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  • Tour d'horizon... (117)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur son site Bouger les lignes, la spécialiste de la géopolitique et des questions de défense, Caroline Galactéros, analyse la stratégie chinoise au Moyen-Orient...

    Au Moyen-Orient, un jeu d’ombres chinoises

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    - sur Philitt, dans un entretien, Serge Latouche revient sur sa conception de la décroissance...

    Serge Latouche : « La décroissance veut retrouver le sens de la mesure »

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  • Feu sur la désinformation... (111)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Trump : médias partiaux, impensable victoire !

      « La victoire de Donald Trump est mathématiquement impossible ! » La presse est unanime. Pour BFM, « Trump dépasse Hitler sur l’échelle de la psychopathie ». Quant à Slate, l’élection de Donald Trump correspond à un « cataclysme historique » comparable à l’assassinat de François Ferdinand le 28 juin 1914.
      Pour Ingrid Riocreux, auteur de La langue des médias, le vocabulaire utilisé était différent en fonction des candidats : Clinton “portait des attaques à Trump” , Trump lui ” lançait des boules puantes” !
      Quel est le portrait des candidats dressé par les médias ? Exemple avec France Info : Donald Trump est « soutenu par le Ku Klux Klan », tandis que Hillary Clinton est la « grande copine des stars ».
      Retour sur le traitement médiatique partisan des élections américaines.
      I-Média décrypte.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

      Scènes « gênantes » de caricature de Donald Trump et séquences lacrymales diffusées dans l’émission Quotidien sur TMC.
      Pour Daniel Morin et Guillaume Meurice, les pseudos humoristes de France Inter qui ne savent être que dans l’insulte : « c’est le peuple le plus con de la terre qui a voté ».

    • 3 : Élection américaine : le direct de la catastrophe
      Experts, instituts de sondage, journalistes, tous se sont trompés. Parmi eux : Soufian Alsabbagh, « l’Expert » qui se trompe d’analyse sur le plateau de BFM pour enchainer ensuite sur le plateau de l’émission Quotidien de Yann Barthès.
      Sur les plateaux les mines sont « inquiètes, préoccupées ». Sur LCI, Christine Ockrent, journaliste pour France Culture, continue, après les résultats à diaboliser le nouveau président, elle ira même jusqu’à affirmer que Donald Trump est antisémite.
      La surprise pendant ce direct est de taille. C’est la confrontation du monde oligarchique au réel.
    • 4 : Les tweets de la semaine

      France Inter, à travers l’édito de Pablo Mira, fait quasiment un appel à l’assassinat politique, Tandis que, l’ambassadeur de France aux Etats-Unis, Gerard Arnaud, commet une ingérence grossière dans les affaires électorales américaines.

    • 5 : Média : l’heure du mea-culpa

      C’est l’heure du bilan pour les médias qui ont professé la victoire de Clinton. Certains médias font leur mea-culpa : Béatrice Houchard, journaliste à l’Opinion, tweete : « Un jour, il faudra que les journalistes se rappellent que leur (notre) métier est de raconter le monde tel qu’il est, pas comme ils le rêvent »
      Ce Mea-culpa reste minoritaire, il est même étouffé par les Unes de presse annonçant la fin du monde en même temps que l’élection du nouveau président américain.
      I-Média réinforme.

     

                            

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  • Ses missions secrètes...

    Les éditions du Nouveau Monde viennent de rééditer Mes missions secrètes, les mémoires d'Otto Skorzeny. Officier autrichien de la Waffen SS, en charge des opérations spéciales les plus sensibles avec son commando Friedenthal, Otto Skorzeny est bien connu notamment pour sa participation, en septembre 1943, à la libération de Mussolini, après la déposition de celui-ci par le roi Victor-emmanuel III. Cette figure charismatique poursuivra après la fin de la guerre une vie aventureuse de mercenaire au service de la lutte contre le communisme. On notera enfin que c'est Otto Skorzeny qui a inspiré le personnage du colonel Olrik à Edgar P. Jacobs, le créateur de Blake et Mortimer !...

     

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    " Surnommé par ses biographes « l'homme le plus dangereux d’Europe », Otto Skorzeny fut un des hommes de main favoris d’Hitler et l’officier commando allemand le plus médaillé de la Seconde Guerre mondiale, pour ses actions d’éclat audacieuses. À son actif, le rapt de Mussolini détenu par les insurgés royalistes en 1943, ou encore son coup de main contre le régent hongrois Horthy qui s’apprêtait en 1944 à signer une paix séparée avec Staline. Il s’illustre également lors de la bataille des Ardennes avec un commando déguisé en soldats américains qui s’infiltre dans les rangs alliés et vole des tanks Sherman : la rumeur se répand d’un projet d’assassinat contre Eisenhower obligeant ce dernier à rester confiné dans ses quartiers pendant des semaines.

    Jouissant d’un grand prestige auprès des officiers alliés, il est rapidement libéré après la guerre, sans doute parce qu’il accepte de coopérer avec la CIA. Il s’installe en Espagne où on lui prête de nombreuses activités : aide à l’évasion d’anciens nazis en Amérique du Sud, trafics en tous genres. "

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  • De Gaulle : identité, souveraineté, dissidence...

    Nous reproduisons ci-dessous un florilège de citations du général De Gaulle établi et commenté par Jean-Yves Le Gallou pour Polémia...

     

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    De Gaulle : identité, souveraineté, dissidence

    Tout le monde se presse à Colombey-les-Deux-Eglises, le 9 novembre, pour commémorer la mort du général de Gaulle. Un géant par rapport aux nains qui lui ont succédé et s’en réclament. Indûment. De Gaulle est cité par tous. Récupéré par tous. Mais ses convictions étaient à l’opposé du politiquement correct contemporain. Et ses propos, s’ils étaient tenus publiquement aujourd’hui, lui vaudraient la correctionnelle.

    De Gaulle avait une conception essentialiste de la nation, à l’opposé de celle des négateurs de l’identiténationale. Sa conception de la souveraineté populaire était incompatible avec « l’état de droit », cache-sexe du pouvoir des juges.

     

    Une conception essentialiste de la nation

    Les phrases qui suivent sont connues, régulièrement citées et jugées « controversées » :

    « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leur djellabas ? […] Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? […] Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! » (Conversation entre de Gaulle et Alain Peyrefitte le 5 mars 1959 suite aux événements d’Algérie dans C’était de Gaulle, tome 1, Alain Peyrefitte, éditions de Fallois/Fayard, 1994, ISBN 978‐2‐213‐02832‐3, p. 52).

    Cette déclaration est tellement « choquante » pour la bien-pensance contemporaine qu’elle est niée. Or c’est un verbatim d’Alain Peyrefitte, mémorialiste scrupuleux. Un mémorialiste dont personne sur le moment (en 1994) ne contesta la véracité des propos qu’il rapportait.

    Au demeurant, cette citation reflète si bien la pensée du général de Gaulle qu’on la retrouve, sous une forme plus littéraire, dans les Mémoires d’espoir, livre qui s’ouvre ainsi : « La France vient du fond des âges » et qui se poursuit ainsi :

    « Pour moi j’ai, de tout temps, mais aujourd’hui plus que jamais, ressenti ce qu’ont en commun les nations qui la peuplent. Toutes étant de même race blanche, de même origine chrétienne, de même manière de vivre, liées entre elles depuis toujours par d’innombrables relations de pensée, d’art, de science, de politique, de commerce, il est conforme à leur nature qu’elles en viennent à former un tout, ayant au milieu du monde son caractère et son organisation » (Extraits des Mémoires d’Espoir, Tome 1, Plon, 1970, p. 1 et 181-182).

     

    Une conception de la souveraineté incompatible avec l’Etat de droit

    Là aussi nous sommes aux antipodes de la doxa dominante qui a fait des juges – européens, constitutionnels, administratifs et judiciaires – les législateurs de fait.

     « Souvenez-vous de ceci : il y a d’abord la France, ensuite l’Etat, enfin, autant que les intérêts majeurs des deux sont sauvegardés, le Droit. »

    Difficile de faire plus court et plus bref comme éloge de la raison d’Etat. C’est pourtant la première chose que le général de Gaulle ait dite à Jean

    Foyer lorsqu’il l’a nommé Garde des Sceaux en 1962. Et c’est cette phrase qui ouvre les mémoires de Jean Foyer : Sur les chemins du droit avec le Général : mémoires de ma vie politique (1944-1988).

    On doit aussi au général de Gaulle cette formule choc :

     « En France, la meilleure cour suprême, c’est le peuple » (Mémoires d'espoir, Plon, 2014)

    Bien sûr, les esprits forts ne manqueront pas de dire qu’il s’agit de témoignages et non de déclarations. Mais là aussi les faits et les textes viennent appuyer l’authenticité des propos.

    « Le suffrage universel est la seule source du pouvoir » : tel fut le premier principe fondateur de la constitution de la Ve République. Et d’ailleurs, lors de la rédaction du texte constitutionnel, les textes généraux (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, Préambule de la Constitution de 1946) furent explicitement écartés du contrôle de constitutionnalité.

    Et les propos du général de Gaulle sont très explicites.

    « La parole est au peuple. La parole du peuple, c’est la parole du souverain  » (Discours du 25 août 1944).

    On le voit : rien n’est plus subversif au regard des normes actuelles du politiquement correct que les propos et la pensée du général de Gaulle. Dommage que tous ceux qui vont s’incliner devant son tombeau n’aient pas le courage d’assumer sans peur ses déclarations.

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 8 novembre 2016)

     

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  • L'irrésistible expansion du libéralisme numérique...

    Les éditions de L'échappée viennent de publier un nouvel essai d'Eric Sadin intitulé La silicolonisation du monde - L'irrésistible expansion du libéralisme numérique. Écrivain et philosophe, Éric Sadin est notamment l'auteur d'un récit d'anticipation, Les quatre couleurs de l'apocalypse (Inculte, 2011) et d'un essai, Critique de la raison numérique (L'échappée, 2015).

     

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    " Berceau des technologies numériques (Google, Apple, Facebook, Uber, Netflix, etc.), la Silicon Valley incarne l’insolente réussite industrielle de notre époque. Cette terre des chercheurs d’or, devenue après-guerre le cœur du développement de l’appareil militaire et de l’informatique, est aujourd’hui le lieu d’une frénésie innovatrice qui entend redéfinir de part en part nos existences à des fins privées, tout en déclarant oeuvrer au bien de l’humanité.
    Mais la Silicon Valley ne renvoie plus seulement à un territoire, c’est aussi et avant tout un esprit, en passe de coloniser le monde. Une colonisation d’un nouveau genre, portée par de nombreux missionnaires (industriels, universités, think tanks…), et par une classe politique qui encourage l’édification de valleys sur les cinq continents, sous la forme d’écosystèmes numériques et d’incubateurs de start-up.
    Après avoir retracé un historique de la Silicon Valley, ce livre, à la langue précise et élégante, montre comment un capitalisme d’un nouveau type est en train de s’instituer, un technolibéralisme qui, via les objets connectés et l’intelligence artificielle, entend tirer profit du moindre de nos gestes, inaugurant l’ère d’une « industrie de la vie ».
    Au-delà d’un modèle économique, c’est un modèle civilisationnel qui s’instaure, fondé sur l’organisation algorithmique de la société, entraînant le dessaisissement de notre pouvoir de décision. C’est pour cela qu’il est urgent d’opposer à ce mouvement prétendument inexorable d’autres modalités d’existence, pleinement soucieuses du respect de l’intégrité et de la dignité humaines. "

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  • Rencontre avec un chanteur insoumis...

    Vous pouvez ci-dessous découvrir un entretien, réalisé le 7 novembre 2016 par Thierry Bouzard pour TV Libertés, avec le Docteur Merlin, à l'occasion de la sortie de son disque Insoumis...

                                    

    " Guitariste et chanteur, docteur Merlin exerce sa passion depuis la fin des années 70. Au fur et à mesure des ses albums, il s’est construit un univers où se reflètent ses opinions identitaires et marquées par les idées novatrices du GRECE. Docteur Merlin a interprété les textes d’auteurs tels que Robert Brasillach, Guillaume Faye et Maurice Rollet. Il a également fait plusieurs chansons pour enfants à partir des contes de Pierre Gripari. Nationaliste, il avance en refusant de mettre son drapeau dans sa poche. Cette attitude lui a définitivement fermé les portes des grandes maisons d’éditions et des radios musicales. Cependant, elle lui a permis de conquérir un public fidèle qui le soutient et le suit depuis plus de 35 ans. Il est interrogé par le musicologue, spécialiste de la chanson patriote engagée, Thierry Bouzard. "

     

    Thierry Bouzard évoque Le Guerrier et le Roi au cours de l'entretien ; c'est donc une bonne occasion, pour ceux qui ne connaissent pas cette chanson de la découvrir !

     

                                     

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