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philippe d'hugues

  • Lettres à une provinciale...

    Les éditions Les Sept Couleurs viennent de publier Lettres à une provinciale, un recueil de chroniques de Robert Brasillach publiées à l'origine dans Je suis partout, avec une préface de Philippe d'Hugues.

    Les éditions Pardès viennent de rééditer le livre de Robert Brasillach intitulé Notre avant-guerre. Écrivain et journaliste à l'Action française et Je suis partout, Robert Brasillach, à qui l'on doit, notamment, Les sept couleurs et Comme le temps passe, mais aussi une Histoire du cinéma (avec son beau-frère Maurice Bardèche) ou un Corneille, a été une des principale victimes de l'épuration des intellectuels et est mort le 6 février 1945, dans les fossés du fort de Montrouge, sous les balles d'un peloton d'exécution.

    Brasillach_Lettres à une provinciale.jpg

    " « Heureux lecteur, qui va lire le trente-deuxième et dernier ouvrage publié de Robert Brasillach. Avouons qu’il nous manquait bien.
    Avec ces Lettres à une provinciale –quoiqu’elles eussent été adressées à une Angèle imaginaire au fil des années 1936-1940, dans les colonnes de Je suis partout–, il est proposé un véritable ouvrage, construit, homogène, avec unité d’action et de personnages.
    Ces textes sont comme un tourbillon qui nous entraîne dans l’univers de Brasillach. C’est la vie même qui court dans ces lignes, avec toute la fougue de la jeunesse (l’auteur n’a pas trente ans!), ses enthousiasmes, ses excès, ses tendresses. » "

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  • Géopolitique de l'Europe impériale...

    Le nouveau numéro de la revue Réfléchir & agir (n°73 - Printemps 2022) est disponible en kiosque. Le dossier est consacré à la géopolitique de l'Europe...

    Réfléchir&Agir 73.png

    Au sommaire :

    En bref

    Antipasti

    Philippe d'Hugues

    Scènes et rustines du nationalisme

    DOSSIER 

    Géopolitique de l'Europe impériale

    Pour l'Europe impériale, contre l'UE, par Eugène Krampon

    Qu'est-ce que l'Europe impériale ?, par Eugène Krampon
    Entretien avec Robert Steuckers
    Les enseignements oubliés de Jordis von Lohausen, par Eugène Krampon
    La Méditerranée, route migratoire et tombeau de l'Europe, par Klaas Malan
    L'Empire face au monde musulman, par Klaas Malan

    Huntington, le penseur fondamental du choc des civilisations , par Scipion de Salm

    Grand entretien

    Edmond Fraysse

    Fascismes

    L'influence de Charles Manson sur les NS US, par Jules Vérin

    Mystères

    Les momies du Xinjiang, par Edouard Rix

    Tradition

    Sergio Pessot, fils du soleil, par Christian Bouchet

    Un livre  est un fusil

    La Révolte des masses, par Bruno Favrit

    Notes de lecture

    Les crimes du mois

    Musique

    Entretien avec Peste Noire

    Disques

     

     

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  • Mémoires intempestifs sur une vie de cinéma...

    Les éditions Via Romana viennent de publier sous le titre Ma vie et le cinéma - Mémoires intempestifs, les mémoires de Philippe d'Hugues, avec une préface de Frédéric Vitoux.

    Ancien administrateur de la Cinémathèque française, écrivain et historien du cinéma, Philippe d'Hugues est notamment l'auteur de L'envahisseur américain (Favre, 1999), Les écrans de la guerre (De Fallois, 2005), Chronique buissonnière des années 50 (De Fallois, 2008), Les Causeries du dimanche (Auda Isarn, 2013), Au temps de la Nouvelle Vague (Auda Isarn, 2016) et dernièrement Viva Cinecittà ! - Les douze rois du cinéma italien (De Fallois, 2019).

     

    Hugues_Ma vie et le cinéma.jpg

    " En matière de cinéma, de génériques de films certes, mais bien au-delà, dans ce qui fait la matière même d’une vie : choses vues, choses lues, rencontres, dialogues ou conversations, il semble tout emmagasiner, de par sa volonté ou en dépit de celle-ci. Et parce qu’il est un homme de haute culture, son capital de données, comme on le dit en informatique, s’enrichit des leçons, des appréciations et des jugements qu’il en tire. On peut appeler ça une forme de sagesse.

    Mieux, ce qu’il a ainsi retenu, voilà qu’il s’en délivre soudain, au soir de sa vie, pour nous offrir ce livre de souvenirs qui ressemble à un torrent où tournoient des centaines, des milliers de silhouettes, célèbres ou pas, des anecdotes en pagaille, plus savoureuses les unes que les autres, des portraits vitriolesques ou tendres, des jugements péremptoires, des émotions contradictoires parfois. Epoustouflant !

    À ses Mémoires, Philippe d’Hugues a associé l’épithète d’intempestif. Retenons-la ! Selon son étymologie, est intempestif ce qui est hors de saison, ne prend pas sa place au moment qu’il convient. Parfait ! Tout pour combler notre auteur durablement fâché avec son époque, ses lâchetés, ses conformismes et qui, aux idées reçues, a toujours préféré l’inconfort des convictions qui l’éloignent de ses contemporains. Pourtant, sa carrière professionnelle nous paraît assez sage. Après avoir travaillé à l’Institut national d’études démographiques, il eut la bonne idée d’attraper la varicelle en mai 68 et d’en suivre les turbulences du fond de son lit. Où pouvait-on être mieux, en ces semaines-là, pour se garder de la tentation de trop d’espoirs fous, de slogans catégoriques et de sottises sans appel ?

    Par la suite, il sera engagé comme chargé de mission au Centre national de la cinématographie. Le cocon rêvé, pour ce cinéphile impénitent, placé soudain au cœur du réacteur qui accompagnait et encourageait le 7e art. Mieux, il rejoindra aussi, un peu plus tard, le Conseil d’administration de la Cinémathèque. Et le temps lui sera laissé pour écrire, collaborer à diverses revues et signer des ouvrages de référence sur l’histoire du cinéma français qu’il connaît mieux que personne… Mais basta ! Ce livre de mémoires, intempestif et torrentiel à la fois, est le joyau d’un misanthrope qui aima sans doute le cinéma plus encore que la vie et qui n’a pu s’empêcher de tout retenir et de tout nous livrer – jetant sur notre époque un regard singulier mais nous livrant surtout un témoignage fraternel.

    Frédéric Vitoux "

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  • L'Empire vous divertit...

    Les éditions Investig"action viennent de publier une enquête de Matthew Allford et Tom Secker intitulée L'Empire vous divertit - Comment la CIA et le Pentagone utilisent Hollywood.

    Cette enquête vient utilement compléter les essais de Philippe d'HuguesL’Envahisseur américain - Hollywood contre Billancourt (Favre, 1999), de  Jean-Michel Valantin, Hollywood, le Pentagone et le monde (Autrement, 2010) ou de  Pierre Conesa, Hollywar - Hollywood, arme de propagande massive (Robert Laffont, 2018).

     

    Allford_L'Empire vous divertit.jpg

    " Bien installé dans une salle obscure ou dans son canapé, tout le monde a déjà été exposé à une production hollywoodienne. Mais derrière l’écran se cache parfois l’influence du lobby militaire : Pentagone et CIA.

    De fait, ils fournissent du matériel, des véhicules, des lieux de tournage et même des figurants pour de nombreux films comme Top Gun, certains Terminator, Avatar, Hulk et Iron Man. En contrepartie, ils imposent des modifications aux scénarios, du navet au film de qualité. Ils vont parfois jusqu’à tout réécrire !

    Matthew Alford et Tom Secker ont enquêté minutieusement sur une trentaine de films célèbres. En invoquant le Freedom of Information Act (qui, depuis le Watergate, oblige les administrations US à dévoiler une partie au moins de leurs archives), ils ont pu analyser plus de 4 000 pages de documents et de mails. Ils ont ainsi déterré toutes les formes de propagande.

    Passionnant et richement illustré, L’Empire vous divertit est incontournable pour mieux saisir les rouages de l’industrie cinématographique. Expliquant aussi comment les États-Unis ont utilisé Hollywood pour justifier leur domination. Le cinéma… une puissante arme de guerre ! "

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  • Viva Cinecittà !...

    Les éditions de Fallois viennent de publier un essai de Philippe d'Hugues intitulé Viva Cinecittà ! - Les douze rois du cinéma italien. Écrivain et historien du cinéma, Philippe d'Hugues est notamment l'auteur de L'envahisseur américain (Favre, 1999), Les écrans de la guerre (De Fallois, 2005), Chronique buissonnière des années 50 (De Fallois, 2008), Les Causeries du dimanche (Auda Isarn, 2013) et Au temps de la Nouvelle Vague (Auda Isarn, 2016).

     

     

    " Viva Cinecittà! est une évocation vivante du cinéma italien en son Âge d’Or, à travers douze portraits consacrés aux Maîtres qui, en quelques années, hissèrent les films de la Péninsule au sommet du 7e art et l'y maintinrent pendant quelques décennies: De Sica, Rossellini, Fellini, Visconti, Pasolini, Antonioni, Blasetti, Soldati, Cottafavi, Comencini, Rosi, Olmi.
    Ces noms sont incontournables. Ce sont eux les rois du cinéma italien, les grands registi de Cinecittà.
    L’idée de Cinecittà et sa réalisation furent l’un des grands projets du régime mussolinien, attentif, comme ses homologues, au développement d’un art éminemment populaire. Le chantier est inauguré en 1937. «Hollywood sur Tibre» est né. Il s’agit de rivaliser avec les grands studios américains. Plus de soixante hectares, des dizaines d’édifices, plus de 20 studios de tournage seront mis au service de cette entreprise. Par-delà les variations et les fluctuations des idéologies dominantes, Cinecittà s’affirmera comme le plus prestigieux sanctuaire de la création cinématographique en Europe.
    Avec les douze metteurs en scène retenus par Philippe d’Hugues, sont ici présents tous les genres illustrés dans le fameux studio romain et dans son environnement: la fresque historique, le drame romantique, le fait divers néoréaliste, etc. Cette diversité montre l’exceptionnelle richesse du cinéma italien.
    On ne peut aborder la lecture de ce livre sans éprouver le besoin de la poursuivre. On ne peut l’achever sans rêver de repartir à la découverte de Cinecittà, des chefs-d’œuvre qui en sont sortis, des acteurs et des actrices qui n’ont cessé d’enchanter les publics les plus variés. "

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  • Hollywood, arme de propagande massive...

     Les éditions Robert Laffont viennent de publier un essai de Pierre Conesa intitulé Hollywar - Hollywood, arme de propagande massive. Agrégé d'histoire et énarque, Pierre Conesa a fait partie dans les années 90 de la Délégation aux affaires stratégiques du Ministère de la défense. Il est l'auteur de plusieurs essais, dont Les Mécaniques du chaos : bushisme, prolifération et terrorisme (L'Aube, 2007), La fabrication de l'ennemi (Robert Laffont, 2012) ou Dr. Saoud et Mr. Djihad - La diplomatie religieuse de l'Arabie saoudite (Robert Laffont, 2016) ainsi que d'un excellent polar géopolitique, intitulé Dommages collatéraux (Flammarion, 2002).

    Sur le même thème, on pourra également consulter un ouvrage de Jean-Michel ValantinHollywood, le Pentagone et le monde (Autrement, 2010) et aussi L’Envahisseur américain - Hollywood contre Billancourt (Favre, 1999) de Philippe d'Hugues.

     

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    " Le Noir, le Rouge, le Jaune, le communiste, le barbu... : quand Hollywood fabrique des ennemis, ce n'est pas que du cinéma.

    Hollywood est une usine à rêves mais aussi une formidable machine à créer des méchants. À chaque époque sa cible. D'abord incarné par le Noir, représenté comme un illettré, un paresseux obsédé par la femme blanche, l'ennemi a ensuite pris les traits de l'Indien, sauvage et agressif, puis du Chinois cruel, du basané - bandit mexicain, gras et transpirant, ou trafiquant colombien -, du nazi ou du communiste... Plus récemment, lors de la deuxième guerre du Golfe, c'est le " Frenchie " qui a cristallisé la rancœur des États-Unis, avant qu'il soit remplacé par l'Arabo-Irano-terroristo-musulman.
    Pour mener l'enquête, l'auteur a passé au crible plus de trois mille films, le plus souvent des objets cinématographiques de consommation courante, ceux qui forgent l'opinion publique bien plus que les chefs-d’œuvre. De manière implacable, il démontre comment Hollywood, en jouant de la confusion entre fiction et réalité, cinéma et géopolitique, est devenu une arme de propagande massive, capable de transformer les ennemis des États-Unis en menaces planétaires. "

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