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olivier maulin - Page 8

  • Les idées à l'endroit !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la nouvelle émission d'idées de TV Libertés, populisme, intitulée Les idées à l'endroit et animée par Alain de Benoist et Olivier François. Ce premier débat est consacré au populisme, avec autour de la table Jean-Yves Camus, politologue et spécialiste des droites radicales, Vincent Coussedière, auteur d’Éloge du populisme (Elya, 2012), Charles Robin, auteur de La gauche du capital ( Krisis, 2014) et Olivier Maulin, romancier, auteur de Gueule de bois (Denoël, 2014).

     

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  • Kléber Haedens et quelques écrivains au milieu des ruines...

    Le quinzième numéro de la revue Livr'arbitres est en vente et comporte un dossier consacré à Kléber Haedens et un autre présentant un choix d'écrivains debout au milieu des ruines

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Editorial

    Plaisirs solittéraires

    Actualités

    La révolution de son balcon

    Portrait

    Kléber Haedens

    Biographie

          Henri Fauconnier, écrivain aventurier

    Domaine étrager

    Scandale mineur

    Un roman immense et rouge

    Clio

          Georges Albertini

    Polémiques

           L'antilepénisme primaire décrypté

    Réflexions

            François Cheng

            Jean d'Ormesson

    In mémoriam

            Charles Péguy

            Antoine de Saint-Exupéry

    Dossier

           Des écrivains au milieu des ruines : Rémi Brague, Renaud Camus,Vladimir Kozlov, Jean-Jacques Langendorf, Erik L'Homme, Olivier Maulin

    Nouvelles

    Carnet de route

             Au pays des Guilloux

    Carte postale

    Au théâtre ce soir !

    D'une image un film

    Poésie

     

     

     

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  • Gueule de bois...

    Les éditions Denoël publient cette semaine Gueule de bois, le nouveau roman d'Olivier Maulin. Païen, anar de droite, anti-moderne, Olivier Maulin est l'auteur de romans truculents et rigolards comme En attendant le roi du monde (L'esprit des péninsules, 2006), Les évangiles du lac (L'esprit des péninsules, 2008), Petit monarque et catacombes (L'esprit des péninsules, 2009), Les Lumières du ciel (Balland, 2011) et  Le Bocage à la nage (Balland, 2013), qu'il a su peupler de personnages farfelus et attachants, toujours en rupture de ban avec une société qui n'est pas la leur. On notera qu'il a également réalisé une incursion sur les terres du polar politique avec un roman bien ficelé et percutant intitulé Le dernier contrat (La Branche, 2012), qui se déroule (prémonition ?...) dans une France en pleine révolte populaire... Par ailleurs, Olivier Maulin anime à Paris, avec Romaric Sangars, un cabaret littéraire nommé le Cercle Cosaque...

     

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    " Tout commence par une gigantesque nuit d’ivresse. Pierre, journaliste pour le magazine Santé pour tous, boit un coup avec un collègue après s’être rendu à une conférence de presse. De plus en plus ivres, ils défilent de bar en bar et leur groupe s'agrandit. Entre Fanfan, grand dépressif, Ollier, alcoolique désabusé, Bassefosse, critique d’art sur le carreau, et Pierre, lui-même enclin à la folie douce, la bande va vivre des aventures absurdes et délirantes. Ces pérégrinations, qui oscillent entre farce rabelaisienne et parodie du milieu mondain et littéraire parisien, offrent aussi une réflexion existentielle et lucide, aux antipodes du politiquement correct, sur notre société trop policée. À l’instar d’un Michel Audiard ou d’un Frédéric Dard, Olivier Maulin n’a pas son pareil pour parler de son temps en dézinguant à tout va, avec la plus grande humanité. Un véritable rugissement littéraire. "

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  • On cause de Dieudonné... et de Jünger !

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    Le numéro de février 2014 du mensuel Causeur est en kiosque.

    La revue d'Elisabeth Lévy n'a pas refusé l'obstacle et aborde de front l'affaire Dieudonné. L'effort est méritoire, mais le résultat n'est pas convaincant. On notera cependant que l'entretien avec Dieudonné, un des seuls dans la presse française, montre au moins que l'intéressé n'a pas grand chose à voir avec un penseur de droite, ou d'extrême droite. Pour le reste, l'exercice d'autoflagellation de Jérôme Leroy ("Du balai ! Mais devant ma porte aussi...") est un peu consternant et l'article de Jacques de Guillebon sur Soral ("Voyage en Soralie") parfaitement faux-cul (il mérite donc sa crucifixion sur le site d'A moy que chault...). En revanche, Olivier Maulin, qui aborde le vrai sujet de l'affaire, livre un papier brillant ("Ai-je encore le droit de rire avec Dieudonné")...

    Dans la partie Actualités, à côté de deux articles intéressants sur la situation en Syrie et d'un article de Jean-Luc Gréau ("Un euro trop fort dans une Europe trop faible"), on trouve un article de Morgan Karim Lebsir ("Etats-Unis, le Grand Satan des manuels scolaires") et un de Luc Rosenzweig ("Justice pour Ariel Sharon !") qui laissent songeurs...

    Heureusement, figure également un petit dossier sur Ernst Jünger, qui comporte des articles de Daoud Boughezala ("Ernst Jünger, cent deux ans de solitude") et de Romaric Sangars ("Modernité et barbarie") ainsi qu'un entretien avec Julien Hervier (Jünger, un héros d'un autre temps").

     

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  • Bienvenue dans un monde sans frontière...

    Nous reproduisons ci-dessous un excellent article de Romaric Sangars, cueilli sur Causeur et consacré à l'attaque par des djihadistes d'un centre commercial de Nairobi...

    Romaric Sangars anime avec Olivier Maulin le Cercle Cosaque.

     

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    Prise d’otages de Nairobi : la Charia contre le Marché

    Si le XXème siècle a été traversé par une grande « guerre civile européenne » (selon l’expression d’Ersnt Nolte), en deux phases, mutant ensuite en une guerre mondiale Est-Ouest verrouillée par le feu nucléaire, le XXIème siècle est entré dans une phase de guerre civile mondialisée, et les récents événements au Kenya en sont un symptôme extraordinairement révélateur. Dans un supermarché – métaphore assez littérale de ce que la planète est en passe de devenir -, des civils européens ont été abattus par des jihadistes européens au nom d’une idéologie politico-religieuse d’origine arabo-musulmane, au sein d’un pays d’Afrique noire qui représentait un lieu de tourisme pour certaines victimes, de terrorisme pour les bourreaux, l’assaut ayant été relayé en temps réel sur Twitter, afin que son écho médiatique soit mondial. Comment résumer plus éloquemment la nature du conflit où nous sommes sommés jetés ?

    Ce massacre doit être au moins l’occasion du procès d’un certain nombre de lieux communs débiles qui pourrissent depuis trop longtemps dans la pensée dominante. Cette pensée est manichéenne, simpliste, benoîtement optimiste, bref : criminelle. Elle supposait, avec une naïveté touchante, que la relativisation ou la disparition des frontières nationales, signifierait mécaniquement la fin des guerres sous l’égide bienveillante de l’ONU. Résultat : la guerre ne se déroule presque plus entre nations – peut-on appeler « guerre » au sens classique les opérations de gendarmerie menées par les Occidentaux ? -, non, la guerre est civile et elle est mondiale. On chantait les bienfaits de la circulation accélérée des individus sur toute la planète et des nombreux échanges rendus possibles grâce au réseau Internet. Oui, mais cela signifie également la potentielle omniprésence fantôme de l’ennemi, et la diffusion exponentielle des haines. On se pâmait devant la symbolique du métissage, en tant que dissolution des différences par la grâce de l’amour. Le couple mixte qu’a formé la « Veuve blanche » avec son djihadiste de mari, l’a mené à assassiner ses compatriotes, sans distinction de races, au nom de l’universalisme islamique. United colors of total war.

    Oui, décidément, il y a quelque chose de pourri dans le village global. Nous qui ne sommes pas bêtement « progressistes » nous nous doutions bien qu’un phénomène – comme celui de la mondialisation -, n’est jamais innocent, et porte toujours son revers, et que là où un certain Bien semble s’affirmer, le mal mute. Aussi ne sommes-nous pas tellement étonnés. Mais permettez tout de même que nous expliquions aux mondialistes béats que si cette guerre présente gagne en intensité, alors sans doute nous n’aurons plus d’armée aux frontières, pas la moindre ligne Maginot, non, mais un flic ou une caméra dans chaque rue et un ennemi dans chaque immeuble. S’il n’y a plus de front, le front est partout. Si nous sommes tous « citoyens du monde », cela implique que désormais, toute guerre sera civile. C’est-à-dire, selon Pascal : le pire des maux.

    Moi qui ne suis pas un « citoyen du monde » au sens où ils emploient cette expression, mais un Français héritier de 2000 ans d’Histoire, c’est avec un dédain parfaitement aristocratique que j’observe les bannières des camps en présence, m’interrogeant seulement : « Reste-t-il une voie entre la Charia et le Marché ? » Les deux idéologies sont des hérésies en miroir. La seconde adore un argent devenu bien trop abstrait, la première un esprit franchement lourd, si temporel, tellement littéral. J’ai la nostalgie d’une âme dans un corps. Une culture singulière au sein d’une géographie définie. J’ai la nostalgie de la forme nationale, parce qu’elle est à taille humaine, parce qu’elle est une grande personne avec son tempérament propre, son passé, ses drames, parce qu’on peut la voir, la cerner, parce qu’elle est plus facilement bridée dans ses volontés hégémoniques. Bien entendu, défendre aujourd’hui la forme nationale ne pourrait se faire qu’à condition de s’adapter au paradigme actuel, de viser une sorte d’Internationale des peuples souverains et des cultures, tel que Dominique de Roux voulut le faire avec son « gaullisme révolutionnaire » auquel les gaullistes de son temps n’ont pas compris grand-chose. La France pourrait justement, dans cette optique, jouer un rôle de premier ordre, en tant que modèle, par excellence, de la « vieille nation historique ». Oui, mais pour cela, il faudrait déjà qu’elle se souvienne qu’elle existe.

    Romaric Sangars (Causeur, 27 septembre 2013)

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  • L'Europe des pèlerinages...

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    Le numéro de juillet-août 2013 de la revue Le spectacle du monde est en kiosque.

    Le dossier est consacré à l'Europe des pèlerinage. On pourra y lire, notamment, des articles de Philippe Conrad ("Une tradition universelle immémoriale " ), de Mathilde Tingaud ( "Procession sacrées des Hellènes" ), de François-Laurent Balssa ("Les grandes heures de Saint-Jacques-de-Compostelle"), d'Olivier Maulin ("Le pèlerin médiéval" ; "Saint-Jacques, le renouveau" ), de Gabriel Rivière (Compostelle, les routes du roman), d'Yves-Marie Bercé ("Le rayonnement de la Madone de Lorette") ou de Yves de Treseguidy ("Le Tro Breiz, périple sacré des Bretons") ainsi qu'un entretien avec Jean-Christophe Rufin ("Le chemin est une alchimie du temps sur l'âme").

    Hors dossier, on pourra aussi lire des articles de Michel Mourlet ("Le Nôtre, jardinier suprême"), de Jean-François Gautier ("Wagner-Verdi. Les deux géants de l'opéra romantique"), d' Alain de Benoist ("Wagner et la France. Passions partagées"), de François Bousquet ("Cendrars. La légende est immortelle"), de Philippe Barthelet ("René Guénon. L'unité de l'esprit"), de François-Laurent Balssa ("Jacques Perret, flibustier du roi") ou de Henri Soldani ("Max Ernst, peintre des illusions"). Et on retrouvera aussi  les chroniques de Patrice de Plunkett ("Le monde est dans la rue") et d'Eric Zemmour ("Par chasseurs interposés").

     

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