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jean giono

  • Les Horreurs de l'amour...

    Les éditions du Dilettante viennent de rééditer le superbe roman de Jean Dutourd intitulé Les Horreurs de l'amour.

    Journaliste et écrivain, que l'on peut classer, comme l'a fait Dominique Venner, dans la catégorie des anarchistes de droite, Jean Dutourd (1920 - 2011) est l'auteur d'une œuvre importante au sein de laquelle on retiendra, notamment, Au bon beurre (1952) ou Les Taxis de la Marne (1956)...

     

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    " Par une belle journée de juin, deux amis se promènent dans Paris. Ils parlent d’Édouard Roberti, député, marié, père de trois enfants, qui à cinquante ans s’est amouraché d’une jolie secrétaire de vingt-cinq ans, Solange Mignot. Cette liaison s’est terminée au bout de trois ans par un crime. Qu’est-ce que la passion amoureuse ? Jusqu’où peut-elle mener ?

    Dès les premières lignes, on est happé par ce grand roman publié à la NRF en mai 1963 ; des critiques soulignèrent que Dutourd inventait une nouvelle forme de roman.

    De ce roman, Jean Giono écrivait :«Ce livre a pour plus de cent ans de lecteurs dans le ventre. Jean Dutourd est sans doute le premier grand romancier véritable non seulement de sa génération, mais de bien d’autres.»  Et Jean Paulhan :«Je suis très bouleversé. Que ce soit une grande chose, pas le moindre doute là-dessus : une grande chose comme personne n’en avait vu depuis longtemps. » André Thérive parle de«chef d’œuvre insulaire», c’est-à-dire unique en son genre. Et Albert Cohen :«J’en suis enthousiaste. Ce livre est immense, un grand chef-d’œuvre.» "

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  • La nature comme socle !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une superbe vidéo de l'Institut Iliade sur le thème de la nature qui vient annoncer le sujet du prochain colloque, dont la date a été déplacée au samedi 19 septembre 2020.

     

                                      

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  • Jean Giono dans les Cahiers de L'Herne...

    Les éditions de L'Herne viennent de consacrer le nouveau volume de leurs Cahiers à Giono. L'ouvrage est dirigé par Agnès Castiglione et Mireille Sacotte. Indispensable pour tous les admirateurs du grand Provençal, auteur de Regain et du Hussard sur le toit...

     

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    " L’œuvre variée de Jean Giono en fait l’une des plus importantes du xxe siècle. Le Cahier de L’Herne permet de réévaluer l’image de ce grand écrivain, encore trop souvent encombrée de clichés, et de célébrer l’oeuvre du très grand poète.

    C’est sur « les grands chemins » de Jean Giono que ce volume convie ses lecteurs en faisant dialoguer les textes et les documents de tous ordres : carnets de travail, brouillons, manuscrits, photographies privées et officielles, peintures, correspondances, dédicaces et textes inédits (« Une rêverie de Marceau », lettres à Gide, Dabit, Poulaille ou Henri Pollès, lettres de Saint-Pol Roux). Ainsi aux textes rares et méconnus de Giono (poèmes, premières proses, préface, scénario, « caractère », etc.) révélant son sens de l’humour et du fantastique, succèdent les études des meilleurs spécialistes de l’oeuvre gionienne (études sur l’espace ; sur le jeu infini des sensations ; sur l’aventure romanesque, celle des passions, celle de l’écriture dans ses implications autobiographiques, ses perspectives piranésiennes et ses formes multiples, celles du conteur, celles du diariste ; sur l’immense culture enfin de Giono, lecteur des moralistes, de Monluc ou de Machiavel).

    Des écrivains contemporains (Lionel Bourg, Belinda Cannone, René Frégni, Sylvie Germain, Gilles Lapouge, Marie-Hélène Lafon, Richard Millet, Pierre Michon, Catherine Soullard et Éric Vuillard) viennent également célèbrer le pouvoir fécondant d’une voix et d’une écriture dont l’invention, dans la langue et les formes, n’en finit pas de surprendre. "

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  • Ellul l'intraitable...

    Les éditions Lemieux viennent de publier un essai d'Edouard Schaelchli intitulé Ellul l'intraitable. Enseignant puis berger, Edouard Schaelchli est l'auteur de Jean Giono - Pour une révolution à hauteur d'homme (Le passager clandestin, 2013), une anthologie consacrée au grand écrivain de Manosque,  dont il est un spécialiste.

     

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    " Se plonger dans ­l' œuvre et la vie de Jacques Ellul, c'est emprunter mille chemins : aborder le résistant et le Juste, le ­compagnon de route de la décroissance, le porteur ­d'une ambition critique radicale qui impressionnèrent Bernanos et Debord, mais aussi le protestant ­converti et ­s'inventant un christianisme très particulier, le " rhinocéros intellectuel " qui fonce sur tout ce qui bouge, le pessimiste résolu dans une société qui veut le Bien à tout prix. Mais aussi le duo intellectuel et virtuose formé avec Bernard Charbonneau et celui, théologien, formé avec Jean Bosc. Edouard Schalchli campe (et discute) le portrait – surtout pas ­l'hagiographie – de ­l'un des philosophes les plus impressionnants du XXe siècle. Et surtout ­s'interroge : ­comment être ellulien après Jacques Ellul ? "

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  • Les précurseurs de la décroissance...

    Les éditions du Passager clandestin viennent de publier Les précurseurs de la décroissance, une anthologie établie par Serge Latouche.

    Économiste et principal penseur français de la décroissance, Serge Latouche est l'auteur de nombreux essais importants comme La Mégamachine (La découverte, 1995), Le Pari de la décroissance (Fayard, 2006) et Sortir de la société de consommation (Les liens qui libèrent, 2010). Il a également publié Décoloniser l'imaginaire (Parangon, 2011), Chroniques d'un objecteur de croissance (Sang de la terre, 2012) ou Bon pour la casse (Les Liens qui Libèrent, 2012).

    Pour découvrir ses positions, on peut utilement consulter l'entretien qu'il avait donné à Arnaud Naudin, pour Novopress : « La décroissance n'a pas à se situer sur l'échiquier politique »

     

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    " Plus de 60 biographies pour se familiariser avec les origines de la décroissance. Des stoïciens et des cyniques à Huxley ou Orwell, en passant par Kropotkine, Giono, Ivan Illich, Nicholas Georgescu-Roegen, etc.

    L’étude des « précurseurs de la décroissance » prouve que la vision que recouvre ce slogan provocateur est ancienne, profonde et diversifiée, et que ce sont bel et bien la croissance et ses serviteurs zélés qui constituent une parenthèse dans l’histoire de l’humanité et de la pensée.

    L’économiste et anthropologue Serge Latouche, l’un des premiers et principaux théoriciens de la décroissance aujourd’hui, revient de manière claire et érudite sur les courants d’idées, les intellectuels et les activistes politiques qui ont influencé sa réflexion.

    La décroissance n’a pas la prétention de chercher à construire de toutes pièces une vision entièrement nouvelle de l’organisation de la vie sur terre. Elle vise plutôt à mettre en lumière ce qu’il peut y avoir de convergent entre des approches développées en tout temps, en tous lieux et dans tous les domaines, mais qui ont pour caractéristique commune d’avoir été ignorées ou discréditées a priori par les discours modernes de la productivité, de l’efficacité, de la croissance et du profit.

    La décroissance désigne en premier lieu la rupture avec l’occidentalisation du monde. Elle entraîne donc la réouverture de l’histoire au fond commun universel qu’on appelait traditionnellement « sagesse ». En revenant sur le stoïcisme, l’épicurisme, le cynisme, le taoïsme, le bouddhisme zen, les traditions indienne, africaine, amérindienne et bien d’autres, il s’agit d’abord, explique Latouche, de rappeler que l’humanité, par sa connaissance séculaire de l’homme et de ses passions, n’a pas attendu la démesure extrême de notre époque pour penser la mesure et les conditions de la vie bonne.

    Les précurseurs modernes, quant à eux, développent une critique de la croissance de l’intérieur. Celle-ci s’articule d’abord autour de la lutte contre les méfaits sociaux et politiques de la révolution industrielle, exprimée par des socialistes « utopiques » comme Morris, Fourier, Owen…, ou des anarchistes comme Proudhon, Bakounine, Kropotkine… Plus proches de nous, ceux qui, à partir des années 1950, ont vécu l’essor de la société de consommation, l’emprise croissante de la technique et l’aliénation productiviste ont été, dans une large mesure, les fondateurs de l’écologie politique : Ivan Illich, Cornelius Castoriadis, André Gorz, Jacques Ellul, Bernard Charbonneau, François Partant, Nicholas Georgescu-Roegen, etc. Enfin, l’ouvrage se penche sur toute une pléiade de quasi-contemporains moins connus (Murray Bookchin, Barry Commoner, Alex Langer…) ou auxquels on ne pense pas parce qu’ils étaient avant tout des écrivains (Léon Tolstoi, Jean Giono, Aldous Huxley ou René Barjavel…). "

     

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  • Vers le Nord...

    Nous vous signalons la parution du troisième numéro de la belle revue Figures de proues, dirigée par Pierre Bagnuls. Cette livraison est consacrée au Nord...

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    Au sommaire :

    Editorial

    • Le Nord : un paysage intérieur

     

    Pistes de réflexion

    • Nous autres aéronautes de l’esprit par Friedrich Nietzsche

    • Prose et Vers par Xavier Marmier

    • Du paradis perdu au paradis promis par Jean Cazeneuve

     

    Les Sources Vives

    • « Des oies sauvages vers le Nord… ». Pour une poésie septentrionale

    • La Finlande aux mille lacs par Jules Leclercq

     

    Figure

    • Aïdôs – la pudeur – par Walter Friedrich Otto

     

    Essai Culture Littérature Poésie Mémoire

    • Aube des Temps, Aurore première

     

    Textes fondateurs

    • Les archives de l’Aurore – citations –

    • L’Aurore des contes et légendes par Hyacinthe Husson

    • La rondeur des jours par Jean Giono

    • Cheminement vers la joie par Jean Giono

    • Le chemin de campagne par Martin Heidegger

    • Des lieux où souffle l’esprit par Maurice Barrès

    • L’âme paysanne par Gaston Roupnel

    •La forêt et l’homme par Gaston Roupnel

     

    Notre Identité

    • Un fil enchanté qui remonte à la source abritée sous l’arbre de nos racines ethniques

    • Rêverie sur la race par Pierre Drieu La Rochelle

    • Diversité contre uniformité par Robert Ardrey

    • Devenons ce que nous sommes par Jean Mabire

    • L’image d’une lignée par Antoine de Saint-Éxupéry

    • Le culte du passé par Xavier Marmier

     

    Aventure

    • Alfred Wegener : de la fixité du pôle à la dérive des continents

     

    Biographie

    • Xavier Marmier : un oiseau migrateur

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