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sarkozy - Page 3

  • En liberté surveillée...

    Les éditions des Bouquins de Synthèse nationale viennent de publier un essai de Georges Feltin-Tracol intitulé En liberté surveillée - Réquisitoire contre un système liberticide. Animateur du site de réflexion non-conformiste Europe Maxima, d'inspiration européiste et solidariste, Georges Feltin-Tracol a déjà publié quatre ouvrages : Bardèche et l'Europe (Bouquins de Synthèse nationale, 2013),  Réflexions à l'Est (Alexipharmaque, 2012), L'Esprit européen entre mémoire locale et volonté continentale (Heligoland, 2011) et Orientations rebelles (Heligoland, 2009).

     

     

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    " En matière de liberté d’expression, la France donne facilement des leçons aux autres. Mais est-elle la mieux placée pour cela ?

    Spectacles de Dieudonné interdits, livres édités par Soral ou d’autres caviardés, manifestations violemment dispersées, mouvements patriotiques dissouts… c’est tout le système français, mais aussi occidental, que met en cause Georges Feltin-Tracol.

    Étayé par de nombreux exemples pris dans la presse officielle, il démontre que loin de demeurer le « pays des hommes libres », la France est devenue, suite au sécuritarisme développé par l’UMP sous Sarkozy et appliqué avec zèle par Valls et par Hollande, un Hexagone surveillé où comportements et pensées sont scrutés en permanence.

    Aujourd’hui, il est préférable d’être un délinquant de droit commun plutôt qu’un opposant politique convaincu au mondialisme.

    En sept chapitres d’observations accablantes et parfois terrifiantes, Georges Feltin-Tracol examine l’incroyable et lente évaporation des libertés publiques avant d’esquisser quelques réponses révolutionnaires, populaires et identitaires.

    Mais, faites attention, le simple fait de lire ce livre risque de vous rendre suspect aux yeux du Pouvoir… "

     

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  • Coucou les revoilà !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré aux impostures d'une UMP qui sent venir le désastre électoral et monter la colère du peuple...

     

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    Coucou les revoilà !

    Miracle ! L’UMP reparle !

    On n’avait pas trop entendu l’UMP lors des grandes manifestations contre la loi Taubira. Il est vrai que M. Copé se déclare maintenant personnellement favorable au mariage homosexuel.

    Mais voici que F. Fillon se lance et affirme qu’entre un candidat socialiste et un candidat du Front national il choisirait le moins doctrinaire. Quelle audace ! Quelle aubaine aussi, puisque la gauche, en s’emparant de la phrase – pourtant prudente – lui fait de la bonne publicité. Pensez : Fillon tend la main au diable frontiste !

    J.-F. Copé, soucieux de ne pas se laisser ainsi distancer dans la course aux petites phrases, s’empresse alors de se déclarer pour une réforme du droit du sol. On ne sait pas trop laquelle, à vrai dire, puisqu’il annonce un groupe de travail sur le sujet qui doit rendre ses conclusions dans quelques mois. Mais qu’importe ! Pour un homme qui, si l’on en croit les sondages, serait mal aimé des Français (73% des personnes interrogées auraient une mauvaise opinion de lui, selon un sondage BVA/Aujourd’hui en France/Le Parisien publié le 27 octobre 2013), voilà assurément un bon moyen de faire parler de soi. Seule la communication compte !

    Mais, hélas, voici que N. Sarkozy, de sa retraite, affirme à son tour qu’il faut réformer le droit du sol.

    A qui la prochaine annonce ?

    Les apprentis surfeurs

    Cet assaut de postures et de petites phrases qui éclosent au sein de l’UMP n’abuse personne. Sentant l’opinion se radicaliser – c’est-à-dire identifier et rejeter de plus en plus clairement la racine du mal qui ronge notre pays – les caciques s’efforcent de surfer sur un mécontentement désormais national et non plus seulement populaire.

    Mais personne n’y croit plus vraiment.

    Car cette « droite » implose et n’a plus de chef capable d’imposer une ligne politique claire. Si la défiance caractérise l’opinion vis-à-vis du pouvoir socialiste, une majorité de Français ne fait pas pour autant confiance à l’ex-majorité pour rétablir la situation. Elle reste aussi partagée sur la personne de Nicolas Sarkozy qu’en 2012.

    Les électeurs ont de la mémoire

    Car les électeurs de droite n’ont que trop entendu, depuis 1986, toutes ces belles promesses électorales destinées à les séduire. Tous ces programmes « de rupture » contre tout : contre le socialisme, contre l’insécurité, contre le fiscalisme, contre l’Etat providence, contre l’immigration irrégulière, contre l’échec scolaire, contre Bruxelles. Mais on attend toujours les ruptures promises.

    En revanche, la « droite » au pouvoir n’a eu de cesse de vouloir ressembler à la gauche et d’en rajouter curieusement par rapport à ce qu’elle dénonçait quand elle se situait dans l’opposition. Comme le déclarait l’historien Pierre Nora : « On oublie parfois combien la droite a contribué à faire entrer dans les institutions les idées de gauche, notamment pour tout ce qui touche au modèle social » (interview au journal Les Echos du 4 octobre 2013).

    Mais les électeurs l’oublient de moins en moins, eux. Mauvaise nouvelle pour MM. Fillon, Copé, Juppé ou Sarkozy !

    Le devoir de mémoire

    Les électeurs n’oublient pas la progression continue des déficits, des prélèvements publics et du chômage sous la gauche comme sous « la droite ». Ils n’oublient pas que l’immigration et l’islamisation, malgré toutes les promesses, n’ont fait que s’accentuer, et la situation des banlieues qu’empirer, malgré les millions qu’on y a déversés.

    Ils n’oublient pas que « la droite », la première, a interdit la préférence nationale avec la loi Pleven de 1972 ; qu’elle en a rajouté sur les lois liberticides votées par la gauche, avec celles sur l’homophobie ou le génocide arménien, et qu’elle n’a jamais remis en cause la loi Fabius/Gayssot comme elle l’avait pourtant promis ; que c’est N. Sarkozy qui s’est fait le promoteur de la « discrimination positive » et de « l’islam à la française » aux dépens des Français de souche.

    Les électeurs n’oublient pas non plus qu’aucun des « superflics » placés à la tête du ministère de l’Intérieur depuis 1981 n’a su enrayer la progression de l’insécurité et de la violence, pas plus que les « réformes de la justice » successives. Ils n’oublient pas que « la droite » leur a aussi imposé un traité européen qu’ils avaient refusé par référendum.

    Ils n’oublient pas enfin le mépris et les invectives dont cette droite a toujours fait preuve vis-à-vis de l’électorat du Front national, pour complaire à l’oligarchie médiatique et à ses maîtres.

    La grande prostituée

    A droite comme à gauche, l’oligarchie commence à sentir venir le désastre électoral. Elle ressort alors du placard politique, dans la panique, les solutions qu’elle n’a jamais eu le courage de mettre en œuvre quand elle exerçait le pouvoir. Par quel miracle réussirait-elle à le faire maintenant que la situation lui échappe ?

    Telle une vieille prostituée, outrageusement fardée pour cacher ses rides et ses maigres atours, l’oligarchie politique arpente encore les trottoirs pour séduire une nouvelle fois l’électeur. Comme au temps de sa jeunesse.

    Mais les temps ont changé. La vieille prostituée, devenue sourde, n’entend pas l’énorme rire que provoque désormais son apparition sous la lumière du lampadaire. Ni la colère politique qui monte des profondeurs du pays.

    Michel Geoffroy (Polémia, 3 novembre 2013)

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  • Les riches...

    Vous pouvez lire ci-dessous un point de vue incisif cueilli sur le blog A moy que chault ! et consacré aux riches...

     

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    Les riches

    L'ectoplasme ghostbusterien Hollande, lorsqu'il n'était pas encore président des ruines de la République, avait déclaré « qu'il n'aimait pas les riches », oubliant au passage qu'il en était un pour les trois quarts de la population française et que ce n'était pas non plus très sympa pour son futur ministre des soumissions extérieures, Laurent Fabius.

    Cette déclaration idiote, et surtout indécente dans la bouche de quelqu'un qui touche sans doute chaque mois près de 20 fois le Smig, avait alors suscité l'ire hystérique et revancharde de toute la bourgeoisie de droite – celle qui avait si bruyamment éjaculé après l'avènement du bling bling sarkozyste – s'empressant de dénoncer « l'hypocrite pudeur » de la France vis à vis de l'argent, sa « défiance maladive » à l'encontre des millionnaires et son dramatique « retard » vis à vis des Etats-Unis, merveilleux pays où les « money makers » sont célébrés comme des héros de l'Iliade et où chacun étale son salaire après à peine deux minutes de conversation.

    Pourtant, moi non plus je n'aime pas les riches. Non pas parce qu'ils sont riches mais parce qu'ils ont voulu le devenir, qu'ils ont un jour décidé de faire de l'accumulation de l'avoir le but et l'horizon indépassable de leur existence et ne jugent celle des autres qu'en fonction de la taille, actuelle ou potentielle, de la « surface économique » de ceux-ci.

    Je n'aime pas les riches parce qu'ils finissent d'enterrer les valeurs aristocratiques de don et de désintéressement et qu'ils vénèrent et louent les préceptes marchands que l'Europe, durant tous les siècles où elle a été flamboyante et hautement civilisée, a méprisé et maintenu au rang de domesticité.

    Je n'aime pas les riches parce que, contrairement à ce qu'ils ne cessent d'affirmer, leurs fortunes ne sont jamais propres et honnêtes, car il est mensonger d'affirmer qu'aujourd'hui on peut gagner beaucoup d'argent par son travail et son goût d'entreprendre (ce qui serait évidemment respectable). C'est par la rapacité, la spoliation, la spéculation et l'exploitation que l'on parvient à cette richesse insane et dilapidée en coruscantes vulgarités.

    Je n'aime pas les riches parce que ce n'est plus, depuis bien longtemps, le mérite et le talent qui fondent leur abondance mais la filouterie, la prévarication, l'endogamie, le népotisme et l'absence de scrupules.

    Je n'aime pas les riches parce que leur inutile et leur superflu se nourrit de la privation de l'essentiel pour tant d'autres.

    Je n'aime pas les riches parce leurs qualités et leurs forces, parfois remarquables, ne sont jamais mis au service du collectif et de l'intérêt général ou de quoi que ce soit de plus grand et de plus haut que leurs insatiables appétits humains.

    Je n'aime pas les riches parce que depuis qu'ils ont pris l'ascendant sur les prêtres, les poètes et les soldats, le monde est plus laid, plus lourd, plus sordide et plus vain.

    Je n'aime pas les riches parce que je suis chrétien et catholique et que, contrairement à eux, je garde les oreilles ouvertes à la messe.

    Je n'aime pas les riches parce qu'ils vivent dans la peur de ne plus l'être et sont prêts à toutes les horreurs, toutes les bassesses et tous les crimes pour éviter cela.

    Je n'aime pas les riches car ce sont toujours eux qui mènent aux guerres, qu'elles soient chaudes ou froides.

    (A moy que chault ! , 24 octobre 2013)

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  • Les snipers de la semaine... (65)

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    Au sommaire cette semaine :

     - sur Boulevard Voltaire, Dominique Jamet mouche Alain Minc, une nouvelle fois impliqué dans une affaire de plagiat...

    Alain minc, infatigable piqueur d'idées...

    dominique jamet, alain minc, plagiat, nègre

    - sur le Blog gaulliste libre, Laurent Pinsolle flingue Hollande pour son incohérence et son incapacité à fixer un cap...

    Finance, Europe, Allemagne, Japon : quand Hollande fait du Sarkozy

    dominique jamet,alain minc,plagiat,nègre


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  • Un mensonge d'état...

    Les éditions Michalon publient cette semaine un essai de Jean-François Impini intitulé Un mensonge d'état - L'imposture sécuritaire. Colonel de gendarmerie en retraite, Jean-François Impini a commandé le service de la gendarmerie chargé notamment de l'enregistrement statistique des crimes et des délits...

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    " Pourquoi les Français éprouvent-ils un irrationnel sentiment d’insécurité, alors qu’on compte 670 000 délits de moins depuis 2002 et un taux d’élucidation des infractions en hausse de 12 points ? Irrationnel ? Et si les chiffres affichés étaient faux ? Et si l’appareil statistique avait été dévoyé au service d’un message politique illusoire ?

    Depuis dix ans, la lutte contre la délinquance est marquée par l’empreinte de celui qui en a fait, sinon son combat, au moins sa marque de fabrique. Avec une précision chirurgicale, Jean-François Impini révèle comment les statistiques ont été impunément dévoyées. Il dévoile la dictature des chiffres et les tricheries utilisées pour produire de « bons » résultats, et détaille les pratiques qui ont permis d’éluder des délits par centaines de milliers tout en élucidant des infractions imaginaires.

    À l’heure où « nul n’est censé ignorer la réalité », Jean-François Impini, chiffres à l’appui, jette une lumière crue sur la réalité d’une police détournée de sa mission, et d’une politique de sécurité devenue simple entreprise de communication au profit d’un discours politique vide d’action. "

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  • Les années Sarkozy...

    Les éditions L'Æncre viennent de publier Les Années Sarkozy, un essai sans concession d'Yves-Marie Laulan. Economiste, spécialiste des questions de démographie et d'immigration, Yves-Marie Laulan a fondé avec Jacques Dupâquier l'Institut de géopolitique des populations et est aussi l'auteur d'un essai marquant intitulé Les nations suicidaires (François-Xavier de Guibert, 1998).

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    "C’est un imposteur et même un charlatan. Il a fait croire aux Français qu’il allait redresser notre pays alors qu’il l’enfonçait encore davantage. C’est un esprit léger, inconstant et superficiel qui n’a vécu que par et pour l’image, les « coups » médiatiques et les sondages (au demeurant souvent plus ou moins trafiqués, nous dit-on). Il a été un magicien de l’illusion médiatique, vivant dans l’instant, sans vision d’ensemble ni projet de long terme. Aime-t-il vraiment la France et sait-il seulement ce que représente la France ? Etait-il vraiment fait pour être président de la République ? On peut sérieusement en douter aujourd’hui. Il incarne malheureusement à la perfection tous les travers de l’homme politique de notre temps."

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