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nazisme - Page 4

  • Feu sur la désinformation... (162)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Clichy : ici c'est l'islam !
      Prières de rues à Clichy, les élus manifestent contre l’occupation illégale de l’espace public. 8 mois que la situation perdure, les médias se réveillent enfin et prennent la défense des musulmans. La prière du vendredi aurait été « perturbée » par les élus.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Pour Jade Lindgaard, l’islamisme n’est pas grave. Dans l’émission « C l’hebdo » sur France 5, samedi 11 novembre, le journaliste de Médiapart a déclaré « l’islamisme en tant que tel, n’est pas, en soi, une chose grave. L’islamisme est un phénomène qu’il faut comprendre et expliquer ». Une pensée qui devrait plaire aux journalistes de Charlie Hebdo, actuellement en conflit avec Médiapart. Les familles des 12 victimes de janvier 2015 seront ravis d’entendre que l’islamisme en tant que tel n’est pas grave.

    • 3 : Audience radio : Médiamétrie juge et partie
      Médiamétrie diffuse les audiences des radios pour l’année 2016-2017. C’est la douche froide pour Europe 1 qui perd 10% d’auditeurs en 1 an. Mais qui est Médiamétrie ? Par qui est-il tenu ? Comment fait-il ses sondages ?
    • 4 : Les tweets de la semaine
      La presse tenue par les publicitaires : Bernard Arnault propriétaire de LVMH sanctionne le journal Le Monde après les révélations dans le cadre de l’affaire Paradise Paper. Une perte de 600 000 euros pour le journal.
    • 5 : Pologne : Tout le monde il est « nazi » !
      Marche de l’indépendance à Varsovie, 60 000 polonais ont défilé pour commémorer l’indépendance du pays. Pour les médias, les faits sont simples : 60 000 nazis ont manifesté le 11 novembre. C’est le bobard par amalgame.

     

                                     

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  • Ernst Nolte et les fondements historiques du national-socialisme...

    Les éditions Desclée de Brouwer viennent de rééditer un ouvrage d'Ernst Nolte, désormais classique, Les fondements historiques du national-socialisme, dans une nouvelle traduction assurée par Philippe Baillet. Historien et philosophe, élève d'Heidegger, Ernst Nolte a étudié le phénomène totalitaire à travers le bolchévisme, le fascisme et le nazisme. Il est notamment l'auteur du Fascisme dans son époque (Bouquins, 2008) et de La guerre civile européenne 1917-1945 (Perrin, 2011), ouvrage important qui a suscité de très vifs débats lors de sa parution.

     

    Nolte_Fondements historiques du national -socialisme.jpg

    " Auteur de livres célèbres sur les guerres mondiales, civiles et idéologiques du xxe siècle, Ernst Nolte tente ici de caractériser et de définir les fondements historiques du national-socialisme. Il démontre que ni Hitler ni son mouvement ne peuvent être pensés comme un phénomène simplement « produit » par les circonstances, même exceptionnelles, au sein desquelles ils sont apparus et ont pu prendre les aspects que nous leur connaissons.
    Selon Nolte, le plus grand danger historiographique consiste à réinterpréter les circonstances de départ à la lumière de leur point d'arrivée. Il renverse l'analyse et tourne son attention vers les racines de tous les thèmes idéologiques et historico-politiques qui se sont nourris, avec une efficacité et une virulence extraordinaires, de ces circonstances. La diffusion dans la société (pas uniquement allemande) de l'antisémitisme, du darwinisme social, du nationalisme à base raciale et du bolchevisme ; leur nature idéologique ; leur déformation ultérieure dans l'idéologie de Mein Kampf, etc. : tels sont les grands thèmes d'un ouvrage où se déploie l'analyse noltienne des fondements du national-socialisme. "
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  • Les snipers de la semaine... (138)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur RussEurope, Jacques Sapir allume Le Monde et son Decodex orwellien...

    Déconnant DECODEX

    Decodex.jpeg

    - sur Figaro Vox, Eloïse Lenesley  dézingue la presse bobo qui hurle au nazisme depuis l'élection de Trump...

    Trump, ce «facho» que les bobos adorent haïr

    Trump_Inrocks.jpg

    - sur son blog Hashtable, H16 et Nathalie MP rafalent sur Macron, "la nouvelle frimousse « hors-système » choisie par le « système »"...

    Avec Macron, le changement, c’est mollement ♪♥

    Macron 3.jpg

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  • Une révolution culturelle nazie ?...

    Les éditions Gallimard viennent de publier un recueil d'essais de Johann Chapoutot intitulé La révolution culturelle nazie. Historien, spécialiste de l'Allemagne, Johann Chapoutot est l'auteur de deux ouvrages importants sur le national-socialisme, Le national-socialisme et l'antiquité (Puf, 2008) et La loi du sang (Gallimard, 2015).

     

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    " Pour les nazis, la «culture» était à l’origine la simple transcription de la nature : on révérait les arbres et les cours d’eau, on s’accouplait, se nourrissait et se battait comme tous les autres animaux, on défendait sa horde et elle seule. La dénaturation est intervenue quand les Sémites se sont installés en Grèce, quand l’évangélisation a introduit le judéo-christianisme, puis quand la Révolution française a parachevé ces constructions idéologiques absurdes (égalité, compassion, abstraction du droit…).
    Pour sauver la race nordique-germanique, il fallait opérer une «révolution culturelle», retrouver le mode d’être des Anciens et faire à nouveau coïncider culture et nature. C’est en refondant ainsi le droit et la morale que l’homme germanique a cru pouvoir agir conformément à ce que commandait sa survie. Grâce à la réécriture du droit et de la morale, il devenait légal et moral de frapper et de tuer.
    Avec ce recueil d’études, Johann Chapoutot parachève et relie le projet de deux de ses livres précédents, Le National-socialisme et l’Antiquité (2008) et La Loi du sang : penser et agir en nazi (2014). En approfondissant des points particuliers, comme la lecture du stoïcisme et de Platon sous le IIIe Reich, l’usage de Kant et de son impératif catégorique ou la réception en Allemagne du droit romain, il montre comment s’est opérée la réécriture de l’histoire de l’Occident et par quels canaux de telles idées sont parvenues aux acteurs des crimes nazis. "

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  • la promesse de l'Est...

    Les éditions du Seuil viennent de publier une étude de Christian Ingrao intitulée La promesse de l'Est - Espérance nazie et génocide 1939-1943. L'auteur est, sans doute, avec Johann Chapoutot, un des meilleurs spécialistes  français de l'histoire du IIIe Reich. On lui doit notamment Croire et détruire (Fayard, 2010),  une étude sur le parcours des élites du SD et de la SS, ainsi qu'un essai étonnant, intitulé Les chasseurs noirs (Perrin, 2006) et consacré à la Brigade Dirlewanger, unité spéciale de la Waffen SS, spécialisée dans la lutte contre les partisans et recrutée parmi les condamnés pour braconnage...

     

    promesse de l'est.jpg

    " Comment les nazis ont-ils rêvé leur victoire et le "Reich de mille ans" ? Entre 1939 et 1943, l'utopie impériale nazie connut des débuts de réalisation dans les espaces conquis à l'Est, brutalement vidés de leurs habitants, déplacés, réduits en esclavage et, pour les juifs, ainsi que de nombreux Slaves, assassinés. Elle eut ses ingénieurs, ses agences et ses pionniers (pas moins de 27000 jeunes Allemands). Elle suscita ferveur et adhésion. Dans le Reich de mille ans aux frontières élargies par la conquête, une communauté racialement pure vivrait bientôt une existence réconciliée de prospérité sereine. Christian Ingrao examine pour la première fois, dans leur cohérence et dans leurs tensions, le travail des différentes institutions, le parcours des hommes et des femmes qui y ont pris part, l'ampleur des planifications successivement dessinées. Il poursuit une anthropologie sociale de l'émotion nazie et dévoile, à côté de la haine et de l'angoisse, la part de la joie et de l'attente-deux faces d'une même réalité. L'espérance nazie fut le cauchemar des populations. C'est ce que révèle crûment l'étude des violences déchaînées à l'échelle de la région de Zamosé, aux confins de la Pologne et de l'Ukraine. Un grand livre, qui porte sur l'un des aspects les plus méconnus du nazisme. "

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  • Propos intimes et politiques d'Adolf Hitler... (2)

    Les éditions Nouveau Monde terminent leur publication, sous la direction de l'historien François Delpla, des Propos intimes et politiques d'Adolf Hitler. Après un premier tome couvrant la période 1941-1942, le second se poursuit de 1942 jusqu'à la fin 1944. Cette édition, qui est assortie de notes explicatives et de commentaires se veut la première complète en français des propos de table du Führer.

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    " A défaut d'avoir écrit ses Mémoires, Hitler a légué une série de textes consacrés à sa personne privée et politique. Edités pour la première fois dans une traduction fidèle, ces Propos se composent des notes prises entre 1941 et 1944 au quartier général du Führer, dans un cadre informel mêlant amis intimes et proches collaborateurs. Les harangues consacrées à l'expansion du Reich y sont ponctuées de récits de jeunesse, de considérations personnelles sur l'art, la culture, les femmes. La traduction de François Delpla jette un éclairage nouveau sur ce recueil. Les notes compilées ne font pas qu'égrener les laïus délirants d'un dictateur mégalomane. Elles participent de la matrice idéologique du Troisième Reich, prolongeant Mein Kampf en un véritable traité de philosophie despotique. Le Führer y construit sa légende, disséquée à chaque page par le commentaire historique qui met à nu l'imposture intellectuelle du "Mal" nazi. Parfois lucide, Hitler contrefait souvent la réalité à dessein. Mais il laisse aussi entrevoir ses égarements, ses obsessions et ses marottes. Alors que le rapport de forces bascule, les propos sur l'actualité militaire se raréfient et la nostalgie se fait sentir. Le fauteur de guerre se prend à rêver de paix, entre deux diatribes. Au mépris des réalités géopolitiques, l'obsession racialiste d'un Reich continental qui ferait pendant à l'empire britannique émaille ce second tome jusqu'à l'aveuglement, entraînant la suspension de la prise de notes le 7 septembre 1942. Elle ne reprendra sporadiquement qu'en juin 1943 pour s'achever le 30 novembre 1944, cinq mois jour pour jour avant la mort du dictateur. "

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