L'Europe de demain
Les grandes civilisations européennes de l’Antiquité, la grecque et la romaine, furent mâles dans leurs valeurs, donc fortes, conquérantes, innovantes, du moins jusqu’à leur catastrophe finale, induite beaucoup moins par des causes extrinsèques (poids de l’État, épidémies, modifications climatiques) que par l’effet de la veulerie des maîtres, des élites et du peuple.
Également fondé sur des valeurs mâles et s’appuyant sur l’héritage du XVIIIe siècle, singulièrement sur les projets de réforme des remarquables administrateurs de la monarchie capétienne en ses derniers feux, le 1er Empire français édifia la superstructure des États français, belge, italien pour un siècle et demi, jusqu’au reniement des années 1968-80.
Notre société mondialiste, apparue dans les années 1980, est femelle, donc molle, permissive, vouée à l’hédonisme, aux compromis, à la faiblesse. La femme, surtout si elle est belle, est toujours menacée du risque de viol.
L’Europe est belle. Elle est (encore) riche, du fait du travail incessant de générations d’autochtones, qui l’ont façonnée durant les trois derniers millénaires. Elle est devenue la cible d’envahisseurs virils, brutaux, racistes et quasi incultes pour beaucoup d’entre eux, par ailleurs dévoués à une mystique de haine envers les « infidèles », l’islam tel qu’il est pratiqué par ses fanatiques et le fanatisme est fort contagieux : les expériences politiques européennes, asiatiques et latino-américaines, depuis 1789, le démontrent abondamment.
Au pays des capons et des femelles, même les hommes les plus médiocres ne peuvent que l’emporter. Se laisser mollement bercer par la propagande à l’eau de rose des propagandistes au service des vrais maîtres - les quelques milliers de dirigeants de l’économie globale qui ont confisqué l’ensemble des pouvoirs à leur profit – ne peut mener qu’à l’asservissement ou à la dhimmitude (soit la position des non-citoyens, humiliés et pressurés d’impôts, dans les pays de Charî’a).
Dans un certain nombre de pays européens, existe une loi séparant l’État des confessions religieuses. En France, la loi de juillet-décembre 1905 est quotidiennement bafouée par les fanatiques de l’islam, avec la complicité active ou passive d’élus, peu soucieux des intérêts du peuple, mais fort préoccupés par leur réélection, dépendant pour l’essentiel des dons de leurs sponsors, maîtres du pouvoir économique, et du vote d’électeurs dont la majorité est naturellement composée d’individus médiocrement doués, comme le démontrent les études statistiques sur le quotient intellectuel moyen de toutes les populations de la planète. Plus un électeur est fruste, plus il est accessible à la plus basse démagogie. Que pèse le respect de la République et de ses lois, au regard du plan de carrière de nos merveilleux et incorruptibles élus ?
Le respect des lois et leur stricte application distinguent la société mâle du laxisme féminin, où l’on s’accommode fort bien de l’arrangement et des combines. Par essence, le parlementarisme est femelle et fort mal adapté aux situations de péril imminent menaçant les populations autochtones.
L’insécurité, liée à la tyrannie de groupes d’irresponsables ou de violents perturbateurs de l’ordre public, fait désirer par les honnêtes citoyens malmenés l’accès temporaire au Pouvoir d’un dictateur efficace, dévoué au bien public et garant du retour à l’ordre. Dans les cas de danger extrême, les libertés individuelles passent après la sécurité des familles et des biens.
Les sociétés actuelles d’Europe occidentale, centrale et danubienne sont à la fois en état de récession économique, par l’effet d’une très stupide désindustrialisation massive, et soumises à l’invasion de fanatiques et de sociopathes ultra-violents. On comprend que la situation soit explosive. Un régime de Salut public est l’unique recours d’un peuple agressé, menacé d’esclavage, voire d’extinction par l’effet conjugué de la dénatalité autochtone et d’une invasion par des foules issues d’autres continents, sans compétences particulières, mais avides de biens facilement acquis et à la mentalité raciste et sectaire : des foules de conquérants mâles.
Un pouvoir populiste, par définition attaché au bien-être à moyen et long termes de la nation, est l’unique moyen de faire triompher ce qui doit devenir l’idéal des autochtones d’Europe au XXIe siècle : leur fusion au sein d’un Empire européen. En réaction à la dictature de pouvoir économique, il faut en revenir « à la politique », dans son éthique, c’est-à-dire en revenir à un mode de gouvernement visant à promouvoir et affermir le Bien commun des nations constituant la race européenne.
En ce premier demi-siècle de l’ère mondialiste, l’Européen est menacé d’une double régression intellectuelle et morale : l’hédonisme consumériste et l’islam. À l’évidence, l’Européen peut et doit choisir autre chose que Wall street ou La Mecque. En l’occurrence il doit opter pour une solution mieux adaptée au génie de sa race et à ses potentialités. Une saine réflexion s’impose sur les fondements de l’Éthique et son application aux États du continent.
L’Europe n’est pas née « très exactement quand l’Empire romain a croulé » (c’est une phrase du médiéviste Marc Bloch), pas plus qu’à aucun moment du Moyen Âge. Elle n’est pas née du Traité de Rome (1957), encore moins de celui de Maastricht (1993), révisé à Lisbonne en 2009. L’Europe, la vraie, issue de l’union des nations qui forment la race européenne et peuplent le continent depuis l’aube des temps historiques, n’est pas encore née.
L’Europe est à faire. C’est aux Européens de souche, et à eux seuls, qu’incombe cette formidable création.
« Je prédis un âge tragique : l’art suprême de l’affirmation de la vie »
Friedrich Nietzsche, Ecce Homo