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  • Malaise dans la science...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier dans leur collection Krisis un essai de Denis Collin intitulé Malaise dans la science. Agrégé de philosophie et docteur ès lettres, Denis Collin est l’auteur de nombreux ouvrages consacrés à la philosophie, à la morale et à la pensée politique, dont Introduction à la pensée de Marx (Seuil, 2018) et Après la gauche (Perspective libres, 2018).

     

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    " « Qui aurait pu imaginer qu’on se donnerait un jour l’objectif de changer radicalement la nature de l’homme, qu’autrefois on se contentait de vouloir éduquer ? » Si la crise du Covid a bien montré quelque chose, c’est la soumission généralisée de l’homme au règne de l’appareil de la médecine. Certes la révolution scientifique a contribué à améliorer la qualité de la vie, mais elle s’est  d’autant plus érigée en « nouvelle religion ». Cela a aussi donné naissance au mythe de l’homme remplaçable et permis de trouver de nouvelles voies pour l’accumulation du capital.

    Dans cet essai enlevé, Denis Collin s’attaque à ce nouveau dogmatisme imposé par une partie des scientifiques pour domestiquer l’homme moderne et apporte une réflexion déterminante sur la place de cette science déshumanisante ainsi que sur ses limites. Au vu de ces « progrès », comment ne pas nourrir des regrets ? "

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  • HP Lovecraft, rêveries contre le monde moderne...

    Nous reproduisons ci-dessous un article cueilli sur le site de la revue Rébellion et consacré à l’œuvre de H. P. Lovecraft, notamment sous l'angle de son pessimisme face à une modernité jugée profondément décadente.

    Voilà qui devrait donner envie de se (re)plonger dans l'univers inquiétant de l'auteur alors que la première publication intégrale  de son œuvre de fiction débute aux éditions Mnémos en janvier 2022, dans une nouvelle traduction unifiée, complétée par un appareil critique conséquent, établi avec le concours des meilleurs spécialistes du maître de Providence. Cette intégrale comportera également un tome avec une sélection de lettres.

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    HP Lovecraft, rêveries contre le monde moderne

    « Ce qui est, à mon sens, pure miséricorde en ce monde, c’est l’incapacité de l’esprit humain à mettre en corrélation ce qu’il renferme. Nous vivons sur une île de placide ignorance, au sein des noirs océans de l’infini, et nous n’avons pas été destinés à de longs voyages. Les sciences, dont chacune tend dans une direction particulière, ne nous ont pas fait trop de mal jusqu’à présent ; mais un jour viendra où la synthèse de ces connaissances dissociées nous ouvrira des perspectives terrifiantes sur la réalité et la place effroyable que nous y occupons : alors cette révélation nous rendra fous, à moins que nous ne fuyions dans cette clarté funeste pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d’un nouvel âge des ténèbres. »

    Cette citation quasi prophétique tirée de « L’Appel de Cthulhu » est un avertissement. Un avertissement d’actualité à un moment de l’Histoire où l’humanité fait face à une fuite en avant techniciste qui tend à repousser ses propres limites : recherches sur le génome humain, clonage, organismes génétiquement modifiés ou doctrines transhumantes (théorie de la confusion des genres) sont autant de menaces qui contrairement au « panthéon occulte » créé par l’auteur, sont belles et bien réelles.

    Panthéon occulte

    Ce « Panthéon occulte » est l’un des piliers majeurs, si ce n’est le pilier majeur de l’œuvre de Lovecraft. Reflet d’une civilisation a priori archaïque demeurant au-delà du temps, Il est une boîte de Pandore qui une fois ouverte engendrera des conséquences le plus souvent funestes. Nyarlathotep, Yog-Sothoth, Azathoth, Dagon et Cthulhu, autant d’entités, de Dieux vénérés par des cultes remontant à des temps immémoriaux ayant su demeurer dans le secret. Une constante des œuvres de l’auteur est la rupture de ce secret, le héros principal et/ou les protagonistes de l’histoire vont entrevoir ou être témoins d’évènements bizarres, à la limite du surnaturel qui vont bien entendu éveiller leur curiosité. Et c’est bel et bien cette faculté qui va causer la perte du héros principal, voire de l’humanité toute entière : « Il y a des horreurs, aux frontières de la vie, que nous ne soupçonnons pas, et de temps à autre, la funeste curiosité d’un homme les met à portée de nous nuit ». La curiosité va donc être l’un des facteurs déterminant de l’histoire car elle va faire basculer un destin dans l’horreur comme pour Françis Weyland Thurston, héros principal de « L’Appel du Cthulhu » et anthropologue, qui va reprendre l’enquête effectuée par son grand-oncle décédé, après avoir découvert un bas-relief représentant une créature hideuse accompagnée de hiéroglyphes inconnus.

    Lovecraft est célèbre pour avoir su créer un univers qui lui est propre : les créatures et les Dieux mentionnés plus haut sont les exemples les plus représentatifs. Mais citons également des lieux importants, comme la répugnante Innsmouth, une ville qui cache un terrible secret ou bien encore Arkham et son université la Miskatonic University. On retrouve également, et ce dans l’œuvre globale de l’auteur, un corpus de livres maudits. « Le Cultes des Goules », « Pnakotiques », « L’Unaussprechtlichen Kulten » ou le fameux « Necronomicon », des livres avec une histoire qui est propre à chacun d’entre eux, et parfois des détails fournis quant à leurs auteurs. Si bien que nombre de débats eurent lieu quant à l’existence de ces livres ! C’est notamment le cas pour le « Necronomicon », un livre emblématique de ce que certains nomment le « mythe de Cthulhu » et qui est très souvent mentionné dans les nouvelles de Lovecraft mais également au-delà (on le retrouve par exemple dans le film « Evil Dead »). Les nouvelles de Lovecraft obéissent donc à un schéma bien particulier qui demeure le plus souvent inchangé, le tout ancré dans un véritable paradigme qui plonge le lecteur dans cet univers qui a rendu son auteur célèbre. Le fond comme la forme sont indissociables et unis dans l’horreur grâce d’une part à l’univers développé ainsi qu’au cheminement de l’histoire, véritable descente en enfer qui se solde presque toujours par la folie ou la mort…

    Une humanité dépassée

    L’image de Lovecraft est en général celle d’un homme replié sur lui-même. Certes c’est un auteur tourmenté mais néanmoins, quand on s’y penche d’un peu plus près, on se rend compte que l’homme en question est bien plus ouvert au monde qu’il n’y paraît. On sait maintenant que Lovecraft était intéressé par les sciences et notamment l’astronomie. Cet aspect de sa personnalité est présent à travers toute son œuvre, cependant il est bien plus que ça. En effet, son œuvre reflète la réalité d’une époque, à savoir un dualisme d’une part entre la Science, qui monte en puissance grâce à de nombreuses avancées (découverte du quantum d’énergie par Max Planck en 1900, théorie de la relativité d’Albert Einstein en 1905, ou encore la découverte de galaxie en dehors de la nôtre par Edwin Hubble en 1924), et de l’autre un pôle conservateur à forte influence religieuse.

    Dans ses histoires, il n’est pas rare que les protagonistes adoptent une démarche scientifique pour élucider les mystères auxquels ils ont confrontés même si elle ne permet pas toujours de comprendre le pourquoi du comment (comme dans « Les couleurs tombées du ciel). Au-delà des considérations sociétales de ce dualisme, la Science a un autre impact dans l’œuvre de H.P Lovecraft, non pas en tant que sujet direct mais plutôt comme le point de départ d’une idée capitale dans l’esprit de l’auteur : l’Homme, au faîte des avancées techniques et scientifiques, notamment dans le domaine de l’astronomie et de l’univers, n’est rien. Ainsi H.P Lovecraft balaye d’un revers de main l’ethnocentrisme absolutiste hérité en grande partie de la philosophie des Lumières, non pas pour imposer un dieu connu des hommes (excepté quelques initiés) ou un dieu bienfaiteur, mais ce « panthéon occulte » qui paraît être une menace pour l’Humanité.

    Nous autres humains que sommes-nous face à des créatures, des dieux qui existent par-delà l’abîme du temps ? Malgré les progrès techniques et scientifiques il semblerait, à en croire Lovecraft, que la réponse est : « rien ». Ce pessimisme quant à notre avenir, l’auteur le doit peut-être à l’influence d’un des pontes de la Révolution Conservatrice Allemande, à savoir Oswald Spengler.

    Comme en témoigne une correspondance avec Clark Ashton Smith datant de 1927 : « C’est ma conviction et se l’était déjà bien avant que Spengler appose le sceau de la preuve académique sur ce point, que notre ère mécanique et industrielle est une ère tout à fait décadente ». La décadence selon Lovecraft s’applique également à l’individu via le prisme de la dégénérescence raciale et ethnique. L’auteur est en effet connu pour son racisme et son antisémitisme et il est indéniable que cet aspect suinte littéralement à travers son œuvre : « Tous les prisonniers avaient démontré leur appartenance à une espèce bâtarde, vile, et mentalement aberrante. Ils étaient pour la plupart marin, une aspersion de nègres et de mulâtres en provenance des Caraïbes ou du Cap-Vert qui offrait une teinte vaudou au culte. Cependant, avant que bien des questions ne soient posées, il devient apparent qu’il y avait quelque chose de plus profond et plus vieux que du fétichisme nègre. Aussi avilie et ignorantes qu’elles étaient, ces créatures s’accrochaient avec une ténacité surprenante à l’idée centrale de leur foi répugnante » (L’Appel de Cthulhu »). De nos jours, une telle description même dans un contexte purement fictif, vaudrait à l’auteur une visite à la 17ème chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris ! Ce dégoût du métissage va plus loin par moment en allant de pair avec un atavisme surnaturel et effrayant comme dans « Le cauchemar d’Innsmouth » ou « La peur qui rôde ».

    Enfin, l’un des aspects les plus intéressants de Lovecraft réside dans un affrontement global entre le monde civilisé moderne adepte des méthodes scientifiques et rationalistes, et un ennemi faussement archaïque. Point d’armes avancées tels des pistolets lasers pour annihiler l’espèce humaine (ce qui d’emblée ne caractérise pas l’œuvre de l’auteur dans le domaine de la science-fiction), l’existence même de ces créatures, le fait qu’elles n’ont rien de connu pour l’Homme ainsi que leur déconcertante puissance (magique ? scientifique ?) sont suffisantes pour avoir le dessus sur une humanité dépassée…

    L’horreur qui sommeille au-delà

    Au vu des diverses caractéristiques fondamentales de l’œuvre de Lovecraft, on peut se poser la question de savoir si ce dernier n’est, en fin de compte, qu’un réactionnaire typique de son temps. Le rejet des principes de la philosophie des Lumières, son aversion du métissage et sa position ambigüe envers la modernité laisseraient à penser que oui. Cependant, il faut prendre en compte le pessimisme, la misanthropie et la vie de l’auteur, déclassé social dans une Amérique en pleine mutation. Son rapport à la science reste l’une des clefs de compréhension de son œuvre, une véritable relation amour/haine, une tension capitale qui fait office de clef de voûte. Quel regard aurait-il au sein de l’Amérique d’aujourd’hui, QG de la finance hors sol et société fracturée entre le pire du libéral libertaire (cf. Miley Cyrus) et la bigoterie fanatique de certains ? Tout comme dieu fut tué par l’homme, selon le célèbre philosophe au marteau, H.P Lovecraft souhaiterait peut-être que l’horreur qui sommeille au-delà du temps au fin fond de R’lyeh l’engloutie, sorte de son état de dormition pour mettre un terme à cet âge de ténèbres bien trop humain…

    (Site de la revue Rébellion, 10 décembre 2021)

     

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  • Les différences génétiques entre les populations humaines...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le nouveau numéro des Dessous de la Science, l'émission de réinformation scientifique de TV Libertés présentée par Nicolas Faure et Floriane Jeannin. A côté d'une sélection commentée d'informations, vous découvrirez un dossier consacré à la question des différences génétiques entre les populations humaines.

     

                                                

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  • Nucléaire, éolien, solaire : dangers et espoirs...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous  Les Dessous de la Science, la nouvelle émission de TV Libertés consacrée aux sciences et techniques et présentée par Nicolas Faure et Floriane Jeannin. A côté de la sélection commentée des principales informations scientifiques du mois et de la rubrique "Controverse", le dossier de ce premier numéro est consacré aux avantages et inconvénients des énergies nucléaire, éolienne et solaire. A découvrir !

     

                                         

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  • Greta divina ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un texte de François Bernard Huyghe, cueilli sur son site Huyghe.fr et consacré aux ressorts du succès de l'opération "Greta Thunberg" ... Spécialiste de la stratégie et de la guerre de l'information, François-Bernard Huyghe enseigne à la Sorbonne et est l'auteur de nombreux essais sur le sujet, dont, récemment, La désinformation - Les armes du faux (Armand Colin, 2015) et Fake news - La grande peur (VA Press, 2018). Avec Xavier Desmaison et Damien Liccia, François-Bernard Huyghe vient de publier Dans la tête des Gilets jaunes (VA Press, 2019).

     

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    Greta divina ?

    Traversant l’Atlantique dans un voilier à 4 millions de dollars, comme elle surfe sur l’opinion de millions de jeunes, Greta Thunberg arrive à New York. Triomphe, directs et extase mystique garantis : l’enfant sauveur fend des flots pour annoncer la perte ou le salut. Montage des médias, diront certains : une gamine bien coachée, avec une bouille ronde de poupée et des yeux qui transpercent, c’est une cliente idéale. Unique, saine et cathodique.

    Certes, mais derrière le spectacle, il y a un rapport subtil entre le message et la messagère.
    Le message est assez binaire : la richesse ou la nature, arrêter ou mourir, vivre raisonnablement ou périr apocalyptiquement. L’urgence ou la fin.

    Pour le rendre persuasif, Greta virgo sancta cumule de nombreux atouts
    Le premier est de parler au nom de la Science (autiste, désintéressée de presque tout, elle a eu le temps de lire des milliers de pages, nous pas). Elle retourne habilement l’argument : les autistes, c’est vous qui refusez de voir l’imminence du désastre, de lire ce qui est affirmé et vous détournez des tables de la loi scientifique. Je parle au nom du principe de réalité. Irréfutable.
    Greta gloriosa joue aussi de son statut. Enfant ? n’est-ce pas la preuve que seuls les cœurs purs voient la vérité ? Handicapée ? Vous ne seriez pas un petit peu phobe ? Quel mépris !
    Je ne vais plus à l’école ? A-t-on besoin de diplômes pour réclamer le droit de ne pas périr, et de ne pas faire périr la nature avec nous ? Qui ose m’attaquer révèle la noirceur de son âme. Greta salavtrix nous appelle à la conversion du cœur. Elle parle au nom de la vie et de l’innocence. Incritiquable.

    Et ceci fonctionne sur un double registre.
    Le premier est de tradition chrétienne : il nous ramène à notre statut de pécheurs qui offensons sans cesse la nature et menaçons la création. Devant un choix aussi évident - tout détruire ou nous reprendre, l’apocalypse ou l’ascèse - comment hésiter ? Avantage collatéral : nous redécouvrons les délices de la casuistique. Chaque acte de notre vie peut devenir objet d’un débat moral et l’occasion d’une rédemption : prendre l’avion ou le voilier ? changer de vêtements ou pas ? manger de la viande (quitte à devoir transformer les terres d’élevage en cultures) ou pas ? Métro ou trottinette devient un cas de conscience. Avoir des enfants un crime probable. À chaque geste, à chaque décision, nous mettons un peu en péril la planète. À chaque contrainte que nous nous imposons, nous prolongeons la vie des espèces d’un instant. Repentez-vous.

    Le second registre est celui de la culture individualiste et du refus de l’autorité. Nous sommes les enfants, nous sommes le monde et nous faisons la nique aux adultes. Nous les mettons en accusation et ils nous écoutent avec componction. La sincérité de nos cœurs et notre angoisse de disparaître bousculent toutes les hiérarchies. Un doux parfum de rébellion nous enveloppe ainsi sans risque et permet d’interdire à tout va.

    Peu de messages pouvaient rencontrer autant de réceptivité dans notre culture. Greta met tout sur le plan de la conscience morale : croyons, ouvrons nos cœurs, abstenons-nous du mal et la Terre sera sauvée. Le problème est qu’entre la Science (en l’occurrence les rapports du Giec dont la partie futurologique n’est pas si assurée) et la Morale (qu’elle semble réduire à l’abstention et à l’ascèse), elle occulte la question politique, c’est-à-dire celle de la contrainte sur les hommes.

    François-Bernard Huyghe (Huyghe.fr, 30 août 2019)

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  • Le bonheur était pour demain...

    Les éditions du Seuil viennent de publier un essai de Philippe Bihouix intitulé Le bonheur était pour demain. Ingénieur, Philippe Bihouix est déjà l'auteur de est l'auteur de L'Âge des low tech - Vers une civilisation techniquement soutenable (Seuil, 2014).

     

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    " Pendant des siècles, les chantres du progrès par la technique et la science appliquée ont promis à l'humanité le bonheur pour demain, ou au plus tard après-demain. L'emballement numérique, la perspective de technologies " révolutionnaires " ou " disruptives ", les limites sans cesse repoussées, les annonces tonitruantes de milliardaires high-tech ont redonné un nouveau souffle aux promesses d'un monde technologique meilleur, d'abondance et de bonheur pour tous, de l'immortalité à la conquête spatiale, en passant par les énergies " propres " et la capacité à " réparer " une planète bien fatiguée.

    Non content de tailler en pièces ce " technosolutionnisme " béat, du passé comme du présent, ignorant les contraintes du monde physique et de ses ressources limitées, l'auteur questionne aussi les espoirs de changement par de nouveaux modèles économiques plus " circulaires " ou le pouvoir des petits gestes et des " consomm'acteurs ", face aux forces en présence et à l'inertie du système.

    Une fois balayées les promesses mystificatrices ou simplement naïves, rien n'empêche de rêver, mais les pieds sur terre : nous pouvons mettre en œuvre, dès maintenant et à toutes les échelles, une foule de mesures salutaires.

    Et si, finalement, le bonheur était bien pour demain ? "

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