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jean tulard

  • Mémoires au galop...

    Les éditions Via Romana viennent de publier les mémoires d'Alain Paucard intitulées J'aurais dû rester chanteur de rock n'roll - Mémoires au galop. Président à vie du Club des ronchons, Alain Paucard est un écrivain de nationalité parisienne, à qui l'on doit des essais comme Tartuffe au Bordel (Le dilettante, 2013), La France de Michel Audiard (Xénia, 2013), Paris, c'est foutu ! (Jean-Cyrille Godefroy, 2013), Oui, c'était mieux avant (Jean-Cyrille Godefroy, 2015), Manuel de résistance à l'art contemporain (Jean-Cyrille Godefroy, 2016) ou La France de Jean Gabin (Xénia, 2016).

     

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    " Enfin ! Enfin Alain Paucard, fondateur du Club des Ronchons s’est décidé à écrire ses mémoires. On croyait qu’il avait tout révélé de ses amis (Jean Dutourd, le général Gallois, Pierre Gripari, Pascal Sevran, Jean Tulard, Vladimir Volkoff), de ses amours (un gentleman ne donne pas de noms) en passant par des personnages controversés (Henry Kissinger, Radovan Karadjic). Il révèle, entre autres, pourquoi le psychanalyste Georges Devereux et… sainte Thérèse de Lisieux tinrent à le rencontrer, ou qu’il fut le premier chez qui Antoine de Maximy vint dormir.
    De son style naturel, il refait le parcours d’un enfant élevé dans le cocon douillet du plan Marshall, succombant un temps aux sirènes de l’engagement marxiste et s’illustrant désormais dans la critique de la modernité. "

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  • Napoléon, le politique, la puissance, la grandeur...

    Les éditions du Toucan publient dans leur collection L'Artilleur un ouvrage collectif dirigé par Olivier Battistini , préfacé par Jean Tulard, et intitulé Napoléon, le politique, la puissance, la grandeur. Olivier Battistini est maître de conférence en histoire grecque et a publié, notamment, une biographie d'Alexandre le Grand.

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    " Ce livre est né de rencontres entre des historiens spécialistes de Napoléon et un historien de l’Antiquité, spécialiste de Thucydide et d’Alexandre le Grand. L’étude s’est donc concentrée sur certains points communs aux deux géants : «  l’homme  politique  », la guerre et l’idée d’Empire.
    Par la conception d’un pouvoir partagé avec un peuple en armes, par la fulgurance des décisions au combat, par la grandeur et une esthétique du tragique, Alexandre le Grand, le «  philosophe en armes  », et Napoléon, le «  poète de l’action  », sont fascinants et ressemblants  : la force du Beau, du Terrible et de la Puissance.
    Alexandre conduit à Napoléon, selon un regard proche de celui que portait Nietzsche sur «  le Corse Napoléon qui a la fierté de l’homme qui se révolte  »  : Napoléon, parce qu’il était corse, a «  remis en lumière toute une face du monde antique, peut-être la plus définitive, la face de granit  » (Le Gai savoir, 362). "

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  • La vengeance de Siegfried...

    Les éditions Artus viennent de rééditer en DVD le film de Harald Reinl intitulé La vengeance de Siegfried (1966), reprise du chef d’œuvre de Fritz Lang, Les Nibelungen (1924). Comme l'indique le guide des films de Jean Tulard, " ce remake n'est en aucune façon indigne de la première version. [...] [Harald Reinl] a su retrouver le sens des authentiques épopées : ses scènes de bataille sont nerveuses et rapides, les images sont très belles et la musique rappelle parfois celle des opéras de Wagner ". On trouvera dans le coffret un livret de présentation de 80 pages rédigé par Laurent Schang et Alain Petit.

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    Près de 40 ans après Les Nibelungen de Fritz Lang, l’Allemagne offre un écrin en couleurs à sa plus grande œuvre fondatrice. Décors somptueux, costumes fidèles et musique épique au service de la plus grande saga germanique, constituée de bravoure, d’amour, de trahison et de mort.

     

                                 

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  • Végâneries !...

    Les éditions Via Romana viennent de publier Végâneries, un ouvrage du Club des Ronchons coordonné par Alain Paucard. Fondé en 1986 par ce dernier, le Club des Ronchons aura eu pour président d'honneur Jean Dutourd (1920-2011). Le règlement intérieur stipule que les réunions sont interdites « aux femmes, aux enfants, aux animaux et aux plantes vertes », ce dernier ajout à la demande de Jean Tulard. Le Club des Ronchons est fondamentalement opposé à l'idée totalitaire du Bonheur.

     

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    Au sommaire :

    Alain PAUCARD : Le féminisme ne suffit plus

    Jacques ABOUCAYA : Comment je suis devenu végan
    Jean BERTEAULT : Prescription de véganine
    Arnaud BORDES : Délivrance
    Michel BOUVIER : Le boeuf clandestin
    François CÉRÉSA : Robert le Végan
    Philippe DUMAS
    Jean DUTOURD (1958) : Cheval
    Alfred EIBEL : Végane : à l’arbordage
    Charles-Henri d’ELLOY : Parigot, tête de veau !
    Bertrand FOSSAT : El Extasio, sonnet végan
    Alain GERBER : [sans titre]
    Olivier GRIETTE : La morale, une et indivisible
    Pierre GUINGAMP : J’exagère ?
    Philippe LACOCHE : La grosse carpe végan qui pue la vase
    Bruno LAFOURCADE : La nouvelle arche
    Bernard LECONTE : Supervegan
    Bernard LE SAUX : Les enfants de William Kramps
    Boris MOISSARD : Le Cu Cul Clan
    Alain PAUCARD : Fake news
    David PERINI : Le général Vegan s’en va-t-en guerre !
    Jean-Jacques PÉRONI : Au nom du pâté, du figatelli et du saint-nectaire
    Xavier RAUFER : Végans, végétariens en peau de lapin (si j’ose dire…)
    Ivan RIOUFOL : Mangez un végan !
    Philippe de SAINT-ROBERT : Malthus, nous voilà !
    Olivier SARRADE-LOUCHEUR : Le protocole de Panurge
    Gérald SIBLEYRAS : Végan en pot
    TREZ
    Jean TULARD, de l’Institut : Napoléon végan ?
    & Pensées ronchons

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  • Le cinéma italien sous le fascisme...

    Les éditions Vendémiaire publient cette semaine un ouvrage d'Allessandro Corsi intitulé Dictionnaire du cinéma italien - De la Marche sur Rome à la République de Salò 1922-1945 et préfacé par Jean Tulard. Alessandro Corsi est professeur de langue italienne et traducteur indépendant.

     

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    " Les combats héroïques de Garibaldi pour unifier l’Italie, le sacrifice exalté des légionnaires de Mussolini dans le désert de Libye, la vie quotidienne à Florence au temps de Dante… Mais aussi l’érotisme sulfureux des Amants diaboliques, les caprices des divas ou les crimes d’honneur napolitains. Le cinéma italien a fait preuve entre 1922 et 1945 d’une vivacité et d’une créativité qui n’ont rien à envier à ses homologues européens.

    Que l’on songe aux exploits du colosse Maciste, star mondiale des années 1920, aux superproductions comme Scipion l’Africain et sa troupe d’éléphants, à La Couronne de fer, étonnant film précurseur de l’heroic fantasy, et c’est un tout un continent oublié et poétique de l’histoire du septième art qui apparaît. Un cinéma de propagande aussi, mais non dénué de subversion, où la réalité et l’invention sont souvent bien plus fortes que tous les discours officiels.

    En plusieurs centaines d’entrées, ce dictionnaire propose pour la première fois au public français de découvrir une période fondatrice qui, de Luchino Visconti à Totò, en passant par Vittorio De Sica, Roberto Rossellini, ainsi que la création de Cinecittà et celle de la Mostra de Venise, porte en germe ce qui fera la gloire du cinéma italien d’après-guerre. "

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  • Libération et Épuration...

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    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 74, septembre - octobre 2014).

    Le dossier central est consacré à la Libération et à l’Épuration. On peut y lire, notamment,  des articles de François de Lannoy ("La 1ère Armée et la libération de la France" ; "L'épiscopat n'est pas épargné"), de Philippe Parroy ("Le temps des maquisards"), de Jean Kappel ("Les crimes de l'épuration sauvage"), de Max Schiavon ("L'épuration de l'armée. Le drame de l'obéissance") et de Laurent Wetzel ("Les Normaliens durant l'Occupation").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, deux entretiens, l'un avec Emmanuel Le Roy Ladurie ("Une vie avec l'histoire") et l'autre avec Ferenc Toth ("1664. Saint Gothard, une victoire européenne") ainsi que des articles d'Emma Demeester ("Guillaume le Conquérant"), d'Anne Bernet ("Lucien Jerphagnon, toujours présent"), de Rémy Porte ("Septembre 1914, la crise des munitions"), de Arnaud Imatz ("Une Déclaration des droits de l'homme pas très universelle"), de Jean Tulard ("Pourquoi Napoléon a-t-il choisi l'île d'Elbe ? Pourquoi en est-il parti ?") et de Ferenc ("La charte de 1814, condition du retour du roi").

     

     

     

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