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  • Une nouvelle revue nommée Sparta...

    Les éditions Aidôs viennent de publier le premier numéro de la revue Sparta, dirigée par Philippe Baillet. Vous pouvez découvrir ci-dessous la présentation de cette publication sans périodicité fixe, disponible sur le site d'Akribeia.

     

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    " Sparta, nom de l’épouse d’un fils de Zeus qui renvoie bien sûr à la célèbre cité grecque, est le titre d’une publication sans périodicité fixe des éditions Aidôs. Sparta n’a aucun équivalent dans l’espace francophone et n’a eu que très peu de devancières dans la culture européenne depuis 1945: la revue romaine Ordine Nuovo, essentiellement évolienne; Nouvelle École (dans une certaine mesure); et Mars Ultor, dirigée en Allemagne par Pierre Krebs. Sparta est une publication ouvertement païenne, racialiste et identitaire, qui naît sous le triple parrainage augural du Rig-Veda, de Nietzsche et de Savitri Devi. Sparta, dès son premier volume, fait le pari de la qualité, tant sur le plan graphique, sobre et soigné, que sur celui du contenu. Grâce à Sparta, vos idées sont enfin défendues et affirmées avec rigueur et érudition ; vous y trouverez une écriture élégante, des références dûment vérifiées et complètes, des traductions (de l’allemand, de l’anglais, de l’italien) vraiment fiables. Sparta reflète le professionnalisme et la compétence de collaborateurs qualifiés, qui ont fait leurs preuves depuis longtemps : Jean Haudry, Philippe Baillet, Pierre Krebs, Jean Plantin, David Rouiller, auxquels viendront bientôt s’ajouter d’autres noms.

    Au sommaire du volume 1: un article de J. Haudry sur la notion d’aidôs, « respect, révérence », qualités indispensables aux membres d’une même sodalité. Deux longues études de Ph. Baillet: l’une sur la « généalogie » et l’origine des valeurs dans la philosophie de Nietzsche; l’autre sur « le mythologue du romantisme », le Suisse Johann J. Bachofen, sa réception considérable dans la culture germanique, l’opposition-complémentarité Apollon-Dionysos, avec des aperçus relatifs à Alfred Rosenberg et à des penseurs völkisch comme Alfred Baeumler et Ludwig Klages. Des textes d’Evola sur Bachofen, par qui il fut fortement influencé. Un inédit du théoricien italien : « Soldats, société, État ». Trois textes d’un sociologue des arts visuels, Raimondo Strassoldo, sur l’entrée dans l’art moderne et contemporain non moins que sur la subversion organisée des canons esthétiques européens. Un article de P. Krebs sur le mouvement Der Dritte Weg, véritable « communauté militante identitaire ». Et un index pour vous repérer facilement dans cette matière.

    Sparta entend remplir une fonction décisive d’approfondissement doctrinal et de transmission de notre héritage ancestral indo-européen. Mais Sparta ne vivra et ne grandira qu’avec le généreux concours financier de ses lecteurs. Alors, soutenez Sparta ! "

     

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  • Alexandre Douguine : « Le libéralisme occidental est peut-être encore pire que l'URSS »...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Alexandre Douguine à Breizh Info dans lequel il évoque son vécu et son analyse philosophique et politique de la fin de l’Union soviétique. Théoricien politique influent, Alexandre Douguine est la figure principale du mouvement eurasiste en Russie. Outre L'appel de l'Eurasie (Avatar, 2013), le texte d'une longue conversation entre lui et Alain de Benoist, plusieurs  de ses ouvrages ou recueils de ses textes sont déjà traduits en français comme La Quatrième théorie politique (Ars Magna, 2012), Pour une théorie du monde multipolaire (Ars Magna, 2013), Vladimir Poutine, le pour et le contre - Écrits eurasistes 2006-2016 (Ars Magna, 2017), Le Front de la Tradition (Ars Magna, 2017), Les mystères de l'Eurasie (Ars Magna, 2018) ou, dernièrement, Les racines de l'identité (Ars Magna, 2019).

     

                                   

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  • L'appel de la montagne...

    Nous vous signalons la parution du numéro 10/11 (Hiver 2015) de la revue Figures de proues, dirigée par Pierre Bagnuls. On y découvrira un dossier consacré à la montagne...

    Il est possible de s'abonner ou de commander ce numéro (ainsi que les numéros précédents) sur le site de la revue : Figures de proues

     

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    Editorial

    • Aux portes de l’année par Pierre Bagnuls

    • Faire surgir une aristocratie européenne par Raymond de Becker

     

    Figures – Enfance et jeunesse –

    • Rêve d’enfant par Alphonse de Châteaubriant

    • Enfance du rêve par Jean Cau

    • L’enfant qui inventa le ski par Guy de Larigaudie

     

    Sources vives – tradition –

    • Si le grain ne meurt, que le blé lève ! par Pierre Bagnuls

    • Tradition et simplicité volontaire par Ernst Jünger

    • Edifier par Jean-François Mattéi

     

    Dossier – montagne –

    • La demeure des dieux Anonyme

    • Montagne : à l’altitude des dieux Pierre Bagnuls

     

    Textes fondateurs

    • Aspects mythiques de la montagne par Claude Lecouteux

    • Les elfes et les fées par Samivel

    • A l’origine du mythe alpestre par Jean-Jacques Rousseau

    • Sentiment de la montagne par Hermann Hesse

    • Le village dans la montagne par Charles-Ferdinand Ramuz

    • De la beauté des montagnes par Franz Schrader

    • La voie étroite qui permet de gravir n’importe quel pic par Leslie Stephen

    • Les féeries de la neige par Samivel

    • Le refuge par Georges Sonnier

    • La montagne d’utilité publique par Samivel

    • Notre chair est un métal perméable à l’étoile par Jean Giono

    • Zénith par Pierre Dalloz

    • Le cérémonial de la montagne par Gaston Rébuffat

    • Beauté et héroïsme par Eugen Guido Lammer

    • Mais n’est-ce pas une folie ? par Dino Buzzati

    • Plaisirs et pénalités de l’alpinisme par Albert Frederik Mummery

    • Les inquiétantes portes du haut royaume par Georges Sonnier

    • La porte étroite entre humain et surhumain par Georges Sonnier

    • Nous avons rempli une destinée par Marthe Meyer

    • Le chant des esprits sur les glaciers par Eugen Guido Lammer

    • Guillaumet, vivant ! par Antoine de Saint-Exupéry

    • Les hors-la-loi par Dino Buzzati

    • Celui qui va seul par Henri de Man

    • Lachenal : le refus des lois naturelles par Maurice Herzog

    • La quête de l’absolu par Georges Sonnier

    • L’alpinisme, une lutte contre soi-même par Eugen Guido Lammer

    • Clé de voûte alpine : l’équilibre moral par Gaston Rébuffat

    • L’homme transfiguré par Georges Sonnier

    • Fête solaire au Mont-Blanc par Gaston Rébuffat

     

    Textes de méditation

    • Nous autres, Hyperboréens ! par Friedrich Nietzsche

    • Et preque tous avaient les yeux bleus par Samivel

    • La transfiguration intérieure par Julius Evola

    • La spiritualité de la montagne par Julius Evola

    • Aux sources de l'amour de la montagne par Bernard Charbonneau

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  • Le règne de la quantité et les signes des temps...

    Les éditions Gallimard viennent de rééditer, dans une version définitive, Le règne de la quantité et le signe des temps, le célèbre essai de René Guénon. Principal représentant de la pensée traditionnelle au XXe siècle, René Guénon est l'auteur, notamment, de La crise du monde moderne et de Autorité spirituelle et pouvoir temporel.

     

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    " À la fin de l'hiver 1944, au milieu des ruines de la guerre, Jean Paulhan qui avait été le principal artisan de l'entrée de René Guénon chez Gallimard reçut le manuscrit du Règne de la quantité et les signes des temps ; il le trouva «splendide». Le diagnostic sévère porté par l'auteur sur les sociétés occidentales, dès 1927 dans La crise du monde moderne, était confirmé ; il voulait revenir depuis longtemps sur le sujet mais l'histoire l'avait devancé : «... les événements n'ont confirmé que trop complètement, et surtout trop rapidement, toutes les vues que nous exposions alors sur ce sujet, bien que nous l'ayons d'ailleurs traité en dehors de toute préoccupation d'"actualité" immédiate...», écrit-il dans l'avant-propos. Les malheurs des temps étaient le fruit des déviations intellectuelles et spirituelles qui avaient touché l'ensemble des modes de vie et de pensée des Occidentaux au fil des siècles depuis la fin du Moyen Âge. Il en dresse un inventaire rigoureux mesurant à leur aune les illusions génératrices des «fissures de la Grande Muraille» censée protéger l'Occident : elles annonçaient son écroulement. Mais le regard froid porté par Guénon sur un monde en perdition éclaire en même temps le chemin d'un retour à l'ordre véritable des choses ; il nous a fait don, au soir de sa vie, d'un maître livre, riche d'une approche doctrinale très solidement argumentée, sur laquelle ce temps qui conspire plus que jamais à notre perte n'a pas de prise."

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  • Deuxième transfiguration...

    Nous vous avions signalé, l'année dernière, la publication de Transfiguration, de Szczepan Twardoch, aux éditions Terra Mare. Nous ne pouvons, à nouveau, que vous recommander la lecture de ce roman d'espionnage vertigineux, dont le héros entend se situer par delà le bien et le mal...

     

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    Etonnant roman que ce mixte d'intrigue policière (le meurtre d'un prélat polonais après le coup d'état du général Jaruzelski) et d'analyse quasi anthropologique des services de sécurité communiste dans leur phase terminale. L'auteur suit pas à pas la carrière brisée net d'un esbek, officier du SB, la police politique polonaise et particulièrement du département IV, chargé d'infiltrer l'Eglise catholique. En fait cet esbek appartient aussi à une structure clandestine, interne au SB, composée de cadres qui, ayant compris qu'ils avaient perdu la guerre froide, préparent un habile processus de reconversion. C'est l'occasion pour Twardoch de nous livrer un tableau d'une cruelle précision, de la Pologne des années 80, comme des techniques utilisées par le SB pour retourner des ecclésiastiques (sélectionner des mous plutôt que de s'attaquer aux durs). l'auteur imagine que, dès les années 50, de jeunes agents dormants - les spahis - auraient été mis en place au sein de l' Eglise polonaise, discrètement poussés dans la hiérarchie jusqu'au moment de leur activation, au plus haut niveau. On songe à un Vladimir Volkoff (dans une version évidemment russophobe) mâtiné de Julius Evola. Un auteur singulier à suivre.

    Christopher Gérard (La Nouvelle Revue d'Histoire n°51, novembre-décembre 2010)

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  • Portraits fidèles et lectures sans entraves...

    Philippe Baillet, traducteur d'italien, spécialiste d'Evola et collaborateur de nombreuses revues, a rassemblé, dans un volume intitulé Pour la contre-révolution blanche - Portraits fidèles et lectures sans entraves, publié chez Akribéia, un ensemble d'article de fond qu'il avait publié au début des années 90 dans Le Choc du Mois (première formule).

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    "« Les idées ont des conséquences. » Sur la base de cet axiome souvent repris par la pensée conservatrice américaine — dont la radicalisation fait ici l’objet d’une longue étude —, on a cherché, à travers une série de portraits fidèles (Barruel, Donoso Cortés, Boris Souvarine, Henri Rollin, Ernst Kantorowicz, Antonin Artaud) et d’études prenant appui sur des lectures sans entraves ni jugements préconstruits (livres de Samuel Huntington, George L. Mosse, Friedrich Nietzsche, Augusto Del Noce, etc.), à fourbir des armes intellectuelles sûres. Elles doivent servir à tous ceux qui sont appelés à prendre part sous différentes formes — dans des mouvements politiques, associations culturelles, maisons d’édition, revues ou simplement dans leur entourage — au grand combat de demain, à la guerre civilisationnelle qui s’annonce déjà par tant de signes tangibles.
    Pour autant, il n’est pas question d’honorer un savoir prétendument neutre qui n’est en fait que le cache-sexe du paradigme dominant de la modernité mondialisée parvenue au terme de son cycle désastreux. Il s’agit de répondre efficacement aux méthodes de diffamation des manipulateurs médiatiques ou « savants », qui pratiquent encore et toujours à l’encontre des seuls ennemis authentiques du Système, accusés de répandre la haine, des « rites d’exécration » et des « malédictions collectives à la mode du xxe siècle réputé civilisé » (Jules Monnerot).
    Conscient que les mots ont une âme et qu’il ne faut donc pas reprendre le vocabulaire de l’ennemi, persuadé que notre seule chance de survie réside dans l’apparition d’un nouveau type humain lors des conflits civilisationnels et raciaux à venir, l’auteur appelle de ses vœux une contre-révolution blanche."
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