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islamo-gauchisme

  • Les snipers de la semaine... (256)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur La Sociale, Carlos X. Blanco dézingue la nouvelle caverne dans laquelle les élites mondialisées veulent nous enfermer...

    La caverne

    Caverne_Platon.jpg

    - sur le site de Causeur, Jean-Paul Brighelli allume l'islamo-gauchisme, qui "se porte bien à Marseille"...

    «Raciste! Islamophobe!»

    Lycée Victor Hugo_CGT.jpg

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  • L'Art d'être français...

    Les éditions Bouquins viennent de publier un essai de Michel Onfray intitulé L'Art d'être français. Philosophe populaire, polémiste, tenant d'un socialisme libertaire, Michef Onfray a publié de nombreux ouvrages, dont dernièrement sa trilogie  Cosmos (Flammarion, 2015), Décadence (Flammarion, 2017) et Sagesse (Flammarion, 2019), Théorie de la dictature (Robert Laffont, 2019) ou encore La nef des fous - Des nouvelles du Bas-Empire (Bouquins, 2020).

     

    Onfray_L'Art d'être français.jpg

    " Un manuel de résistance à l'intention des nouvelles générations.

    Que dire à des jeunes de vingt ans pour leur conduite dans ce monde qui part à la dérive ? La civilisation s'effondre, les valeurs s'inversent, la culture se rétrécit comme une peau de chagrin, les livres comptent moins que les écrans, l'école n'apprend plus à penser mais à obéir au politiquement correct, la famille explosée, décomposée, recomposée se retrouve souvent composée d'ayants droit égotistes et narcissiques.
    De nouveaux repères surgissent, qui contredisent les anciens : le racisme revient sous forme de racialisme, la phallocratie sous prétexte de néo-féminisme, l'antisémitisme sous couvert d'antisionisme, le fascisme sous des allures de progressisme, le nihilisme sous les atours de la modernité, l'antispécisme et le transhumanisme passent pour des humanismes alors que l'un et l'autre travaillent à la mort de l'homme, l'écologisme se pare des plumes anticapitalistes bien qu'il soit le navire amiral du capital – il y a de quoi perdre pied.
    J'ai rédigé une série de lettres à cette jeune génération pour lui raconter les racines culturelles de notre époque : elles ont pour sujet la moraline, le néo-féminisme, le décolonialisme, l'islamo-gauchisme, l'antifascisme, la déresponsabilisation, la créolisation, l'antisémitisme, l'écologisme, l'art contemporain, le transhumanisme, l'antispécisme.
    L'une d'elles explique en quoi consiste l'art d'être français : d'abord ne pas être dupe, ensuite porter haut l'héritage du libre examen de Montaigne, du rationalisme de Descartes, de l'hédonisme de Rabelais, de l'ironie de Voltaire, de l'esprit de finesse de Marivaux, de la politique de Hugo. "

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  • Bernard Lugan répond aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance !...

    Le 25 mars 2021, André Bercoff recevait Bernard Lugan  sur Sud Radio pour évoquer son dernier essai intitulé Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021).

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018) et Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020).

     

     

                                                 

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  • Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance...

    Sous couvert de sa revue L'Afrique réelle, Bernard Lugan vient de publier un essai de combat intitulé Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance.

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, comme  Osons dire la vérité à l'Afrique (Rocher, 2015), Heia Safari ! - Général von Lettow-Vorbeck (L'Afrique réelle, 2017), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018) et Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020), mais aussi deux romans avec Arnaud de Lagrange, dont Les volontaires du Roi (réédition, Balland, 2020) et un récit satirique, Le Banquet des Soudards (La Nouvelle Librairie, 2020).

    L'ouvrage est disponible sur le site de L'Afrique réelle ou sur le site de La Nouvelle Librairie.

     

    Lugan_Pour répondre aux Décoloniaux.jpg

     

    " Alliés à l’islamo-gauchisme, les « décoloniaux » ont entrepris de déconstruire la France au moyen d’un terrorisme médiatique et intellectuel sans précédent. Ce n’est pas de « séparatisme » qu’il s’agit. Ils ne veulent en effet pas faire sécession. Ils bénéficient de tant d’avantages dans cette France qui les accueille, les nourrit, les loge, les soigne, les éduque… et qu’ils haïssent… À l’image d’Hafsa Askar, vice-présidente du syndicat étudiant UNEF, qui, le 15 avril 2019, jour de l’incendie de la cathédrale, a écrit : « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris, car je m’en fiche de l’Histoire de France… Wallah… on s’en balek [traduction : on s’en bat les c…], objectivement, c’est votre délire de petits blancs. »
     
    Leur but est d’invertir la France. Pour ensuite la soumettre en lui imposant des normes raciales, philosophiques, culturelles, sociales, politiques, historiques, alimentaires, vestimentaires, artistiques, sexuelles et religieuses qui, toutes, vont à l’encontre de sa nature profonde.
     
    En pleine déroute intellectuelle, acculés dans l’impasse idéologique des « droits de l’homme », du « vivre ensemble », du « pas d’amalgame » et du sépulcre phraséologique de  la « laïcité », les  dirigeants français  sont désarmés face à cette entreprise de subversion et de conquête, unique dans l’Histoire millénaire de ce pays.
     
    Quant aux indigènes français, sommés de débaptiser leurs rues, de dépouiller leurs musées, de renier leur Histoire, d’abattre leurs statues, et, quasiment, de devoir s’excuser d’exister, ils ont le choix entre la « soumission » et la réaction.
     
    Or, cette dernière passe par la totale remise en question du corpus idéologique dominant, terreau sur lequel se développent et prospèrent les pensées invasives qui veulent faire de la France autre chose que la France… "
     

    Table des matières :

    I) Ces trois gauches qui ont enfanté les « décoloniaux »
    - La gauche coloniale et son universalisme dévastateur
    - La gauche tiers-mondiste, son dolorisme, son misérabilisme et son christiano-marxisme
    - La gauche universitaire, ses errances scientifiques et son aveuglement idéologique
    II) La francophobie des « décoloniaux », un produit de la gauche « morale »
    - La France et le « pillage » de l’Afrique
    - Le franc CFA, une « danseuse » entretenue, pas une « vache à lait »…
    - La guerre d’Algérie ou l’ethno-masochisme de gauche
    III) Le corpus idéologique des « décoloniaux », entre postulats et terrorisme intellectuel
    - La « primauté créatrice » de la « négritude », un transfert psychanalytique valorisant
    - Le courant « décolonial », un racisme noir assumé
    - De la concurrence des mémoires victimaires au cas d’école de Madame le député Obono
    IV) Remettre ordre et cohérence dans l’esprit des « décoloniaux »
    - Ce n’est pas la colonisation qui a provoqué la catastrophe africaine, mais la décolonisation
    - Ce n’est pas la France qui a pillé l’Algérie, mais les dirigeants algériens
    - Ce n’est pas l’apartheid qui a ruiné l’Afrique du Sud, mais l’ANC de Nelson Mandela
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  • Feu sur la désinformation... (322)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      C’était l’un des événements médiatiques les plus commentés des derniers jours, Meghan Markle et Harry étaient interrogés par la star américaine des médias Oprah Winfrey. Le couple a attaqué la famille royale créant l’émoi.
    • 2 : Féminisme : propagande médiatique et occultations
      Le 8 mars avait lieu la journée des droits des femmes. Les médias ont évidemment fêté cette date… tout en omettant plusieurs éléments troublants sur cette journée...
    • 3 :  Revue de presse
    • 4 : Sciences Po Grenoble : l’islamo-gauchisme en action
      Sciences Po Grenoble est secouée par une grosse polémique. Les noms de deux professeurs de l’établissement accusés d’islamophobie ont été placardés sur les murs de l’école. Les réactions médiatiques ont été timides… sauf sur CNews.

     

                                                  

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  • Université française : le règne du politiquement correct, du conformisme et de l'autocensure...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Renée Frégosi au Figaro Vox et consacré au climat de dogmatisme qui règne au sein de l'université française, prise en main par les différentes sectes du gauchisme culturel... Renée Frégosi est philosophe et politologue.

     

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    Université française: ton «univers impitoyable»

    FIGAROVOX. - La polémique autour de l'islamo-gauchisme a permis au grand public de découvrir le monde universitaire. Vous avez vu ce milieu évoluer en deux décennies...

    Renée FREGOSI. - À la fin des années 1990, le groupe, devenu hégémonique en sciences sociales, n'en était qu'au début de son offensive. Il se revendiquait de «la pensée critique» de Pierre Bourdieu mais la dénonciation de toutes les formes de «domination» n'était pas encore l'alpha et l'oméga de la recherche. C'est pourquoi, bien que n'ayant pas suivi un parcours classique, j'ai pu être admise sur la liste d'aptitude des maîtres de conférences, premier sésame pour postuler sur des postes universitaires. L'ambiance qui régnait au CNU (NDLR, le Conseil national des universités chargé de la gestion de la carrière des enseignants-chercheurs) n'avait rien à voir avec celle d'aujourd'hui : les professeurs faisaient preuve d'ouverture d'esprit et de tolérance à l'égard des personnes qui ne venaient pas du sérail et publiaient des articles pas uniquement dans des revues universitaires ou du moins, pas reconnues comme telles

    Qu'est-ce qui a changé ?

    L'atmosphère. Je constate le retour d'une forme de raidissement, de puritanisme dans la société française et les affrontements intellectuels sont plus violents. L'université n'est qu'un prolongement du politiquement correct et des attitudes conformistes d'autocensure généralisée ; il s'agit surtout de dénoncer, bâillonner plutôt que d'analyser et débattre. Mais le monde intellectuel porte une grande responsabilité dans la diffusion des idées. Si l'enseignement et la recherche deviennent aussi des lieux où règnent le dogmatisme et l'idéologie avec l'agressivité que cela comporte, c'est la production et la diffusion de théories importantes, de savoirs scientifiques qui sont menacées.

    Or, c'est ce qui se passe depuis deux décennies. L'institution universitaire a peu à peu été prise en main par des groupes sectaires. Le pluralisme des approches et des méthodes, comme la diversité des origines et des parcours ou l'originalité des propos sont systématiquement bannis. Ce ne sont pas seulement les idées qui sont combattues, mais également les personnes qui les incarnent. Ceux qui n'appartiennent pas au clan devenu majoritaire sont rejetés ou exclus du recrutement, des promotions et des financements de la recherche. Sous prétexte d'un manque de scientificité, de défendre un point de vue «essentialisant», d'adopter des méthodes qui seraient éloignées du terrain, ou de n'avoir jamais publié dans des revues à comité de lecture (NDLR, une revue qui publie des articles scientifiques évalués par des relecteurs).

    Vous critiquez aussi le fait que les enseignants-chercheurs soient jugés par leurs pairs...

    Dans ce système paritaire, celui qui détient la majorité des voix et/ou la plus grande influence peut acquérir un pouvoir sans partage et sans contre-pouvoir dont il peut abuser. Il est censé garantir une impartialité quant aux personnes et une qualité scientifique de la recherche et de l'enseignement, mais il est perverti par la volonté de puissance de groupes organisés. La montée en puissance d'une «idéologie diversitaire» à laquelle on assiste à l'université est donc facilitée par ce mode de fonctionnement. Ces dérives militantes sont aussi présentes dans le monde de la culture, des arts et des médias. Elles sont portées, se diffusent et imposent leurs règles de vie à travers des stratégies de prise de pouvoir dans les institutions et les organisations de la société civile. La naïveté, l'inadvertance et la lâcheté du plus grand nombre facilitent alors la tyrannie des minorités sur la majorité. Ainsi, un vieil ami aujourd'hui décédé, grand professeur à la Sorbonne, m'avait avoué que lui et ses collègues de la même génération et appartenant à diverses écoles de pensée, avaient tous, par négligence et par manque de clairvoyance, laissé s'infiltrer un clan de jeunes loups qui les ont ensuite dépossédés de leur département de sciences politiques. Ces professeurs-militants recrutent désormais exclusivement leurs protégés, leurs affidés, leurs obligés.

    La ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal a-t-elle pris conscience de la situation ?

    Elle en a pris conscience semble-t-il, mais bien tardivement. Et on peut douter de sa sincérité puisque les responsables du dévoiement de l'institution sont eux-mêmes requis pour en faire l'état des lieux… Aujourd'hui, les sciences sociales principalement la sociologie, la science politique et l'anthropologie, sont prises en main, et d'autres disciplines comme l'histoire ou la philosophie et même la médecine et la santé publique par exemple commencent à être touchées par les dérives décolonialistes, racialistes, indigénistes, néo-féministes et islamo-complaisantes. Leurs partisans s'emparent de la direction des départements d'universités et des laboratoires du CNRS (Centre national de la recherche Scientifique) ainsi que des plus hautes instances comme le CNU, la CPU (Conférence des présidents d'universités) ou le HCERES (Haut conseil de l'évaluation de la recherche et de d'Enseignement Supérieur). Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche a depuis longtemps abdiqué devant ces organismes prétendument indépendants parce que paritaires, mais de fait largement dominés par les idéologues.

    Que préconisez-vous ?

    Au lieu d'annoncer ou de réclamer des enquêtes sur la nature et le niveau de scientificité, difficile à définir objectivement, des enseignements, des projets de recherche, des thèses et autres travaux universitaires, il serait plus important de garantir le pluralisme des approches théoriques et des méthodes d'analyse. Pour cela il serait urgent de réclamer au ministère de soutenir les recours des postulants et des équipes lorsqu'ils sont refusés sur des postes ou pour des projets de recherche par les fameuses «instances indépendantes» et le jugement par les pairs. Car le ministère se défausse systématiquement en répondant aux recours gracieux formulés que « les commissions sont souveraines ».Et comme cela existe pour l'enseignement primaire et secondaire, même si sa mise en œuvre est loin d'être satisfaisante, il faudrait instituer des bureaux permettant de porter plainte contre des atteintes concrètes à la liberté académique (refus de sujets de thèse ou d'objets de recherche) et pédagogique (exclusion de certains thèmes d'enseignements et d'auteurs de référence). Il ne s'agirait pas d'instituer là des «tribunaux de police de la pensée» (puisqu'il n'est pas question d'interdire des thématiques) mais au contraire, de lutter contre ceux déjà mis en place par ces intellectuels dogmatiques qui « annulent » (cancel culture) et excluent des personnes, des libres débats, des modes de pensée.

    Renée Frégosi (Figaro Vox, 26 février 2021)

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