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  • Le mythe Bardot

    L'hiver est long et gris, mais il est encore temps d'aller chercher un peu de soleil en allant voir l'exposition consacrée à Brigitte Bardot au musée des années 30, espace Landowski, à Boulogne Billancourt qui a été prolongée jusqu’au 7 mars 2010 (du mardi au dimanche, de 11 heures à 18 heures).

    Avant de s'y rendre, la lecture du bel article que Frédéric Falguière avait consacré à cette grande actrice dans la revue Le Spectacle du Monde (octobre 2009) s'impose !

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    Le mythe Bardot

    Quand elle rentrait en retard, son père, du balcon de l’appartement de la rue de la Pompe, lui lançait une poignée de monnaie – des francs ! – sur la tête. C’était sa façon à lui, Pilou Bardot, de désapprouver le comportement de Brigitte : à quinze ans, dans les années 1950, une jeune fille de bonne famille devait être à l’heure, porter des chemisiers boutonnés sous le menton, baisser les yeux quand on lui parlait et, assise, serrer les genoux. M. Bardot ne pouvait pas savoir que sa fille, cinq minutes plus tard, ferait rêver le monde entier, qu’elle irriterait le Parti communiste, ferait monter la libido des ouvriers de Billancourt, des bistrotiers de La Napoule, des navigateurs de la Terre de Feu, des bergers de Mongolie et, sûrement, de tous les hommes de France.

    Les sixties – dix années ! – furent le siècle de Brigitte Bardot : elle fut plus connue – et plus désirée – que les Beatles et Madonna. Quand elle passait dans la rue, le quartier était bloqué. Quand elle s’allongeait sur une plage de Saint-Tropez, il fallait faire venir SOS Médecins. Quand elle tournait le Mépris, en Italie, chaque rocher, chaque buisson, chaque vaguelette cachait un paparazzi armé d’un zoom aussi gros qu’un canon de 75. Brigitte Bardot a agacé les mères de famille, provoqué l’ire des bien-pensants, chaviré les prudes, chiffonné la notion de péché. Son buste a remplacé celui de Marianne dans les mairies, elle a eu droit à un timbre des PTT (on ne disait pas encore La Poste) et, dans les rues de Rio, combien de gamins ont-ils braillé la chanson de Dario Moreno, Brizitté Bardô, fait chaud ? Oui, il faisait chaud, très chaud. Brigitte Bardot donnait la fièvre aux Cariocas et aux Bantous. B.B. a donné des couleurs à des années en noir et blanc.

    Flash-back. Dans la France des fifties, la France de René Coty, la première dame était brave, empâtée, sympathique, plus préoccupée de la durée de cuisson de la blanquette de veau que des figures libres du pole dancing. Les bagnoles étaient uniformément noires, sauf la Dauphine de Renault, violemment sous-vireuse, qui affichait parfois un bleu ciel un peu choquant. Dans les bistrots à nappes à carreaux, les VRP mangeaient des steaks et, à la cantine des collèges, grâce à Mendès-France, les gosses avaient droit à leur verre de lait. La France écoutait Gilbert Bécaud et les Compagnons de la chanson, fumait des gitanes maïs dont l’odeur aurait pu faire fuir un égoutier de retour du boulot, faisait l’éloge du jambon-beurre-cornichon, dissertait sur les éditos de Geneviève Tabouis et rêvait des dernières nouveautés technologiques imaginées par le magazine Science et Vie : la « montre-télévision-téléphone », par exemple, ou la voiture volante (pas de problèmes de parking). Jean Gabin régnait sur le cinéma français en pacha autoritaire aux dents jaunies par les gauloises.

    Dans les années 1950, les élèves des classes secondaires allaient à l’école en veston et cravate et, à la récré, se repassaient Paris-Hollywood, une gazette « maudite », où l’on entrapercevait des femmes nues (enfin, presque), coloriées en sépia ou en rose cochonnet. La France sentait le poêle qui tire mal, le parfum Bourjois et la chaussette Stem.

    Et Dieu créa Brigitte Bardot.

    Une photo fait le tour du monde, en 1956 : celle d’une blonde sublime, allongée sur le sable, les seins dans l’eau, le regard amusé sous un soleil complice. Tout de suite, les hommes s’enflamment. Elle a un sourire prometteur, une bouche faite pour la passion, une poitrine magnifique, des jambes de danseuse et des pieds sublimement cambrés. Selon Roger Vadim – que tout le pays se met à haïr parce qu’il est son mari –, elle bouge la tête « à la façon des chats », « rit souvent, sans timidité et sans agressivité ». Elle n’hésite pas à couper la parole à sa mère –«Maman, tu me barbes ! » – et à couper le souffle à tout mâle digne de ce nom. Les prolos qui ont vécu le Front popu l’adorent, les bidasses qui font leurs classes en Allemagne l’épinglent au-dessus de leur couchette, les étudiants du Quartier latin mêlent son nom aux conversations sur l’Algérie française (ou pas) et les journalistes tartinent des articles insipides pour accompagner des photos qui ne le sont pas.

    La Chambre s’alarme. Les députés vont tous voir le film. Leurs dignes épouses sont fâchées. Cette Brigitte Bardot, quelle traînée, quand même ! Mais, en regardant le film, les spectateurs ont la révélation : le paradis existe.

    Mauvaise actrice ? On l’a beaucoup dit. Bonne comédienne ? Les bobos branchés des années 2000 l’ont affirmé. Peu importe, en vérité. Brigitte a été bonne et mauvaise, à contre-emploi ou dans son personnage, mutine ou sérieuse, mais, surtout, le cinéma l’a aimée. La caméra l’a caressée. B.B. n’a jamais été faite pour la Comédie-Française. Elle a été faite pour faire rêver les hommes « de 7 à 77 ans », voire jusqu’à 177 ans. Dans les sixties, elle a carbonisé les imaginations. Les adolescents, alors, découpent la photo de B.B. sur la couverture de Cinémonde. Ils ne savent pas encore, mais pressentent que la dame est une dévoreuse d’hommes. Elle aime l’amour, et vice-versa. Elle met à la mode les ballerines, les shorts, les robes en vichy, les coiffures choucroutées et les promenades en Vespa. Elle a les dents du bonheur, et un corps d’enfer. Même Simone de Beauvoir, un tantinet jalouse, s’en mêle : « Quand on la voit danser, même un saint serait tenté », dit-elle. Tenté de quoi ? Simone elle-même se laisse tenter par un bel amant américain. Mais ce que personne ne sait, c’est que Bardot est une éternelle insatisfaite. Les belles femmes ont des vies sentimentales compliquées, c’est une règle absolue : Brigitte quitte Vadim pour Trintignant (qu’elle trouve moche), puis séduit Gilbert Bécaud, tombe dans les bras de Sami Frey, rencontre Jacques Charrier… Elle n’a pas mauvais goût.

    B.B. a passé son enfance dans les beaux quartiers, ceux où le déjeuner familial est de rigueur le dimanche, où les hommes portent des costumes trois-pièces et circulent en Frégate, nouvelle voiture de luxe de la régie Renault. La petite Brigitte, dès ses premiers pas, est expédiée au cours de catéchisme et aux leçons de danse d’une ballerine russe. Son père est à la tête d’une entreprise d’oxygène, ce qui tombe bien. Brigitte en manque. Elle étouffe, rue de la Pompe, où elle ne croise que des nounous en uniforme, des dadames revêches et des messieurs portant pochette. Elle s’ennuie. Dieu qu’elle s’ennuie ! Comme tous les gamins de son époque ! L’apparition d’Elvis Presley a bien déclenché quelque chose, et les 45 tours s’échangent de main en main. On écoute aussi les Platters sur les tourne-disques Teppaz, ainsi qu’Eddie Cochrane et Gene Vincent, mais en sourdine, pour ne pas déclencher l’ire des parents. Le monde, alors, est divisé en deux : celui des enfants, et celui des adultes. Les ados n’ont pas encore été inventés.

    Evidemment, quand Brigitte Bardot rencontre Roger Plemiannikov, beau garçon amusant qui a adopté son deuxième prénom, Vadim, comme identité, elle pressent tout d’un coup qu’un autre destin l’attend. Elle a quinze ans, il en a vingt-trois. Il est fauché, il voudrait être journaliste, il aime les dames. Son oncle, Marc Allégret, cinéaste (Lac aux dames, Zouzou), qui a été l’ami d’André Gide, lui ouvre toutes les portes : le cinéma est un piège à filles merveilleux. Tandis que Vadim se demande comment passer de la position verticale à la position horizontale, Brigitte est plus que jamais surveillée par ses parents. Si jamais elle devient la maîtresse de ce gandin… « Je le tue ! », annonce papa Bardot. Effrayée, la coupable court vers sa maman en lui disant : « Papa veut le tuer ! » La mère prend les choses avec flegme : « Si tu deviens sa maîtresse », précise-t-elle en remontant une maille sur le tricot qu’elle confectionne. Et elle demande : « Tu ne l’es pas, Brigitte ? – Oh, maman ! » Rassurée, Mme Bardot se remet à tricoter de plus belle et, posément, annonce : « Parce que si tu l’es, je le tue aussi ! »

    Mais peu importe. Brigitte prend les devants. Elle embrasse Vadim sur le palier et, dès lors, les choses suivent leur pente naturelle. Le pot aux roses, bien vite, est découvert. Le fabricant d’oxygène interdit à sa fille de revoir le suborneur. Brigitte ouvre le gaz. Pour éviter l’issue fatale, Pilou Bardot consent au mariage. Le scénario, dès lors, est écrit : amour, tragédie, séparation, menace de suicide. B.B. aime, puis casse, puis sombre, puis émerge, puis aime. Les épisodes « Valium-love » vont se succéder, la vie de Brigitte Bardot est une série de montagnes russes. Elle n’aime pas être seule, mais elle déteste être avec un seul homme.

    Quant au cinéma, c’est simple : la caméra adore la jeune fille. Dès son premier (petit) rôle dans le Trou normand (1952), gentille pochade avec Bourvil, les choses démarrent. On la sollicite de partout. La presse à sensation (qu’on a rebaptisée « people » aujourd’hui) constate qu’elle est l’égale de Marilyn Monroe, en plus piquant. Et la ronde recommence : elle a une aventure avec Trintignant, il s’en va, elle prend des somnifères. Elle est consolée par Gilbert Bécaud, il la quitte, elle se gave de pilules. Elle tombe dans les bras de Raf Vallone, il s’éloigne, elle déprime. Réduite à un fantôme, Brigitte Bardot cherche un coin pour se cacher. Elle charge sa mère de lui trouver une maison en bord de mer. Maman Bardot déniche une vieille ferme dans un coin perdu, la Madrague, à Saint-Tropez. Las ! En guise de calme et de quiétude, c’est la folie. Le coin perdu devient un village à la mode. Pis : Cannes, avec son festival, est juste à côté. En mai, elle fait une apparition sur la Croisette : c’est un tsunami. Les Italiennes lui crient : « Putana ! », et Brigitte, elle, fait part de son admiration pour… Charles de Gaulle. De plus, elle devient une idole féministe : Marguerite Duras écrit un article intitulé « La reine Bardot ».

    Il est temps, pour Brigitte, d’essayer la vie rangée : elle épouse Jacques Charrier (qui, aujourd’hui, fait de la peinture qu’on expose au musée de l’Erotisme, à Pigalle), apprend à repasser, à coudre, et, comme jadis Mme Coty, surveille la blanquette de veau. Mais cette vie, évidemment, ne lui convient guère. Elle accouche d’un enfant. Elle est malheureuse. Elle tente de se suicider, comme d’habitude. D’autres hommes suivront : Bob Zagury, un play-boy ; Gunther Sachs, un millionnaire ; Serge Gainsbourg, le bad boy ; Olivier Despax, star des sixties ; Patrick Gilles, le plus jeune… Il y aura des cinéastes, des pilotes de course, des chanteurs, des barmen, des journalistes. Les films s’enchaînent, l’époque évolue. Les minijupes, les mini-Morris, les maxi-manteaux révolutionnent la mode. Des filles comme Jane Birkin ou Twiggy imposent le « look » garçonnet. En mai 1968, Brigitte Bardot, c’est déjà une antiquité. Les années ont passé si vite… Cinq ans plus tard, après Colinot Trousse-Chemise, Brigitte Bardot met un point final à sa carrière. Elle a trente-huit ans.

    Désormais, fini le cinéma, fini les hommes (ou presque). Elle embrasse avec passion la défense de la cause animale. La fille qui a dynamité la France du pot-au-feu a, alors, tourné la page, une fois pour toute.

    Frédéric Falguière (Le Spectacle du Monde, octobre 2009)

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  • Realpolitik.tv : le retour d'Aymeric Chauprade !

    Nous publions ici le communiqué d'Aymeric Chauprade, professeur de géopolitique, annonçant le lancement du site internet www.realpolitik.tv.

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    J’ai le plaisir de vous annoncer le lancement de realpolitik.tv, un site dédié à l’analyse géopolitique qui rassemble des contenus écrits et audiovisuels.

    Les intervenants sont tous des spécialistes de géopolitique d’une aire géographique (Europe, États-Unis, Chine, Russie, Amérique Latine, Afrique…) ou d’un thème (questions maritimes, énergétiques…). Issus d’horizons variés, ils s’attachent à développer une pensée indépendante et attentive aux réalités des peuples et des civilisations. Le choix du terme realpolitik signifiant simplement que nous tentons de comprendre et d’expliquer le monde tel qu’il, non tel qu’on voudrait qu’il soit.

    Le site n’est pas payant, et n’a pas vocation à le devenir. Il débute son activité, il est donc loin d’avoir atteint son plein régime et vous aurez bien conscience, lors de votre première consultation, que le contenu va s’enrichir de nombreux articles et de nombreuses vidéos. Vous pouvez nous adresser vos critiques et suggestions en nous écrivant directement à l’adresse contact@realpolitik.tv.

    Je vous en remercie par avance.
    Bienvenue dans le monde des réalités identitaires !

    Aymeric Chauprade, directeur du site www.realpolitik.tv

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  • Nietzsche : Se Créer Liberté

    Le tome 1 de la bande dessinée de Michel Onfray (scénario) et Maximilien Le Roy (dessin) consacrée à la vie de Friedrich Nietzsche, et intitulée Nietzsche - Se Créer Liberté, que nous avions annoncé il y a quelques mois, sortira à la mi-mars aux éditions du Lombard.

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    "Un siècle après la mort de Nietzsche, notre époque n'a toujours pas examiné en quoi sa philosophie était porteuse d'immenses révolutions. Nous proposons ici un portrait, une esquisse pour un portrait. Quelques traits de crayon pour signifier une énergie. Un Nietzsche poète, un penseur qui tient la juste et bonne distance entre les idées et les métaphores, les concepts et les images, un fleuve, un volcan, un orage qui pense et écrit. Un Nietzsche voyageur, solitaire, libre-penseur, fuyant le grégaire et les morales d'institutions, les dogmes religieux et leurs faux paradis...

    Un Nietzsche " dynamite", comme il se décrivait lui même."

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  • Flash n°33 : un dossier sur l'avortement

    Le nouveau numéro du magazine Flash est disponible avec, notamment, un dossier sur l'avortement et le point de vue d' Alain de Benoist sur la question.

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    Au sommaire :

    IVG : le débat avorté !

    • Retour sur la loi Veil, analyse d’une politique de l’échec.

    • Après trente ans en milieu ouvrier, une femme médecin témoigne…

    • Alain de Benoist : « l’Église n’a pas toujours condamné (de la même manière) l’avortement. »

    • Contre l’avortement : SOS futures mères ! Une aide morale et financière pour un esprit militant.

    • Albert Ali : « Pourquoi les musulmans sont-ils écartés des marches pro-vie ? »

    Reportage exclusif : « Quand on n’a plus rien, que vaut la vie, si ce n’est une mort digne d’être vécue ? » Ibrahim Joudah, notre correspondant permanent à Gaza dans les tunnels de contrebande.

    Al Qaida frappe encore… avec le slip explosif ! Christian Bouchet dénonce la manipulation.

    Guy Môquet était-il un résistant ? Encore une occasion de se taire ratée par Nicolas Sarkozy.

    Il y a un siècle : Paris sous les eaux ! Une exposition à ne pas manquer à la Galerie des bibliothèques.

    L’inclassable Jean-François Davy : un cinéma indépendant… gentil et intelligent !

    Ils se foot de nous : « C’est pas moi m’sieur, c’est ma maman ! » Petit tour d’horizon des excuses les plus bidons pour justifier le dopage.

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  • Stratégies irrégulières

    Les éditions Economica viennent de publier un fort volume sous la direction d'Hervé Coutau-Bégarie, intitulé Stratégies irrégulières. Il s'agit d'un panorama des affrontements asymétriques de l'antiquité à nos jours. Dans ce livre Couteau-Bégarie, éminent spécialiste de la stratégie, reprend les textes publiés initialement publiés dans la revue Stratégique (n°93-94-95-96, été 2009) et les complète avec de nouvelles contributions. Les anlyses consacrées aux conflits coloniaux et à la période contemporaine sont particulièrement passionnantes.

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    "Une étude sur les stratégies militaires mêlant une réflexion théorique sur les concepts et les catégories de la guerre irrégulière, une réflexion historique, de l'Antiquité grecque et chinoise jusqu'au guerres révolutionnaires du XXe siècle, et une réflexion prospective sur les conflits en cours."

     

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  • Gérard Delteil se paie Daeninckx !

    Le romancier Gérard Delteil, auteur de nombreux polars et, notamment d'un polar géopolitique vigoureusement anti-américain, Les pilleurs de Bagdad (L'Archipel, 2003), a eu l'amabilité de nous adresser ce commentaire sur la note consacrée à Dider Daeninckx :

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    "Daeninckx en effet s'est fait une spécialité de s'attaquer de préférence aux faibles. Jamais il ne s'en est pris à Gallimard qui compte nombre d'auteurs d'extrême-droite à son catalogue : ADG, Dantec entre autres.
    On peut noter deux choses dans sa lettre ouverte à Baleine :
    -Elle attaque perfidement au passage Quadruppani, bête noire de Daeninckx, dans un amalgame dont il s'est fait une spécialité.
    -Parmi les signataires, on trouve Maud Tabachnik, auteure dans une collection de Baleine - Club Van Helsing - d'un roman pour ados grossièrement raciste. Ce qui n'avait pas attiré l'attention de notre détective Daeninckx.
     
    Gérard Delteil
    Ecrivain"
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