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racisme - Page 6

  • Les idées à l'endroit !...

    Avec Les idées à l'endroit, l'essai d'Alain de Benoist, les éditions Avatar rééditent un grand classique de la pensée non-conformiste. L'ouvrage, publié initialement en 1979, a été augmentée d'un avant-propos inédit. On pourra y retrouver des textes importants comme "Fondements nominalistes d'une attitude devant la vie", "Vingt-cinq principes de morale", "Une nouvelle anthropologie", "L'élite ?" ou "Contre le racisme", qui constituent des jalons dans l'évolution intellectuelle de leur auteur.

     

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    Pour une ligne de conduite décisive face à la modernité.

    Les idées à l’endroit sont parues aux éditions Libres Hallier en 1979. C’était peu de temps après la grande campagne de presse sur la Nouvelle Droite (ND) de l’été. L’auteur, Alain de Benoist, s’était trouvé au cœur de cette campagne. Il avait souhaité y répondre en essayant de dissiper bien des malentendus. Les idées à l’endroit sont pourtant beaucoup mieux qu’un livre de circonstance. Si l’auteur, dans une longue préface ici reproduite, rappelait le contexte des débats d’idées des années 1970 et le rôle que lui-même et ses amis y

    ont tenu au travers de livres, de rééditions de classiques de la pensée politique et — déjà — de la revue Eléments, le livre ouvrait des perspectives qui gardent toute leur pertinence. Trente ans après la première édition, bien entendu épuisée, il est temps de redécouvrir cet ouvrage de fond.

    Non que l’auteur n’ait évolué. Au contraire, dans sa préface de 2010, Alain de Benoist rappelle brièvement (car il l’a fait plus complètement ailleurs, notamment dans Au temps des « idéologies à la mode », dans la réédition de Vu de droite en 2001, et dans Cartouches) le chemin parcouru et les pistes abandonnées, et le pourquoi des nouvelles explorations.

    Les textes des Idées à l’endroit sont bien autre chose que des textes datés. Ils définissent des orientations, et plus encore une attitude. Que celle-ci relève ou nom du qualificatif de « nominaliste » est accessoire. C’est l’attitude même qui compte, comme le montre le texte intitulé « 25 principes de “morale’’ ». La meilleure preuve en est que c’est précisément l’attitude, ou encore la méthode, qu’Alain de Benoist définit dans ce livre qui a permis à sa pensée de poursuivre son itinéraire, de se dégager de quelques simplismes, et plus encore de sortir des ambiguïtés de la critique de l’égalitarisme pour mettre l’accent sur la dénonciation de l’« idéologie du Même ». C’est en ce sens un livre capital.

    Paru pour la première fois en 1979, Les idées à l’endroit voulaient répondre à une demande créée par l’événement, en l’occurrence la grande campagne de presse autour de la « Nouvelle Droite » qui s’est déroulée durant l’été 1979. Ce texte, qui reste de première actualité, était épuisé depuis de nombreuses années. Cette réédition, très attendue, est augmentée d’un nouvel avant-propos de l’auteur.

    Nouvelle édition augmentée d’un avant-propos inédit

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  • Entre haines et passion...

    Les éditions Pierre-Guillaume de Roux viennent de rééditer, dans une version revue et augmentée, la biographie que Philippe Alméras a consacré à Céline sous le titre Céline, entra haines et passion. Professeur de littérature aux Etats-Unis, Philippe Alméras est l'auteur de nombreux essais consacrés à Céline : Les idées de Céline (Berg, 1992), Je suis le bouc - Céline et l'antisémitisme (Denoël, 2000), Voyager avec Céline (Dualpha, 2003) ou encore le Dictionnaire Céline (Plon, 2004)...

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    "Cinquante ans après la mort de Louis-Ferdinand Céline, reparaît la première biographie critique consacrée à l’auteur du Voyage au bout de la nuit dans une version entièrement révisée et augmentée. Signée Philippe Alméras, cette somme - qui s’appuie sur la correspondance intégrale de Céline - a conservé toute son actualité et sa pertinence. Et pour cause…C’est Philippe Alméras qui aura imposé la réalité plus que jamais vivace d’une « idéologie » célinienne fondée sur le racisme biologique. Pas question pour lui de ménager la chèvre et le chou en séparant « le cas » de l’écrivain de génie de celui de l’antisémite notoire. Un lien intime existe entre l’oeuvre et l’homme. Et à l’intérieur de l’oeuvre, il se prolonge nettement entre le romancier révéré de Voyage au bout de la nuit et le pamphlétaire honni de Bagatelles pour un massacre et qui préconisa le nettoyage systématique des Juifs, « maison par maison, quartier par quartier ». Se refusant à flanquer le docteur Destouches d’un Mr Hyde qui sauverait un tant soit peu sa postérité, Philippe Alméras s’efforce, au contraire, de fixer l’émergence irrésistible d’un homme du ressentiment à travers toutes les haines dont il déborde. Haine des Juifs et des bolchéviques, certes, mais aussi haine des « beautiful people », haine de la femme, haine de l’homme de lettres, haine du bourgeois qui envoie l’enfant du peuple se faire tuer en 1914, haine de l’Afrique qui vous assomme de soleil et de torpeur, haine de l’Amérique glaciale et capitaliste. Et toujours cette haine qui réclame justice sans façons, à la populaire : à croire qu’elle devrait s’exécuter, d’elle-même, sur parole. Céline s’est-il cru prophète avant d’être condamnée à la vie d’ermite ? Sa montée en haine et en solitude au fur et à mesure que le siècle de passion où il gesticule devient de glace, se lit souvent « entre les lignes » : grâce à la masse de lettres qu’il a échangées. Souvent au jour le jour. Chacun les a gardées. On les a retrouvées en Australie, à Londres, au Maroc, en Californie ou chez ses éditeurs ; celles aussi adressées à Le Vigan, qui fut forcé de les vendre, ou celles encore que Je suis partout renonçait à publier en 1942 et 1943, pour « excès racistes ». Produit et miroir de son temps, Céline est scandaleux, révoltant. Mais il dit bien le haut-le-coeur qu’aura entraîné une époque de bouleversements avec ses guerres, ses massacres, et son lot de certitudes idéologiques totalitaires. S’il s’en sort, c’est une fois de plus grâce à son style : « fait de crudité drolatique, parigote et montmartroise ». Mais Philippe Alméras n’est pas dupe : « Le style joue chez lui le rôle de la voilette des jolies femmes de son temps, elle attire l’attention et elle dissimule les cicatrices de l’âge (…)»"

     

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  • Heil Grand Schtroumpf !...

    Nous espérions avoir sauver nos enfants du racisme et du colonialisme en supprimant de leur bibliothèque Tintin au Congo, du sinistre Hergé... Erreur ! La Bête est partout, comme le révèle Antoine Buéno dans Le Petit Livre bleu, essai à paraître aux éditions Hors collection... Inconscients du danger, nous laissons nos chérubins lire Les Schtroumpfs alors que la société dans laquelle vivent ces inquiétants petits hommes bleus "est un archétype d'utopie totalitaire empreint de stalinisme et de nazisme" ! Sans parler de la Schtroumpfette (blonde évidemment...), des méchants Schtroumpfs contaminés (noirs comme de bien entendu...) et du chat maléfique (qui s'appelle... Azraël...). Alors n'écoutez pas les pleurs de vos enfants...pour leur bien, schtroumpfez au feu la collection complète des Schtroumpfs !

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    La face cachée des Schtroumpfs dévoilée dans "Le Petit Livre bleu"

    PARIS - Les Schtroumpfs, charmants lutins bleus ou horribles staliniens, racistes et antisémites ? Pour y schtroumpfer plus clair, Antoine Buéno offre dans "Le Petit Livre bleu" une lecture socio-politique inédite et ludique de la saga de Peyo, de retour au cinéma en août.

    Maître de conférence à l'IEP de Paris et romancier, l'auteur, qui ne veut en rien casser la magie des petites créatures bleues, n'en analyse pas moins leur société avec les armes féroces de la science politique et de la schtroumpfologie.

    Après avoir traité de questions fondamentales sur la nature biologique ou la sexualité des Schtroumpfs -- au fait, pourquoi n'y a-t-il qu'une seule schtroumpfette ' --, Antoine Buéno tente de démontrer que leur société "est un archétype d'utopie totalitaire empreint de stalinisme et de nazisme".

    Le nom et la "novlang" schtroumpf étaient nés lors d'un déjeuner entre Pierre Culliford, alias Peyo, et son complice André Franquin, en avril 1958 : au lieu de "passe-moi le sel !", Peyo lança "passe-moi le schtroumpf !"

    Ce nom imprononçable devint "Puffi" en Italie, "Pitufos" en Espagne, "Smurfs" en anglais, "Stroumfakia" en grec ou encore "Kumafu" en japonais. Et "Schlümpfe" Outre-Rhin, schtroumpf signifiant chaussette en allemand...

    Né en 1928 à Bruxelles, Peyo, le père des Schtroumpfs, avait connu l'occupation allemande et n'en gardait aucune nostalgie mais, relève Antoine Buéno, "une oeuvre peut véhiculer une imagerie que son auteur, de bonne foi, ne cautionne pas (...). Les Schtroumpfs reflèteraient donc plus l'esprit d'une époque que celui de leur créateur".

    Les Schtroumpfs vivent en autarcie. C'est une société collectiviste et dirigiste, avec un chef unique et omnipotent, le grand Schtroumpf.

    Ils prennent tous leurs repas au réfectoire, sont puritains jusqu'au ridicule. Le racisme est patent dans l'album des "Schtroumpfs noirs" où la pureté du sang devient vitale et le brun, laid. Ou dans celui de "La Schtroumpfette", quand le blond aryen est idéalisé, estime l'auteur.

    Ce petit monde est aussi mobilisé contre un ennemi juré, Gargamel, dont le profil rappelle une caricature antisémite et dont le chat s'appelle Azraël.

    C'est le fils de Peyo, Thierry Culliford, qui a poursuivi l'oeuvre de son père après son décès en 1992. Dans ses albums, beaucoup plus pédagogiques, "le village des Schtroumpfs se fait plus explicitement métaphore du réel", souligne l'auteur.

    Le 3 août, un film américano-belge de Raja Gosnell, mi-animé en 3D et mi-live, fera surgir "Les Schtroumpfs" sur les écrans. Les créatures bleues investiront pour l'occasion le coeur de New York.

    Le film sera précédé au Lombard du 29e titre de la série, "Les Schtroumpfs et l'arbre d'or". En novembre, sortira une "Encyclopédie des Schtroumpfs".

    ("Le Petit Livre bleu" - Antoine Buéno - Editions Hors Collection - 192 p. - 12,90 euros - mise en vente le 1er juin)

    Par AFP

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  • Les Français apatrides sur leur propre terre ?...

    Les accusations de racisme lancées par les inquisiteurs de Mediapart à l'encontre des instances nationales du football nous donnent l'occasion de reproduire cette mise au point percutante de Malika Sorel, publiée sur son blog. Malika Sorel vient de publier aux éditions Mille et une nuits un essai intitulé Immigration, intégration : le langage de vérité.

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    Les Français apatrides sur leur propre terre, celle de leurs ancêtres

    L’inquisition a frappé, par la voix de Mediapart. La ministre Chantal Jouanno a donc fait rouler la tête du directeur technique, qui n’aura même pas eu droit à un procès, fût-il stalinien. Laurent Blanc, lui, verra peut-être sa tête sauvée car, dixit Chantal Jouanno : « Pour le connaître, il prône plutôt le métissage ». Il faudra que le soviet suprême nous dise un jour ce que « métissage » signifie exactement.

    Il est aujourd’hui important de se remémorer le comportement inqualifiable de certains joueurs de l’équipe de France de football lors de la dernière coupe du monde. Les langues s’étaient alors déliées pour porter à la connaissance du grand public l’absence totale de cohésion, le regroupement selon l’ethnie d’origine, la dictature exercée par certains joueurs pour lesquels on était allé jusqu’à imposer un certain nombre de contraintes à l’ensemble de l’équipe, y compris d’ordre alimentaire et sanitaire (douches séparées). Se souvient-on encore du préjudice énorme que cette « équipe » avait alors fait subir à la France en salissant son image devant les téléspectateurs du monde entier ?

    Au micro de RTL, Christophe Dugarry révèle que le soir de 1998 où la France vient d’être sacrée championne du monde, alors que les joueurs prennent des photos dans les vestiaires, Lilian Thuram lance un : « allez les blacks, venez on va faire une photo tous ensemble ! » Imaginez que c’eût été un joueur blanc qui ait lancé « allez les blancs, venez on va faire une photo tous ensemble ! »… Alors, c’était donc ça, la France black-blanc-beur de Jacques Chirac ?

    Un problème notable existe aussi du fait du comportement de joueurs dotés d’une double nationalité. Le Monde : « Lors de la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud, neuf footballeurs français ont joué la compétition avec une autre équipe que les Bleus, alors qu’ils avaient porté le maillot de l’équipe de France en sélection de jeunes. Ces “binationaux” sont nés et ont grandi dans l’Hexagone, mais ont choisi de jouer pour le pays d’origine de leurs parents. »

    La gauche comme la droite pratiquent depuis fort longtemps la discrimination positive au profit des personnes d’origine étrangère. J’en avais longuement parlé dans Le puzzle de l’intégration. Le critère ethnique est même mentionné en toutes lettres dans la Charte de la diversité instituée en octobre 2004 par Jean-Pierre Raffarin, alors Premier ministre.[1] Engagement n°3 de la Charte de la diversité : “Nous [les entreprises signataires] nous engageons à chercher à refléter la diversité de la société française et notamment sa diversité culturelle et ETHNIQUE dans notre effectif, aux différents niveaux de qualification.”

    La Charte de la diversité incite, dans les faits, les entreprises à favoriser le recrutement de ceux qui ne sont pas d’origine européenne. Cela se transforme en discrimination négative vis-à-vis des Français de souche européenne.

    Voici un extrait d’Immigration-intégration : le langage de vérité.

    « Sur le terrain, la pratique de la discrimination positive se transforme, de manière très concrète, en discrimination négative envers les Français de souche européenne : “L’Oréal fait de la discrimination positive et l’assume […], déclare le directeur général du groupe Jean-Paul Agon. Aujourd’hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chances d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche.[2]” Ces propos discriminatoires à l’égard des Français de souche ont été tenus par le dirigeant d’un groupe qui emploie 12 000 personnes en France. Autre illustration : “À compétences égales, eh bien désolée, on choisira la femme ou on choisira la personne venant d’autre chose que le mâle blanc pour être clair.[3]” Ces propos discriminatoires à l’égard des hommes blancs ont été tenus par Anne Lauvergeon, patronne d’un groupe français qui emploie 50 000 personnes. Imaginons que de tels propos aient été tenus à l’encontre d’autres couleurs que la couleur blanche ; toutes les associations de France et de Navarre auraient rué dans les brancards. Là, il ne s’est rien passé. Comment expliquer, par ailleurs, que de tels propos et attitudes n’aient pas été sanctionnés par la loi ? Parce que le racisme est devenu, comme je l’ai précédemment évoqué, un concept à géométrie variable, qui ignore superbement les comportements qui frappent les Français de souche européenne. Le 14 mai 2009, le ministre de l’Immigration félicitait le groupe L’Oréal pour sa politique de recrutement et le gratifiait du “label diversité” [4]…
    […]
    Par exemple, le racisme dirigé contre les Français de souche européenne ne semble guère les émouvoir. Leur indignation est sélective. Eux qui font feu de tout bois, se gardent bien de s’interroger sur cette tendance aujourd’hui à l’œuvre sur le sol français : “Entre le 1er janvier et le 30 septembre 2010, 485 cimetières et lieux de culte ont été dégradés : 410 l’ont été au préjudice de sites chrétiens, dont 179 cimetières et 231 lieux de culte.[5]” Autrement dit, 85 % des dégradations de lieux de culte ont visé en 2010 des sites chrétiens ! Les Français ont-ils le sentiment que cette information a été relayée par les médias, ou que leurs représentants politiques ont témoigné la moindre compassion, à défaut d’indignation ? Le comportement de ces censeurs porte de surcroît atteinte au vrai combat contre le racisme, car, mettait en garde Claude Lévi-Strauss, “en banalisant la notion de racisme, en l’appliquant à tort et à travers, on la vide de son contenu, et on risque d’aboutir au résultat inverse de celui qu’on recherche.[6]”
     »

    Si vous y réfléchissez bien, nous ne sommes plus du tout en France dans une politique de méritocratie républicaine, mais dans une politique clairement fondée sur un critère de préférence extra-nationale. Et comme l’avait très bien relevé notre ami Jugurta, les Français d’origine extra-européenne qui ont réussi leur intégration et se sont assimilés subissent le même sort que les Français de souche européenne.

    Voici ce que déclarait Nicolas Sarkozy le 26 octobre 2005, en tant que Ministre de l’Intérieur, dans une conférence-débat sur le thème Un défi républicain : la discrimination positive à la française, le ministère de l’Intérieur s’engage : « La première fois, Ministre de l’Intérieur, où j’ai réuni les préfets, j’ai demandé à mes collaborateurs : “Y-a-t-il quelque chose qui vous choque ?” Ils m’ont répondu : “Rien du tout. Tout est normal.” Ben moi y’a quelque chose qui me choquait. Parmi les préfets, il n’y avait que des Christophe. Enfin, des Pierre, des Louis, des Jean et c’est amusant, et parmi les préfets ils étaient tous de la même couleur. Je vous laisse la deviner. »

    Encore un extrait d’Immigration-intégration : le langage de vérité : « Les Français se sentent aujourd’hui apatrides sur leur propre terre, celle de leurs ancêtres. Pour qu’ils reprennent confiance en eux et en l’avenir de la France, il est urgent qu’ils se réapproprient le droit élémentaire qui leur a été confisqué – celui d’exprimer et d’assumer ce que “Français” signifie dans leur tête, leur cœur, leur âme et surtout leur inconscient collectif ».

    Malika Sorel (Le blog de Malika Sorel, 4 mai 2011)

     

    [1] La Charte de la diversité en entreprise a été instituée en octobre 2004 (Jean-Pierre Raffarin). Elle comprend actuellement 3076 entreprises signataires, dont la liste peut être consultée ici

    [2] Jean-Paul Agon, « L’Oréal fait de la discrimination positive et l’assume », propos recueillis par Nathalie Brafman et Stéphane Lauer, Le Monde, 13 juillet 2007.

    [3] Propos tenus par Anne Lauvergeon lors du Women’s Forum à Deauville, Journal de France 2, 16 octobre 2009.

    [4] La création de ce label « diversité » a été annoncée par le Président de la République dans son discours à l’École polytechnique sur l’égalité des chances. Ce label a été créé par décret le 17 décembre 2008.

    [5] Lettre adressée par Brice Hortefeux, Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales à Thomas Hammarberg, commissaire aux Droits de l’homme au Conseil de l’Europe, rendue publique le 2 novembre 2010.

    [6] Claude Lévi-Strauss, Didier Éribon, De près et de loin, Odile Jacob, 1988.

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