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bernard plouvier

  • Réflexions sur le passé et le présent de l'Europe...

    Les éditions L'Æncre viennent de publier un essai de Bernard Plouvier intitulé Décadence et invasion : la destinée de l'Occident. Médecin, Bernard Plouvier est, notamment, l'auteur de plusieurs études historiques décapantes, comme La ténébreuse affaire Dreyfus (Dualpha, 2010) et Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012), et d'une imposante Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler (Dualpha, 2007).

     

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    " Pour un État, pour une Nation, la franche bêtise, la sottise crasse installées au Pouvoir ou dans ses apparences, c’est la ruine assurée pour une génération, voire davantage. C’est ce qui est arrivé en Europe occidentale et scandinave, à l’ère globalo-mondialiste.

    Durant les années 1960, un certain patronat – celui des travaux publics, du textile et de la métallurgie – avait commencé d’importer des travailleurs extra-européens. Durant ces « golden sixties », tout se passait assez bien : les matières premières étaient bon marché, le plein emploi assuré et les immigrés maghrébins limitaient leur délinquance à des rixes internes, pour des raisons de politique exotique qui n’intéressaient personne.

    Vinrent le premier choc pétrolier (1973) et la navrante dénatalité des autochtones, évidente dès la première moitié de la décennie 70. En 1976, deux politiciens-liges du capital, le Président Giscard d’Estaing et son très ambitieux premier ministre Chirac, crurent bon de renforcer une consommation intérieure stagnante par le décret sur « le regroupement familial des travailleurs immigrés », aussitôt comparé, par ceux qui avaient quelques connaissances historiques, au funeste Édit de Caracalla. En 1994, ce décret fut « consolidé » dans sa capacité de nuisance. Et l’exemple français fut imité presque partout en Europe occidentale, où l’immigration africaine et moyen-orientale tourna à l’invasion. Les faibles gouvernements laissèrent s’installer des zones de non-droit et toléraient les émeutes raciales. Vingt ans plus tard, l’on connut la féérie des attentats djihadistes.

    Entretemps, le féminisme et l’hédonisme avaient été promus au rang de « valeurs » et l’on imposa à la majorité saine des pays le triomphe illégitime des minorités. On tuait à tour de bras des fœtus et l’on abolissait la peine de mort pour les grands criminels ; on importait de l’immigré souvent analphabète alors que progressait le chômage des autochtones.

    La bêtise des gouvernants est rarement gratuite. On peut même affirmer qu’elle est télécommandée par ceux à qui ce crime d’État profite. La passivité & l’inertie des peuples sont énormes. Toutefois, il suffit d’une minorité pour faire éclater un monde de pourriture et d’absurdité. "

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  • Les assassins de l’Europe et leur arme de destruction massive...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Plouvier, cueilli sur EuroLibertés et consacré à la menace vitale que font peser sur l'Europe les politiques migratoires délirantes menées par les dirigeants européens depuis plusieurs années.

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    Les assassins de l’Europe et leur arme de destruction massive

    Comme chacun sait qu’un assassinat est un meurtre commis avec préméditation.

    Le Pacte de Marrakech, approuvé par un pape et des prélats catholiques délirants, par Angela Merkel qui reste en place bien qu’elle ait été désavouée par ses électeurs, par Grand Président Macron qui est sur une sellette éjectable, ne fait que reprendre, en l’étendant, le génocide initié en 1976 par Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac, qui, rattrapés par la sénilité, mourront impunis pour leur décret 76-383 du 29 avril, paru au Journal Officiel de la République le 2 mai 1976.

    Quel dommage de ne pouvoir croire raisonnablement en un Enfer ! On aimerait que ces êtres, vendus stricto sensu à la Finance anonyme et vagabonde – il n’est pas besoin de cultiver la fleur royaliste en France pour adopter cette phrase prononcée par un prétendant au trône il y a près de 120 années –, subissent des tourments jusqu’à la fin des temps.

    Une autre fin est programmée, celle des Nations européennes, amenant inévitablement leur remplacement par les migrants massivement importés… sauf réaction puissante des Européens, encore majoritaires sur un continent qui n’appartient qu’à eux.

    Rien qu’en France, en additionnant aux adultes les rejetons nés sur le sol réputé français et devenus citoyens « par droit du sol », on compte environ 15 millions de sujets d’origine africaine. On sait que dans de nombreuses régions, plus du tiers des naissances sont à risque de drépanocytose, soit un marqueur génétique d’origine africaine.

    En Allemagne, on sait que depuis 2015, la folle chancelière a importé 50 % d’illettrés – il n’existe pas de statistique disponible de ce type dans la très démocratique République française. En revanche, l’INSEE nous apprend que chez les « immigrés de première génération », le taux de chômage des sujets en âge et en état de travailler est de 35 %… on a importé des masses sans qualification autre que l’intense désir de participer à la féérie de consommation qui est le fondement de l’économie actuelle.

    Consommer sans Produire ou sans avoir produit, c’est aussi le slogan des immigrés âgés importés inutilement et auxquels l’État français offre une retraite… parfaitement illégale, puisque non ouverte par des cotisations antérieures. Que ceux des retraités français autochtones qui ont travaillé et cotisé 41 années pour gagner à peine de quoi survivre soient heureux : leurs cotisations servent à payer des retraites aux vieillards importés !

    Lorsque, durant les années 1980-2000, des toqué(e)s écrivaient qu’il fallait importer des immigrés pour « payer les retraites », ils ou elles (sans compter les personnes de sexe-genre à géométrie variable) ne croyaient pas si bien dire : on a importé un tiers de chômeurs et un nombre imprécis, mais fort grand si l’on en croit les statistiques allemandes et scandinaves, de populations inutilisables.

    Il est évident qu’il existe, au sein de la très composite immigration, des techniciens, voire des savants, mais cette élite africaine ou moyen-orientale devrait retourner dans son continent ou son sous-continent d’origine, pour l’amener au même degré de civilisation que les Européens ont haussé l’Occident.

    Le gouffre financier de la Sécurité sociale a pleinement bénéficié de l’immigration : on soigne – pour quelques milliards d’euros de plus – toutes les familles importées, dont certaines utilisent abusivement de façon collective une seule carte individuelle d’accès aux soins. Et l’on soigne bien évidemment aussi les clandestins dits « sans papier », sans existence légale, mais néanmoins pourvus d’allocations spécifiques et de droits.

    Car l’on a inventé un droit des clandestins, un droit des illégaux ! Nos politicards ignorent jusqu’à la sémantique, mais ils sont servis par une armée de juristes oubliant sur commande les fondements du Droit… en quelle que sorte des parjures.

    La réaction nécessaire des Européens est à l’évidence double. D’abord et de façon urgente, il leur incombe de se révolter et de chasser les guignols irresponsables et corrompus qui ont trompé leurs électorats et qui ruinent le continent pour le seul profit des financiers cosmopolites, des producteurs exotiques et des distributeurs, en principe européens. Ensuite, il faut stimuler la natalité autochtone en combattant le féminisme délirant des folles du « droit à la non-grossesse ».

    Les Nations européennes menacées dans leur survie n’ont pas besoin de ringards de la politique atteints par la limite d’âge, ni même de « penseurs ». Elles ont besoin d’hommes d’action qui sont prêts à se battre pour assurer l’avenir de leur peuple et le dynamisme de leur patrie. Elles ont besoin de femmes décidées à mettre au monde de véritables enfants d’Europe.

    Bernard Plouvier (EuroLibertés, 15 janvier 2019)

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  • De l'hécatombe aux illusions de la victoire...

    Les éditions Dualpha viennent de publier une étude de Bernard Plouvier en deux tomes, L'hécatombe (septembre 1914 - mai 2017) et Les illusions de la victoire (juin 1917 - novembre 1919), consacrée à la première guerre mondiale. Médecin, Bernard Plouvier est, notamment, l'auteur de plusieurs études historiques décapantes, comme La ténébreuse affaire Dreyfus (Dualpha, 2010) et Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012), et d'une imposante Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler (Dualpha, 2007).

     

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    " Les combats de l’été 14 ont clos le XIXe siècle. La guerre de position, qui débute à l’Ouest durant l’automne, marque l’entrée dans le XXe, celui de la propagande mensongère et des guerres de matériel, où l’abnégation et la résignation tiennent davantage de place chez le combattant que l’héroïsme, une vertu qui passe du domaine individuel au collectif, hors circonstances exceptionnelles.

    Partis se battre, en une glorieuse parenthèse de quelques mois qui devait être un ilot d’aventures émergeant d’une vie morne et conventionnelle, les hommes de toutes les armées – du moins pour le front Ouest, puis l’italien – sont confrontés à des conditions de survie médiévales, voire préhistoriques. Ils s’aperçoivent bientôt qu’ils ne sont qu’un matériau de plus de cette guerre, et le moins onéreux, celui que des généraux inexperts, voire franchement criminels, sacrifient allègrement.

    La guerre crée de profondes injustices sociales : l’on épargne de la tuerie et l’on surpaye ceux que l’on juge indispensables à l’effort industriel, en exposant la vie des paysans et des intellectuels. Le milieu des « affectés spéciaux en ateliers », petits mais authentiques profiteurs de guerre, se transforme dès 1917 en un groupe de perpétuels revendicateurs, adeptes de cette lutte des classes que les marxistes vont transformer en guérilla civile permanente.

    Au mois d’août 1916, Erich Ludendorff devient le quasi-dictateur en matière d’opérations militaires, de propagande et d’économie de guerre, dans le Reich, où il ne parvient guère à calmer l’agitation des politiciens ambitieux ni à réduire les profits scandaleux des fournisseurs aux armées. Ces deux plaies se rencontrent d’ailleurs chez tous les belligérants.

    Au printemps de 1917, Philippe Pétain devient enfin le chef des armées françaises de métropole. Avec ces deux stratèges, la guerre va changer de style. "

     

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    " De cette guerre qui se fait désormais avec du « million d’hommes », deux noms émergent : Erich Ludendorff, le dernier grand stratège traditionnel ; Philippe Pétain, le tacticien qui, le premier, a compris que le matériel utilisé en abondance épargne des vies, et le stratège visionnaire qui emploie simultanément, lors des attaques, l’aviation, les chars et l’artillerie mobile en soutien de l’infanterie.

    Le coût en vies (1,4 million pour les Français) est à la fois immense et d’effet retardé : ce sont surtout des hommes jeunes qui sont morts et cela fait autant de géniteurs en moins. Le coût en argent est jugé prohibitif : 7 années de revenu national pour la France et un endettement équivalant à 5 autres années. De créditeur général de la planète, l’Europe devient débitrice des USA, le grand gagnant économique du premier épisode de la « guerre civile européenne. »

    Les Traités de paix, concoctés à Paris et signés dans les châteaux de la région parisienne, sont gros de tant de conflits, petits et grands, qu’on doutera toujours des motivations de leurs concepteurs. La sottise et l’ignorance expliquent-elles seules l’abjection profonde de ces traités ou, chez ces hommes manipulés en coulisses par des conseillers intimement liés aux industriels et aux financiers, a-t-il existé la volonté sournoise et cynique de préparer une prochaine guerre, si utile au Big Business ?

    Dans l’immédiat après-guerre, et dans chaque pays belligérant ou nouveau-né, débutent un chômage massif, la croissance accélérée de la Dette publique et la course-poursuite des salaires et des prix, puis la valse des dévaluations monétaires. Les valeurs morales sont ridiculisées par les théoriciens de l’amour libre et de la subversion, par les canailleries des affairistes et par les revendications permanentes. La quête du beau disparait des motivations du milieu de l’art. Il devient de bon ton de tourner en dérision les notions d’honneur, de travail, de famille et de patrie.

    La Grande Guerre accumula morts, ruines et déréliction, mais elle accoucha aussi d’un demi-siècle d’explosions techniques et de grandes expériences politiques. C’est l’histoire de cette mutation qu’on a voulu exposer de façon aussi complète que possible et d’une manière résolument non conventionnelle. "

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  • L’indispensable radicalisation de la Nation française ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue (radical !) de Bernard Plouvier, cueilli sur EuroLibertés et consacré à la nécessité vitale pour pour les Français et les européens de redresser la tête. Médecin, Bernard Plouvier est l'auteur de plusieurs essais et d'études historiques, comme Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012) ou Le dérangement du monde (Dualpha, 2016).

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    L’indispensable radicalisation de la Nation française

    On ne cesse de nous parler d’islamistes « radicalisés », alors qu’ils ne sont que des fanatiques prêts à tuer n’importe qui dans le cadre de leur Djihâd moyenâgeux et oriental. Une fois encore, les fabricants d’opinion publique jouent sur les mots (en termes nobles : ils usent et abusent des confusions sémantiques) pour tromper les nations européennes.

    Le terme « radical » implique le refus de transiger avec ses principes d’ordre éthique et les nôtres sont simples et démocratiques : travail, famille, patrie européenne, égalité de tous devant la Loi, strict respect des libertés d’opinion et d’expression, laïcité de l’État (ce qui implique de combattre tout fanatisme religieux), enfin respect de la logique géographique – ce qui signifie que pour devenir membre de la Nation française, il faut, par définition, appartenir à la race européenne.

    Toute mixité raciale ne peut que créer une société multiraciste. De même, les cultures exotiques ne sont que des curiosités pour esthètes, à la façon des pièces de musée ethnographique. L’Europe est riche de sa race civilisatrice et d’une culture plurimillénaire ; elle n’a nullement besoin d’importer du fatras exotique, sauf à titre de curiosités (comme l’on disait au XVIIIe siècle).

    Les partisans des sociétés multiraciales et multiculturelles peuvent s’expatrier là où l’on aime le genre pot-pourri, par exemple dans les Amériques. Mais nous autres, Européens, n’avons pas à subir les effets pervers d’un afflux monstrueux – par le nombre, la brutalité et l’insociabilité – d’immigrés inadaptés à nos conditions de vie, parce qu’étant issus de pays sous-développés, aux mentalités opposées à la véritable modernité.

    La vie moderne est faite d’un travail où l’intelligence et l’adaptation ont remplacé la force physique, nettement moins efficace et contrôlable que l’énergie matérielle. Elle est faite aussi de respect absolu de la vie privée, des sentiments d’autrui, de la liberté de penser et de s’exprimer pour tout citoyen honnête. La vie publique moderne est donc laïque, le phénomène religieux étant d’ordre strictement privé.

    Notre conception de la vie est en tout point opposée au fanatisme mahométan. Dans la société islamique, totalitaire comme toute société à dogme unique – qu’il soit de nature religieuse ou politique ne fait rien à l’affaire –, le moindre crétin fanatique peut dénoncer son « frère » en Allah, comme autrefois le communiste dénonçait au Parti ou à la police politique le « camarade déviant » ou « l’ennemi de classe ».

    Envahies, appauvries, meurtries, les nations européennes doivent contre-attaquer. Le milieu politico-médiatique étant, sinon entièrement pourri, du moins assez faisandé et largement pénétré par la propagande globalo-mondialiste, métisseuse de races et de cultures, les Nations ne peuvent espérer de salut que par le populisme.

    Un mouvement populiste efficace doit diffuser quotidiennement sur les réseaux sociaux un bilan des pillages, incendies, scènes de vandalisme, rackets et viols perpétrés par la racaille (autochtone et immigrée), de façon à ce que même le bobo le plus larvaire comprenne, grâce aux images et au discours, simple et véridique, que notre pays est délabré par l’effet d’un mauvais usage de l’argent public, dévasté de façon pluri-hebdomadaire par des individus hautement indésirables et que des citoyens français y sont molestés de façon pluriquotidienne.

    L’on n’a pas besoin du discours néolibéral des mollassons du « Front National nouvelle vague ». L’on a besoin d’images du désastre français et de l’invasion exotique. L’on a besoin d’un avatar de Jean-Marie Le Pen, jeune et charismatique, qui ne dise pas de sottise par goût immodéré de la provocation : les faits réels sont suffisamment graves pour qu’on n’y adjoigne pas de polémique stupide sur le passé. Seuls comptent le présent et l’avenir.

    Il est absurde de discuter de problèmes économiques, financiers, sociaux, etc. tant que l’on n’a pas défini une attitude générale de défense vigoureuse – ce qui implique une action dure – de nos valeurs et tant que l’on n’a pas pris la ferme décision de rejeter l’envahisseur inassimilable.

    La globalisation de l’économie fait de l’Europe (à l’exception de l’Allemagne, pour l’instant) un désert industriel. C’est le seul problème économique et social à régler d’urgence… alors que les démagogues parlent de réduire la quantité de travail à fournir par ceux qui ont (encore) un emploi !

    L’ouverture des frontières aux êtres et aux biens, fondement de la société globalo-mondialiste, fait de l’Europe un caravansérail pour inadaptés, tout en créant les conditions optimales pour une fin de civilisation.

    L’Europe ne sera de nouveau forte que lorsqu’elle ne contiendra que des Européens de souche et n’englobera que des terres européennes. Les territoires extra-européens doivent être abandonnés, sauf s’ils sont peuplés quasi-exclusivement d’Européens (tels le Groenland et les îles Saint-Pierre-et-Miquelon, qui appartiennent à la plaque tectonique nord-américaine). Les DOM-TOM ne font en aucun cas partie intégrante de la France : la décolonisation doit être complétée, tant pis pour les nostalgiques du XIXe siècle conquérant.

    A contrario, il faut organiser sans faiblesse le retour intégral en leurs terres d’origine des Extra-Européens. La preuve est faite, et largement, du caractère inassimilable des populations exotiques demeurées primitives, même si les rares élites d’origine extra-européenne s’assimilent assez aisément… mais que font ces personnes en Occident ? Leur devoir, envers leur race et leur continent, est de retourner dans leurs contrées d’origine pour les civiliser.

    Pour défendre nos valeurs, nous devons radicaliser notre discours, mais surtout nos actes. La seule radicalisation efficace, c’est d’organiser des manifestations de grande ampleur, soit témoigner de notre force. Les arguments logiques sont manifestement inopérants auprès des pantins qui se sont hissés aux apparences du Pouvoir pour servir des maîtres non-européens. La preuve est faite que l’expression de la volonté populaire est biaisée par le matraquage médiatique au service du pouvoir économique, ce qui revient à dire : la Finance.

    Le discours populiste n’est en aucun cas suffisant. Un mouvement populiste doit être orienté vers un militantisme politique pour reconquérir les rues et les places publiques, de façon à permettre la libre expression de tous – et plus seulement celle des pseudo-gauchistes, nervis de la finance cosmopolite, et des forts en gueule exotiques – et pour assurer la libre déambulation, ce qui implique d’aider les forces de l’ordre, totalement dépassées, à lutter contre les bandes de sauvages qui pillent, violent, incendient, rackettent, molestent.

    L’organisation de milices non-armées d’autodéfense, constituées de deux ou trois dizaines d’hommes rompus aux sports de combat, est la seule véritable démarche citoyenne, dans le contexte de la France urbaine actuelle.

    L’époque du bobo consommateur béat, tiers-mondiste et féministe, est révolue – aux USA comme en Europe, d’ailleurs, mais la décrépitude de la classe moyenne d’Outre-Atlantique est dépourvue d’intérêt pour les Européens, qui n’ont pires ennemis que les financiers installés en Amérique du Nord qui façonnent l’opinion mondialiste.

    Finies les années de jouissance molle et de bêtise crasse. Commencent les années rudes de la guerre des races et des religions en notre Europe. Ou nous nous battrons, ou nos descendants seront esclaves… comme les Européens de l’Est le furent des Mongols, puis des assassins marxistes.

    L’avenir de notre continent dépend de notre action.

    Bernard Plouvier (EuroLibertés, 21 avril 2018)

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  • L’Homme de cour et le Chevalier...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Plouvier, cueilli sur Metamag et consacré à l'éternel antagonisme entre l'homme de cour et le chevalier... Médecin, Bernard Plouvier est l'auteur de plusieurs essais et d'études historiques, comme Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012) ou Le dérangement du monde (Dualpha, 2016).

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    L’Homme de cour et le Chevalier

    « Tous les hommes sont idolâtres, les uns de l’honneur,
    les autres de l’intérêt, la plupart de leur plaisir »
    Balthazar Gracian.

    2017 fut l’année de la macronisation, non pas seulement des médias, mais aussi des fantasmes de jeunes hommes et de jeunes femmes entrés depuis peu dans la vie active, fascinés, ébahis, époustouflés par la carrière de notre jeune président qui parvient, mois après mois, à occuper le devant de la scène, sans jamais se renouveler.

    Il peut paraître amusant de réfléchir au clinquant et à l’éphémère, opposés à l’innovation et au durable… si l’on préfère : se pencher sur l’universel antagonisme du démagogue et de l’homme d’État. Le premier s’occupe de lui-même, de son image, de sa fortune, de sa gloire. Le second cherche à résoudre une crise de civilisation ou à entraîner une Nation ou un groupe de Nations dans une grande aventure.
    Soyons honnêtes : le démagogue n’est dangereux que pour les finances d’un État. L’autre peut faire la grandeur d’une Nation, mais peut aussi la mener au désastre.

    Il est évident à qui étudie l’histoire ou pour n’importe quel éthologue, que l’ensemble des sociétés animales, dont l’humaine n’est que la plus élaborée, est régie par des principes féodaux. Au sommet, règne un maître unique dans les sociétés durables et bien organisées. A contrario, toute association dominée par un groupe d’individus égaux en puissance s’écroule rapidement.

    Mais, dans les deux cas, le ou les maîtres commande(nt) une ou plusieurs structures pyramidales, où œuvrent, s’agitent et intriguent les ducs, dotés d’une certaine autonomie de décision administrative (civile, militaire ou religieuse), dirigeant des barons, spécialisés dans un domaine, avec au-dessous d’eux des chefs d’équipe et ainsi de suite jusqu’au plus humble emploi, jusqu’à la plus triviale fonction… et le minus habens a encore la possibilité de faire sentir sa puissance à son conjoint, à ses enfants, voire à son chien.

    La féodalité étant la règle de toutes les époques et de l’ensemble du règne animal, il peut paraître intéressant de différencier les deux types extrêmes de comportement entre lesquels évoluent la totalité des humains. Étant bien entendu, que toujours et partout, l’humanité moyenne virevolte entre les deux options opposées : celui qui se plie aux effets de mode et vénère le titulaire de la Potestas (la puissance), pour faire carrière ou pour participer à une éventuelle curée, & celui dont l’honneur est de servir une noble cause, sans jamais se renier. Et c’est là que commencent les ennuis pour tout le monde. Les bonnes questions sont, toujours et partout, de savoir ce que cachent les grands mots et de déterminer ce qu’est le devoir.

    Certes, il n’est pas trente-six façons d’être honnête et de conserver son honneur : de ce côté-là les choses sont simples. Mais le devoir s’oppose parfois à ces deux notions fondamentales, d’où de très gros conflits entre le sens du devoir et la conscience éthique, chez l’individu, homme ou femme – le sexe ne faisant rien à l’affaire – que l’on peut qualifier de preux. L’enthousiasme du chevalier engagé dans une grande aventure, collective ou individuelle, peut l’amener à faire ce à quoi son éthique personnelle s’opposerait dans la vie privée. Pour la cause (politique, religieuse, scientifique), certains sont prêts à sacrifier les impératifs de leur surconscience, d’autres s’y refusent.

    En revanche, l’homme de cour fera siens les mensonges petits et gros, fera siennes les confusions sémantiques à propos de certains mots, trop souvent prostitués, comme ceux de Liberté, d’Égalité, de Démocratie, de Droit(s), de Solidarité, voire de Fraternité, aux acceptions extensibles selon l’intérêt des beaux parleurs… et il faut reconnaître que, via l’économie globale et la mondialisation de la vie culturelle, nous vivons une époque privilégiée dans les registres de la duperie et du trucage.

    L’opposition entre l’homme de cour ou d’appareil et le chevalier est de toutes les époques et de toutes les races. Chacun est libre de suivre ou non son programme génétique qui le prédestine à être un ambitieux ou un idéaliste, c’est affaire de libre-arbitre (le choix) et de transcendance (la critique morale du choix).

    Tous les hellénistes connaissent le vers d’Eschyle : « Quel mortel reste juste s’il ne craint rien ? » (tiré des Euménides et trop souvent cité hors contexte). L’homme, la femme (ou l’individu bizarre & indéfinissable) de cour craignent le renvoi, soit la mise à l’écart des sources de l’argent facilement gagné, de la participation au pouvoir sur autrui et de la notoriété. L’esprit religieux est (en principe) maintenu dans un chemin pas trop tortueux par la peur de l’enfer et l’espoir d’un paradis. Le chevalier n’a qu’une crainte : celle de déchoir à ses yeux et à ceux des êtres qu’il aime.
    Que l’on soit chef ou suiveur, à quel que rang que ce soit, le dilemme reste le même : plier par opportunisme ou demeurer jusqu’au bout un être de devoir et de conviction. Il est plus aisé – c’est ce que la majorité des humains a compris depuis la nuit des temps -, de s’adapter à son époque, soit hurler tantôt avec les loups, tantôt avec les brebis, pour le plus grand bénéfice ou du chef de meute ou du berger.

    Comme rien n’est simple dans ce sujet, on laissera le lecteur libre de choisir celle des phrases antagonistes contenues dans le livre bien connu du jésuite (!) Balthazar Gracian (Maximes – L’homme de cour), publié en 1647, ce qui prouve que de longue date l’on s’interroge sur ces notions : « Une heureuse fin couronne le tout, même si l’on a usé de faux moyens pour y arriver » versus : « Tout ce qui est bon ne triomphe pas obligatoirement ».

    Pour l’heure, triomphent plus que jamais le monde des apparences et la richesse divinisée.

    Bernard Plouvier (Metamag, 12 janvier 2018)

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  • Les snipers de la semaine... (156)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Vu du droit, Florence Rault dézingue le féminisme androphobe...

    Le féminisme guerrier ou le triomphe de la pensée magique

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    - sur Metamag, Bernard Plouvier allume Emmanuel Macron déguisé en pourfendeur des fake news...

    Super-Macron et les fausses nouvelles

    Super-Macron.jpg

     

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