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  • Feu sur la désinformation... (524) : chaîne TNT 23, petites magouilles entre amis...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire cette semaine :

    L'image du jour : Les piscines éclaboussées par l’insécurité

    Incivilités, violences, évacuations d’individus par le PSIG (Peloton de surveillance et d'intervention de la Gendarmerie), fermetures… Les centres aquatiques sont littéralement débordés par l’insécurité qu’y font régner quelques racailles que les médias refusent de nommer.

    Le dossier du jour : Un scandale et des millions : l’arnaque de la chaîne 23!

    Didier Maïsto revient exclusivement pour nous sur le scandale de l’attribution de la chaîne de TNT numéro 23 en 2012 à Pascal Houzelot, le discutable propriétaire de Pink TV, "La chaîne Gay-friendly" qui diffusait en fait du porno homosexuel payant. Après seulement 2 ans et demi d’exploitation de la chaîne 23, lui ayant été attribuée gratuitement par le CSA, soit l’actuel ARCOM, il l’a revend pour plus de 70 millions d’euros. Une attribution opaque et une vente douteuse qui lui valent aujourd’hui d’être mis en examen pour trafic d’influence actif, escroquerie et abus de confiance.

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    Pastilles de l’info:

    • Pour ARTE Junior, les bébés sont moches et chiants et c’est financé par vos impôts !
    • Sandrine Rousseau bientôt de retour sur X ?
    • Omar Sy, son chien et la SNCF : passagers ≠ stars, le deux poids deux mesures
    • Les cathos prennent le contrôle ? Décryptage d'une enquête Mediapart surréaliste
    • CRIF, Licra, SOS Racisme, plus d’argent public et plus de pouvoir pour censurer le net avec Aurore Bergé 

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Mathieu Gallet, l'ancien patron de Radio France au microscope...

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  • Canicule mentale...

    Nous reproduisons ci-dessous un coup de gueule de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info et consacré au sectarisme écolo-gauchiste.

     

    Ecologistes_Canicule.jpg

    Canicule mentale : les écolos-gauchistes rêvent de notre disparition, mais s’indignent qu’on puisse mourir

    On les voit, on les entend, on les subit. En boucle, depuis des années, les sirènes du climat hurlent dans nos oreilles : « Il fait chaud, on va tous mourir ! » après le « il fait froid, c’est un signe que ça se réchauffe et qu’on va tous mourir » et le « il pleut, c’est lié au réchauffement climatique on va tous mourir ». Les thermomètres s’affolent, les journalistes transpirent, les médecins de plateau paniquent, les écolos twittent en nage. C’est le réchauffement climatique, ma brave dame, l’Apocalypse éco-responsable. Fermez les volets, arrêtez les barbecues, coupez les moteurs thermiques et hydratez-vous — de l’eau du robinet, bien sûr, surtout pas un Coca dans une bouteille plastique, assassin de tortue marine. Encore moins de la climatisation dans les écoles, et si vous allez sous les 26 degrés dans les commerces, on envoie la police de l’écologie vous mettre à l’amende.

    Mais permettez-moi une question simple : pourquoi diable ces gens s’émeuvent-ils autant à l’idée de la disparition de l’humanité, alors que c’est précisément ce qu’ils promeuvent toute l’année ?

    Ils détestent l’homme, mais redoutent sa fin

    C’est une contradiction aussi hilarante qu’abyssale : ces militants du néant, ces prédicateurs de l’extinction douce, geignent à l’idée que l’humanité puisse s’éteindre… alors même qu’ils passent leur vie à prôner son effacement. Car enfin, qui martèle à longueur de colonnes, de podcasts et de tribunes que faire des enfants est un acte écocidaire, que chaque naissance est un fardeau carbone, que l’avortement est un droit sacré, que le suicide assisté est un progrès, et que l’espèce humaine (enfin surtout l’homme blanc) est un virus sur la planète ?

    Qui, sinon eux ?

    Les mêmes qui célèbrent la stérilité comme un acte militant, la solitude comme une victoire, l’utérus comme un champ de bataille à neutraliser. Les mêmes qui transforment chaque revendication LGBT en nouveau modèle anthropologique, et qui considèrent le transhumanisme, la PMA pour toutes, l’auto-identification sexuelle et le polyamour asexué comme l’horizon d’une humanité enfin déconstruite.

    Et les voilà, pourtant, à pleurnicher à l’idée que “la planète ne nous survivra pas”, comme si cela les attristait.

    Le culte de Gaïa contre la vie

    Ne vous y trompez pas : ce ne sont pas des défenseurs de la nature, ce sont des partisans d’un ordre moral totalitaire, masqué sous un vernis verdâtre. Ils n’aiment ni les arbres ni les animaux ; ils haïssent simplement les hommes — surtout ceux qui sont blancs, ont des enfants, un barbecue, un 4×4, et un avis divergent.

    Leur écologie n’est pas une science, c’est une théologie punitive. Elle ne cherche pas à protéger la création, mais à justifier la destruction de notre civilisation. Il faut expier. Se taire. S’excuser d’exister. Et surtout, ne pas se reproduire.

    Mais alors, qu’est-ce qui les dérange tant dans le réchauffement ? Si l’humanité est un fléau, ne devraient-ils pas se réjouir qu’une canicule en finisse avec quelques boomers climato-sceptiques ? Ne serait-ce pas là une épuration naturelle, dans leur logique ? Pourquoi cette panique, si l’effacement de l’espèce est leur Graal ?

    Parce qu’au fond, ils ne veulent pas mourir. Ils veulent que vous, nous, les autres, mourions à leur place.

    Le véritable réchauffement, ce n’est pas celui du climat, c’est celui du délire idéologique. La température des cerveaux a dépassé les 42° dans les bureaux de Bruxelles, dans les salles de rédaction, et sur les bancs de la gauche morale. C’est une canicule mentale, un incendie de la raison.

    Ceux qui rêvent de mondes “dégenrés”, “décarbonés” et “posthumains” nous expliquent avec des trémolos dans la voix que la planète va mal parce qu’il y a encore des gens vivants dessus. Et ils s’affolent quand le thermomètre grimpe. Incohérence ? Non. Hypocrisie.

    Oui, il fait chaud. Et alors ?

    Le climat change ? Sans doute. Il a toujours changé. L’homme s’adapte — ou il disparaît. Mais il ne supplie pas Gaïa à genoux en récitant des mantras inclusifs.

    L’avenir n’appartient pas aux sectaires suicidaires en tongs biodégradables. Il appartient aux peuples enracinés, féconds, conscients d’eux-mêmes et debout. Pas aux effacés de l’histoire qui célèbrent leur propre extinction entre deux shots de soja tiède.

    Alors oui, il fait chaud. Qu’ils transpirent. Nous, on construit.

    Julien Dir (Breizh-Info, 1er juillet 2025)

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  • Les idées à l'endroit...

    Les éditions Ars Magna viennent de rééditer Les idées à l'endroit, un recueil de textes essentiels d'Alain de Benoist publié initialement en 1979, à l'issue de la campagne médiatique sur la Nouvelle Droite. A l'occasion de cette publication, Alain de Benoist avait été invité sur le plateau d'Apostrophe, l'émission de Bernard Pivot.

    Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019),  La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020),  La place de l'homme dans la nature (La Nouvelle Librairie, 2020), La puissance et la foi - Essais de théologie politique (La Nouvelle Librairie, 2021), L'homme qui n'avait pas de père - Le dossier Jésus (Krisis, 2021), L'exil intérieur (La Nouvelle Librairie, 2022), Nous et les autres - L'identité sans fantasme (Rocher, 2023) et, dernièrement, Martin Buber, théoricien de la réciprocité (Via Romana, 2023).

     

    De Benoist_Les idées à l'endroit.jpg

    " Les Idées à l’endroit est un livre de circonstance. Un livre publié pour répondre à une demande créée par l’événement, en l’occurrence la grande campagne de presse autour de la « Nouvelle Droite » qui s’est déroulée durant l’été 1979.

    Dans pareil contexte, il fut nécessaire de publier un livre présentant au public les idées de la ND avec précision et objectivité, ou du moins de permettre à ceux qui entendaient dire tout et n’importe quoi sur la ND de juger sur pièce.

    Pour ce faire, Alain de Benoist réunit, en toute hâte, une vingtaine de textes qu’il considérait comme représentatifs de ce qu’il avait écrit jusque-là. Le titre du livre, , lui fut suggéré par Louis Pauwels.

    Près d’un demi-siècle plus tard, les textes de cet ouvrage sont toujours d’actualité et donnent toujours aux jeunes générations des pistes de réflexion et des conseils de maintien. "

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  • Israël, Iran, USA : vers la 3e guerre mondiale ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, diffusé le 28 juin 2025 et présenté par Élise Blaise, qui recevait Caroline Galactéros pour évoquer la situation géopolitique provoquée par le conflit au Proche et Moyen-Orient...

    Docteur en science politique, Caroline Galactéros est l'auteur de  Manières du monde, manières de guerre (Nuvis, 2013) et de Vers un nouveau Yalta (Sigest, 2019). Elle a créé en 2017, avec Hervé Juvin, entre autres, Geopragma qui veut être un pôle français de géopolitique réaliste.

     

                                            

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  • L'écrou mystérieux...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier, dans leur collection de polars du "Lys noir" un court roman policier de A. C. Duchaux intitulé L'écrou mystérieux. Un roman datant de 1943, écrit sous pseudonyme, pour une collection comptant Henry Coston parmi ses auteurs : une curiosité, donc !

     

    Duchaux_L'écrou mystérieux.png

    " Un matin, dans une belle maison berrichonne de La Châtre, on retrouve l’inventeur Darminier pendu à l’espagnolette d’une fenêtre. La Police conclut rapidement au suicide vu qu’il n’y a aucune trace d’infraction. Mais tel n’est pas l’avis de sa fille et de son époux.

    Le commissaire Moreau décide alors d’y regarder de plus près, et il comprend bientôt que la victime n’avait aucune raison de se suicider puisqu’il était aimé de ses proches, et heureux en affaire avec son usine de pièces automobiles. Dès lors, qui a bien pu commettre cet assassinat via cette macabre mise en scène ?

    Enraciné dans l’Indre et se déroulant sous l’Occupation, ce roman policier de A.C. Duchaux parut dans la collection « Rouge Gorge », série de romans policiers à la tonalité collaborationniste où le mauvais rôle était invariablement tenu par des francs-maçons, des gaullistes, des Anglais… "

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  • La liberté d’expression menacée en Europe : une crise civilisationnelle...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de David Engels cueilli sur le site de la Fondation Patriotes pour l'Europe et consacré aux menaces qui pèsent sur la liberté d'expression en Europe.

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

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    La liberté d’expression menacée en Europe: une crise civilisationnelle

    Selon une enquête menée en Allemagne en 2023, 44 % des personnes interrogées estimaient qu’il fallait faire attention à ce qu’on dit en politique, tandis que seuls 40 % déclaraient pouvoir s’exprimer librement – soit le chiffre le plus bas depuis 1990, où 78 % se sentaient encore libres de s’exprimer. Ce sondage en dit long sur l’état de la liberté d’opinion au sein même du moteur politique et économique de l’UE. Des résultats similaires sont observés dans d’autres pays d’Europe occidentale.

    Les sujets controversés restent toujours les mêmes : immigration de masse, islamisation, revendications LGBTQ+, ou encore ingérence de l’Union européenne. Toute personne osant remettre en cause le récit promu par les élites politiques et les médias officiels est rapidement disqualifiée comme étant d’« extrême droite » – avec des conséquences parfois graves, non seulement pour la démocratie, mais aussi pour les libertés individuelles, comme l’a récemment souligné J.D. Vance lors de la conférence sur la sécurité de Munich.

    Une censure sans censeurs : comment l’Europe fait taire sans le dire

    Si les représailles politiques restent moins brutales que dans des pays comme la Chine ou la Russie, on observe néanmoins une inquiétante montée en puissance de la répression : suppression de comptes sur les réseaux sociaux, campagnes de diffamation, licenciements, clôtures de comptes bancaires, sanctions financières, résiliations de bail, interdictions d’association, poursuites pour « discours de haine », voire emprisonnements. Toute personne ayant ne serait-ce qu’un lien lointain avec des cercles conservateurs ou patriotes peut citer des exemples concrets. Et durant la période du COVID, chacun a pu constater jusqu’où le système en place était prêt à aller pour imposer ses choix.

    La nouvelle orthodoxie : quand les “valeurs européennes” justifient l’intolérance

    Certes, des cas similaires ont été recensés en Pologne sous Kaczyński ou en Hongrie sous Orbán, visant cette fois la gauche. Mais le déséquilibre reste manifeste, au détriment des opinions qualifiées de « droitières ». Pourquoi, et comment ? Ces deux questions sont étroitement liées : la gauche a réussi, à travers sa lente conquête des médias, de la bureaucratie et du monde éducatif, à imposer sa vision du monde dans toutes les institutions-clés.

    Résultat : des concepts aussi larges que la liberté, la démocratie, l’égalité, l’État de droit ou la justice sont désormais interprétés à travers une grille de lecture gauchisante, présentée comme seule légitime , et toutes les autres sont disqualifiées comme « racistes », « nationalistes », « fondamentalistes », « réactionnaires » ou « patriarcales ».

    Une fois ces valeurs redéfinies idéologiquement, leur défense est appliquée avec un zèle implacable via les leviers juridiques et judiciaires , avec parfois des conséquences absurdes : la dignité humaine justifie l’avortement, la tolérance religieuse justifie l’islamisation, la liberté d’expression justifie des lois censurantes, le droit d’asile justifie l’immigration de masse, la démocratie justifie l’exclusion des partis dits populistes, la protection de l’environnement justifie la désindustrialisation, la laïcité justifie l’effacement du christianisme, l’égalité des chances justifie l’endoctrinement scolaire, et la lutte contre la haine justifie le démantèlement des États-nations.

    Depuis au moins deux décennies, d’innombrables institutions ont été créées pour faire appliquer cette nouvelle orthodoxie : ONG, censeurs sur les réseaux sociaux, administrations complexes, sans parler de la multitude d’agences européennes (comme tout récemment le « Conseil européen des services de médias »), tous prétendument créés pour défendre la démocratie, mais œuvrant à restreindre le débat public à un seul cadre idéologique.

    Reconquérir le débat : pourquoi les patriotes doivent gagner la guerre culturelle

    Comment alors résister à cet autoritarisme feutré – et au nom de quelles valeurs ? Paradoxalement, la première question est plus facile à trancher que la seconde. Depuis deux générations, la droite politique a perdu de vue l’importance fondamentale de la guerre culturelle : sauf en cas extrême, les lois ne font que consacrer un changement de mentalité déjà advenu, jamais l’inverse.

    C’est pourquoi il faut d’abord changer les esprits, avant d’espérer réformer les institutions : avant de bâtir une nation, il faut d’abord rebâtir un peuple. C’est dans cette reconquête culturelle et identitaire que les forces patriotiques doivent investir leur énergie, bien plus que dans les campagnes électorales ou les manœuvres de coulisse.

    La seconde question, elle, divise : faut-il défendre les valeurs européennes selon une lecture libérale ou chrétienne ? L’Europe doit-elle être pensée comme un projet de souveraineté ou comme une civilisation ? L’économie doit-elle obéir à une logique libertarienne ou sociale ? Ces choix structurent non seulement la manière de mener la bataille culturelle, mais aussi la conception même de la liberté d’expression. Même si l’on résiste à la tentation d’imposer le silence aux adversaires, la question du fond reste entière : reconnaît-on l’existence de valeurs absolues, et doit-on gouverner en fonction d’elles ?

    Si l’on considère que la vie commence à la conception, que l’Europe est une civilisation chrétienne, qu’il n’existe que deux sexes, ou que la propriété individuelle est inviolable, il devient difficile d’imaginer financer des ONG ou des médias qui défendent l’inverse. Bien sûr, on peut (et on doit) faire preuve de magnanimité à l’égard des opinions divergentes, mais après des années de radicalisation croissante, est-il encore réaliste de croire à un retour au statu quo ante des années 1980, avant la révolution woke, comme certains l’espèrent ?

    Il nous faudra sans doute, un jour, renoncer à pleurer l’âge d’or du libéralisme des années 1970–1980, né dans des conditions historiques et économiques très spécifiques, qui ne reviendront pas. Quand le « centrisme radical » des baby-boomers aura disparu, les trois forces idéologiques majeures – islam, wokisme et patriotisme – pourront-elles coexister pacifiquement, sans que nos sociétés n’explosent au préalable, révélant à tous les mensonges et les illusions ? Pour l’heure, tous les signes pointent vers une aggravation des tensions. Et si cette dynamique se poursuit, les conflits qui traverseront l’Europe de demain seront bien différents des débats d’aujourd’hui sur la liberté d’expression…

    David Engels (Fondation Patriotes pour l’Europe, 29 juin 2025)

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