonniers de guerre allemands. "

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  • USA-Chine, la nouvelle guerre des mondes...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe du magazine, autour d'Olivier François, à l’occasion de la sortie du nouveau numéro, décrypte l’émergence de la "bimondialisation" : deux blocs - États-Unis et Chine - qui se font face, avec au milieu une Europe plus désarmée que jamais.
    On trouvera sur le plateau,
    François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique et Rodolphe Cart...

     

                                              

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