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européens - Page 5

  • Soyons révolutionnaires et conservateurs !...

    Le 22 juin 2020, Martial Bild recevait, sur TV libertés, Thomas Ferrier, pour évoquer la nation européenne de ses voeux. Fondateur du Parti des Européens, qui se définit comme identitaire, Thomas Ferrier propose une révolution pour construire une nouvelle Europe politique unie, une Europe supprimant la Commission, toutes les souverainetés nationales mais refondée sur le Parlement, la monnaie unique, une nationalité européenne, une langue commune et intégrant la Russie…

     

                                          

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  • Feu sur la désinformation... (272)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Le 8 mars, journée de la femme, des militantes féministes de Nemesis, mouvement hostile à l’immigration extra-européenne, ont été attaquées par des antifas dans la grande manifestation parisienne.
    • 2 : Pascal Praud menacé de mort pour avoir critiqué la religion d’amour et de paix
      Le présentateur de L’Heure des Pros sur CNews a été visé par des paroles violentes prononcées par un rappeur dans une de ses chansons. Et l’émoi médiatique aurait pu être plus important...
    • 3 : Revue de presse
      Des médias qui croient que tous les harceleurs de rue sont des Européens…
      Boris Johnson qui s’attaque à la BBC en voulant reformer la redevance…
      Nous reviendrons dans cette émission sur quelques faits marquants de l’actualité médiatique de la semaine.
    • 4 : Coronavirus : vers un scénario à l’italienne ?
      Les médias font leurs gorges chaudes du Coronavirus ! Malgré la gravité croissante de la pandémie, les médias restent rassurants et s’abstiennent toujours de critiquer le gouvernement français.

     

                                         

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  • L'affolement du monde...

    Les éditions Tallandier viennent de rééditer en collection de poche un essai récent de Thomas Gomart intitulé L'affolement du monde - 10 enjeux géopolitiques. L'ouvrage est très riche, équilibré et agréable à lire. Et on notera que dans son chapitre consacré à la lutte pour le contrôle des espaces, l'auteur fait largement référence à Carl Schmitt !

    Historien et directeur de l'Institut français des relations internationales, Thomas Gomart est membre des comités de rédaction de Politique étrangère, de la Revue des deux mondes et d'Etudes.

     

    Gomart_L'affolement du monde.jpg

    " Plus rien ne régule la bonne marche de la planète : rupture d'accords, alliances fragilisées, affaiblissement des démocraties, basculement géoéconomique vers l'Asie, menaces nationalistes et écologiques... le monde est-il devenu incontrôlable ? Avec son double regard d'historien et de spécialiste des relations internationales, Thomas Gomart souligne la mutation inédite des rapports de force ― ascension de la Chine, unilatéralisme des États-Unis, fragmentation de l'Europe, retour de la Russie ― et des sujets transversaux comme l'énergie et le climat, les transformations de la guerre, le cyber ou la pression démographique et migratoire. Avec une grande clarté, il invite les Européens à un exercice de lucidité sur un monde de moins en moins à leur image. "

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  • Plaidoyer contre le « vivre ensemble »...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh info et consacré à la question du vivre-ensemble.

     

    Vivre-ensemble.jpg

    Scène de vivre-ensemble dans le secteur de la station Stalingrad à Paris (2016)

     

    Immigration et gauchisme mental. Plaidoyer contre le « vivre ensemble »

    Je ne veux pas vivre avec les immigrés qui arrivent en Europe. Je n’en peux plus du gauchisme mental qui gangrène l’intégralité de nos sociétés occidentales. Je ne veux pas « vivre ensemble » et je veux permettre à mes enfants de vivre avec leurs semblables, ceux qui partagent nos valeurs ancestrales, dans la paix et dans la sécurité. Point barre. Cela ne vous plaît pas ? C’est encore mon droit le plus profond, et je me battrai de toutes mes forces pour le faire respecter, quoi qu’il en coûte.

    C’est ainsi qu’il faut parler à ces prêcheurs de vivre ensemble (qu’on devrait plutôt renommer « mourir côte à côte ») qui pullulent sur les plateaux de TV, dans les journaux, dans votre vie quotidienne dans laquelle ils prennent de plus en plus de place. Je n’ai pas connu la vie en Union soviétique, je ne me permettrai pas de comparaison. Mais malgré nos libertés apparentes et quotidiennes, nous sommes bien dans une société totalitaire d’une perversité, d’une monstruosité sans nom.

    Combien sont-ils en France, en Europe de l’Ouest, qui apprécient ou apprécieraient de vivre au quotidien entourés d’une majorité d’Africains ? Combien changent leurs enfants d’école dans les arrondissements parisiens pour fuir le vivre ensemble qu’ils prônent pourtant, électoralement comme en société ? Pourquoi le font-ils ?

    Mais surtout, pourquoi refusent-ils d’exposer publiquement ce qui les pousse à ne pas vouloir, eux non plus « vivre ensemble » ? Car en plus d’être hypocrites, ils ont surtout peur du flicage généralisé.

    L’idéologie du vivre ensemble ne survit que par le contrôle social généralisé

    En effet, outre les flics qui nous sanctionnent sur les routes ou dans nos vies quotidiennes pour un excès de vitesse ou trois verres au lieu de deux, le tout pour un salaire de misère, le vrai agent de la société totalitaire, c’est votre voisin. C’est l’autre.

    C’est son jugement moraliste à deux balles. « Je n’ai pas envie que mes enfants grandissent entourés majoritairement par des extra-Européens. Je n’ai rien contre ces gens, mais je n’ai pas envie qu’ils vivent avec eux, qui plus est dans un pays que mes ancêtres, et pas les leurs, ont construit depuis des siècles et des siècles ». Certains d’entre vous le pensent fortement, mais ont peur de le dire, c’est tout. Le contrôle social généralisé. La peur d’être dénoncé, d’être stigmatisé, d’être lynché médiatiquement et politiquement, d’être mis à l’écart, de perdre votre travail, et même vos amis. Quand le refus du « vivre ensemble » vous range dans la catégorie du raciste que vous n’êtes pourtant pas, et pire encore, placardisation suprême, d’Hitler et des nazis.

    Contrôle social, mais aussi contrôle judiciaire. Les mots, les écrits, peuvent désormais vous envoyer sous les verrous, certains blogueurs et internautes en ont déjà fait les frais. On qualifie désormais « d’incitation à la haine raciale » tout et n’importe quoi, y compris le simple fait de ne pas vouloir, à titre individuel et sans forcer les autres, « vivre ensemble ». Y compris si de la haine, vous n’en avez aucune, si ce n’est contre les institutions et ceux à leurs têtes qui sabrent votre monde. Il n’est sans doute plus très loin le temps où ces États totalitaires vous enlèveront vos enfants parce que vous pensez mal. Parce que vous refusez de les éduquer conformément à la doxa de l’époque.

    Vous pensez que j’exagère ? Que je vais trop loin ? Mais alors pourquoi les Blancs fuient-ils les banlieues colonisées par de nombreux extra-Européens ? Pourquoi dans les villes du Sud de la France, fortement touchées par l’immigration, les partis anti-immigration captent sans doute une large majorité de l’électorat blanc, qui a refusé de partir ? Pourquoi en Bretagne, préférez vous vivre à Cesson-Sévigné ou à La Baule (et voter Macron) plutôt que dans la Zup Sud de Rennes ou qu’à côté d’un foyer pour migrants à Nantes ?

    Vous vous gavez de séries sur Netflix, à la Black Mirror, ou à la Handmaid’s tales, qui décrivent parfaitement (et avec brio) le fonctionnement des sociétés totalitaires dans lesquelles nous évoluons (tout en piratant bien évidemment le message pour le rendre féministe, pro LGBT, pro minorités, etc). Mais rendez-vous compte désormais que les victimes de ces sociétés totalitaires c’est vous ! La télévision, la radio, les puissances économiques qui nous dirigent vous imposent chaque jour Bilal Hassani, Black M, Booba, la tristesse des migrants et le grand méchant Trump,  Et vous applaudissez ! Tout en apprenant dès l’école à vous détester vous-même, à vous mépriser parce que vous êtes un Blanc, un colonisateur, un esclavagiste, un criminel de guerre presque. Le bien, c’est l’autre, le mal, c’est vous. 

    Quitter le marasme ou résister envers et contre tous

    Il y en a beaucoup, parmi nos compatriotes, qui s’adaptent parfaitement à cet état de fait. Qui vous disent adorer « manger un bon poulet Yassa » avec les voisins venus du Mali, d’autres, plus militants, qui militent associativement pour accueillir les migrants et nous les imposer. Et tous ces « innocentes et innocents » qui se trémoussent dans les boîtes de nuit en dansant sur de la musique avec laquelle ils n’ont pourtant rien en commun. Et qui applaudissent à chaque grande messe du vivre ensemble. « Allez les Bleus, tous ensemble, quelles que soient nos différences ». C’est le principe de la société totalitaire. Permettre à la masse, devenue esclave, de se penser libre et rebelle. Le combo ultime du Soviet 3.0. Mais après tout, notre histoire y compris récente n’est-elle pas faite de collaboration massive avec celui qui, à un moment donné, paraissait être le plus fort ?

    Face à un tel torrent, face à cette hygiène de destruction massive que l’on appelle « vivre ensemble », il paraît difficile de convaincre la majorité, la masse, de changer de paradigme. Certains y croient électoralement, et se heurtent à un plafond de verre, et bientôt à des désillusions démographiques.

    Ne reste désormais que deux solutions, à ceux qui sont conscients des choses. À ceux qui refusent toute fatalité, et tout fantasme réactionnaire d’un pays qui n’existe plus. Se tenir debout, vivre et transmettre selon ses propres valeurs. Faire face autant que possible au rouleau compresseur qui détruit tout sur son passage dans nos sociétés occidentales. Distiller ce plaidoyer contre le vivre ensemble, et pour la grande séparation.

    Pour avoir le droit de choisir ses voisins et ceux de ses enfants. Son cadre de vie, et surtout, ceux avec qui on ne souhaite pas vivre. Affronter férocement ceux qui voudraient nous empêcher, y compris à titre individuel, de vivre tel que nous le voulons.

    Ou bien finalement partir, là où l’herbe est plus verte, non pas pour soi, mais pour ses enfants, pour notre descendance. Sortir du marasme pour mieux rester dans la civilisation européenne, que la France, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne, sont en train de quitter chaque jour un peu plus.

    Vivre ensemble ? Oui, mais avec les miens et uniquement les miens. Envers, et contre tous !

    Julien Dir (Breizh info, 09 juin 2019)

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  • Europa invicta !...

    Une superbe vidéo consacrée à la civilisation européenne à découvrir et à diffuser !...

                                      

     

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  • Européen d'abord !...

    Les éditions Via Romana viennent de publier un essai de Jean-Yves Le Gallou intitulé Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013).

     

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    " Beaucoup de Français ne se sentent plus en France à Saint-Denis, Mantes-la-Jolie ou Marseille. Ils sont devenus étrangers chez eux et préfèrent l’ambiance de Prague, Budapest ou Lisbonne. Finalement ils se sentent Européens d’abord ! Européens de langue française.
       En novlangue, Français est devenu une simple notion juridique (la nationalité) et statistique. Un concept vidé de tout contenu historique et culturel. Européen renvoie, lui, à un contenu fort et charnel, un contenu spirituel et civilisationnel.
       La civilisation européenne est à nulle autre pareille : c’est la civilisation des libertés et de l’incarnation, la civilisation qui respecte la femme et voit du divin dans la nature, la civilisation des grandes découvertes.
       La préférence de civilisation, c’est mettre, au cœur de ses choix personnels et de l’action politique, la préservation et la transmission de l’héritage : c’est retrouver la mémoire européenne, c’est une école qui enseigne, une culture qui se ressource, des rites qui se réenracinent, des mœurs qui se défendent car elles sont plus importantes que les lois. La préférence de civilisation, c’est réaffirmer le droit des peuples européens à l’identité et à la continuité historique. Face au Grand Remplacement, au Grand Effacement, au Grand Chambardement, la préférence de civilisation, c’est le Grand Ressourcement.
       Trente ans après La préférence nationale, la préférence de civilisation est un livre qui fera date. "

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