"Un rêve pour certains hommes. Un cauchemar pour d'autres !"
Le vent mauvais nous l'avait annoncé... Il est de retour ! Le Docteur Merlin nous revient avec un nouveau disque intitulé Insoumis ! avec, on l'espère, son lot de textes grinçants, politiquement incorrects, poétiques ou portés par le souffle du mythe... En attendant, c'est une bonne occasion pour réécouter par exemple Verden, Excalibur, Le ruban gris, Dis-moi, Maléfices, Terre d'Empire, Le guerrier et le roi, La soirée va finir, Mariage, sans oublier Le cul de ma blonde, bien sûr !...
" Bien plus jeune que son enveloppe charnelle, le Docteur Merlin est « né » en 1981, durant les écoles de cadre de ce qu’on a appelé la « nouvelle droite ».
Après des journées fatigantes et studieuses, nous nous retrouvions le soir pour des veillées, et nous fûmes très inventifs pour nous forger une histoire commune.
Profitant d’un savoir faire acquis dans les camps scouts, nous étions quelques « folkeux » amateurs, et bien vite quelques chansons quelque peu iconoclastes virent le jour, librement inspirées de « la vie de Bryan » des Monthy python »
Avec le film de J. Boorman "Excalibur" (qui m’inspira ce pseudonyme), la dimension mythique nous imposait des textes plus sérieux, plus historiques, plus inspirés, plus positifs !!
Guillaume Faye, Olivier Carré, Pierre Vial, Maurice Rollet, et d’autres, m’inspirèrent tour à tour et je donnais à mes amis trois « K7 » ( païen, le vent mauvais, persiste et signe, qui furent remasterisées en 2002, sous le titre de "péchés de jeunesse").
Ayant rencontré le directeur de la SERP (la boîte de disques de J.M.Le Pen) qui cherchait un chanteur politiquement incorrect, nous sortîmes ensemble un 45T ("Ahmed") puis des albums ("Europe", "Enchanté", "Soleil de pierre") et enfin un "Docteur merlin chante Brasillach".
Après la grande scission du FN en 98, et la mort de la SERP, le combat culturel fût un peu oublié, et je ne chantais plus que pour mes amis et dans quelques fêtes identitaires de France, d’Europe ou même du Quebec. Pourtant, à un rythme lent, j’écrivais, ou découvrais, encore quelques textes et les mettais en musique.
Mes « fans » de toujours réclamaient un enregistrement
Quand le nombre de chansons fût suffisant, après une quinzaine d’années, je décidai de leur faire plaisir.Nous avons pris notre temps pour peaufiner ce dernier Opus :
Docteur Merlin: Insoumis ! "