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richard millet - Page 16

  • La francophonie, bataille d'avenir ?...

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    Le numéro de mars 2013 de la revue Le spectacle du monde est en kiosque. 

    Le dossier est consacré la francophonie. On pourra y lire, notamment, des articles de Julien Thouéry ("Le roman vrai de la langue française" ), de Jean-Baptiste Piriou ("La Francophonie pour quoi faire ?", "Anglais à tous les étages"), d'Alain Kimmel ("Un réseau culturel en péril", "Littérature francophone"), de Sophie Mockel ("L'îlot français du Québec", ""Les confettis francophones de la Nouvelle-France"), ou de Richard Millet ("Veilleurs au crépuscule") ainsi que des entretiens avec Marc Fumaroli ("Le génie de notre langue garde un certain degré de fascination") et Michel Mourlet ("Le français n'a de raison d'exister que si la France existe").

    Hors dossier, on pourra aussi lire des articles de Michel Marmin ("Jacques Vergès, frère de Stendhal"), de Dominique Venner ("Lincoln sans légende"), de François Bousquet ("IIIe République. La dynastie des Daudet"), de Michel Thibault ("Allemagne. L'art comme culture") ou de Joséphine de Varax ("Anges et démons. La face sombre du romantisme"). Et on retrouvera aussi  les chroniques de Patrice de Plunkett et d'Eric Zemmour ("Quand marine cherche son cap").

     

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  • Drôle de genre...

    Vous pouvez regarder ci-dessous la bande-annonce du nouveau numéro de la revue Éléments (n°145, octobre - décembre 2012).

    A la suite de mouvements de grève chez Presstalis, la société qui détient le quasi-monopole de la distribution de la presse, la mise en place de ce numéro spécial en kiosque est perturbée, mais vous pouvez aussi le commander ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

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  • L'idéologie du genre contre le sexe !...

    Le nouveau numéro de la revue Eléments (n°145, octobre - décembre 2012) sera en kiosque demain.

    Dans ce numéro, Pascal Esseyric et Patrick Péhèle nous proposent de revenir, avec Gabriel Matzneff, Michel Marmin, Olivier Maulin et Christian Combaz, sur l'affaire Millet et la chasse à l'homme ouverte contre lui par la police de la pensée et ses vigilants... Une affaire, au demeurant, que le numéro précédent avait parfaitement anticipée !

    On trouvera aussi un dossier sur la question du "genre", qui devrait faire date, avec notamment des contributions d'Alain de Benoist et de David L'Epée.

    Vous pouvez aussi le commander ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

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    Au sommaire du N°145 d'Eléments :

    L’entretien: Myret Zaki : La fin du dollar est programmée 

    En passant par l’Algérie, par Michel Marmin

    Romans noirs, par Pierric Guittaut

    La chronique cinéma de Ludovic Maubreuil

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Humeurs, par Jacques Aboucaya

    Richard Millet, la chasse à l’homme, par Michel Marmin

    Le goût de la vérité, par Gabriel Matzneff

    L’affaire débute chez les Cosaques, par Olivier Maulin

    L’écrivain, ce héros, par Christian Combaz

    La vérité sur le boson, par Jean-François Gautier

    Qu’est ce que le «Backwoods»?, par Pierric Guittaut

    Christopher Lasch, par Jean de Lavaur

    Costanzo Preve, un portrait, par Yves Branca

    Débat avec Costanzo Preve, propos recueillis par Alain de Benoist

    Chômage, fléau social, par Pierre Barrucand

    Debussy, par Jean-François Gautier

    Dossier : L’idéologie du genre contre le sexe

    Drôle de genre, par Alain de Benoist

    À la recherche du genre perdu, par David L’Épée

    Pourquoi des sexes ?, par Alain de Benoist

    Vive la différence ! par Alain de Benoist

    « Facebook m’a tuer », par Xavier Eman

    A bas les hommes !, par Alain de Benoist

    La culture gay n’est pas une culture, par Pierre Gripari

    Arianna Huffington contre le MLF, propos recueillis par Jean-Claude Valla

    Muséophilie, par Laurent Schang

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  • Les snipers de la semaine... (48)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur le site du Point, Patrick Besson allume Annie Ernaux et les  signataires de la pétition contre Richard Millet...

    La liste Ernaux

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    - sur Causeur, Laurent Cantamessi dézingue le Nouvel Obs et son dossier grotesque sur les néo-fachos...

    Que serait l'Obs sans les "néo fachos" ?

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  • Après Richard Millet, Michel Onfray...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Dominique Venner, cueilli sur son site et consacré à l'"excommunication" de Michel Onfray par la bien-pensance, quelques jours après celle de Richard Millet...

     

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    Après Richard Millet, Michel Onfray...

    Nous sommes dans une période moins stagnante qu’il n’y paraît. C’est ce que révèle le torpillage soudain de l’exposition Albert Camus et la réaction vigoureuse du philosophe Michel Onfray, mis en cause dans Le Monde des 15 et 18 septembre 2012.

    Auteur de nombreux essais rédigés d’une plume élégante et polémique, Michel Onfray s’est fait connaître d’un large public. Ce qui intéresse chez lui, ce sont des changements de perspectives dont atteste par exemple son livre récent sur Freud, Le crépuscule d’une idole (Grasset, 2010), un pavé de 600 pages asséné sur le crâne d’une des plus intouchables divinités de l’époque.

    Onfray y décrivait sa propre évolution. Petit Normand pauvre, père ouvrier, mère faisant des ménages, « pas de vacances, jamais de sorties, aucun cinéma, ni théâtre ni concert bien sûr, pas de musées, pas de restaurants, pas de salle de bains, une chambre pour quatre, des toilettes dans la cave, pas de livres, évidemment… » Dès que l’occasion s’offrit, il se révéla pourtant dévoreurs de textes. Bac à dix-sept ans, études de lettres, professeur de philo dans un lycée technique pendant vingt ans, fondateur enfin de l’Université populaire de Caen en 2002.

    Trois auteurs découverts très tôt, dit-il, l’ont marqué à jamais. Nietzsche, Marx et Freud. « Trois éclairs dans le ciel noir de mes années post-orphelinat ». Le premier, Nietzsche, lui apprenait que « le christianisme n’est pas une fatalité, qu’il y avait une vie avant lui et qu’on pourrait très bien accélérer le mouvement pour l’avènement d’une vie postérieure ». Du second, il conservait le souvenir ébloui du Manifeste communiste de 1848. Souvenir tempéré ensuite par la découverte de Proudhon et de la mauvaise foi de son concurrent. Exit donc Marx, au profit des libertaires français. Enfin, le troisième auteur, Freud : « Il me faisait découvrir que la sexualité pouvait se penser sans souci de Dieu ou du Diable… » Freud ouvrait les portes d’un continent inconnu. Mais délivré à des gamins en pleine évolution sexuelle, son message pouvait avoir des effets problématiques : « On nous demandait d’enseigner une matière éminemment combustible auprès d’âmes inflammables. J’ai un peu touché du doigt, là, le pouvoir dangereux des psychanalystes. J’ai alors développé une méfiance instinctive et viscérale à l’endroit de leur caste sacerdotale… »

    En fin de son démontage de Freud, Onfray a rassemblé des notes, dont l’une concerne Albert Camus et Jean-Paul Sartre (p. 593-594) : « Albert Camus ayant dit la vérité sur la nature criminelle du régime soviétique dans L’Homme révolté s’est entendu dire par Sartre que le bon accueil de son livre par la droite invalidait l’ouvrage, laissant entendre par là que la vérité se trouve à gauche et l’erreur à droite… Camus répondit à Sartre : « On ne décide pas de la vérité d’une pensée selon qu’elle est à droite ou à gauche et encore moins selon ce que la droite ou la gauche décident d’en faire. Si enfin la vérité me paraissait être de droite, j’y serais »… Réaction d’Onfray : « Nous souffrons toujours de cette hémiplégie… Camus a montré le chemin : “Si enfin la vérité me paraissait être de droite, j’y serais”. Je consens à cette magnifique phrase. »

    Cette pensée, justement, a servi d’introduction à l’essai de Michel Onfray publié chez Flammarion en 2012, L’Ordre libertaire, la vie philosophique d’Albert Camus. Sartre n’en sort pas grandi.

    Cet essai ajouté à la dimension médiatique de Michel Onfray, ont fait que ce dernier a été sollicité pour diriger l’exposition Albert Camus prévue à Aix-en-Provence en 2013 (centième anniversaire de la naissance de l’écrivain). C’est là que l’actualité, soudain, nous rejoint.

    Sur son site Twitter, le 14 septembre, Michel Onfray vient d’annoncer en effet qu’il renonçait à être le commissaire de cette exposition. Pourquoi ? Il faut savoir que l’actuelle ministre socialiste de la Culture, Aurélie Filippetti, avait soutenu contre Onfray la candidature de Benjamin Stora. Celui-ci est sans vrai rapport avec Camus, mais il est l’historien de la guerre d’Algérie que préfèrent le FLN algérien et les anciens « porteurs de valises ». Apprenant que son candidat était écarté, la ministre annonça qu’elle retirait tout soutien officiel à l’exposition…

    L’affaire se corse quand on sait qu’en visite à Alger cet été, Michel Onfray n’avait pas pris de gants pour évoquer un passé brûlant : « Je vous rappelle, avait-il dit, que (pendant la guerre d’Algérie) ce sont les Algériens qui ont choisi la voie de la violence et sont à l’origine du plus grand nombre de morts du côté algérien ». On imagine les réactions devant ce rappel d’une vérité historique qui n’est pas bonne à dire !

    Ripostant aux informations publiées dans la presse après la décision de Mme Filipetti, Michel Onfray a précisé dans Le Monde du 18 septembre qu’il se retirait de « cette pétaudière où se mélangent de façon déraisonnable les ego surdimensionnés, la chiennerie de la politique politicienne, les pathologies mentales, les intrigues de réseaux, le copinage d’anciens combattants d’extrême gauche reconvertis dans l’opportunisme social-démocrate, la niaiserie d’une ministre confondant usage public des crédits et punition idéologique […] Je bénis cette aventure de m’avoir fait découvrir cette nef de fous ! Mais je n’en suis plus… En France, l’atmosphère intellectuelle est toujours à la guerre civile… » C’était bien vu et bien dit.

    Dans le même numéro du Monde (18 septembre), en p. 13, on apprenait au passage que Caroline Fourest, essayiste connue pour ses positions féministes, avait été prise à partie à la Fête de L’Humanité (le 15 septembre) alors qu’elle devait débattre du FN. L’incident a entrainé l’annulation du débat. Depuis plusieurs jours, le site « Oumma.com » [l’Oumma est la communauté des croyants] et les « Indigènes de la République » avaient appelé à interdire la présence de Caroline Fourest : « quelqu’un d’islamophobe n’est pas qualifié pour faire la leçon au FN ». De fait, son féminisme et son laïcisme avaient conduit Caroline Fourest à exprimer des réserves à l’égard d’un Islam trop présent en France à son gré. Voici encore un parcours à suivre. Nous sommes dans une époque où les anciens clivages sont bousculés.

    Dominique Venner (Site de Dominique Venner, 19 septembre 2012)

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  • Richard Millet à l'émission "Ce soir ou jamais"...

    Vous pouvez visionner ci-dessous un extrait de l'émission du 4 septembre 2012 de "Ce soir ou jamais", diffusée par France 3 et dirigée par Frédéric Taddéi, à laquelle était invitée Richard Millet, à l'occasion de la polémique suscitée par son dernier essai, Langue fantôme, publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux, qui contient un texte intitulé Eloge littéraire de Anders Breivik.  

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