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nicolas gauthier - Page 6

  • Delon, Belmondo, une épopée française...

    Le magazine Valeurs actuelles publie un numéro hors-série intitulé  Delon, Belmondo, épopée française. Un superbe numéro d'été sur le parcours et les films des deux géants du cinéma français, avec des articles d'Arnaud Folch, de Nicolas Gauthier et de Bruno Larebière.

     

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    " Plus d’un siècle de carrières cumulées, près de deux cents films, 300 millions de spectateurs… C’est à nos deux derniers “monstres sacrés” du cinéma qu’est consacré notre hors-série d’été. L’occasion de revisiter côté coulisses leur extraordinaire filmographie, de se replonger dans l’histoire glorieuse du 7ème art français, de ses acteurs de légende (Jouvet, Fresnay, Gabin…), mais aussi de cette “certaine idée de la France” incarnée dans la vie et à l’écran par ces deux comédiens ayant débuté dans les années 1950 : culte de l’amitié virile, code d’honneur, amour des femmes… Préface de François d’Orcival. Inclus : “Alain, Jean-Paul et moi…”, par Brigitte Bardot. "

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  • De l'air, de l'air !...

    Une semaine de plus de confinement et on étouffait. Il était temps d’en sortir. Et de sortir. Suivez les rédacteurs d’Éléments, en attendant de les retrouver bientôt sur les plateaux de TVLibertés. David L’Épée face au dilemme des masques, Nicolas Gauthier et un hommage en chanson du professeur Raoult, Christophe A. Maxime et la nostalgie des vieilles émissions et des vieux livres. Le rendez-vous rock de la rédaction d’Éléments…

     

                                          

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  • Le confinement, un test de docilité grandeur nature ?...

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque les choix gouvernementaux face à la crise sanitaire. Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Ce que penser veut dire (Rocher, 2017) et Contre le libéralisme (Rocher, 2019).

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    Alain de Benoist : « Même au Moyen Âge, le confinement des bien-portants n’a jamais permis d’endiguer une épidémie ! »

    Aujourd’hui que les choses paraissent en voie d’apaisement, peut-on dire que le gouvernement, même si manifestement pris de court, en a trop fait ou pas assez face à l’épidémie, ou juste fait comme il pouvait ?

    Il n’y a pas d’autre mot pour le dire : la réaction des pouvoirs publics face au Covid-19 a été proprement calamiteuse. Cinq mois après le début de l’épidémie, nous n’avons toujours pas atteint la capacité de dépistage que nous aurions dû avoir lorsque les premiers morts sont apparus. Le gouvernement s’est d’abord réfugié dans le déni (ça ne viendra pas chez nous, c’est une grippette), après quoi nous avons assisté à un incessant défilé de cafouillages, de consignes contradictoires et de mensonges d’État. Rien n’avait été prévu, alors que des voix nombreuses s’étaient élevées, ces dernières années, pour laisser prévoir une nouvelle pandémie venue d’Asie. La cause première réside dans l’incapacité des pouvoirs publics à raisonner au-delà du court terme. Mais la cause la plus fondamentale est que, pour se conformer aux règles de l’idéologie libérale, on a voulu soumettre le secteur de la santé publique à des principes de rentabilité, de concurrence et de gestion à flux tendu qui ont entraîné la fermeture de milliers de lits, la destruction de stocks de réserves, la précarisation croissante d’un personnel déjà sous-payé. En d’autres termes, nous avons intégré au système du marché un domaine qui est, par définition, hors marché. Le résultat a été un effondrement généralisé des capacités de l’hôpital public.

    Ce n’est certes pas une révélation. Cela fait des années que le personnel hospitalier multiplie les alarmes, sans jamais être entendu. Aujourd’hui, Macron et ses clones se confondent en remerciements envers les soignants. Il aurait mieux valu leur donner les moyens de travailler et faire droit à leurs justes revendications.

    Même au Moyen Âge, le confinement des bien-portants n’a jamais permis d’endiguer une épidémie. De ce point de vue, le confinement généralisé a d’abord été un aveu d’impuissance : on a confiné tout le monde parce que l’on n’avait ni masques (qu’on a d’abord décrétés « inutiles », avant d’en rendre le port quasiment obligatoire), ni tests de dépistage, ni matériel de réanimation, ni outillage d’assistance réanimatoire. En Europe, les pays les mieux équipés sont aussi ceux qui ont le moins confiné. Puis, quand on a commencé à déconfiner, on a adopté toute une série de réglementations punitives parfaitement loufoques. Plutôt que de faire face, le gouvernement s’est retranché derrière l’avis des « scientifiques », alors que ceux-ci n’étaient pas d’accord entre eux. Bref, on a subi. Et ce n’est sans doute pas fini.

    Au-delà des considérations techniques, n’avons-nous pas assisté à un nouveau pas en direction d’une sorte de société de la trouille généralisée, avec l’intériorisation du principe de précaution, lequel peut avoir tendance à nous faire troquer un semblant de sécurité contre des privations de libertés autrement plus tangibles ?

    Depuis que l’on a posé comme synonymes le bonheur et l’allongement de la vie, il est bien connu que les gens sont prêts à accepter presque n’importe quoi en échange d’une promesse de sécurité. Sans tomber dans le conspirationnisme, il est clair que le confinement a aussi constitué un test de docilité grandeur nature. On a pu évaluer dans quelles conditions il était possible d’amener les gens à devenir leurs propres geôliers. Parallèlement, en prétextant l’état d’urgence sanitaire, on a adopté de nouvelles mesures de surveillance et de contrôle qui ont toutes chances d’être pérennisées en étant intégrées au droit commun. Les mesures adoptées dans le passé pour lutter contre le terrorisme ont pareillement fini par concerner toute la population. Chaque donne ainsi l’occasion de donner un tour d’écrou.

    Nombre de commentateurs glosent sur le « monde de demain ». Pensez-vous qu’une simple épidémie puisse suffire à remettre en cause les fondements du système actuel ? En d’autres termes, le capitalisme mondialisé devra-t-il revoir son logiciel ou a-t-il encore assez de ressources pour se perpétuer sans rien changer à son fonctionnement historique ?

    Aucune épidémie ne peut, à elle seule, provoquer une révolution politique, et moins encore la disparition d’une idéologie dominante. Il est, d’autre part, évident qu’on rêve debout quand on s’imagine que « rien ne sera plus comme avant ». Ceux qui souhaitent que rien ne change disposent de moyens énormes pour y parvenir. Mais la remise en route ne va pas se faire aisément. Ici, ce n’est pas l’épidémie qui compte, mais ce qui va se produire ensuite. Des secteurs entiers de l’activité économique sont d’ores et déjà sinistrés, et beaucoup ne vont pas s’en remettre. Le gouvernement indemnise pour l’instant le chômage partiel, mais cela n’aura qu’un temps. Durant l’année qui vient, ou plus probablement les deux années qui viennent, on peut s’attendre à d’innombrables faillites et plans de licenciement. Le chômage va remonter en flèche. La crise économique et sociale peut, elle-même, déboucher sur une crise financière de première ampleur. L’Europe est déjà entrée en récession, et pour éponger les aides d’urgence auxquelles il a dû consentir, l’endettement de l’État va atteindre une hauteur stratosphérique. Tout cela devrait aboutir à une colère sociale en comparaison de laquelle le mouvement des gilets jaunes apparaîtra rétrospectivement comme peu de choses.

    Vivant moi-même plus ou moins confiné depuis plus de trente ans, le confinement n’a pas changé grand-chose à mon mode de vie ! Mais pour les classes populaires, qui se sont retrouvées assignées à résidence pendant deux mois, le confinement a été insupportable. Ce sont ces mêmes classes populaires qui ont permis au pays de continuer à fonctionner, ce qui a permis de constater, une fois de plus, que ce sont les fractions les plus indispensables de la population qui sont aussi les plus mal payées. La crise économique qui s’annonce va aussi les frapper de plein fouet. Les conséquences sont encore imprévisibles, mais elles devraient être énormes.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 26 mai 2020)

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  • Déconfinement, le jour se lève…

    Assigné à résidence, le bipède social dépérissait. Il attendait le feu vert du gouvernement pour se dégourdir de nouveau les jambes et la langue. C’est fait. Déconfinons-nous avec la rédaction d’Éléments, à l’occasion de son rendez-vous hebdomadaire sur TV Libertés. Retrouvez Christophe A. Maxime qui en appelle au retour des grands ancêtres. Nicolas Gauthier, le Monsieur bons plans du post-confinement. David L’Épée et le coronavirus dans les films de zombies…

     

                                         

     
     
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  • Le feu qui couve sous le couvre-feu...

    Le confinement vire à la réclusion forcée. Rompons-la avec la rédaction d’Éléments. Retrouvez ses rédacteurs à l’occasion de leur rendez-vous hebdomadaire sur TV Libertés. François Bousquet et les « métiers de merde » à l’épreuve de la crise. Christophe A. Maxime et l’incroyable beauté de Paris sans âmes qui vivent. Nicolas Gauthier et les bons plans du confinement…

     

                                           

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  • Covid-19 : Macron s'en va-t-en guerre, Eléments fait le bilan !...

    En congé forcé pour cause de confinement, Le Plus d'Éléments n'en est pas pour autant au chômage partiel. Retrouvez ses journalistes pour un rendez-vous hebdomadaire sur TV Libertés. Billets d'humeur et nouvelles perspectives sont au programme avec dans ce numéro, Nicolas Gauthier, François Bousquet et Bruno Lafourcade !

     

                                  

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