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  • Les onze dates qui ont changé la face du monde...

    Pour cette nouvelle édition de Cette année-là, sur TV Libertés, Patrick Lusinchi, avec François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments, David L'Epée, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cartremonte à la plus haute Antiquité avec la domestication du cheval en Europe, il y a 5 000 ans, phénomène central dans le processus civilisationnel, et égrène les grandes dates qui ont rythmé notre histoire, jusqu’à la date fatidique de 1976, année où le regroupement familial a été instauré. Onze dates qui ont changé la face du monde, à tout le moins de l’Europe.

     

                                           

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  • Le Dieu du Moyen Âge...

    Les éditions Points viennent de rééditer un court essai de Jacques Le Goff intitulé Le Dieu du Moyen Âge et publié initialement en 2003. Jacques Le Goff (1924-2014) est un des grands historiens médiévistes français de la fin du XXe siècle.

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    " Jacques Le Goff, l’un des meilleurs spécialistes du Moyen Âge, livre son regard personnel sur le Dieu de l’Occident médiéval. Officiellement, ce Dieu était unique mais, dans les faits, l’était-il vraiment ? On découvre que les chrétiens de ces temps-là étaient, au jour le jour, polythéistes. Ils s’adressaient tantôt au Dieu Père, tantôt au Dieu Fils, tantôt au Dieu Esprit, et à la Vierge Marie.

    Jacques Le Goff traque les représentations de Dieu à travers les institutions politiques, l’art, la culture, la théologie, les dogmes, les pratiques et la vie quotidienne des hommes et femmes de la société médiévale. Au terme d’une enquête passionnante, menée avec Jean-Luc Pouthier, se révèle une véritable « histoire de Dieu » qui éclaire ce que l’Occident contemporain doit au christianisme médiéval. "

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  • Les Européens sont-ils sortis de l'histoire ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et qui évoque la sortie de l'histoire des Européens...

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    Israël, Palestine, Gaza… et nous et nous et nous... les Européens ?

    On le sent depuis plusieurs années déjà, mais on en a la preuve très récente avec les évènements en Israël et à Gaza. Les Européens sont sortis de l’Histoire. Ils n’existent plus, aux yeux du monde, comme par rapport à eux-mêmes. Depuis plusieurs semaines, tout le focus médiatique, politique, en France notamment, a été mis d’abord sur l’attaque massacre du Hamas contre Israël, puis sur la riposte d’Israël contre Gaza. 

    Tout ça pour ce qui s’apparente à une guerre sans fin entre deux mondes qui ne peuvent pas vivre ensemble, et donc il parait même difficile qu’ils parviennent à vivre côte à côte dans deux États séparés sans poursuivre la guerre qu’ils se mènent depuis le milieu du 20e siècle.

    Des Européens réduits au silence…

    Mais c’est leur histoire. Celle des Israéliens, celle des Palestiniens. Pas la nôtre. Et nous avons un peu tendance à l’oublier ces derniers temps, alors que chaque plateau télévision est transformé en champ de bataille médiatique.

    Un champ de bataille à sens unique tout de même, toute objection faite à la riposte sanglante d’Israël vis-à-vis de Gaza et de ses habitants — qui ne sont pas tous des membres du Hamas — étant balayée d’un revers de la main, par des chroniqueurs et des journalistes qui semblent totalement sortis de leur rôle et de leurs gonds.

    Une attitude que l’on ne voit jamais, ou pas à cette intensité, lorsque des évènements sanglants frappent la France, ou lorsque des Français subissent au quotidien les conséquences de décisions politiques criminelles, et cela depuis des lustres.

    Ce champ de bataille médiatique — et la guerre politique parallèle, qui conduit à qualifier de «soutien au terrorisme» tous ceux qui émettent des objections, sur les termes employés, sur les mots choisis, ou tout simplement sur la conduite d’un gouvernement qui, comme ceux qui l’ont précédé, ne respecte même pas les recommandations de l’ONU, est révélateur de notre effacement.

    Tout comme sont révélatrices de notre effacement ces manifestations spontanées, à Londres, Paris, Berlin, ou même à Istanbul (rappelons que certains veulent faire entrer la Turquie dans l’UE), en solidarité avec la Palestine, avec Gaza, et très souvent contre Israël et son peuple, manifestations qui témoignent de l’ampleur d’une immigration extraeuropéenne que les décideurs politiques coupables ont laissée s’installer depuis 50 ans maintenant sur  notre sol.

    D’un côté, ceux qui donnent le la politique et médiatique ne tolèrent rien d’autre qu’un soutien inconditionnel à Israël, parfois sans la moindre mesure, parfois avec des dérapages verbaux sur les plateaux TV qui auraient envoyé n’importe quel Européen devant les tribunaux s’il les avait tenus pour dénoncer l’immigration et ses conséquences ici, chez nous.

    De l’autre, des rues de grandes métropoles européennes qui, spontanément encore une fois, se transforment en «rue Arabe» si l’on peut s’exprimer ainsi, avec des manifestations de colère qui devraient d’ailleurs inciter les autorités à la plus grande prudence quant à la capacité de mobilisation, mais aussi de violences inhérentes à ce conflit qui ne devrait pourtant pas nous regarder, si nous étions encore en Europe, sur la terre des Européens.

    Dressons un parallèle très simple : Les dirigeants occidentaux s’évertuent (et dans l’indifférence d’Israël et de son peuple pour le coup) à imposer depuis 50 ans une immigration extraeuropéenne de plus en plus importante. Une immigration extraeuropéenne qui n’est plus individuelle, mais collective, populaire, et qui provoque dans tous nos pays des changements culturels, ethniques, religieux, tribaux. Et qui a des conséquences lourdes sur le «vivre ensemble à l’Européenne».

    Les exactions visant nos populations se sont multipliées de manière exponentielle. Les chiffres de la délinquance confirment ce que tout le monde pense, voit, mais n’ose pas dire. Combien d’Européens tués ces 20 dernières années par des individus qui n’avaient rien à faire sur notre sol, ou dont les familles ont bénéficié des largesses du droit du sol? Combien d’agressions, de viols, de cambriolages, d’exactions, en lien avec des individus qui n’auraient jamais dû venir ici, chez nous? Et enfin, combien d’enfants européens, blancs (n’ayons pas peur des mots), qui naissent ou à naître sur cette terre d’Europe, et combien d’extraeuropéens?

    Et pourtant, malgré ces injustices, malgré ces crimes, malgré cette dépossession progressive de la souveraineté des peuples Européens, malgré leur disparition démographique programmée… combien de manifestations massives, réunissant des dizaines, des centaines de milliers de personnes, spontanément, dans les rues des grandes métropoles, pour dire stop à des dirigeants de plus en plus mal élus, de moins en moins légitimes, mais qui se reproduisent socialement et qui règnent en maîtres sur notre continent? Vous ne voyez toujours pas le problème? Vous ne voyez pas que pendant que des masses défilent dans nos pays, pour soutenir leurs frères — puisqu’ils s’identifient aux Palestiniens comme leurs frères, eux qui ont des consciences raciales, ethniques, culturelles et religieuses ne souffrant d’aucun sentiment de culpabilisation, sentiment dont nous sommes pétris — nous en sommes rendus au silence? Même les urnes ne servent plus de défouloir, puisque moins de 50 % de la population française en âge de voter a voté aux dernières élections.

    Nous sommes à terre. Non pas par la faute des millions de défenseurs de la Palestine qui habitent aujourd’hui en Europe (et à qui il faudrait tout de même poser la question de savoir pourquoi ils ne vont pas en terre palestinienne aider leurs frères, puisque la question leur tient tellement à cœur). Mais par notre faute. Par notre aveuglement. Par notre recul permanent. Par notre culpabilisation permanente aussi, que nous devons y compris à des gens qui défendent aujourd’hui «le droit inconditionnel d’Israël à se défendre», et donc à quasiment éradiquer Gaza.

    Nous disparaissons de l’histoire parce que nous ne pouvons même plus exprimer notre colère sous peine d’être dissouts, arrêtés, jugés, condamnés, d’après des lois qui n’ont pas été votées en Palestine ou en Israël, mais bien ici, chez nous. Nos élites médiatiques, politiques, institutionnelles, ont obligé les Européens, depuis le nazisme, à ne plus se penser différents du reste de la planète. À croire que chacun est l’égal de l’autre, que tout se vaut, que nous serions tous des frères sur cette planète. Alors que la réalité, le quotidien, montre justement que partout où sur la terre, des hommes et des femmes aux religions, cultures, nationalités, ethnies, couleurs de peau différentes, se côtoient de manière trop massive, il y a la guerre.

    …Ou à n’être que des supporteurs d’une équipe de football !

    C’est ainsi qu’est l’Homme. On ne peut pas se reprogrammer. Certains voudraient bien en finir avec l’Homme, virer de cap vers le transhumanisme, ou le voir disparaitre dans une Apocalypse environnementale que certains anxiologues professionnels prédisent. Mais les faits sont têtus. L’Homme est toujours là. Et depuis des siècles, il conquiert des territoires, il fait la guerre, il fait la paix, il cherche le meilleur, d’abord pour lui, puis pour son foyer et sa famille, être social qu’il est, puis pour ses amis, puis pour ceux qui lui ressemblent et avec qui il a fondé une tribu, un clan, une ethnie. Puis éventuellement, s’il y a encore un peu de la place et de temps dans ses préoccupations, il s’intéresse à l’autre, le distant, le trop différent pour lui. Un trop différent qui raisonne de la même façon. C’est ainsi, c’est la vie, l’Histoire se répète.

    L’Histoire se répète, mais sans nous. Nous en sommes rendus à être non pas les arbitres — les voix diplomatiques y compris françaises font rigoler toute la planète — mais les supporteurs d’une équipe ou d’une autre. Des supporteurs qui, et c’est le principe, n’ont ni objectivité, ni compassion, et, lâchés en meute, se révèlent être parfois de fieffés salopards, chacun sachant ici comment une meute peut rendre con et barbare y compris le plus gentil des personnages de cette planète.

    Ce n’est pas ce destin que je souhaite pour mes enfants, ni pour tous ceux de mon peuple. J’aimerais d’abord que mon peuple puisse abolir les lois et les constitutions qui empêchent nos peuples d’Europe de faire le travail nécessaire pour ne pas disparaitre ethniquement et civilisationnellement. J’aimerais en finir avec l’immigration, et mettre en place la remigration massive d’une partie des populations qui ne sont pas Européennes (par exemple tous ceux qui aujourd’hui, se sentent supporteurs d’une des deux équipes qui se mènent une sale guerre sur un territoire martyr). Et qu’importe les chouineries de l’ONU, du FMI, de l’OTAN, ou de quelconque organisation non élue par mon peuple qui prétendrait vouloir lui dire ce qui est bon ou pas pour lui.

    J’aimerais que les Européens puissent s’exprimer librement, sur tous les sujets. Et s’affranchir des diktats d’organisations, de lobbys, de castes politiques, médiatiques, économiques, qui ne représentent que leurs intérêts propres. J’aimerais que les Européens réapprennent qui ils furent, qui ils sont, et qui ils doivent devenir. J’aimerais voir un sourire sur le visage de mes enfants, et ne pas lire en eux la peur de l’avenir, y compris de disparaitre englouti par les eaux parce que des faux prophètes leur lavent le cerveau.

    Et quand tous ces problèmes seront réglés, quand notre civilisation aura enfin redressé la tête, quand elle aura compris qu’on peut vivre, de façon quasi autarcique, comme l’Inde, sans emmerder ni se laisser emmerder par le monde entier, alors effectivement oui, je pourrais me poser, et accepter que les grands débats du moment puissent être, le cas échéant, la question israélo-palestinienne, ou le conflit religieux à l’ouest de la Chine, ou encore le devenir des Aborigènes d’Australie.

    En attendant, nous avons des peuples et une civilisation à défendre, qui n’est pas la civilisation occidentale comme voudraient nous faire croire ceux qui nous poussent sans jamais prendre de risque à la guerre des civilisations, mais bel et bien l’Europe.

    « Ni kippa, ni Keffieh » qu’ils disaient dans les années 80. Et Européen d’abord!

    Julien Dir (Breizh-Info, 1er novembre 2023)

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  • Tour d'horizon... (251)

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    Au sommaire :

     

     - sur le site de Philitt, Fabrizio Tribuzio-Bugatti évoque l'épopée de Gabriele d'Annunzio à Fiume...

    D’Annunzio ou la cinquième saison du monde

    Gabriele d'Annunzio.jpg

     

    - sur La Voie de l’Épée, Michel Goya évoque les conditions d'une éventuelle offensive israélienne à Gaza...

    Prodromes d'acier

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    - sur le site de Rébellion, Thierry Mudry revient sur l'itinéraire d'Ernst Niekisch, figure du national-bolchévisme allemand...

    L’itinéraire d’Ernst Niekisch

    Widerstand_Niekisch.jpg

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  • Feu sur la désinformation... (441)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin

     

                                                

     

    Sommaire :

    La météo de l'info

    L’image de la semaine : Halloween, Samhain ou Toussaint ?

    Le dossier : Antisémitisme, qui sont les vrais auteurs ?

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    Les pastilles de l’info

    Menaces d’attentat à Paris, une femme intégralement voilée et des médias pudiques

    « No twitter day » : la journée de l'échec

    Ukraine ou Israël : la France hors jeu

    Quand RMC laisse “Mehdi” en roue libre sans maîtrise de l’antenne

    La chasse au Mélenchon est ouverte !

    Macron et l’écriture inclusive

    Le « Forum de la Dissidence » de l’Institut Polémia : le gouvernement des juges

    Conclusion

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    Portrait piquant : Jean-Michel Aphatie

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  • Elégie pour une mythologie animalière...

    " Il s'agit clairement là d'une des « déconstructions » philosophiques les plus élaborées et les plus brillantes (magnifiquement servie, de surcroît, par une érudition étourdissante et une qualité d'écriture peu commune dans les milieux académiques) de ce que l'auteur appelle le « nouvel ordre animalitaire »."

    Jean-Claude Michéa, Extension du domaine du capital

     

    Les éditions Au Diable Vauvert ont publié récemment un essai de Frédéric Saumade intitulé De Walt Disney à la tauromachie - Élégie pour une mythologie animalière. Professeur d’anthropologie sociale à l'université d'Aix-Marseille, Frédéric Saumade est spécialiste des cultures taurines et équestres de l’Europe du Sud-Ouest et de l’Amérique du Nord. Il est également l'auteur de Drieu la Rochelle, l'homme en désordre (Berg, 2003).

     

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    " Frédéric Saumade analyse la mythologie populaire parallèle mais contradictoire née des spectacles et de l’élevage taurins, qui ressort aussi bien de la culture aficionada (le taureau de combat sacralisé), que de la culture mainstream (le taureau illustré par le cinéma disneyen).

    Alliant l’approche de l’anthropologue avec ses souvenirs personnels, cet essai prend le contrepied des idéologies qui revendiquent, outre l’interdiction de la tauromachie, la « libération » des animaux, l’appel à la fin de l’élevage et de la domestication et l’exaltation d’une régression à un état prénéolithique de l’humanité, supposément édénique.

    L’essai d’un anthropologue au cœur du débat sur la relation homme-animal. "

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