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Métapo infos - Page 1394

  • Les snipers de la semaine... (61)

    Le vent se lève.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Idiocratie, des Idiots dézinguent Hollande et sa petite boîte à outils...

    Super Mariollande

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    - sur Scriptoblog, Maurice Gendre mitraille le système en pleine déliquescence...

    Affaire Cahuzac : symbole de la putréfaction du système

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  • Sommes-nous devenus américains ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 5 avril 2013,  dans laquelle il nous livre son point de vue sur l'affaire Cahuzac...

     


    "La Chronique d'Eric Zemmour" : sommes-nous... par rtl-fr

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  • Quand la justice crée l'insécurité...

    Les éditions Fayard publient la semaine prochaine Quand la justice crée l'insécurité, un essai de Xavier Bébin. Juriste, criminologue et secrétaire général de l’Institut pour la Justice, Xavier Bébin est l’auteur de Pourquoi punir (L'Harmattan, 2006).

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    " Des jeunes essaient de tuer des policiers à coups de marteau et sortent libres du tribunal. Des violeurs en série sont libérés sans précaution et récidivent dans la foulée. Des multirécidivistes accumulent les sanctions symboliques avec un sentiment d’impunité. Des victimes terrorisées doivent déménager à la suite de jugements qui autorisent leur agresseur à revenir vivre à proximité. Face à un ministère de la Justice qui ne croit plus à l’utilité de la prison, ce livre choc démonte les illusions d’une pensée dominante qui s’évertue à nier la réalité des faits et des chiffres. Quand l'insécurité éclate, la question n'est plus : « Que fait la police ? », mais ; « Que fait la justice ? » Grâce à un travail en profondeur avec tous les acteurs concernés (juges, avocats, psychiatres, policiers, victimes, responsables politiques) et à une riche documentation, Xavier Bébin nous livre ici un texte vif et courageux qui analyse les dérives de notre Justice et propose des solutions concrètes pour un système pénal crédible et efficace. "

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  • Américains et Européens : deux mondes séparés ?...

    Nous reproduisons ci-dessous l'éditorial de Dominique Venner, tiré du dernier numéro paru de La Nouvelle revue d'histoire (n°65, mars-avril 2013) et consacré à la différence de vision du monde entre les Européens et les Américains.

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    Américains et Européens : deux mondes séparés

    Longtemps, le regard des Européens sur les États-Unis a dépendu de la guerre froide (1947-1975), de l’occupation soviétique d’une moitié de l’Europe et des menaces très réelles planant sur l’autre moitié. Durant une bonne partie de cette période, les Etats-Unis ont été perçus comme le rempart de notre liberté face à une Armée rouge surpuissante. Ces années-là ont enfanté plusieurs mythes reposant sur une réalité biaisée, le mythe du « monde libre » face au communisme, celui encore d’un « Occident » qui n’était plus celui de Spengler, et qui se confondait avec la puissance américaine.

    Tout en étant fort conscient des menaces de guerre dans les années 1950, le général de Gaulle commença de donner quelques coups de canif dans l’américanophilie de la France non communiste. Mais c’est le soudain basculement du monde après 1990 et la volatilisation de l’URSS, puis l’affirmation de l’hégémonie américaine, qui ont changé notre regard sur les Etats-Unis. Ils apparurent alors pour ce qu’ils étaient, un impérialisme idéologique, politique, militaire et financier qui s’était construit sur le rejet fondamental de l’Europe. Une Europe déjà célébrée comme une entité spécifique par Voltaire en 1751 dans son introduction au Siècle de Louis XIV(1).

    La réélection récente du président Barack Obama est venue nous rappeler que les États-Unis, ce mystère, pèsent sur notre destin d’Européens, depuis que, par notre faute, nous sommes devenus dépendants  soumis et modelés. Cette puissance étrange est issue de nous comme un bâtard enrichi et renégat. Un immense paradoxe historique a voulu que les États-Unis aient été à la fois le prolongement de l’Europe et sa négation. Une partie (pas tous) des premiers immigrants du XVIIe siècle, victimes de persécutions religieuses, fuyaient l’Europe et s’en détournaient. Ce sont eux, à la fin du XIXe siècle, après la guerre de Sécession, qui ont fini par imposer aux autres leur “vision du monde”. À cette époque, de nouvelles vagues d’immigrants fuyaient également l’Europe : Juifs victimes des pogroms russes, catholiques irlandais, anarchistes allemands et miséreux de tout le continent qui répondaient aux promesses du nouveau monde.

    « Tout Américain est un orphelin », proclamait l’écrivain John Barth. Un orphelin volontaire aurait-il dû préciser, c’est-à-dire un parricide. La plupart des Américains se voient comme le produit d’une rupture avec le passé européen, libres de mener la quête du bonheur matériel qui est, selon la Déclaration de 1776, l’un des droits naturels de l’homme. Cette quête de bonheur au sens matérialiste du mot, par le confort et les dollars, a suscité les sarcasmes de nombreux Européens, comme Stendhal ou Kipling. Mais cette idée du bonheur faisait partie du bagage des Lumières, donc d’une part de la culture européenne. L’Amérique est également redevable à l’Angleterre de sa langue, bien sûr, mais aussi de l’importance sociale attribuée au contrat, aux libertés et à l’équilibre des pouvoirs, en un mot des fondements de son modèle politique et économique. On voit donc que la prétention américaine à refuser le legs de l’Europe est excessive. Pourtant, la rupture est indiscutable.

    Cette rupture s’est faite dès l’origine. Les fondateurs des colonies de la Nouvelle Angleterre étaient des puritains extrémistes fuyant l’Europe, Bible en main. La rupture a été favorisée par la longue traversée de l’Atlantique, assimilée par les puritains du Mayflower à celle de la mer Rouge par les Hébreux fuyant l’Egypte avant d’aborder la Terre promise. Dans leur identification au peuple de la Bible, les Pères Pèlerins et leurs successeurs étaient persuadés que l’Amérique était la nouvelle Terre promise, un espace vide et riche, offert par Dieu à ses enfants préférés. Ils revendiquaient à leur profit la prétention hébraïque d’être les « élus » choisis par Dieu.

    Les premiers arrivants s’émerveillèrent de ce monde vide qui s’offrait à eux telle une page blanche. Monde vide, la formule est un peu rapide. Elle fait peu de cas des Indiens qui occupaient, de façon éparse le territoire, et qui furent génocidés sans complexe. Les Français et les Espagnols, ces autres Européens qui prétendaient à l’héritage commun, furent également évincés à la suite de guerres acharnées. En 1853, le territoire des États-Unis était définitivement constitué. Hors l’Alaska et Hawaii, ses limites ne changeront plus. Vastes espaces, fécondité des sols dans les Grandes Plaines, richesse en matières premières. Un Eldorado !

    Cet espace immense, vierge et riche répondait aux attentes de ceux qui voulaient fonder un monde nouveau échappant aux perversions supposées de la vieille Europe. L’espace apparemment vierge de l’Amérique était le paradis de l’innocence que le péché n’avait pas contaminé. Il portait la marque simplificatrice du Dieu biblique. On était donc à l’opposé de l’esprit de conquête et d’aventure des colonisateurs grecs et romains de l’Antiquité ou même des colonisateurs européens de l’époque moderne qui assumaient leur héritage. Cette différence décisive, avec toutes ses conséquences anthropologiques, pèse aujourd’hui sur nous.

    Dominique Venner (La Nouvelle revue d'histoire n°65, mars-avril 2013)


    Note :

    1 J’ai cité les propos de Voltaire à la première page de mon livre Le Siècle de 1914 (Pygmalion, 2006).

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  • Alain de Benoist et Jean-Michel Vernochet au Libre journal des lycéens...

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    Sur Radio Courtoisie, le prochain Libre Journal des lycéens dirigé cette semaine par Pascal Lassalle sera diffusé le samedi 6 avril à 12 heures.
    Invités : Jean-Michel Vernochet , autour de son livre Iran - La destruction nécessaire (Xénia, 2012), et Alain de Benoist, qui vient de publier Edouard Berth ou le socialisme héroïque aux éditions Pardès.


    Pour écouter Radio Courtoisie :
    Paris 95,6 MHz   Caen 100,6 MHz   Chartres 104,5 MHz
    Cherbourg 87,8 MHz   Le Havre 101,1 MHz   Le Mans 98,8 MHz ;
    Pour toute la France, en clair, sur les bouquets satellite Canalsat (canal 179 ou 496) et TNTSAT
    pour le monde entier sur www.radiocourtoisie.fr.
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  • Médias : la grande illusion...

    Les éditions Jean-Claude Gawsewitch publient cette semaine Médias : la grande illusion, un essai de Jean-Jacques Cros. Longtemps journaliste politique sur France 3, Jean-Jacques Cros a récemment pris sa retraite et révèle le dessous des cartes dans les médias...

     

     

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    " Comment les médias vous trompent ! Les médias ne montrent pas la réalité. Ils donnent juste l’illusion d’être informés. Si ce décalage entre la réalité vécue et la réalité montrée peut s’expliquer par les habitudes, pressions et contraintes que subissent les médias, il accentue la méfiance des Français à l’encontre de ceux qui sont censés les informer. Et pourtant, les journalistes, eux, estiment qu’ils font leur travail ! Alors, pourquoi ce divorce ? Dans cet ouvrage « coup de gueule », écrit par un journaliste, grand reporter à France Télévision, sont mis en accusation les pouvoirs de l’Etat et des propriétaires mais aussi les dictatures de la publicité et du marketing. L’auteur dénonce également les mœurs d’une profession malaimée et démontre le conformisme affligeant dans le choix de l’information diffusée. Décryptant notamment les conséquences sur le pluralisme et l’information de la réforme de France Télévision prévue pour janvier 2013, le résultat de la marchandisation croissante des sources d’information ou encore les effets de « l’info-spectacle », l’auteur montre combien l’effet manipulatoire des médias, inévitable, peut représenter un risque pour notre société. Afin de devenir des « consommateurs de médias » alertes et responsables, les citoyens doivent donc décoder ce que les médias donnent à voir. Les médias ne sont pas une fenêtre sur le monde, mais seulement le monde vu au travers d’une lucarne. "

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