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  • Paix de Noël...

     

    Bonne fête de Noël aux lecteurs de Métapo infos !...

     

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    " Je veux nommer cela qui dans mon âme

    Se fait appel de mes hivers perdus,

    Résurrection de la source et la flamme,

    Paix de Noël dans le temps suspendu. "

    Jacques-André Saintonge

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  • Sur les fêtes du Jul...

    Les éditions Francephi viennent de rééditer un ouvrage de Victor Coremans intitulé Sur les fêtes du Jul. Historien et journaliste né à Bruxelles, Victor Coremans (1802 - 1872) a été un défenseur de l'identité et de la culture flamande.

     

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    " Les légendes et traditions des saints et saintes se sont mêlées dans l’esprit du peuple, aux mythes et traditions païennes.

    La réédition de ce curieux petit essai, longtemps introuvable, est l’occasion de rappeler en quelques pages ce que la fête de « Noël » signifie pour tous ceux, de plus en plus nombreux, qui ne se reconnaissent pas dans un judéo-christianisme en pleine déliquescence. "

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  • Le soleil reviendra !...

    Bonne fête de Noël aux lecteurs de Métapo infos !...

     

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    Le soleil revient toujours, et avec lui la vie sur la terre.

    Au cœur de l’hiver, c’est le feu qui remplace le soleil. Il chauffe et éclaire. Il est la vie.

    Aujourd’hui encore, le feu garde son éternel symbole. Au plus profond de l’hiver, il reste une image du soleil, une image du rythme des saisons et du rythme de la vie.

    Christianisée sous le nom de Noël, la fête nordique de JUL n’est pas limitée à une seule journée. Le solstice d’hiver n’en représente que le point culminant, la nuit sacrée entre toutes. Noël n’est pas la fête de la vieillesse et du désespoir, mais celle de l’enfance et du devenir.

    Fête du combat contre les ténèbres et fête des graines invisibles, Noël appartient à ceux qui luttent dans le silence, l’ombre et la solitude. Noël est la fête de l’invincible espérance.

    Les hommes d’aujourd’hui, s’ils ignorent le véritable sens de ces jours de fête, n’en devinent pas moins qu’il s’agit d’une tradition plongeant ses racines dans le plus sacré de nos peuples.

    Noël, c’est la vieille fête du solstice d’hiver. Dans la nuit la plus longue de l’année, alors que l’hiver, le froid, la neige, le gel, ne semble jamais devoir finir, dans cette nuit unique et terrifiante, nos ancêtres ont refusé de croire à la mort du soleil. Ils portaient au cœur la certitude du printemps. Ils savaient que la vie continuait, que les fleurs allaient crever la neige, que les graines germaient sous la glace, que les enfants allaient prendre leur part d’héritage et que leurs clans et leurs tribus allaient conquérir toutes les terres dont ils avaient besoin pour vivre, toutes les mers dont ils allaient faire leur domaine sans limites.

    Au moment où les glaciers allaient peu à peu reculer devant les forêts, voici des milliers d’années, une immense veillée d’armes nous réunissait autour des feux, à travers toute l’Europe alors sans nom. Nos ancêtres surgissaient des ténèbres et des brumes. Ils allaient découvrir la mer immobile et élever des pierres verticales, au soleil de la Grèce. Ils savaient qu’ils triompheraient de l’hiver, de la peur et de cette atroce sagesse des vieillards qui veulent paralyser les jeunes gens impatients.

    Notre monde est entrain de naître. Invisible comme les fleurs et les blés de demain, il fait son chemin sous la terre. Nous avons déjà nos racines, solidement enfoncée dans la nuit des âges, ancrées dans le sol de nos peuples, nourries du sang de nos anciens, riches de tant de siècle de certitude et de courage que nous sommes les seuls à ne pas renier. Nous sommes entrés dans un hiver intégral où l’on oblige les fils à avoir honte des hauts faits de leur père, où l’on préfère l’étranger au frère, le vagabond au paysan, le renégat au guerrier. Nous sommes entrés dans un hiver où l’on construit des maisons sans cheminée, des villages sans jardin, des nations sans passé. Nous somme rentrés dans l’hiver.

    La nature meurt et les hommes deviennent tous semblables. Il n’y a plus de paysages et plus de portraits. Nous vivons dans des cubes. Avec un peu de chimie, nous nous éclairons, nous nous nourrissons, nous n’avons pas trop d’enfants, nous oublions la lutte, l’effort et la joie. Oui, malgré les lumières du néon, les vitrines et les images du cinéma, malgré les fêtes de noël, les guirlandes, les messes et les sapins, nous sommes entrés dans un très long hiver.

    Nous sommes quelques-uns qui travaillons au retour du printemps.

    Jean Mabire dans Les solstices - Histoire et actualité

     

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  • La flamme...

     

    Bonne fête de Noël aux lecteurs de Métapo infos !...

     

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    La Flamme

    Ce feu résume une vivante tradition. Non pas une image inconsistante mais une réalité. Une réalité aussi tangible que la dureté de cette pierre ou ce souffle de vent. Le symbole du solstice est que la vie ne peut pas mourir. Nos ancêtres croyaient que le soleil n’abandonne pas les hommes et qu’il revient chaque année au rendez-vous du printemps.

    Nous croyons avec eux que la vie ne meurt pas et que, par delà la mort des individus, la vie collective continue.

    Qu’importe ce que sera demain. C’est en nous dressant aujourd’hui, en affirmant que nous voulons rester ce que nous sommes, que demain pourra venir.

    Nous portons en nous la flamme. La flamme pure de ce feu de foi. Non pas un feu de souvenir. Non pas un feu de piété filiale. Mais un feu de joie et de gravité qu’il convient d’allumer sur notre terre. Là nous voulons vivre et remplir notre devoir d’hommes sans renier aucune des particularités de notre sang, notre histoire, notre foi entremêlés dans nos souvenirs et dans nos veines…

    Ce n’est pas la résurrection d’un rite aboli. C’est la continuation d’une grande tradition. D’une tradition qui plonge ses racines au plus profond des âges et ne veut pas disparaitre. Une tradition dont chaque modification ne doit que renforcer le sens symbolique. Une tradition qui peu à peu revit.

    Jean Mabire, in Les solstices, histoire et actualité (GRECE, 1975)

     

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  • Recueillement...

    Belle fête de Noël aux lecteurs de Métapo infos ! ...

     

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    " 24 décembre

    Noël. Nous le fêtons en famille le 24 et non le 25. Chants de Noël et Volkslieder, cadeaux échangés joyeusement devant l'arbre illuminé et le feu qui brûle dans la cheminée. Fête païenne, fête chrétienne, fête immémoriale surtout, qui traduit, sous nos latitudes, l'irrépressible désir de se retrouver, de faire retour sur soi, de se recueillir (au double sens du terme), quand semble partout triompher la nuit et le froid. Aucune fête ne sera jamais semblable à celle-là. Recueillement, souvenirs, émotion. Il y a un monde dans ce que j'éprouve à ce moment-là. "

    Alain de Benoist, Dernière année - Notes pour conclure le siècle (L'Age d'Homme, 2001)

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  • Noël, fête du solstice d'hiver !...

    Joyeux Noël aux lecteurs de Métapo infos.

    Et en ce jour sacré pour les Européens, nous vous proposons un texte du Groupement de recherches et d'études sur la civilisation européenne (GRECE) consacré aux origines païennes de cette fête immémoriale...

     

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    Noël, fête du solstice d'hiver

    Comme chacun le sait, la fête de Noël (Jul) correspond aux anciennes festivités indo-européennes du solstice d'hiver.

    Le mythologue Marc de Smedt le rappelle, après bien d'autres : "Noël n'est qu'une adaptation à la nouvelle religion (chrétienne) des fêtes que les Anciens et les Barbares célébraient lors du solstice d'hiver - et il en est de même pour toutes les fêtes chrétiennes, bien que l'Eglise l'ait très longtemps nié" (Le Nouvel Observateur, 23 décembre 1974). C'est ainsi que la fête de l'annonce à Marie, le 25 mars, soit neuf mois avant Noël (durée de la période de gestation) était célébrée à Rome bien avant le christianisme : c'était la fête de l'annonce à Cybèle.

    Après beaucoup d'hésitations, l'Eglise s'est décidée à fixer la date de la naissance supposée du Christ au 25 décembre afin de la faire coïncider avec un rite plus ancien : la première mention latine de cette date comme fête de la Nativité remonte à l'an 354, la célébration proprement dite n'étant apparue qu'à la fin du IVe siècle. En 525, Dyonisius le Petit, consacrant une tradition alors vieille d'un peu moins d'un siècle, fixe la date de la naissance supposée de Jésus au 25 décembre de l'an 1, qu'il assimile à l'an 754 de la fondation de Rome. En fait, si les festivités du solstice d'hiver ont toujours eu lieu à la même époque de l'année, nous ignorons non seulement le jour de la naissance de Jésus, mais même l'année. Sur ce point comme sur bien d'autres, la contradiction entre les canonistes est totale.  
     

    On notera à ce sujet que les contradictions concernant la naissance de Jésus s'étendent plus loin encore, jusqu'au lieu même de sa naissance (Nazareth, ou Bethléem ?) et à son ascendance davidique présumée. David Flusser écrit à ce sujet :  [...] "Les deux généalogies de Matthieu et de Luc ne sont identiques que d'Abraham à David. Les difficultés propres aux deux successions et leurs importantes divergences laissent donc l'impression que les deux généalogies de Jésus ont été établies dans le seul but d'établir la descendance davidique de Jésus". (Jésus, Le Seuil, 1970). La volonté de manipuler et de récupérer l'histoire au service de la Révélation ne pouvait manquer de s'appliquer également à des festivités aussi populaires et aussi enracinées que celles qui entourent les deux périodes solsticiales.


    Comme en bien d'autres occasions, l’Église, après avoir cherché à détruire, a fini par composer.

    Au départ, son hostilité ne fait pas de doute. N'est-il pas écrit dans le Deutéronome : "Quiconque aura honoré le soleil ou la lune, ou un être dans les cieux, devra être lapidé jusqu'à ce que mort s'ensuive" (XVII, 2-5) ? Le psychiatre Ernst Jones a été jusqu'à écrire : "On pourrait se demander si le christianisme aurait survécu s'il n'avait pas institué la fête de Noël avec tout ce qu'elle signifie" (Psychanalyse, folklore et religion, Payot).

    Aujourd'hui, René Laurentin reconnaît que cette "naissance de Jésus, dont les Evangiles ne nous disent pas la date, l'Eglise l'a située au solstice d'hiver" (Le Figaro, 26-27 novembre 1977). Il ajoute : "Le symbole cosmique du solstice d'hiver popularise et vulgarise à la fois la fête de Noël parmi nous" (ibid.).

    Marc de Smedt explique : "Ce n'est pas par hasard que, la date exacte de la naissance de Jésus restant inconnue, un concile décidé néanmoins de fête l'anniversaire de cette nativité le jour du 25 décembre, jour du solstice d'hiver, qui ouvre la phase ascendante et lumineuse du cycle annuel. Partout, on allumait alors des feux en signe de joie. Saint-Augustin et l'Eglise démentirent, bien sûr, ces origines païennes, mais il n'en reste pas moins que le 25 décembre était l'anniversaire des dieux soleil [...] Jésus naît la nuit, il vainc l'obscurité, cette vieille angoisse de l'homme, et symbolise la victoire périodique de la lumière fraternelle qui va aider au renouveau de la vie et à l'éclosion cyclique de la nature porteuse de fruits. La réanimation de la lumière équivaut à un renouvellement du monde. La partie du solstice d'hiver ouvre un cycle : dans la tradition hindoue, c'est le début du deva-yâna, la voie des dieux, par opposition à la pitri-yâna du solstice d'été, qui figurait le commencement de la voie des ancêtres" (Le Nouvel Observateur, art.cit.).

    D'un autre côté, la fragilité de l'argumentation historiciste appuyant cette récupération, ainsi que la prégnance de vieux symboles païens dans les célébrations de Noël, ont induit dans certains milieux chrétiens une tendance marquée à la "démythologisation" de Noël. Le fait, à vrai dire, n'est pas nouveau. Certaines sectes protestantes récusent le caractère de fête du 25 décembre et y voient une célébration purement païenne. Tel est le cas des Témoins de Jéhovah (qui font remarquer que, si le jour de la naissance de Jésus avait eu la moindre importance, la Bible l'aurait à coup, sûr mentionné) et, aux Etats-Unis, de la Worldwide Church of God fondée par Herbert W. Armstrong (cf. le Sunday Sun du 28 décembre 1980). Par ailleurs, pour l'église orthodoxe, la fête de Pâques a toujours eu plus d'importance, on le sait, que la fête de Noël.

     

     

    La nouveauté est que cette tendance atteint également les milieux catholiques. Une thèse de ce genre est notamment développée par Raymond E. Brown, membre (catholique) de l'Union Theological Seminary, dans un livre intitulé The Birth of the Messiah (1977). A Paris, dans La Croix du 21-22 décembre 1980, Etienne Got propose lui aussi de " démythiser Noël ". Tel est d'ailleurs le titre de son article. Sa conclusion est la suivante : " Démythisons, mais gardons l'essentiel : une jeune juive nommée Marie donne naissance, loin de chez elle, dans un pays occupé, à un garçon qu'elle nomme Jésus, qu'elle pressent être le Messie ".

    A Rome, bien avant la célébration de Sol Invictus, le solstice est nommé bruma, breuissima (dies), journée qui correspond au 21 décembre. On a également recours à une autre racine, qui a donné le mot angor. "Il est de bon latin, à toute époque, de notre par angustiae un espace de temps ressenti comme trop bref, fâcheusement ou douloureusement bref, et Macrobe ne manque pas de l'employer et de le répéter quand il dramatise ce tournant de l'année" (Georges Dumézil, La religion romaine archaïque, Payot, 1966).

    Ovide écrit : "Le solstice d'été n'abrège pas mes nuits, et le solstice d'hiver ne me rend pas les jours angustos" (Les Tristes 5, 10, 7-8) . La religion ressent ces angustos dies solsticiaux : une déesse et un culte en assurent le franchissement. Cette déesse du solstice, c'est Diua Angerona, dont les festivités, dénommées Diulia ou Angeronalia, se déroulent le 21 décembre. Ce jour là, les pontifes offrent un sacrifice in curia Acculeia ou in sacello Volupiae, proche de la porte Romanula, une des portes intérieures de Rome, sur le front Nord du Palatin. Dans cette chapelle se trouve une statue de la déesse, avec la bouche bandée et scellée ; elle a un doigt posé sur les lèvres pour commander le silence. Pourquoi cette attitude ? Georges Dumézil explique, en se référant à d'autres mythes indo-européens : "Unes des intentions du silence, dans l'Inde et ailleurs, est de concentrer la pensée, la volonté, la parole intérieure, et d'obtenir par cette concentration une efficacité magique que n'a pas la parole prononcée ; et les mythologies mettent volontiers cette puissance au service du soleil menacé" (op.cit., p. 331). 

    En ce qui concerne les Germains, l'historien Grec Procope (IVe siècle) dit qu'au coeur de l'hiver, les hommes des "pays du Nord" envoient des messagers au sommet des montagnes pour guetter le retour du soleil, lequel est annoncé par des feux ou des roues enflammées auxquelles on fait dévaler les pentes. De son côté, Tacite (55-120) raconte dans ses Annales que les Germains célèbrent le solstice d'hiver par des festivités et des festins.

    Il faut noter ici que le solstice d'hiver est un simulacre du Ragnarök : la fin de l'année est la "représentation" cyclique de la fin du monde (qui clôt elle-même un grand cycle du temps). C'est pourquoi dans l'Edda, l'époque du "crépuscule des dieux", durant laquelle le soleil - comme Odhinn lui-même- est avalé par le loup Fenrir (ou par un fils de Fenrir), est appelée Fimbulvetr, c'est à dire le Grand Hiver. C'est pourquoi également Vidarr, le dieu qui permet la renaissance du monde et qui parvient à terrasser Fenrir (Völuspa, 55) - grâce à quoi le soleil est remplacé par sa fille, c'est-à-dire par un nouveau soleil (dans les langues germaniques, le mot "soleil" est du genre féminin) -, est défini comme l' "Ase silencieux". L'analogie entre l'action de Vidarr, qui implique le silence, et celle de la déesse romaine du solstice, Angerona, dont l'attitude commande aussi le silence, saute aux yeux. Le silence est nécessaire à Noël pour que le dieu / la déesse sauve le soleil du péril et de la mort.

    A cet égard, le passage essentiel de l'Edda se trouve dans le chant de Wafthrudnir au moment où, à la question de Gôngrôder : "D'où viendra le nouveau soleil dans le ciel uni, lorsque le loup aura avalé celui que nous voyons ?", le sage Wafthrudnir (Wafthrunder) répond : "Le soleil, avant d'être anéanti par le loup, donnera le jour à une fille ; quand les dieux disparaîtront, elle suivra la même route que sa mère". On notera par ailleurs que dans la mythologie germanique, le loup est constamment attesté comme le symbole de l'hiver et qu'en Allemagne du Sud, l'ancien nom du mois de Décembre (Julmond ou Julmonat) est attesté, lui aussi, en Wolfsmond, le "mois du loup".

     

     

    Dans son essai sur La vie religieuse de l'Islande, 1116-1263 (Fondation Singer-Polignac 1979, p. 369) , Régis Boyer souligne également : "Tout comme elle a dû confondre Noël et jól et, outre la jólaveizla (le "banquet de Jul") , la jóladrykkja (la "libation de Jul") , le jólabodh, les pratiques qui allaient de pair : hospitalité libéralement accordée (jólavistar) et la paix sacrée (jólafridhinn), l'Eglise a assimilé les fêtes d'équinoxe d'automne, vetr-naetr, à la Saint-Michel et celles du solstice d'été, sumarmàl, à la Saint-Jean, de même que celles de la mi-été (midhsumar)". De son côté, un auteur comme Folke Ström (Nordisk hedendom, p. 61) a montré que le jól (Jul) islandais était l'ancien sacrifice nordique de l'àlfablót.

    GRECE (Les Traditions d'Europe, 1996)


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