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jean-yves le gallou - Page 68

  • Feu sur la désinformation... (138)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Intronisation de Macron – orgasme médiatique

      Intronisation d’Emmanuel Macron, il faut commenter les images, c’est l’extase des experts et journalistes. Tout y est passé : la séquence Harlequin, la séquence Vuitton (le tailleur bleu de Madame) et la séquence Kennedy, toujours le tailleur, qui rappelait celui de Jackie Kennedy… il y a 56 ans. Mais Macron pour les médias (républicains !), c’est aussi l’homme qui incarne le corps du roi, qui protège et que la pluie n’atteint pas. Plus qu’une intronisation, nous avons assisté à un sacre, le sacre d’Emmanuel premier, protecteur de la nation, roi thaumaturge.

    • 2 : Le zapping d’i media

      Toujours la propagande sur les « migrants qui « fuient la guerre », forcément… alors qu’il s’agit d’hommes jeunes ayant laissé sur place les femmes, les enfants, les parents. Sophia Aram joue au commissaire politique à l’occasion de la « Journée contre l’homophobie ». C’est le retour de « la cage aux phobes » de Philippe Muray. Pascal Praud , lui, décrypte le nouveau gouvernement : l’énarchie reste en place , ouf !

    • 3 : Après Pujadas, l’horreur Lapix

       Bye bye Pujadas : le présentateur du journal de 20 heure de France 2, victime de la discrimination de Delphine Ernotte, la directrice de France télévision. « Il y a trop d’hommes blancs de plus de 50 ans ». Place à la diversité, place aux femmes, place à Anne Sophie Lapix.

      En fait , il fallait faire partir Pujadas pour céder la place à Anne-Sophie Lapix, grande figure médiatique à la charnière du monde des affaires qu’elle reçoit chaque semaine , chez elle, avec son mari Arthur Sadoun, patron de publicis et financier de Terra nova. Bref un puputsch du CAC 40 et des pubards. Lapix ? C’est aussi une journaliste incisive et militante qui, dès début 2012, avait  montré qu’il fallait attaquer le FN sur son programme économique.

    • 4 : Les tweets d’I-Média

      « Il y a des écarts d’âge transgressifs »,  « c’est un enseignant , il avait des devoirs et des obligations spécifiques » : un procureur requiert sévèrement contre un enseignant qui a séduit une élève de 23 ans plus jeune que lui. Ça ne vous rappelle rien ? Mais le couple Macron (14 ans pour l’un , 38 ans pour l’autre lors de sa formation) a lui été glamourisé.  Selon que vous serez puissant ou misérable , vous serez angélisé ou diabolisé ! BFMTV se surpasse et annonce « un gouvernement exemplaire » … 24 heures avant sa formation. Valeurs actuelles publie un entretien avec Marion Maréchal Le Pen. A l’opposé d’une campagne présidentielle rase-moquette un texte d’une grande hauteur de vue. A ne pas manquer !

    • 5 : Empire médiatique : le cas Drahi

      A qui appartient la presse française ? Jean Yves le Gallou vous dépeint l’empire industriel de Drahi, entrepreneur et propriétaire de presse. L’homme qui a fait Macron.

    • 6 : Coup de chapeau à Faits et documents

      Coup de chapeau à Faits et documents, la lettre confidentielle fondée par Emmanuel Ratier. Un portrait très complet de Mimi Marchand qui contrôle les images des « people » et qui s’est occupée du couple Macron.

     

                                

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  • Feu sur la désinformation... (135)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Soirée électorale, le sacre de Macron
      Mise en scène et intronisation de Macron comme nouveau président. Entre favori du premier tour et futur président, pour les médias, le pas est franchi. Pour le journaliste politique de France 2, Jeff Wittenberg il n’y a pas de doute « on a l’impression de voir un président élu, et c’est assez impressionnant ». Cette impression, il en est l’auteur, il l’a fabriquée via les images diffusées : Les motos étaient de sortie pour suivre Emmanuel Macron. Ce type d’escorte était jusqu’alors réservé au vainqueur du second tour de la présidentielle.
    • 2 : Le zapping d’I-média
      France inter s’enfonce un peu plus dans le politiquement correct : pour le journaliste Bruno Donnet, la chaine C8 a apporté son soutien à Marine Le Pen en diffusant, un spectacle des Chevaliers du Fiel, à 48 heures du 1ertour de l’élection présidentielle. Le comédien a fait huer par les spectateurs l’ensemble des candidats, sauf… Marine Le Pen. Pour les journalistes de France inter, la dénonciation est facile et le diable se cache dans les détails.
      Pierre Emmanuel Barré quant à lui est privé d’Antenne. L’humoriste de France inter désirait défendre le point de vue des abstentionnistes. Nagui producteur et animateur de l’émission a tout simplement refusé le billet car : « encourager l’abstention, c’est faire le jeu du FN ».

    • 3 : Macron à Whirlpool : BFM sauve la mise
      Whirpool, sujet de l’attention des candidats, Marine Le Pen comme Emmanuel Macron ont rendu visite à l’usine en cours de fermeture. L’accueil des ouvriers s’est avéré houleux pour le candidat du mouvement en Marche, heureusement BFM est là pour sauver la mise.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      La presse papier s’engage et vous donne des consignes de votes : Pour le premier et le second tour de l’élection présidentielle, les journaux y sont allés de leurs avis. Pour le Figaro : François Fillon est le seul candidat à avoir un bon programme. Pour Libération il faut lutter contre le « poison du FN ». Enfin, le Parisien vend le candidat d’En Marche, comme la « sensation Macron ». Sensation, un mot très largement utilisé par les publicitaires.
    • 5 : Facebook et Google à l'assaut de l'information
      Festival international du journalisme à Peruse, les 2 sponsors novateurs, Google et Facebook, ont annoncé des mesures importantes pour contrôler l’information. Place à la moraline, adieu neutralité du net !

     

                                   

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  • Feu sur la désinformation... (134)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Les sondages se trompent-ils ou vous trompent-ils ?
      Election présidentielle, les instituts de sondages donnent leur classement des 11 candidats. Malgré le Brexit et l’élection de Donald Trump, les observateurs n'ont pas retenu la leçon. Ils se basent encore et toujours sur ces chiffres et façonnent ainsi l’opinion. Une influence des sondages trop importante qui fausse le jeu démocratique.
    • 2 : Le zapping d’I-média
      A quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, Macron envoie des messages vocaux à des dizaines de milliers d’abonnés SFR. Un démarchage facilité par les liens étroits entre le fondateur d' En Marche et le groupe Drahi.
      Bruno Roger Petit fait son cinéma sur CNews lors d’un débat consacré au vote des catholiques de France. Le père Laurent Stalla Bourdillon a rappelé que pour l'Eglise l’avortement était un crime. Scandale pour l’éditorialiste de Challenges qui a monopolisé la parole pendant plusieurs minutes pour éviter toute contradiction.

    • 3 : Émotion sélective en Syrie
      Attentat en Syrie samedi : 126 syriens évacués d’une ville pro Assad ont été tués. Parmi eux, 68 enfants. Mais ou est passée l’émotion médiatique ? Pas de Une, pas de morts sur les photos. Quand l’indignation des journalistes est sélective.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Inversion accusatoire sur France Info : Quand Gilbert Collard, le député RBM du Gard, est agressé en allant au meeting de Marine Le Pen au Zénith à Paris, France Info titre « Le député du Gard déclenche des insultes et des jets de projectiles ». Pour manipuler l’opinion, certains journalistes n'hésitent pas à faire passer l’agressé pour l'agresseur.
    • 5 : Empire médiatique : le cas de Niel
      Nouvelle rubrique dans I-Média : Empire médiatique. A qui appartient la presse française ? Jean Yves le Gallou vous dépeint l’empire industriel de Xavier Niel, entrepreneur et propriétaire de presse.

                              

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (28)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    Intéressant numéro des Idées à l’endroit sur le thème de l’identité au cours duquel Alain de Benoist s’entretient avec Laurent Dandrieu, auteur de l’ouvrage « Église et  immigration » dans lequel il s’en prend vigoureusement à la hiérarchie catholique en raison de sa pastorale messianique de l’accueil, Philippe Forget qui vient de faire  paraitre un essai intitulé «L’obsession identitaire » et Thibaud Isabel rédacteur en chef de la revue Krisis.
     
     
    Remarquable émission de Radio Méridien Zéro consacrée à Henri Vincenot, chantre d'une Bourgogne millénaire, paysanne et joyeuse. Animée par François Bousquet et Olivier François, plumes de la revue Éléments qui mettent en valeur toute la saveur de cet auteur de la synthèse catholico-païenne et, au delà, de toutes les identités vivantes.
     
     
    De quoi le système est-il le nom ? Alain de Benoist répond aux question de l’abbé Guillaume de Tanoüarn dans le mensuel «  Monde et Vie ». Revenant sur la généalogie des emplois de ce substantif depuis le XVIII siècle, il affirme avec raison que de nos jours l’idéologie du « système » n’est pas à gauche mais qu’elle procède d’un « mélange assez nouveau d’individualisme, de doits-de-l’hommisme, de croyance au progrès et de fétichisme de la marchandise, ordonné à l’idée, relativement nouvelle elle aussi, qu’une société peut se réguler entièrement sur la base du contrat juridique et de l’échange marchand. Le système désigne une société fondée sur l’amnésie programmée, l’effacement des limites, la fin des frontières et des généalogies…Une société où la révolution de désir a remplacé le désir de révolution ». Une excellente mise au point sur une notion largement polysémique.
     
     
    Bonne critique du livre d’Alain de Benoist « Le moment populiste. Droite-Gauche c’est fini ! » par Michel Geoffroy, ancien élève de l’ENA et contributeur régulier de la Fondation Polémia.
     
     
    Dans l’avant-dernier numéro de leur émission hebdomadaire I-Média Hervé Grandchamp et Jean-Yves le Gallou traitent du bombardement du village syrien et rebelle de Khan Shaykun qui a provoqué la mort de 80 personnes par asphyxie aux neurotoxiques. Bombardement dont toute la presse s’est emparée pour en faire reposer la faute sur le seul Assad. Ils constatent que tous les morts ne se valent pas et que du gazage à l’enfumage la distance est courte. 
     
     
    Le dernier numéro d’I-Média commente également les réactions pavloviennes de la presse à l’affaire du Vel d’Hiv et s’inscrit en faux concernant un Front National qui demeurerait obsédé par la seconde guerre mondiale. En réalité ce sont les journalistes qui toujours en quête d’un « dérapage » ne manquent jamais une occasion de revenir sur cette question. On notera, ainsi que le fait remarquer Jean-Yves Le Gallou, que c’est le même Mazerolle qui interrogeait Marine Le Pen et qui avait fait accoucher son père de la fameuse phrase sur le détail, il y a trente ans de cela. La seule ligne constante dans cette affaire est bien celle des journalistes.
     
     
    Du point de détail au point Godwin. L’OJIM donne un coup de projecteur sur les réactions qui ont suivi la déclaration de Marine Le Pen concernant la responsabilité de la France dans la rafle du Vel d’Hiv. S’il faut en croire le CRIF, de Gaulle et Mitterrand n’étaient que de fieffés négationnistes. « Affirmer que Marine Le Pen fait du Pétain quand elle fait du de Gaulle, c’est sortir du champ de la pensée » (Finkielkraut). Le plus drolatique des contempteurs de Marine Le Pen étant Christian Estrosi qui dans un tweet fait une nouvelle fois la preuve de toute son érudition de moto-culteur en amalgamant la position de Jean-Marie, anti gaulliste rabique, et celle de sa fille qui réhabilite au contraire le point de vue du Général. Faut-il rappeler au président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, champion du contre-sens, que l’amalgame est un péché, et que l’essentialisation conduit au pire ?
     
     
    Sortir de la zone euro ? Jacques Sapir présente devant les caméras de TV-Libertés son dernier ouvrage « L’euro contre la France, l’euro contre l’Europe » (Éditions du Cerf). 
    Partant du principe que l’euro est à l’origine de la crise que traverse l’Union européenne, Sapir propose la thèse suivante : les dirigeants européens auraient consciemment bâti l’euro de manière bancale en conjecturant que les crises qui allaient en découler conduiraient les peuples, dans la panique, à consentir à ce à quoi ils s’étaient jusqu’à présent toujours refusés. Aller plus loin dans la construction d’une Europe fédérale. Ce qui fut un échec.
     
    Réagissant au sentiment de panique que le parti des médias subventionnés et de nombreux prescripteurs politiques s’efforcent de répandre dans l’opinion à propos d’une éventuelle sortie de l’euro, Jacques Sapir accumule les arguments rassurants en répondant aux multiples questions que les citoyens peuvent se poser. Exposé clair et très pédagogique. 
     
     
    Dans sa chronique de RTL du 6 avril Éric Zemmour tance les petits trotskistes qui sont les idiots utiles du grand capital. Une analyse qui n’est pas sans rappeler celle, récente,  de Charles Robin lui même ancien militant du NPA dans son livre « Itinéraire d’un gauchiste repenti » paru aux Éditions Krisis. 
     
    Quelques jours plus tard Zemmour traitant du bombardement de la base syrienne d’Al-Chaayrate par l’armée américaine remarque que Trump a dynamité son propre programme électoral. En se reniant ainsi quelques mois après son élection, il a agi comme aurait pu agir son adversaire Hillary Clinton et comme l’y pousse le lobby néo-conservateur solidement installé à tous les niveaux de décision. Selon Zemmour le président américain, pourfendeur des médias s’est aligné sur eux en se soumettant « au diktat émotionnel et compassionnel de ces photos d’enfants morts qu’on arbore à chaque fois qu’on veut manipuler l’opinion ». L’esprit imprévisible et compulsif d’un chef d’État qui tweet pus vite que son ombre a fait le reste. On notera que son geste quoique éminemment symbolique a miraculeusement réconcilié l'horrible populiste avec tout l’establishment occidentaliste et conforté ses errances stratégiques.
     
     
    D’après Bruno Guigue « depuis que son équipe a été amputée de ses conseillers les plus atypiques (Michael Flynn et Steve Bannon), le président républicain… est en roue libre ». Passant à l’action sur tous les fronts dans les relations internationales Syrie, Corée du Nord, Afghanistan), le « Docteur Folamour » de Washington a jeté le masque.
     
     
    Selon l’historien John Laughland les récentes frappes contre la Syrie ont détruit l’illusion suivant laquelle Trump rejetait la politique d’ingérence américaine. Il s’est montré, en réalité, la marionnettes de ce qu’on appelle l’État profond qui lui ne change jamais dans ses objectifs. Cette gesticulation intempestive pourrait laisser augurer que la politique du chaos qui a caractérisé l’action des présidents  Obama, Bush fils et Clinton va se poursuivre au grand dam de ses électeurs.
     
     
     
    Autre article de Robert Parry (traduit par le site « Les crises ») traitant du même sujet.
     
     
    Richard H. Black, ancien procureur pour le Pentagone et sénateur américain de l’État de Virginie revient sur les accusations d’utilisation d’armes chimiques par le gouvernement syrien et précise que c’est une ultime tentative de donner une raison aux pays de l’OTAN d’intervenir dans la guerre aux côtés des terroristes. Quel serait en effet l’intérêt de Damas d’agir ainsi puisque son armée nationale est partout victorieuse, que ses ennemis sont en déroute sur tous les fronts et qu’il savait fort bien que ce type d’agissement provoquerait la réprobation unanime au moment où toutes les chancelleries s’accordent sur le fait qu’il est désormais impossible d’envisager la paix sans le concours d’Assad.
     
    Les girouettes droits-de-l’hommismtes accusaient Trump d’être un agent du Kremlin et une marionnette téléguidée par Poutine, mais depuis qu’il a lancé ses Tomahawk vengeurs sur une base syrienne ce n’est plus que concert de louanges de Benoît Hamon à Ségolène Royal en passant par l’insignifiant sectionnaire Philippe Poutou qui attendrit tant laboboïtude. Hadrien Desuin tient le registre des palinodies de ces tristes pantins dopés à la moraline qui tous se félicitent que l’Amérique soit à nouveau le gendarme du monde.
     
     
    Une autre Girouette. Sean Spicer porte-parole de la Maison blanche qui lors d’un point presse a déclaré « Même quelqu’un d’aussi méprisable qu’Hitler n’a pas utilisé d’armes chimiques ». Croyant renchérir sur l’ignominie Assad, il n’a réussi qu’à provoquer un tollé en semblant nier la Shoah et à froisser les organisation juive des États unis détentrices de sa précieuse mémoire. Elles crient désormais au scandale et exigent son départ. Depuis cet acte manqué le pauvre gaffeur se confond en excuses sinueuses. Comme quoi Assad ne peut être comparé à Hitler à n’importe quel prix.
     
     
    L’avis sur la question du bombardement du général Dominique Delawarde ancien chef « Situation-renseignement-guerre électronique » à l’État major interarmées de planification opérationnelle. Est-il utile de préciser que cet éminent « spécialiste » ne partage pas les certitudes imposées par le parti autorisé des médias qui suit docilement et même avec une ferveur empressée les consignes de l’OTAN ?
     
     

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  • Feu sur la désinformation... (132)

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    Au sommaire :

    • 1 : Le grand débat de BFM a-t-il servi Macron ?
      Lors du grand débat pour la présidentielle sur BFM TV, Macron jouait à domicile au milieu des 10 autres candidats. Pour les journalistes et les sondeurs le plus convainquant était, comme d’habitude…. Emmanuel Macron.
    • 2 : Le zapping d’I-média
      Raciste et dangereux, le dernier film -« A bras ouvert » - de Philippe de Chavreron est victime de critiques de "violences inouïes". Sur RTL, Pascal Praud a dénoncé un procès en sorcellerie. Quand Christian Clavier caricature un bourgeois catholique dans « Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu », il n’y a pas de problème. Mais « A bras ouvert » s’attaque à un dogme de l’antiracisme : on ne rit pas de la communauté Rom.
      Lundi 03 mars Jean Michel Aphatie recevait sur France-Info Raquel Garrido, porte-parole de la France Insoumise. Faisant référence à la phrase « Rendre la France aux Français » prononcée par Jean Luc Mélenchon sur TF1, Jean Michel Aphatie s'interroge, "ça nous a un peu écorché l’oreille, pour tout vous dire. On croyait que ce slogan était à un autre parti. » Qu'importe si l'intention n'est pas la même, les mots de Marine le Pen sont proscrits.

    • 3 : Syrie, Russie : Tous les morts ne méritent pas de Unes !
      Emotion médiatique après l'attaque chimique en Syrie : une seule version dans les médias : Bachar Al Assad est responsable.
      Libération publie en Une du jeudi 06 avril des corps d’enfants morts. D’après les témoignages recueillis par les journalistes de Libération, aucun doute possible : Bachar Al Assad est responsable de ce massacre. Le hic, les témoins sont partiaux et engagés dans le conflit syrien. Le quotidien ne voit pas de bonne issue possible à ce conflit. « Bachar Al Assad a perdu la raison, et les américains sont gouvernés par un fou »
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Brice Teinturier, directeur général délégué de l’institut de sondages IPSOS, refuse de faire des sondages concernant le deuxième tour de l'élection présidentielle opposant Jean-Luc Mélenchon à Marine le Pen pour éviter d’influencer les électeurs.
      Dualité dans la presse de gauche : la société des journalistes de Challenges dénonce un trop grand nombre d’articles pro-Macron imposé par la direction.
    • 5 : Onde migratoire
      I-Média évolue et vous présente « Onde migratoire » : Comment les médias traitent la question de l’immigration en France? C’est la revue de presse de Nicolas Faure.

     

                                             

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  • Après le dernier homme, l’Européen de demain !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'intervention de Jean-Yves Le Gallou au colloque de l'Institut Iliade, qui s'est tenu à Paris le 18 mars 2017, au cours de laquelle il en appelle à la redécouverte de notre mémoire identitaire...

     

                                            

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