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christophe barbier

  • Feu sur la désinformation... (436)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin. 

                                             

     

    Sommaire :

    La météo de l’info : Entre émotion et absence d'indignation

    L’image de la semaine : Le pape à Marseille

    Le dossier : Emmanuel Macron au 20h

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    Les pastilles de l’info :

    + Journaliste en GAV

    + Jordan Bardella sur BFM

    + RN et femmes au foyer !

    + Covid : le retour d’Agnès Buzyn

    + Complément d’enquête : la guerre est déclarée

    + Aymeric Carron, sa fille et le service public

    + Le drapeau déchiré de l’arc de triomphe fact-checké

    + Le Monde sur l’indépendance du monde

    + Arménie / Ukraine : un traitement médiatique à deux vitesses

    Conclusion

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    Portrait piquant : Christophe Barbier, l’homme à l'écharpe rouge

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  • Feu sur la désinformation... (199)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Manifestations à Chemnitz : les médias voient des nazis partout
      Chemnitz théâtre de manifestation de nazis ? Chemnitz théâtre de chasses aux immigrés ?. Les médias dénoncent la montée de la xénophobie en Allemagne. Ils bobardent pour cacher l’émotion de la Saxe suite aux meurtres d’allemands par des « migrants ».
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Affaire Clément Méric, 5 ans après. L’homicide de Clément Méric revient sur le devant de la scène médiatique avec le procès des accusés. Il est possible de dresser, d’ores et déjà, un constat : Le ton médiatique a changé. Le mot « assassiné » est beaucoup moins présent sous la plume des journalistes. Le terme désormais employé est plus nuancé « homicide involontaire ».
      Remaniement, le tour de manège du gouvernement
      Remaniement ministériel, qui prendra la place de Nicolas Hulot ? l’ancien député européen Cohn-Bendit a été approché par le gouvernement provoquant de très vives réactions sur les réseaux sociaux.

    • 3 : Les tweets de la semaine
      Drépanocytose : Fermeture de l’agence qui en publiait les statistiques. L’agence française pour le dépistage et la prévention des handicaps a fermé ses portes en juillet. L’agence dépistait notamment la drépanocytose, une maladie génétique qui ne concerne quasi exclusivement que les populations extra européennes. Agnès Buzin, ministre des solidarités et de la santé s’est prononcé en faveur d’une systématisation du dépistage.
    • 4 : Portrait Piquant de Christophe Barbier
      Nicolas Faure dresse le portrait piquant de Christophe Barbier, le pape des médias à l’écharpe rouge. Journaliste touche à tous… les médias il est passé par le Point, Europe 1, ou encore l’Express.

                                         

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  • Les snipers de la semaine... (76)

    Sniper.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Boulevard Voltaire, Dominique Jamet exécute François Hollande, le président qui veut conserver sa petite vie privée confortable...

    Lui président...

    closer_hollande-gayet.jpg

     

    - sur Acrimed, Blaise Magnin et Henri Maler dézinguent Christophe Barbier qui a révélé ses talents d'auxiliaire de police à l'occasion de l'affaire Dieudonné...

    Christophe Barbier contre Dieudonné ! Éditorialiste ou auxiliaire de police ?

    Christophe Barbier.jpg

     

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  • Les dévots de la pensée mythique...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jack Dion, publié sur le site de Marianne et consacré à un exemple récent et édifiant de manifestation de la pensée unique dans les médias du système...

     

    Giesbert - Lenglet.jpg

     

    Les dévots de la pensée mythique 

     

    Quel est le point commun à ces éminences du clergé médiatique que sont Christophe Barbier, Nicolas Beytout, Dominique Seux, François Lenglet, Jean- Marc Vittori, Franz-Olivier Giesbert, Erik Izraelewicz, Eric Le Boucher, Yves de Kerdrel et consorts ? Nonobstant leurs différences, ils ont fait du « coût du travail » leur cible unique.  

    Nos Excellences ne prennent du rapport Gallois que ce qui les intéresse pour fonder le raisonnement suivant : si la France va mal (et c’est le cas), si son industrie s’est rabougrie (et c’est la réalité), si elle exporte moins (et cela ne se discute pas), c’est parce que le travail coûte trop cher. En vertu de quoi, une économie massive sur les « charges » (qui sont la partie du salaire consacrée aux cotisations sociales ) devrait remettre la machine en marche et la faire repartir comme par miracle. Amen. 

      

    On entend cette petite musique du matin au soir, sans que personne parmi les membres du chœur susdit s’interroge le moins du monde sur les carences d’un tel raisonnement. S’il suffisait de baisser les charges pour relancer les investissements industriels, cela se saurait puisque c’est déjà le système en vogue pour les bas salaires. Si la compétitivité était indexée sur le faible niveau des salaires, la Grèce, l’Espagne et le Portugal devraient figurer dans le top du top. Si les cadeaux aux entreprises sans contre partie permettaient de stimuler le made in France, Arnaud Montebourg serait le premier à brûler un cierge pour fêter l’événement. 

    Les hauts dignitaires de l’Eglise médiatique ne rentrent pas dans ce genre de considérations. Le coût du travail est leur nouveau mantra, et nul ne les fera dévier de leur mission évangélisatrice. Habitués à se tromper, ils persistent et signent. Tout comme ils étaient pour le traité  de Maastricht en 1992, pour le traité européen en 2005, pour le nouveau traité européen signé par François Hollande, ils sont pour la version « coût du travail » du choc de compétitivité, notion imposée dans le débat public par les tenants de l’orthodoxie néolibérale grâce aux tergiversations d’un PS qui ne sait plus sur quel pied idéologique danser.   

    Les maîtres à (bien) penser ne parlent jamais du coût du capital, du coût des dividendes, du coût de la rente, du coût des délocalisations, du coût des fuites de capitaux, du coût des placements financiers, ou même du coût de la niche fiscale dont ils bénéficient en tant que journalistes. En revanche, le coût du travail salarié, cela les révulse au plus haut point, et ils n’hésitent pas à monter en prêche pour appeler les malheureux à se sacrifier en place publique. Au passage, ils en oublient les voix iconoclastes faisant remarquer qu’il ne faut pas mettre dans le même panier grandes et petites entreprises, et que la compétitivité dépend aussi de l’effort de recherche, de l’innovation, du financement des banques ou du patriotisme industriel, sans lequel nul ne peut résister aux conséquences de la mondialisation sauvage. Pour la nouvelle cléricature, ces considérations impies sont vouées au grand bûcher de l’Inquisition.   

    Quelqu’un a dit : « La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles, mais d’échapper aux idées anciennes. » Il s’appelait Keynes. Encore un hérétique.

     

    Jack Dion (Marianne, 10 au 16 novembre 2012)

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  • Les éditocrates...

    Les éditocrates, le pamphlet de Mona Chollet, Olivier Cyran, Sébastien Fontenelle et Mathias Reymond sort en format de poche dans la collection Pocket. Les auteurs éreintent avec brio Alain Duhamel, Bernard-Henri Lévy, Christophe Barbier, Jacques Attali, Alexandre Adler, Laurent Joffrin, Jacques Marseilles, Nicolas Baverez, Yvan Rioufol et Philippe Val... Bref quelques unes des plus belles têtes à claques de la pensée unique ! Parfois, il ne faut pas bouder son plaisir...

     Editocrates.jpg

    "Vous les connaissez bien. Leur visage et leur voix vous sont familiers.
    Ils signent tous les jours un éditorial dans la presse écrite ; ils livrent une chronique chaque matin sur une antenne de radio ; ils occupent les plateaux des grandes - et des petites - chaînes de télévision ; chaque année, voire plusieurs fois par an, leur nouveau livre envahit les tables des librairies.
    « Ils », ce sont les « éditocrates ». Ils ne sont experts de rien mais ils ont des choses à dire sur (presque) tout et, à longueur de journée, ils livrent à l'auditeur-lecteur-télespectateur-citoyen leurs commentaires creux ou délirants sur le monde comme il va et comme il devrait aller. Sentencieux, ils racontent (à peu près) tous la même chose et dans (presque) tous les domaines, que ce soit sur la vie politique, la crise économique, les problèmes de société, les questions internationales, etc. Pontifiants, ils répètent à tout bout de champ qu'ils sont « politiquement incorrects » - alors qu'ils sont les plus illustres représentants du conformisme intellectuel.
    À travers dix portraits drôles et corrosifs, ce livre dévoile l'imposture de ces professionnels de la pensée-minute."

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