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  • La chimère du vivre ensemble et les médias face aux émeutes...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de l'Observatoire du journalisme qui revient sur le traitement par les médias des émeutes ethniques qui ont mis notre pays à feu et à sang pendant près d'une semaine.

     

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    La chimère du vivre ensemble et les médias face aux émeutes

    Depuis une cinquantaine d’années, le journalisme de grand chemin est un outil indispensable pour véhiculer le fantasme du vivre-ensemble. Cette chimère a du plomb dans l’aile depuis les émeutes qui ravagent notre pays depuis le mercredi 28 juin 2023. Malgré ces événements, certains médias s’attachent à cette utopie tandis que la presse est parfois prise pour cible lors de ces affrontements. Entre gymnastique mentale et incohérences flagrantes, petit tour d’horizon de la presse française en période de pré-guerre civile.

    Des journalistes pris pour cibles

    Dans ce climat de chaos, les photographes, cameramen et reporters sont les plus exposés. En tout, ce sont près d’une dizaine de journalistes qui ont été agressés, volés et tabassés durant ces émeutes. Venus de rédactions très différentes, nous observons que ces journalistes ont été pris pour cible car ils étaient sur les lieux des émeutes, parfois confondus avec un policier. Ainsi, un journaliste du Point, deux journalistes du Figaro, un photographe de Libération et deux journalistes d’Al Jazeera ont été visés. La presse locale a elle aussi été ciblée : des journalistes d’un média de Besançon et enfin un journaliste de Ouest-France ont eux aussi fait les frais du chaos. Certaines agressions ont été particulièrement violentes. Le photographe de Libération a été frappé avec un pavé à l’arrière de la nuque, le journaliste du Point a été tabassé à coups de pierres par certains émeutiers. Notons que même des rédactions « indulgentes » — pour ne pas dire plus — avec les émeutiers, comme Libération ou Al Jazeera, ont été ciblées. Souvent le récit est le même : ces journalistes étaient présents dans un point chaud, souvent après le départ de la police, et prenaient des photos lorsqu’ils ont été pris pour cible.

    Les vidéos cachées par les autorités

    Si elle est malmenée par le bas, la presse est aussi malmenée par le haut avec le gouvernement. Face à une situation qui lui échappe, le gouvernement a voulu feindre la maîtrise de la situation en contrôlant les images qui étaient postées sur les réseaux sociaux. C’est dans cette optique que les services du ministère de l’Intérieur sont rentrés en contact avec le directeur adjoint de Cerfia, l’un des comptes Twitter les plus populaires qui diffusé des vidéos des émeutes, permettant aux usagers de voir ces dernières autrement que par le prisme des chaînes d’information ou de la presse mainstream. Comme l’explique Pierre Delcombel, directeur adjoint de Cerfia, à Libération : « Ils [les services du ministère de l’Intérieur] nous ont demandé notre soutien pour faire passer un peu les bonnes infos et apaiser la situation. ». Si rien n’obligeait Cerfia à accepter cette demande, le simple fait de vouloir contrôler l’information fait tache dans un pays où l’indépendance de celle-ci est érigée en dogme. Rien de nouveau pour nos lecteurs assidus.

    Les réseaux sociaux révèlent le réel que L’Obs veut cacher

    Les réseaux sociaux ont été une source primordiale d’informations durant ce chaos. Comme l’a souligné Pierre Sautarel, de FdeSouche, sur son compte Twitter, durant cette période l’information a été avant tout l’apanage d’une poignée d’anonymes sur des canaux Telegram. La presse de gros tirages était occupée à minimiser les événements. Un exemple nous est fourni avec L’Obs. Dans un papier publié dimanche 2 juillet 2023, le journal titre : « aucun incident majeur n’a été recensé dans la nuit de samedi à dimanche ». Un constat très loin de la réalité, mais en accord avec le récit gouvernemental. Dans la nuit de samedi à dimanche 2 juillet 2023, le maire de la commune de L’Haÿs-les-Roses, Vincent Jeanbrun, a été victime d’une attaque à la voiture bélier enflammée à son propre domicile. Sa femme a eu le tibia cassé, ses enfants étaient également présents. Durant cette même nuit, à Mulhouse, six pompiers ont été victimes d’une tentative d’assassinat. Ajoutons des pillages encore nombreux ainsi que des affrontements tendus à Marseille et vous aurez ce que L’Obs appelle une nuit sans « aucun incident majeur ». Sans doute sous la pression de ses lecteurs, ou dans un instant de lucidité, le journal a renommé son article « Première nuit d’accalmie dans la nuit de samedi à dimanche ». Un réajustement qui colle davantage à la réalité, mais qui euphémise la réalité. Notons que l’article ne parle pas de l’attaque de Vincent Jeanbrun.

    La cagnotte comme dérivatif

    Lorsqu’elle n’euphémise pas la violence de ces émeutes, une partie de la presse cherche d’autres cibles. L’une d’elles est la cagnotte mise en place pour soutenir la famille du policier ayant tué Nahel (nous écrivons bien Nahel et non pas Naël comme certains l’ont repris fautivement). Le Monde, dans un papier du 3 juillet 2023, se demande « comment l’extrême droite instrumentalise la cagnotte de soutien à la famille du policier ? ». Comme un chat qui retombe toujours sur ses pattes, qu’importe le contexte, une partie de la presse revient toujours sur l’hydre qu’est l’extrême droite. Libération a lui aussi fait son petit commentaire sur cette cagnotte. Dans un article du 2 juillet, le journal note que l’idée de cette cagnotte « ne vient pas de n’importe qui : Jean Messiha, soutien d’Éric Zemmour et agitateur approximatif des plateaux de télévision ». Nous retombons dans la tambouille que nous avait faite France 5 il y a quelque temps. Le même article souligne que Jean Messiha a dû se tourner vers la plateforme GoFundMe, un organisme américain, après avoir vu sa première cagnotte bloquée par Tipeee. Enfin, Libération évoque la tentative des Sleeping Giants de bloquer cette cagnotte, un sujet que nos lecteurs connaissent bien. Hélas pour les censeurs, le site américain a jugé la cagnotte en accord avec les termes d’utilisation de son site.

    Deux claques et au lit

    Une déclaration a fait couiner Libération, la phrase du préfet de l’Hérault, Hugues Moulouh, qui a préconisé « deux claques et au lit » aux parents des jeunes émeutiers afin de calmer les ardeurs de leur progéniture. Dès lors, il n’en fallait pas plus pour que Libération, dans un article du 3 juillet, parle de « méthode forte ». Citant quelques personnes proches de La France Insoumise, l’article parle de « phrase-choc », tandis que la fin du papier souligne les liens du préfet avec Nicolas Sarkozy. Mater des émeutes, des pillages, des attaques et des tentatives d’assassinat par « deux claques », une méthode-choc selon Libération. Voilà qui ferait une belle synthèse.

    Un autre élément qui a fait réagir est la constitution de groupes de défense dans certaines villes pour faire face aux pilleurs. Certains, issus de l’extrême droite, ont permis à la presse mainstream de retomber dans son jargon habituel de lutte contre cette menace fantôme en mettant sous le tapis les débordements en banlieues.

    Le NYT plus réaliste

    Dans ce climat tendu, la presse internationale n’a pas manqué de réagir. Dans un article, le New York Times parle de « problèmes qui traînent depuis longtemps ». L’article fait le lien entre les émeutes et des problèmes d’identités latents depuis plusieurs années en France, évoquant les minorités qui résident dans les quartiers qui se révoltent. De manière globale, peu de papiers font le lien entre ces émeutes et les minorités immigrées. Souvent, ce lien est fait seulement pour insister sur le racisme de la police française et de l’État.

    Nous aurions pu souligner d’autres éléments. Comme le silence relatif sur les appels — à moitié voilés — à la révolte que fait La France Insoumise, encourageant sans le dire les émeutiers, requalifiés en « révolutionnaires politiques ». La presse de grand chemin et le gouvernement préfèrent lutter contre les « vraies menaces », comme le colloque de l’Action française ou une journée d’hommage à Dominique Venner au nom de ce qui « pourrait » y être dit.

    Ojim (Observatoire du journalisme, 5 juillet 2023)

     

     

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  • Feu sur la désinformation... (381)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Incivilités, débordements, violences et maltraitances, le vivre-ensemble tourne mal dans les piscines et étendues d'eaux d'Europe durant la première canicule de l'été.
    • 2 - Législatives : un traitement médiatique en demi-teinte
      Retrouvez l'analyse de Jean-Yves Le Gallou concernant les résultats des élections législatives et leur traitement médiatique.
    • 3 - Revue de presse
    • 4 - Rachel Kéké : une députée "raciste" chez LFI ??
      L'histoire de Rachel Kéké a tout d'un conte de fée. Du moins selon les médias français, tombés en pamoison devant ce chef d'œuvre d'intégration républicaine. Et si son passé "d'extrême-droite" était en train de la rattraper ?

     

                                            

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  • Le vivre-ensemble ? Quel vivre-ensemble ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Xavier Raufer à Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque les affrontements entre Maghrébins et Tchétchènes à Dijon ainsi que les manifestations communautaristes contre le racisme.

    Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a publié ces dernières années Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et, tout récemment, Le crime mondialisé (Cerf, 2019).

     

                                     

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  • Les snipers de la semaine... (191)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur son site Michel Onfray revient sur l'attentat de la préfecture de police de Paris et sur la présence de fonctionnaires islamistes bien identifiés au sein des forces de sécurité...

    A bas bruit

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    - sur Polémia, Pierre Boisguilbert revient sur la polémique qui a suivi la dénonciation par un élu de la présence d'une femme portant un voile islamique pendant une séance du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté...

    Les médias et la gentille maman voilée, de l’instrumentalisation à la soumission

    Mère islamiste_Bourgogne.jpg

    - sur Hashtable, H16 évoque à sa manière l'échec total de l’Éducation nationale...

    Éducation nationale : l’inclusivité augmente et le niveau baisse

    Blanquer_Baisse du niveau.jpg

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  • Plaidoyer contre le « vivre ensemble »...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh info et consacré à la question du vivre-ensemble.

     

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    Scène de vivre-ensemble dans le secteur de la station Stalingrad à Paris (2016)

     

    Immigration et gauchisme mental. Plaidoyer contre le « vivre ensemble »

    Je ne veux pas vivre avec les immigrés qui arrivent en Europe. Je n’en peux plus du gauchisme mental qui gangrène l’intégralité de nos sociétés occidentales. Je ne veux pas « vivre ensemble » et je veux permettre à mes enfants de vivre avec leurs semblables, ceux qui partagent nos valeurs ancestrales, dans la paix et dans la sécurité. Point barre. Cela ne vous plaît pas ? C’est encore mon droit le plus profond, et je me battrai de toutes mes forces pour le faire respecter, quoi qu’il en coûte.

    C’est ainsi qu’il faut parler à ces prêcheurs de vivre ensemble (qu’on devrait plutôt renommer « mourir côte à côte ») qui pullulent sur les plateaux de TV, dans les journaux, dans votre vie quotidienne dans laquelle ils prennent de plus en plus de place. Je n’ai pas connu la vie en Union soviétique, je ne me permettrai pas de comparaison. Mais malgré nos libertés apparentes et quotidiennes, nous sommes bien dans une société totalitaire d’une perversité, d’une monstruosité sans nom.

    Combien sont-ils en France, en Europe de l’Ouest, qui apprécient ou apprécieraient de vivre au quotidien entourés d’une majorité d’Africains ? Combien changent leurs enfants d’école dans les arrondissements parisiens pour fuir le vivre ensemble qu’ils prônent pourtant, électoralement comme en société ? Pourquoi le font-ils ?

    Mais surtout, pourquoi refusent-ils d’exposer publiquement ce qui les pousse à ne pas vouloir, eux non plus « vivre ensemble » ? Car en plus d’être hypocrites, ils ont surtout peur du flicage généralisé.

    L’idéologie du vivre ensemble ne survit que par le contrôle social généralisé

    En effet, outre les flics qui nous sanctionnent sur les routes ou dans nos vies quotidiennes pour un excès de vitesse ou trois verres au lieu de deux, le tout pour un salaire de misère, le vrai agent de la société totalitaire, c’est votre voisin. C’est l’autre.

    C’est son jugement moraliste à deux balles. « Je n’ai pas envie que mes enfants grandissent entourés majoritairement par des extra-Européens. Je n’ai rien contre ces gens, mais je n’ai pas envie qu’ils vivent avec eux, qui plus est dans un pays que mes ancêtres, et pas les leurs, ont construit depuis des siècles et des siècles ». Certains d’entre vous le pensent fortement, mais ont peur de le dire, c’est tout. Le contrôle social généralisé. La peur d’être dénoncé, d’être stigmatisé, d’être lynché médiatiquement et politiquement, d’être mis à l’écart, de perdre votre travail, et même vos amis. Quand le refus du « vivre ensemble » vous range dans la catégorie du raciste que vous n’êtes pourtant pas, et pire encore, placardisation suprême, d’Hitler et des nazis.

    Contrôle social, mais aussi contrôle judiciaire. Les mots, les écrits, peuvent désormais vous envoyer sous les verrous, certains blogueurs et internautes en ont déjà fait les frais. On qualifie désormais « d’incitation à la haine raciale » tout et n’importe quoi, y compris le simple fait de ne pas vouloir, à titre individuel et sans forcer les autres, « vivre ensemble ». Y compris si de la haine, vous n’en avez aucune, si ce n’est contre les institutions et ceux à leurs têtes qui sabrent votre monde. Il n’est sans doute plus très loin le temps où ces États totalitaires vous enlèveront vos enfants parce que vous pensez mal. Parce que vous refusez de les éduquer conformément à la doxa de l’époque.

    Vous pensez que j’exagère ? Que je vais trop loin ? Mais alors pourquoi les Blancs fuient-ils les banlieues colonisées par de nombreux extra-Européens ? Pourquoi dans les villes du Sud de la France, fortement touchées par l’immigration, les partis anti-immigration captent sans doute une large majorité de l’électorat blanc, qui a refusé de partir ? Pourquoi en Bretagne, préférez vous vivre à Cesson-Sévigné ou à La Baule (et voter Macron) plutôt que dans la Zup Sud de Rennes ou qu’à côté d’un foyer pour migrants à Nantes ?

    Vous vous gavez de séries sur Netflix, à la Black Mirror, ou à la Handmaid’s tales, qui décrivent parfaitement (et avec brio) le fonctionnement des sociétés totalitaires dans lesquelles nous évoluons (tout en piratant bien évidemment le message pour le rendre féministe, pro LGBT, pro minorités, etc). Mais rendez-vous compte désormais que les victimes de ces sociétés totalitaires c’est vous ! La télévision, la radio, les puissances économiques qui nous dirigent vous imposent chaque jour Bilal Hassani, Black M, Booba, la tristesse des migrants et le grand méchant Trump,  Et vous applaudissez ! Tout en apprenant dès l’école à vous détester vous-même, à vous mépriser parce que vous êtes un Blanc, un colonisateur, un esclavagiste, un criminel de guerre presque. Le bien, c’est l’autre, le mal, c’est vous. 

    Quitter le marasme ou résister envers et contre tous

    Il y en a beaucoup, parmi nos compatriotes, qui s’adaptent parfaitement à cet état de fait. Qui vous disent adorer « manger un bon poulet Yassa » avec les voisins venus du Mali, d’autres, plus militants, qui militent associativement pour accueillir les migrants et nous les imposer. Et tous ces « innocentes et innocents » qui se trémoussent dans les boîtes de nuit en dansant sur de la musique avec laquelle ils n’ont pourtant rien en commun. Et qui applaudissent à chaque grande messe du vivre ensemble. « Allez les Bleus, tous ensemble, quelles que soient nos différences ». C’est le principe de la société totalitaire. Permettre à la masse, devenue esclave, de se penser libre et rebelle. Le combo ultime du Soviet 3.0. Mais après tout, notre histoire y compris récente n’est-elle pas faite de collaboration massive avec celui qui, à un moment donné, paraissait être le plus fort ?

    Face à un tel torrent, face à cette hygiène de destruction massive que l’on appelle « vivre ensemble », il paraît difficile de convaincre la majorité, la masse, de changer de paradigme. Certains y croient électoralement, et se heurtent à un plafond de verre, et bientôt à des désillusions démographiques.

    Ne reste désormais que deux solutions, à ceux qui sont conscients des choses. À ceux qui refusent toute fatalité, et tout fantasme réactionnaire d’un pays qui n’existe plus. Se tenir debout, vivre et transmettre selon ses propres valeurs. Faire face autant que possible au rouleau compresseur qui détruit tout sur son passage dans nos sociétés occidentales. Distiller ce plaidoyer contre le vivre ensemble, et pour la grande séparation.

    Pour avoir le droit de choisir ses voisins et ceux de ses enfants. Son cadre de vie, et surtout, ceux avec qui on ne souhaite pas vivre. Affronter férocement ceux qui voudraient nous empêcher, y compris à titre individuel, de vivre tel que nous le voulons.

    Ou bien finalement partir, là où l’herbe est plus verte, non pas pour soi, mais pour ses enfants, pour notre descendance. Sortir du marasme pour mieux rester dans la civilisation européenne, que la France, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne, sont en train de quitter chaque jour un peu plus.

    Vivre ensemble ? Oui, mais avec les miens et uniquement les miens. Envers, et contre tous !

    Julien Dir (Breizh info, 09 juin 2019)

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  • Les salauds...

    Nous reproduisons ci-dessous un texte court et incisif de Xavier Eman qui nous rappelle, sur son site A moy que chault !, qui sont les vrais salauds...

     

    Salauds.jpg

    Les salauds

    Au nom de la « tolérance », du « vivre ensemble » et de l'utopie mondialiste du « village global » :

    Ils ont nié les maux liés à la submersion migratoire et la souffrance des autochtones face à celle-ci, ils récoltent le communautarisme social des riches et les ratonnades des pauvres acculés par la peur et le désespoir...

    Ils ont insulté les patriotes et les nationalistes politiques, ils récoltent des générations de pleutres frustrés, dévorés d'aigreur et de ressentiment, prêts à la haine la plus aveugle à la première occasion « légitimée » et sans risque...

    Ils ont nié les peuples, ils récoltent le sous-tribalisme des quartiers, des cités, des bandes et des ghettos...

    Ils ont nié le mot race, ils récoltent les prémisses de la guerre ethnique...

    Ils ont nié l'attachement à la terre, à l'histoire, à la culture, ils récoltent les exilés fiscaux et les migrants économiques...

    Ils ont nié a transcendance, ils récoltent les drogués de la consommation, les toxicos de l'avoir, les shootés au pognon...

    Ils ont nié la transmission et la recherche de la vérité historique, ils récoltent des troupeaux d'incultes et d'illettrés, de crétins diplômés, d'ignares prétentieux exposés à n'importe quelle manipulation plus ou moins habile (aujourd'hui la leur, mais demain?)...

    Ils ont nié l'intimité et la sacralité d'éros, ils récoltent des hordes de clébards qui ne jouissent que sur écran et baisent moins que leurs grand-parents...

    Ils ont nié la différence et la complémentarité des sexes, ils récoltent des armadas de célibataires névrosés, de familles décomposées et d'ados « Drag Queen » défilant une plume dans le cul sous les applaudissements de vieilles salopes libidineuses...

    Ils ont nié l'inégalité des talents et des mérites, ils récoltent le népotisme bourgeois, le copinage et l'endogamie des privilégiés..

     

    Ce sont des destructeurs, Des semeurs de haine. Des faiseurs de guerres.

     

    Xavier Eman (A moy que chault !, 27 août 2018)

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