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police - Page 3

  • Manuel, fais-nous peur !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia, et consacré au faux dur de la place Beauvau...

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    Manuel, fais-nous peur !

    Dans le spectacle gouvernemental une place de choix échoit toujours au ministre de l’Intérieur. C’est lui, en effet, qui joue sous la Ve République le rôle du méchant.

    De célèbres acteurs ont incarné à merveille le rôle de « premier flic de France » : Roger Frey, Raymond Marcellin, Michel Poniatowski, Gaston Deferre, Pierre Joxe, Charles Pasqua, Nicolas Sarkozy ou Claude Guéant, pour ne citer que les plus connus. Aujourd’hui le rôle incombe à Manuel Valls.

    Mais si les acteurs changent au gré des élections, leur répertoire reste, hélas, identique. Il commence donc à lasser sérieusement les spectateurs.

    Le fou du roi

    Un ministre de l’Intérieur se doit de paraître partout, à l’image de la police : au moindre accident, au moindre drame, au moindre crime il doit se faire voir des caméras pour prononcer de fortes paroles destinées à rassurer le bon peuple. N. Sarkozy fut le meilleur à ce petit jeu.

    Après chaque nouveau désastre, un ministre de l’Intérieur tient en effet à nous assurer que le crime ne restera pas impuni, que les lois de la République seront appliquées partout sans faiblesse, qu’il n’y aura plus de zones de non-droit, que le racisme sera partout pourchassé, que l’islamisme ne passera pas, etc.

    Car le ministre de l’Intérieur joue le rôle du fou du roi dans l’ancienne monarchie : il a pour fonction de dire tout haut ce que chacun pense tout bas. Par exemple de tonner périodiquement contre les magistrats qui libèrent les délinquants, contre les sauvageons des banlieues que l’on va devoir nettoyer au kärcher ou contre les salauds d’extrémistes de droite, que l’on va mettre hors d’état de nuire.

    Il remplit ainsi une fonction de verbalisation expiatoire très médiatique et surtout fort utile au Système.

    La tête de l’emploi

    Un ministre de l’Intérieur ne doit donc surtout pas rire ni faire rire non plus : il incarne l’Etat et la République dans sa toute-puissance. Dès sa nomination, un ministre de l’Intérieur adopte donc la tenue et le masque de l’emploi : costume sombre, regard farouche, mâchoires serrées, visage impénétrable. Il est aussi souhaitable qu’il ait la tête de l’emploi : petits gros rigolards ou grands lymphatiques s’abstenir !

    D’ailleurs il ne se déplace plus qu’entouré d’une cohorte de G-men, de policiers et de préfets en uniforme, dans un halo de gyrophares et de sirènes du plus bel effet. Cela fait très sérieux aussi et nous rassure quant à la solidité de la République une et indivisible.

    Un homme célèbre

    Enfin, si l’on en croit les sondages et à la condition qu’il joue bien son rôle de méchant, un ministre de l’Intérieur serait très populaire auprès du bon peuple, toujours en quête d’un homme providentiel. Les ministres de l’Intérieur figurent ainsi au hit parade des premiers-ministrables. Certains, même, parviennent à la magistrature suprême, ce qui ne risque pas d’arriver à un ministre de l’Education nationale ou à un ministre du Travail, les pauvres ! Manifestement il y a des rôles qui aident et d’autres pas. Il faut dire qu’un ministre de l’Intérieur s’y connaît en matière d’élections et de sondages…

    Le fou du roi est nu

    Les ministres de l’Intérieur ont aujourd’hui pour fonction de jouer les durs devant les caméras.

    Par exemple ils aiment bien, de temps en temps, prononcer la dissolution de tel ou tel groupuscule, pourtant déjà largement infiltré par la police ; ou bien se montrer impitoyables avec les automobilistes. Et la télévision nous inonde d’émissions bien pensantes où l’on voit les policiers et les gendarmes mettre hors d’état de nuire les malandrins – comme dans les films américains, mais en moins drôle, avec moins de sexe et d’hémoglobine.

    Mais, dans la vraie vie, tout le monde sait bien, hélas, que l’insécurité, la délinquance, le communautarisme, l’immigration irrégulière, les roms ou l’islamisme ne se dissolvent pas comme cela, d’un coup de baguette médiatique. Dans la vraie vie, seuls les braves gens ont encore peur de la police : les autres rigolent, la « niquent » ou traînent les policiers devant les tribunaux.

    Les prétendus « super flics », qui incarneraient l’autorité de l’Etat, en réalité rasent les murs et composent tous les jours avec tout le monde : avec les syndicats de policiers aussi puissants qu’à l’Education nationale et dont il faut acheter le silence, avec la guerre des polices, avec les clans préfectoraux, avec les potentats locaux, avec les juges qui font la chasse aux « bavures », avec les lobbies, avec les cultes, avec les grands frères des banlieues. Avec ces satanées statistiques de la délinquance aussi.

    Bref, les durs de la scène politico-médiatique, les Eliot Ness de la Place Beauvau qui n’ont pas de mots assez forts pour condamner la délinquance « inacceptable », sont de grands méchants mous. Ils prennent la pose pour essayer de cacher leur dramatique impuissance.

    Cela ne trompe plus personne.

     Michel Geoffroy (Polémia, 31 juillet 2013)



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  • Demain Beyrouth-sur-Loire...

    "La Justice, c'est de la merde en barre. La plupart des gens n'en ont rien à foutre de la Justice. Tout ce qu'ils veulent, c'est du pognon, et tant qu'il y a le pognon, ils s'en tapent du reste. Alors comme il existe malheureusement des types qui tueraient père et mère pour un peu de pognon, on prend d'autres types comme moi pour faire en sorte que monsieur-tout-le-monde puisse faire pisser son chien le soir sans se faire égorger trop vite. Ou que son marmot aille à l'école sans se faire enlever contre une demande de rançon, ou pour lui extraire un oeil ou un rein, ou pour se retrouver dans un porno pédophile bien crade. C'est un équilibre permanent et précaire entre la merde totale, la jungle cannibale et le petit confort moderne. Je suis juste un éboueur, ma pauvre Rachel, j'évacue la merde vite fait sous le tapis avant que les invités ne s'en rendent compte, mais grâce à Dieu, ça fait un bout de temps que je ne crois plus en une connerie comme la Justice."

     

    Nous reprenons à notre compte l'excellent conseil de la revue Eléments en vous engageant à vous procurer rapidement Beyrouth-sur-Loire, le polar percutant et désenchanté de Pierric Guittaut, publié aux éditions Papier Libre. Beyrouth-sur-Loire est le premier volet d'une trilogie, dont le deuxième tome doit paraître en décembre 2011. Pierric Guittaut, un auteur à suivre !...

     

    pierric guittaut

     

    "Dans Beyrouth-sur-Loire, l'intrigue policière y est secondaire et s'efface devant les rapports de force entre personnages, sur fond de réalité sociale aux allures de poudrière de la France de ce début de vingt et unième siècle. Beyrouth-sur-Loire peut être envisagé comme un polar politique, au sens grec du terme. La véritable intrigue, c'est cette politikè, et le cadavre, celui de cette ville qui meurt lentement. D'ailleurs, si le lieutenant Jeddoun est un dur-à-cuire à l'ancienne, empruntée à l'école il est trop ambigu pour être considéré comme un héros et ses échecs sont révélateurs : son temps est révolu. Il n'est plus qu'un pion, perdu au milieu du no man's land urbain où les ego se sont placés en embuscade, comme autant de snipers du cynisme ambiant. C'est désormais l'heure du chacun pour soi, et même pas Dieu pour tous, car la transcendance y brille surtout par son absence. Difficile de trouver une figure qu'on pourrait ranger d'emblée du côté du Bien."

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  • Petit journal d'une Chute...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Jauffret, d'une féroce lucidité, cueilli sur le Blog du Choc du mois, . 

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    DSK : petit journal d'une Chute

    15 mai Incroyable histoire de DSK qui aurait agressé une femme de chambre au Sofitel de New-York, hier après-midi. La police l’a attrapé dans l’avion et l’a conduit au commissariat d’Harlem pour un interrogatoire. Le président du FMI ! En 2008 lors du scandale adultérin, des « proches sous couvert d’anonymat » prévoyaient dans Libération une chute liée à une affaire de sexe. Voilà qui est fait. Le type est dingue, tout le monde le sait. Paraît-il que ses communicants lui préparaient depuis quelques semaines « un petit atterrissage en douceur » en France. Raté !

    16 mai Image de DSK menotté dans le dos...

    encadré par la police newyorkaise : grandiose ! Aubry dit en avoir pleuré ! Quelle chialeuse, celle-là ! Les journalistes et les hommes politiques parlent en chœur d’un « piège » et d’une « manipulation », eux qui savent parfaitement que l’homme est un véritable malade, traînant en France quantité d’affaires de mœurs, toujours étouffées, du même genre de celle qui aux Etats-Unis risque à présent de l’envoyer en cabane. Mais au-delà du pathologique, il y a les mœurs du milliardaire tordu et arrogant, convaincu que tout lui est dû, y compris les corps passant à sa vue. Cette hyper-classe au-dessus de la morale, des lois et des nations, a développé un sentiment inouï d’hyper-puissance et c’est assurément ce sentiment qui a poussé DSK a tenter d’assouvir impunément sa pulsion sur une femme de ménage de passage. Sauf que ce coup-ci, il est tombé sur un os américain.
    Quoi qu’il en soit, c’est une excellente nouvelle pour la France, au-delà de l’humiliation momentanée. Nulle doute que cette personne aurait transformé de nuit les salons de l’Elysée en lupanar, avec, allez savoir pourquoi pas des salles de tortures à tous les étages, tout en fabriquant le jour des lois pour le partage obligatoire de la vaisselle entre hommes et femmes. Mon rêve à présent, c’est de le voir enfin en salopette orange fluo, habit dont il semble destiné de toute éternité.

    17 mai Images du patron du FMI mal rasé, fatigué, humilié, hagard, l’air complètement ahuri dans son box de condamné. Le juge l’envoie directement en prison. Moi qui déteste l’Amérique, aujourd’hui je l’adore, ce pays de puritains fanatiques et dégénérés !

    18 mai Du sperme de "Strauss-le-violeur" retrouvée sur la femme de chambre et dans la suite. Des traces de griffures, de morsures et de coups sur son corps. La défense change de stratégie. Hier : Pourquoi voulez-vous qu’il baise une femme de ménage, qui de surcroît est vilaine, alors qu’il peut se payer les plus belles femmes du monde ? Aujourd’hui : La femme de ménage est jolie (donc allumeuse), la relation sexuelle était consentie. Demain : la femme de ménage est perverse, elle a réclamé qu’on la cogne, etc. Ça commence sérieusement à sentir le roussi. Quelque part en Amérique, des petites mains sont en train de coudre soigneusement une petite salopette orange fluo !

    Une militante socialiste en larmes à la radio : « en tant que socialiste, ça fait mal de voir un camarade avec des menottes dans le dos ». Pardi ! Sauf que Strauss n’a rien d’un camarade, sottasse ! C’est un milliardaire cynique et arrogant ! Un néolibéral pur jus ! Un affreux capitaliste ! Un affameur de peuples ! Un socialiste authentique serait heureux de voir un parasite de cette espèce avec des menottes dans le dos ! Pour peu qu’il soit lyrique, il réclamerait même qu’on le fusille ! J’imagine parfaitement cette militante en prof semi-lettrée à cheveux gras, manifestant régulièrement contre la politique libérale appliquée à l’école, et pleurnichant aujourd’hui devant la divine paire de menottes ! Mon Dieu ce que les socialistes sont bêtes ! Champagne, hideux profs !

    Toute l’élite est derrière "Strauss-le-violeur" comme elle a été derrière Polanski il y a quelques mois. Yvette Roudy, ancien ministre des droits des femmes, parle de manipulation et n’est pas loin de traiter la bonniche noire d’aguicheuse probable. Guigou évoque le libertinage. Il n’y a pas mort d’homme, déclare Jack Lang, grand militant de la cause féministe depuis trente ans. Ségolène Royal, qui se roule généralement par terre quand un mâle cligne de l’œil à une donzelle, a une première pensée pour la famille de Strauss-le-violeur ; rien évidemment pour la "négresse" qui a eu le mauvais goût d’exciter son excellence. BHL demande à la France et à l’Amérique si l’on peut sérieusement croire que DSK aurait pu être son ami s’il avait été un prédateur sexuel (être l’ami de BHL est une preuve de vertu, voire d’élection), Jean-François Kahn évoque un petit troussage de domestique sans intérêt, etc. Mitterrand, Polanski, Strauss : dès qu’un membre de l’élite vacille, la morale commune des autres membres disparaît dans la seconde au profit d’une solidarité de classe sans faille. La seule et unique conscience de classe se trouve là, et non ailleurs. Quant au beauf qui met la main aux fesses à sa collègue de travail, malheur à lui : l’élite éclairée ne plaisante pas avec le respect de la femme le concernant. On arrive petit à petit à la situation décrite dans Soleil Vert, ce merveilleux film de Richard Fleischer qui, en 1973, a magistralement anticipé la direction que prendraient les démocraties occidentales : les seigneurs du capitalisme pur en haut, enfin débarrassés des contraintes de la production, du travail, de la morale et des lois ; la masse abrutie en bas, affamée, réglementée, tenue en laisse, terrorisée par la télévision et la police.

    19 mai Réaction d’un militant socialiste du dix-huitième arrondissement de Paris devant les images de DSK menottés : « C’est pas un loubard sans éducation, c’est le responsable du FMI quand même ». Même les militants UMP du 16e arrondissement de Paris n’arriveraient pas à être aussi bourgeoisement crasse s’ils le voulaient.

    Quel symbole inouï que cette affaire quand on y songe : un milliardaire socialiste présidant le FMI qui s’en prend physiquement à une immigrée du Tiers-Monde !

    Service express : voici la photo carcérale que j’appelais de mes vœux publiée par le Daily News. La combinaison est bleue, les yeux du bagnard révulsés, l’air pervers et dément. Une belle affiche de campagne. « Votez Freak ».

    Impression de délitement formidable de tout. Affaire Bettencourt, viol de DSK : voici où nos élites sont tombées. Tout cela était inimaginable il y a encore vingt ans, époque où elles étaient pourtant déjà dans les égouts. A ce niveau, la seule manière de rebondir pour espérer pondre une élite qui sache se tenir dans vingt ans, semble malheureusement être la purge.

    20 mai Inculpation du "violeur" qui apparaît dans le prétoire, rasé, en costume, souriant à sa femme, presque détendu. Le juge le libère sous caution, moyennant quoi la bête portera un bracelet électronique. Le voilà rattrapé par cette modernité à laquelle il a travaillé toute sa vie. L’affaire se terminera vraisemblablement à l’américaine, avec un gros chèque à la violée. Je suis persuadé que ce dur-à-cuire tentera de rebondir, et pourquoi pas, de revenir dans la vie publique. Il a mis quatre jours à encaisser la fin de ses espérances et le gâchis de sa vie, ce qui témoigne d’une résistance exceptionnelle. A vrai dire l’homme semble indestructible, à moins d’une lourde condamnation à de la prison ferme.

    Je ne sais plus qui a dit qu’après le tremblement de terre viendra le tsunami. Je prévois un P.S. emporté par les flots, rasé, ratiboisé, un champs de ruines fumantes. Ce déni collectif auquel on a assisté va coûter très cher quand il sera établi que le crime a eu lieu, ce qui ne fait visiblement pas l’ombre d’un doute. Les Français vont alors comprendre de quelle glaise sont fabriqués « les grands principes sur lesquels on ne transige pas », et les socialistes apparaitront pour ce qu’ils sont. L’ennui, c’est que le deuxième tour de l’élection présidentielle de l’année prochaine se jouera probablement entre Marine Le Pen et le président sortant, ce qui signifie sans conteste un second mandat Sarkozy dont on risque tout simplement de crever. Ce sera alors : Adieu la France.


    Julien Jauffret (Le Blog du Choc du mois, 21 mai 2011)

     
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  • Droit de cuissage ?...

    Les élites mondialisées, comme dirait Eric Zemmour, pensent-elles bénéficier d'un droit de cuissage sur les "serfs" dont elles assurent la gouvernance ? C'est la question que l'on est en droit de se poser en prenant connaissance des brillantes "aventures" de DSK dans un hôtel de New York, à la suite desquelles il a été arrêté et placé en garde à vue pour agression sexuelle et tentative de viol sur la personne d'une femme de chambre...

    Ces événements, s'ils sont avérés, viendraient confirmer des rumeurs persistantes qui courrent sur ce personnage, directeur du FMI et candidat présumé à l'élection présidentielle,par ailleurs richissime grâce à la fortune personnelle de sa femme, la journaliste Anne Sinclair, qui se monte en dizaines de millions d'euros. On peut, par exemple, visionner cette intéressante vidéo mise en ligne il y a quelques mois par le site Agoravox...


    Les coulisses de la nouvelle affaire DSK par AgoraVox

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  • Politique : et si tout changeait ?...

    Le numéro 63 de Flash, le journal gentil et intelligent, nous propose un dossier consacré aux turbulences actuelles du système politique. On pourra y lire, notamment, une analyse d'Alain de Benoist ainsi que les points de vue de Pierre Le Vigan, de Pierre Hillard et de Philippe Randa. On retrouvera aussi les analyses géopolitiques de Christian Bouchet.

     

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    Au sommaire :

    Dossier : Centre décentré, extrêmes recentrés, Droite et gauche cul par dessus tête… Politique : et si tout changeait ?
    • De quoi la montée du FN est-elle le signe ? Alain de Benoist fait le point en page 3
    • Quand les intellectuels s’y mettent : Emmanuel Todd et Alain Cotta se lâchent. Page 4
    Pierre Hillard répond à nos questions en page 5
    Pierre Le Vigan et Philippe Randa analysent ces nouveaux clivages en page 11

    Du rififi dans les herbiers…
    Réglementation des médecines douces et des produits à base de plantes : est-ce pour protéger notre santé ou favoriser celle de l’agrobusiness ? Topoline s’inquiète en pages 6 & 7

    Parag Khanna, un néo-américain en Orient… Christian Bouchet nous présente le géopoliticien le plus écouté de Washington et s’interroge sur le printemps syrien. Page 8
    La Turquie, modèle ou pas… Mais modèle de quoi, au juste ? Après le voyage éclair de Sarkozy, Pierre Le Vigan fait le point. Page 10
    Philippe Pichon, le flic qui en savait trop. Et qui le disait ! Révélations en page 12
    “Le temps du dégoût a remplacé l’âge du goût” écrit Jean Clair dans l’Hiver de la culture. Jean-Claude Lauret a lu son livre et nous en parle en page 13
    La haute armure comme la haute couture : Le “bling bling” de la Renaissance ? Des chefs d’œuvre de 20 Kilos d’orfèvrerie. C’est à voir aux Invalides et en page 14.
    Cinéma : l’avance sur recettes réservée à la Rive gauche et rien pour le cinéma populaire… David Valéry s’insurge en page 16

    Et rapide, en ligne, et en toute sécurité, abonnement sur le site : http://www.flashmagazine.fr/abonnement/

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  • RFID, la police totale...

    Vous pouvez visionner ci-dessous un passionnant petit film consacré à la technologie des puces RFID et à son rôle dans le dispositif de surveillance globale qui se met en place insidieusement...

     

    RFID LA POLICE TOTALE from SUBTERFUGE on Vimeo.

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