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  • Eloge de la pensée de droite...

    Les éditions Jean-Cyrille Godefroy viennent de publier un essai de Marc Crapez intitulé Éloge de la pensée de droite. Chercheur en sciences politiques, Marc Crapez est notamment l'auteur de La gauche réactionnaire - Mythe de la plèbe et de la race dans le sillage des Lumières (Berg international, 1998) et de Défense du bon sens (Rocher, 2004).

     

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    " Sympathisants, électeurs ou citoyens de droite, amis, ne craignez pas la gauche, ses médias tendancieux, ses intellos méprisants et ses grands-prêtres menaçants.
    Non, la gauche n’est pas plus intelligente que la droite. Mais elle impose un climat sectaire où l’on ne peut plus rien dire. Pas même que l’on voudrait un « renouveau » de la « pensée française », un meilleur contrôle des « deniers publics » et une école qui veille à la « transmission du savoir »…
    Ce petit manuel de survie propose des munitions pour contrer la gauche. Pour recouvrer son droit de regard et sa fierté. Vous pourrez jouer au jeu des sept familles politiques, savoir pourquoi la droite est une coupable toute trouvée et avoir, sur le racisme anti-blancs, l’avis des internautes.
    L’escroquerie fondatrice de la gauche est qu’on ne peut pas à la fois augmenter les libertés publiques et réduire les inégalités sociales. On ne peut pas améliorer les conditions de vie du plus grand nombre si l’on cultive un clientélisme en faveur des fonctionnaires et des associations subventionnées. "

     

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  • « Simplifier le Code du travail, oui… mais au profit de qui ? »...

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré à la question de la réglementation du travail...

     

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    « Simplifier le Code du travail, oui…mais au profit de qui ? »

    Tout le monde semble aujourd’hui d’accord pour dire que le Code du travail, devenu incompréhensible pour tout un chacun (employés comme employeurs), mérite d’être simplifié. C’est aussi votre avis ?

    Bien sûr qu’il doit être simplifié, puisqu’il est devenu inutilisable, en particulier dans les PME. Mais toute la question est de savoir dans quel sens et au bénéfice de qui il doit l’être. Rappelons que le droit du travail est né, à la fin du XIXe siècle, du constat que les salariés sont, par définition, en position de faiblesse par rapport à ceux qui les emploient, et qu’il vise à rétablir un minimum d’équilibre en donnant aux premiers un certain nombre de droits. Une réforme du Code du travail qui irait en sens inverse équivaudrait donc à violer l’esprit même du droit du travail. Un accord d’entreprise ne peut valoir, par ailleurs, que s’il apporte un plus aux travailleurs par rapport à la convention de branche, celle-ci par rapport à l’accord interprofessionnel, et ce dernier par rapport à la loi. Si l’accord d’entreprise revient à faire accepter de force par les salariés de travailler toujours plus en étant toujours moins payés, en les menaçant par exemple de licenciement ou de délocalisation en cas de refus, il est évident qu’on va, là encore, à l’encontre des principes de base du droit du travail.

    Le souhait du gouvernement est de donner plus de place aux accords collectifs au sein des entreprises. Il s’agit donc, dans l’esprit de Valls et de Macron, de favoriser les exceptions dérogatoires à la loi, ce qui est parfaitement conforme aux exigences du MEDEF, qui réclame toujours plus d’accords et de contrats, moins de lois et plus de « flexibilité », terme pudique pour désigner la précarité. Cela pose déjà un problème du point de vue de la concurrence : celle-ci ne peut qu’être faussée si certaines entreprises doivent appliquer des règles sociales dont certaines autres sont exemptées. Si le Code du travail est progressivement devenu d’une extraordinaire obésité, c’est d’ailleurs aussi parce qu’il a fallu y inclure les multiples régimes dérogatoires introduit par le législateur pour satisfaire aux exigences patronales. La complexité, en d’autres termes, s’est seulement déplacée du droit du travail à la négociation collective. Sous prétexte de simplifier le Code du travail, le risque est donc grand d’accélérer la précarité de l’emploi au détriment des salariés.

    Dans les milieux libéraux et patronaux, l’« assouplissement » du Code du travail, en rendant plus faciles à la fois l’embauche et le licenciement, devrait faire baisser le chômage…

    L’idée selon laquelle la simplification du droit du travail serait de nature à faire baisser fortement le chômage est une antienne du patronat qui n’est pas confirmée par les faits. Aucune étude économique disponible, y compris dans les organismes internationaux, ne permet d’établir un lien direct entre la protection de l’emploi et le niveau de chômage. Le FMI a lui-même admis récemment que « la réglementation du marché du travail n’a pas, selon l’analyse, d’effets statistiquement significatifs » sur la productivité et sur la croissance (Perspectives de l’économie mondiale, avril 2015). En réalité, le chômage résulte d’abord de l’insuffisance des carnets de commandes des entreprises, insuffisance dont les politiques macro-économiques d’austérité salariale et budgétaire sont les premières responsables, puisqu’elles font baisser la demande en comprimant le pouvoir d’achat.

    Dans le même temps, on voit bien que l’emploi connaît actuellement une véritable mutation. Pour certains, l’« ubérisation de l’économie » annonce à terme la fin du salariat. Bonne ou mauvaise nouvelle ?

    Ce n’est pas encore la fin du salariat, mais l’économie numérique (Uber, Airbnb, BlaBlaCar, etc.), fondée sur des plates-formes d’intermédiation entre consommateurs et prestataires, a de toute évidence le vent en poupe. La preuve en est qu’elle a déjà réussi à faire « disruption » dans des professions variées, des restaurateurs aux hôteliers et aux chauffeurs de taxi. On en connaît le principe : financement participatif, main-d’œuvre toujours moins chère car dépourvue de toute protection (les employés sont des contractants individuels), réduction des coûts de transaction, digitalisation de l’économie, recours systématique aux logiciels libres, à la géolocalisation, aux algorithmes et autres big data. Cela séduit des auto-entrepreneurs, fondateurs de start-up, qui espèrent gagner très vite beaucoup d’argent. L’ubérisation s’inscrit, de ce point de vue, dans la tendance au présentisme. Mais il faut en voir la contrepartie.

    Le numérique est à la société postindustrielle ce que l’électrique a été à la société industrielle. Cependant, l’économiste Robert J. Gordon a bien montré que la révolution numérique n’a pas la même force de traction que les grandes innovations du passé, comme l’électricité ou l’automobile. C’est essentiellement une économie de prestation de services à bas prix mais à faible valeur ajoutée, qui ne produit ni nouveaux biens, ni hausse de croissance significative, ni progression du pouvoir d’achat.

    La « théorie du déversement » chère à Alfred Sauvy ne fonctionne plus dans le cadre de l’économie numérique, et il en va de même de la théorie de la « destruction créatrice » popularisée par Schumpeter. Le numérique tend à remplacer les emplois peu qualifiés à caractère répétitif, en particulier les tâches nées de la bureaucratisation qui a accompagné l’avènement de la société industrielle et qui sont aujourd’hui occupées par la classe moyenne. Mais les emplois créés par le numérique ne se substituent pas à ceux qu’ils font disparaître, notamment les intermédiaires. On estime à trois millions le nombre d’emplois qui pourraient être détruits par la numérisation dans les dix ans qui viennent, principalement dans les services. Là encore, on va vers des emplois toujours plus précaires, gages de destins fragmentés.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 22 octobre 2015)

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  • Voyage dans la France d'en bas...

    Les éditions du Seuil viennent de rééditer dans leur collection de poche Point un essai d'Aymeric Patricot intitulé Les petits Blancs - Un voyage dans la France d'en bas. Agrégé de lettres et professeur en banlieue parisienne, Aymeric Patricot a notamment publié Autoportrait du professeur en territoire difficile (Gallimard, 2011).

    Métapo infos avait reproduit un entretien que l'auteur avait donné au Figaro à l'occasion de la sortie de son livre en 2013 : Le malaise de la France des « petits Blancs ».

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    " Moi, je peux toujours crever dans mon quartier pauvre. Et plus ça va aller, plus mon quartier va s'appauvrir parce que les bourgeois blancs vont partir et les bourgeois noirs et arabes aussi et il ne restera que les déchets de la France, avec moi dedans. " Comment vivent les petits Blancs des quartiers pauvres de la République ? Les Américains utilisent, pour désigner ces oubliés du progrès social, méprisés d'être plus pauvres encore que les Noirs ou les Latinos, l'expression white trash. Se vit-on, dans la France métissée d'aujourd'hui, comme un " déchet blanc " ? Une conscience raciale est-elle en train de se substituer à la conscience de classe ? Un communautarisme blanc est-il en voie de se forger ? Loin des préjugés, ou de la frayeur, qui empêchent de s'intéresser à ces hommes et ces femmes, Aymeric Patricot est allé à leur rencontre. Récits, analyses, portraits, conversations libres, approfondies, sans tabous : il trace le tableau précis et vivant d'une réalité plus diverse que l'idée qu'on en a, une réalité certes brutale, parfois cynique, souvent désespérée, mais qu'éclairent la générosité et la lucidité de certains de ses interlocuteurs. Le racisme, la violence, la haine de soi et du monde sont une tentation permanente quand, pauvre et sans horizon, on se sent relégué. Beaucoup s'y abandonnent, d'autres non. Tous offrent, sous le regard acéré d'Aymeric Patricot, un visage inattendu de notre société, qu'il est urgent de regarder en face.

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  • Kippa et communautarisme juif...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 14 janvier 2016 et consacrée à la question du communautarisme religieux au travers de la question du port de la kippa par les membres de la communauté juive...

     


    "La kippa est une sorte de selfie religieux... par rtl-fr

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  • La question de la souveraineté...

    Les éditions Michalon viennent de publier un essai de Jacques Sapir intitulé Souveraineté - Démocratie - Laïcité. Économiste hétérodoxe et figure de la gauche souverainiste, Jacques  Sapir a publié de nombreux essais comme La fin de l'euro-libéralisme (Seuil, 2006) ou La démondialisation (Seuil, 2011).

     

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    " La nation rassemblée et l'état d'urgence décrété, nous vivons un moment souverainiste. Mais à quel prix, et sous quelles conditions, pouvons-nous vivre ensemble ? Cette question fait clivage. Le souverainisme est ce nouveau spectre qui hante le monde. Rien de plus normal pourtant, car la question de la souveraineté est fondatrice de la démocratie. Elle fonde la communauté politique, ce que l'on appelle le peuple, et définit un ordre politique. Partout en Europe et dans le monde s'exprime la volonté populaire de retrouver sa souveraineté. Que ce soit face aux incohérences de l'Union européenne sur la crise des réfugiés, ou face aux questions suscitées par le déni de la souveraineté grecque des institutions de la zone Euro, la souveraineté est la question d'aujourd'hui. Si la notion de souveraineté a pris une place centrale dans le débat, c'est bien parce qu'elle touche à quelque chose d'essentiel : la liberté. Celle de faire et de décider, en son propre nom comme de manière collective. Mais qui dit souveraineté dit aussi peuple et laïcité. Aujourd'hui plus que jamais, il est impératif de rejeter les définitions du peuple fondées sur l'ethnie ou la religion, et d'affirmer la nature historique et politique de cette notion. Faire disparaître du champ politique le principe de souveraineté ne peut se justifier que par une volonté de faire disparaître aussi le principe de démocratie. Il ne faut alors pas s'étonner de ce que la société glisse vers l'anomie et la guerre de ''tous contre tous''. "

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  • Etats-Unis, France : ne pas désespérer des citoyens de la base...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Paul Baquiast, cueilli sur son site Europe solidaire et consacré à la contestation de l'oligarchie par les citoyens de la base, aux Etats-Unis comme en France...

    Jean-Paul Baquiast anime également le site d'information techno-scientifique Automates intelligents.

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    Etats-Unis, France. Ne pas désespérer des citoyens de la base

    On dit, et nous le répétons volontiers souvent tant le jugement paraît juste, qu'aux Etats-Unis, 1% de super-puissants gouvernent les 99% restant, ceux l'on pourrait nommer les citoyens de la base. La chose se retrouve dans tous les pays du monde, y compris en France. Cependant elle y est moins marquée chez nous et en Europe, vue la survivance de ce qui reste d'un ancien Etat-providence.

    Or le récent discours sur l'Etat de l'Union prononcé par Barack Obama devant le Congrès le 12 janvier, illustre bien cette domination des super-puissants, dont il est le représentant au plus haut niveau de l'Etat. Le discours n'a évidemment pas fait allusion à l'immense croissance des inégalités sociales, le démantèlement d'une partie de l'industrie, le déclin mondiale du capitalisme américain et la domination croissante d'une élite financière parasite et souvent maffieuse.

    Tous ceux qui écoutaient le Président ne pouvait pas se dissimuler que, malgré ses accents volontaristes, il ne dominait rien, laissant le pouvoir aux militaires les plus militaristes, aux agences de renseignement et à Wall Street. Concernant les relations extérieures, il n'a pas évoqué le fait qu'élu pour arrêter la guerre en Irak, il a amplifié la politique des ses prédécesseurs, en ajoutant à la guerre en Afghanistan de nouvelle guerre en Libye, Syrie et Irak, en multipliant le recours à l'usage de drones destructeurs des populations et surtout en accumulant les provocations à l'égard de la Russie et de la Chine, pouvant conduire à de nouvelles guerres mondiales.

    A l'inverse, le thème essentiel de son discours a consisté à exalter la force militaire des Etats-Unis et sa volonté personnelle d'y recourir encore partout si nécessaire. Il a proclamé avec un cynisme incroyable “The United States of America is the most powerful nation on Earth. Period. Period. It's not even close. It's not even close. It's not even close. We spend more on our military than the next eight nations combined. Our troops are the finest fighting force in the history of the world. No nation attacks us directly, or our allies, because they know that's the path to ruin.” La presse française a traduit cela, sans d'ailleurs s'en indigner, par « Les Etats-Unis sont la nation la plus puissante du monde. Point final"

    Le bilan, pour une bonne partie des médias américains non-alignés, est tout au contraire la généralisation du passage à un Etat oppressif, multipliant l'espionnage, arrêtant les semeurs d'alerte, militarisant la police et protégeant en toutes occasions les meurtres accomplis par elle. Le bilan est représenté par les milliers de milliards de dollars consacrés à réparer les spéculations criminelles des banquiers de Wall Street responsables de la crise de 2008 et de ses suites, les économies imposées à ce qui reste de services publics sociaux et éducatifs, le vol des épargnes privées imposé aux « bénéficiaires » de la pseudo réforme de la Sécurité Sociale dite « Obamacare ».

    Les citoyens de la base

    Mais qu'en pensent les premiers concernés, les citoyens de la base? Manifestement, le bel enthousiasme ayant accueilli Obama après son élection a presque totalement disparu. Ceci que ce soit autant parmi les électeurs républicains que parmi les électeurs démocrates. Chez les premiers, la popularité croissante de Donald Trump inquiète de plus en plus l'establishment. Issu lui même de cet establishment, Trump, pour des raisons qui ne sont pas simplement électoralistes, mais répondent sans doute à une conviction profonde, contredit toutes les « valeurs » et s'oppose à toutes les politiques défendues par ses rivaux républicains aux prochaines élections primaires.

    Et ceci lui acquière une popularité massive parmi ceux que nous nommions les citoyens de la base. Inutile d'y revenir ici. On peut espérer que, constatant le succès de ses propositions, il en ajoutera d'autres de la même eau. S'il est élu à la Maison Blanche, l'establishment aura plus de mal à le mettre en tutelle qu'il n'en a eu avec Obama.

    Mais du coté des Démocrates, se profilent d'autres évènements tout aussi porteurs d'espoirs. D'une part la « candidate incontournable » qu'était Hillary Clinton semble faire eau de toute part. Ce sera une excellent chose pour la paix du monde, car elle était bien partie pour déclencher la 3e guerre mondiale évoquée plus haut. N'y revenons pas.

    D'autre part, du coté opposé aux Républicains, la concurrence de Bernie Sanders au départ considéré comme un candidat marginal, s'est manifestée avant les primaires et n'a cessé de s'affirmer depuis. Sanders porte de plus en plus nettement un message anti-establishment qui convainc un nombre croissant des électeurs de la base. Même si ses objectifs sont encore mal précisés, et comportent en matière de politique étrangère des aspects très conservateurs, il est présenté partout comme socialiste, et de plus en plus prisé comme tel.

    Or même si le « socialisme » de Sanders n'est pas le même que celui généralement entendu par ce mot en Europe, il comporte cependant des mesures très révolutionnaires pour les Etats-Unis, le rapprochant dans une certaine mesure des premières ambitions de Roosevelt ou du Labour Party britannique à la fin de la 2e guerre mondiale. 1)

    Qu'en sera-t-il en France?

    En France, ceux qui commencent à ne plus supporter le conservatisme et la docilité vis-à-vis de l'establishment manifestés tant par le PS que les Républicains, se demandent quel(le) candidat(e) pourrait lors des prochaines élections présidentielles, incarner des ambitions à la Trump ou à la Sanders. Aucun n'apparait du côté de la gauche radicale, où continue à régner l'atonie alors que de nombreux thèmes « révolutionnaires » pourraient être défendus.

    A l'extrême-droite, on trouve bien évidemment le FN et sa candidate Marine Le Pen. Mais beaucoup s'interrogent sur la capacité du parti et de sa présidente à présenter des objectifs clairs et surtout à les mettre en oeuvre une fois au pouvoir, soumis qu'ils seront aux pressions formidables du grand capital international.

    Il faudrait dans tous les cas, comme d'une certaine façon le font Trump et Sanders, que les représentants de la gauche radicale et du FN, qui auraient un nombre considérable d'objectifs communs à présenter aux électeurs révoltés de la base, s'unissent clairement, derrière un candidat commun, pour le faire.

    Jean Paul Baquiast (Europe solidaire, 14 janvier 2016)

     

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