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maurice bardèche

  • Le monde en flammes...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un recueil de textes de Francis Parker Yockey intitulé Le monde en flammes. Américain, mais européen de cœur, influencé par Nietzsche et par Spengler, Francis Parker Yockey a été un penseur et un militant qui a combattu après la fin de la guerre civile européenne, pour une grande Europe libre et indépendante. Il est l'auteur d'Imperium - La philosophie de l'histoire et la politique, disponible chez le même éditeur.

     

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    " Ce livre, qui contient une série de courts essais de Francis Parker Yockey est le cinquième ouvrage à paraître en France de cet auteur. Avec celui-ci, les lecteurs francophones disposent maintenant de la totalité de ses écrits.
    Américain de naissance mais Européen par choix, Francis Parker Yockey fut, bien avant Jean Thiriart, un partisan de l’Empire européen et le premier à créer un parti pan-européen, le Front européen de libération.
    Malgré les années passées ses idées restent pour la plupart actuelles. Quant à celles que les évolutions géopolitiques ont démodées, elles méritent d’être connues car elles témoignent de l’activité, dans l’immédiate après-guerre, de toute une mouvance où l’on croise Adrien Arcand, Oswald Mosley, le major-général Otto Ernst Remer et Maurice Bardèche. "

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  • Une histoire des femmes...

    Les éditions Kontre Kulture viennent de rééditer l'essai historique de Maurice Bardèche intitulé Histoire des femmes. Normalien, agrégé de lettres et auteurs d'essais reconnus sur Proust, Balzac ou Flaubert, Maurice Bardèche était également le beau-frère de Robert Brasillach et a animé après guerre la revue Défense de l'Occident.

     

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    " L’histoire des femmes se confond avec celle des hommes, mais elle a ses spécificités propres, elle est « l’histoire de l’humanité lue dans l’évolution de la vie privée ». Souvent en retrait des grands événements qui ont façonné le monde, la femme en est à sa manière tout autant fondatrice que les hommes. Elle en est aussi le reflet. Reflet de l’image que les hommes se font d’eux-mêmes et reflet de la société dans laquelle elle vit. Les conditions de son existence, les libertés et les responsabilités qu’on lui a laissées ou qu’elle a prises, ont déterminé un modèle de société qui l’a à son tour modelée.

    Mais de la Chine impériale à la civilisation islamique, de la Grèce antique aux tribus celtiques, de l’Inde aryenne à l’Égypte ancienne, à travers le temps et à travers l’espace, c’est essentiellement sa condition économique qui détermine son mode d’existence, car « une paysanne chinoise, une paysanne chrétienne, une paysanne de Rome ont d’abord vécu comme une paysanne ». À l’autre bout du spectre, la vie de cour détermine des traits particuliers qui font que, à la longue, toutes les femmes s’y ressemblent. Ce sont donc celles « appartenant à ce qu’il est convenu d’appeler l’élite d’une nation qui nous donnent une idée plus exacte de chaque civilisation. […] On s’aperçoit alors que le statut politique sous lequel chaque nation a vécu a eu une grande importance sur la vie et le pouvoir des femmes. » Féodalités, monarchies absolues, empires, régimes démocratiques ont donné aux femmes une place qui n’est pas toujours celle imposée par notre imaginaire collectif. « Il faut renoncer en particulier à l’idée séduisante que la femme est née esclave et proie, qu’elle n’a longtemps connu que la servitude et que son histoire est celle d’une lente accession à des formes supportables de la dépendance, puis de proche en proche à sa libération. Rien n’est plus faux que cette imagerie. » "

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  • Chroniques du 7e art...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un recueil d'articles de Robert Brasillach intitulé Chroniques du 7e art. Écrivain et journaliste à l'Action française et Je suis partout, Robert Brasillach, à qui l'on doit, notamment, Les sept couleurs, Comme le temps passe et Notre avant-guerre, mais aussi une Histoire du cinéma (avec son beau-frère Maurice Bardèche) ou un Corneille, a été une des principale victimes de l'épuration des intellectuels et est mort le 6 février 1945, dans les fossés du fort de Montrouge, sous les balles d'un peloton d'exécution...

     

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    " Avant d’être fusillé le 6 février 1945, Robert Brasillach a laissé, malgré sa courte vie, une œuvre d’un rare éclectisme et d’un talent inouï. Aussi à l’aise dans le roman, la critique littéraire et cinématographique, le théâtre que dans la politique ou la poésie, il incarnait un humanisme aujourd’hui bien disparu.

    Dès l’âge de dix-huit ans, il amorçait une longue carrière de cinéphile et de critique du septième art, dans La Tribune de l’Yonne sous la signature de Jacques Tournebroche (pseudonyme emprunté à Anatole France). Suivirent Le Coq catalan, La Revue universelle, Gringoire, La Chronique de Paris, L’Appel, La Gerbe, L’Echo de la France, mais quasiment jamais Je suis partout où la critique cinématographique était assurée par son ami Lucien Rebatet (alias François Vinneuil).

    Le présent volume rassemble tous les articles de cinéma que Robert Brasillach a publiés dans ces divers organes de presse de 1927 au 12 juillet 1944. Il témoigne de sa vision, de sa tendresse et de ce fameux “plaisir du cinéma”, et complète ainsi la fabuleuse Histoire du cinéma coécrite avec son beau-frère Maurice Bardèche. "

     

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  • Les captifs...

    Les éditions Pardès viennent de rééditer un roman inachevé de Robert Brasillach intitulé Les captifs. Ecrivain et journaliste à l'Action française et Je suis partout, Robert Brasillach, à qui l'on doit, notamment, Les sept couleurs, Comme le temps passe et Notre avant-guerre, mais aussi une Histoire du cinéma (avec son beau-frère Maurice Bardèche) ou un Corneille, a été une des principale victimes de l'épuration des intellectuels et est mort le 6 février 1945, dans les fossés du fort de Montrouge, sous les balles d'un peloton d'exécution...

     

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    " Après la défaite de juin 1940, Robert Brasillach est fait prisonnier lors de l'encerclement de la IIIe armée. D'abord à Neuf-Brisach, puis dans les camps allemands de Warburg et Soest, il entreprend la rédaction d'un roman, qu'il intitule Les Captifs. Libéré le 31 mars 1941, il reprend son manuscrit durant l'été de cette même année, mais l'abandonne définitivement.
    C'est donc un roman inachevé que nous lisons aujourd'hui sous le titre Les Captifs : trois cents pages manuscrites, la moitié de ce que Robert Brasillach avait prévu d'écrire.
    En 1940, à cause de son âge (il a trente et un ans), et parce que la défaite et l'emprisonnement sont deux violentes ruptures avec le passé immédiat, l'écrivain fait de son roman une œuvre de récapitulation : à travers des personnages nombreux, bien individualisés, vivants, il rassemble ce qu'il a espéré, détesté, admiré, aimé surtout, pendant sa jeunesse, désormais révolue. 
    Les Captifs révèlent aussi une ambition nouvelle : construire un ensemble romanesque dont le lecteur, pareil à celui de La Comédie humaine, retrouverait, d'un livre à l'autre, des créatures familières, immergées dans l'histoire contemporaine.
    Tous ces personnages sont soumis, chacun à sa manière, à la loi du temps et du vieillissement, qui a hanté Robert Brasillach.
    Récapitulation, témoignage d'une ambition nouvelle, approfondissement d'une méditation sur le temps, Les Captifs, quoique inachevés, sont une oeuvre foisonnante, qui atteste "le don de vie", indispensable au vrai romancier. "

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  • Sparte et les Sudistes...

    Les éditions Kontre Kulture viennent de rééditer l'essai de Maurice Bardèche intitulé Sparte et les Sudistes. Normalien, agrégé de lettres et auteurs d'essais reconnus sur Proust, Balzac ou Flaubert, Maurice Bardèche était également le beau-frère de Robert Brasillach et a animé après guerre la revue Défense de l'Occident.

     

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    " « Ce que j’appelle Sparte, c’est la patrie où les hommes sont considérés en raison de leurs qualités viriles qui sont mises au-dessus de toutes les autres. Ce que j’appelle les Sudistes, ce sont les hommes qui s’efforcent de vivre selon la nature des choses qu’ils ne prétendent corriger qu’en y ajoutant de la politesse et de la générosité. »

    Voilà expliqué, par l’auteur lui-même, le titre a priori obscur de cet ouvrage. Sparte est une idée, c’est une attitude devant la vie, le refus de la médiocrité, la reconnaissance de l’inégalité des hommes devant l’épreuve, le mépris de la mort ; c’est une image que l’on se fait de l’humain et qui doit servir de guide. Mais tous ne sont pas des héros, tous ne peuvent pas être des héros, et les Spartiates sont là pour les défendre, pour être aussi des modèles qui, à l’instar des saints pour les chrétiens, donnent la direction à suivre sans jamais juger ceux qui n’ont ni leur noblesse ni leur courage. Car l’humanité ne peut être toute spartiate ; elle a besoin du bonheur de vivre qu’incarnent les Sudistes, « cette part de l’espèce humaine qui veut [...] respirer quelque chose qui ne soit pas frelaté, fabriqué, un air propre, tel qu’il était au commencement du monde ». Les Sudistes sont ces êtres lumineux qui ont fécondé l’histoire : on les rencontre chez les Gibelins, auprès des Albigeois, à Byzance... Ils sont tous ceux qui sentent une contradiction profonde entre le mode de vie qu’on tente de leur imposer et leur instinct. Le Sudiste est celui qui ne veut être ni « le triste insecte appelé travailleur » ni le Yankee qui a triomphé, et avec lui le roi dollar, « la société de consommation, la publicité, le conformisme, la monotonie, et les longues, les immenses plaines de l’ennui et de l’absurdité ».

    Nous sommes chacun, un peu plus ou un peu moins, Spartiate ou Sudiste au gré des circonstances : « Que le Spartiate en nous réponde donc à l’heure du péril, et même qu’il veille toujours en chacun de nous [...], mais qu’il sache qu’il n’est là que pour protéger le Sudiste en nous, pour lui permettre d’être. » "

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  • Opinions et témoignages sur Pierre Drieu la Rochelle...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier Drieu la Rochelle - Opinions et témoignages, un recueil de textes des années 50 consacrés à l'auteur de Gilles et tirés de la revue de Jacques Laurent, La Parisienne, et de celle de Maurice Bardèche, Défense de l'Occident.

     

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    " Dans la nuit du 15 au 16 mars 1945, Pierre Drieu la Rochelle se donnait la mort. Après avoir choisi dans sa bibliothèque un recueil de textes brahmaniques – écrits familiers parcourus une dernière fois –, il avait ouvert le gaz et avalé une dose massive de gardénal.
    Après le silence des années d’immédiate après-guerre, on se mit à reparler de Drieu.
    Deux revues non conformistes, l’une littéraire (La Parisienne, sous la direction de Jacques Laurent), l’autre politique (Défense de l’Occident, sous la direction de Maurice Bardèche), ont, respectivement en octobre 1955 et février 1958, fait paraître un numéro spécial composé de témoignages sur Drieu la Rochelle. Ce sont ces « dépositions » que nous avons jugé utile de reproduire aujourd’hui.
    Pourquoi ? Parce que si l’œuvre de Drieu, après des années de mépris imposées par une bien-pensance affligeante, est aujourd’hui vivante et reconnue, l’image de l’être de chair et de sang reste, quant à elle, floue et controversée. Ouvrez donc ce livre, véritable procès en réhabilitation. La parole est aux témoins. "

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