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dieudonné

  • Feu sur la désinformation... (221)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Vers une Macronationalisation de la presse ?
      Lors d’une rencontre « en off » avec quelques journalistes, Emmanuel Macron a évoqué la possibilité d’un contrôle étatique de la presse. Orwellien.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Alors que Macron raille ceux qui construisent des murs, Sonia Krimi défend la possibilité que les Frères Musulmans puissent accéder à des responsabilités politiques en Egypte. En attendant la France ?

    • 3: Médiapart : Une perquisition et des questions
      Après que Médiapart ait révélé des nouveaux enregistrements mettant en cause Benalla, Crase et Macron, le média dirigé par Edwy Plenel a été visé par une tentative de perquisition pour le moins étonnante.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Les médias parisiens n’en finissent pas de pousser le mouvement politique de Glucksmann. Dernier élément à charge en date : les Inrocks ont effacé de leur Une le logo de la parka de luxe de l’homme politique de gauche.

    • 5 : Bilal Hassani : idole médiatique malgré tout
      Le représentant de la France à l’Eurovision en 2019 a été accusé d’avoir rédigé des tweets contre Israël et en soutien à Dieudonné. Malgré tout, le youtubeur homosexuel d’origine marocaine continue à recevoir le soutien des médias.

     

                                         

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  • Un pavé de porc...

    On l'avait laissé avec L'enculé, il revient avec Les porcs, un pavé auto-édité de mille pages !...  Qu'on l'aime ou qu'on le déteste, Marc-Edouard Nabe reste depuis Au régal des vermines (Barrault, 1985), la plume pamphlétaire la plus violente et la plus talentueuse de notre époque...

    On peut commander le livre sur le site de l'auteur ou, pour les parisiens, l'acheter dans la rue, place Maubert, auprès de Darius Krzemien !

     

    Nabe_Porcs 1.png

    " Après cinq ans de travail, voici LES PORCS, le fameux livre de Marc-Édouard Nabe, écrit et autoédité dans la plus stricte liberté. Une fresque littéraire, politique et historique peinte au plafond de notre époque sur un fléau dont de plus en plus de gens prennent conscience : le complotisme.
    Ayant connu de près les responsables en France de cette maladie mentale devenue business (l’extrême droite mais aussi ses adversaires si négligents et ignorants), Nabe raconte tout.
    Comme personne ne l’avait fait, la machine Dieudonné-Soral est cruellement démontée. Mais bien d’autres personnages se trouvent étrillés dans ce premier tome qui foisonne de révélations et de choses vues permettant de comprendre un phénomène dont la nuisance n’a été rendue possible que par Internet. Car Les Porcs sont aussi le premier livre qui rend compte de la bascule de l’ancien monde moribond des médias à celui nouveau, mais déjà mortifère, d’Internet.
    Longtemps, les désinformés ont cru Marc-Édouard Nabe complice des margoulins du révisionnisme. Aujourd’hui la lumière se fait sur son rôle d’observateur terrible. L’auteur d’Au régal des vermines, sans jamais abjurer ses convictions antisionistes et anarchistes, et tout en étant ostracisé par sa société pour avoir su expliquer le terrorisme, a toujours refusé de collaborer avec ces fakirs du faux que sont les « conspis ».
    Tous ceux qui se prenaient pour des charcutiers de la Vérité sont ramenés à leur vraie nature de gros porcs se roulant dans leur merde et grouinant de bêtise. Il était temps qu’un homme en fasse définitivement du saucisson. Seul Nabe pouvait transformer la quenelle en boudin noir, très noir ! "

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  • Alain de Benoist : "J'ai l'impression que Valls a complètement pété les plombs !..."

    L'apparatchik de l'Hôtel Matignon perd son sang-froid... Après avoir poursuivi de sa vindicte le comique Dieudonné et avoir dénoncé les livres dangereux d'Eric Zemmour et de Michel Houellebecq, le voilà qui voue aux gémonies Michel Onfray, au prétexte que celui-ci préfère avoir raison avec Alain de Benoist que tort avec Bernard-Henri Lévy... Rarement, un chef de gouvernement a fait preuve aussi ouvertement d'un tel degré de stupidité et de sectarisme !...

    Grâce à nos amis du Blog Eléments, nous reproduisons ci-dessous la réponse d'Alain de Benoist, publiée sur le site du Point, aux propos affligeant de Manuel Valls...

    Onfray_Alain de Benoist_BHL_Valls.jpg

     

    Alain de Benoist : "Je me sens plus à gauche que Manuel Valls !"

    La polémique fait rage entre Onfray et Valls. En jeu, l'intellectuel étiqueté (très) à droite Alain de Benoist. Nous lui avons demandé ce qu'il en pensait.

    Le Point : Ce week-end, Manuel Valls a déclaré : "Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu'Alain de Benoist - qui était le philosophe de la Nouvelle Droite dans les années 70 et 80, qui d'une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l'horloge, le Grece - [...] vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu'on perd les repères." Manifestement, le Premier ministre préfère BHL à vous. Comment réagissez-vous à ses déclarations ?

    Alain de Benoist : Avec une certaine surprise, car c'est un propos inattendu. La question que je me pose est la suivante : pourquoi le Premier ministre, qui est en pleine campagne électorale, croit nécessaire, dans sa campagne électorale, de s'en prendre à Michel Onfray ? C'est un peu surréaliste. J'ai l'impression que Michel Onfray, dont Manuel Valls essaye de faire croire qu'il se "droitise" - ce qui à mon avis est tout à fait faux -, est le symbole d'une gauche restée fidèle à ses engagements de gauche. Onfray est un peu la statue du commandeur, il ne cache pas le mépris qu'il a pour la gauche sociale, libérale, réformiste incarnée par Manuel Valls. Il a été plus proche dans le passé du Front de gauche, donc, en s'en prenant à lui, Manuel Valls essaie de se débarrasser de quelqu'un qui le gêne parce qu'il lui donne mauvaise conscience.

    Deuxièmement, Manuel Valls lui reproche de préférer Alain de Benoist à BHL, je note que Michel Onfray n'a jamais dit cela. Il a dit qu'il préférait une idée juste émise par Alain de Benoist plutôt qu'une idée fausse émise par BHL, ce qui ne me paraît pas être une déclaration stupéfiante et révolutionnaire, mais, apparemment, cela pose des problèmes à Manuel Valls.

    Troisièmement, voir Manuel Valls me faire cette publicité un peu involontaire est étonnant, car je ne doute pas qu'il ne connaît pas une ligne de ce que j'ai pu écrire dans ma vie. Il recopie les fiches qu'on lui a transmises. Je n'ai jamais fait partie du Club de l'horloge, il m'attribue la paternité de la matrice idéologique du FN, ce qui a dû bien faire rire les gens du Front. Bref, il parle de ce qu'il ne connaît pas. J'ai l'impression qu'il a complètement pété les plombs. C'est un homme ambitieux et nerveux qui fait des coups de menton un peu mussoliniens, mais cette espèce de mauvaise humeur perpétuelle cache plutôt un certain désarroi, une incertitude de soi. Il fait partie d'une classe dirigeante qui constate que tout est en crise, que tout s'effondre et qui a le sentiment que le sol se dérobe sous elle. Ses déclarations apocalyptiques selon lesquelles Marine Le Pen peut arriver au pouvoir en 2017 - ce que je ne crois pas - sont faites pour terroriser l'opinion, on est dans une espèce de climat de "terrorisation", si je peux employer ce terme.

    N'est-ce pas un peu schizophrénique de la part de Valls d'expliquer d'une part que la France va se fracasser contre le FN et d'autre part de stigmatiser ceux qui, à gauche, seraient coupables d'accointances avec une droite qu'il juge trop à droite ? Pointer du doigt Onfray revient à affirmer que la gauche est incapable d'évoluer, de se remettre en question, quelle que soit la menace.

    Je vais vous faire une confidence, je me sens beaucoup plus à gauche que Manuel Valls ! Apparemment, le Premier ministre s'adresse à des gens qui croient que le clivage gauche-droite garde une certaine validité, alors qu'il m'apparaît complètement obsolète, je crois qu'il a été remplacé par un clivage entre les partisans et les adversaires de la globalisation, ceux qui en profitent, ceux qui en souffrent.

    Dans le dernier numéro d'Éléments, vous appelez Michel Onfray à vous rejoindre...

    Pas à nous rejoindre ! Onfray a un souci aigu de son indépendance, je m'en voudrais d'y porter atteinte. Je pense que tous les gens qui se sentent un peu mal dans cette société dominée par les rapports de classes et la logique de l'argent ont tout intérêt à se rencontrer et à bavarder un peu

    Entre lui et vous, lequel des deux a évolué ?

    Tout le monde évolue et surtout la situation évolue. Je ne dis pas ce que je disais il y a 25 ans, et c'est la même chose pour Michel Onfray. 

    À vos yeux, le clivage droite-gauche est obsolète, vous participeriez aujourd'hui à une aventure qui s'appellerait la Nouvelle Droite ?

    La Nouvelle Droite n'a jamais été une autodésignation, ce sont les médias qui, en 1979, ont dit : "Ah, extraordinaire, il y a une nouvelle droite", à l'époque je n'étais pas ravi de cette expression, à la fois parce qu'elle avait un caractère très politique, alors que je ne suis pas un acteur de la vie politique, et aussi parce qu'elle nous enfermait dans une dénomination très réductrice. Au cours de ma vie, j'ai adressé des critiques incessantes à beaucoup de gens de droite, donc je n'ai jamais beaucoup aimé cette étiquette. Mais quand une étiquette a été lancée comme ça, on est obligé de l'assumer. Repartir dans une nouvelle aventure, oui, mais je ne le ferais certainement pas sous cette étiquette-là aujourd'hui.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Laureline Dupont (Le Point, 9 mars 2015)

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  • Interdit de rire !...

    Les éditions Xénia viennent de publier Interdit de rire, une analyse de l'affaire Dieudonné par ses avocats David de Stefano et Sanjay Mirabeau. Il n'est pas besoin de goûter le comique hénaurme de Dieudonné pour s'intéresser à la violente attaque contre la liberté d'expression dont il est la cible...

     

    Interdit de rire.jpg

    " Pour faire taire Dieudonné en février 2014, Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, a mobilisé tous les moyens de répression légale de la République. Le futur premier ministre a transformé sa lutte personnelle contre l'humoriste en affaire d'Etat. Ainsi, le jugement précipité du Conseil d'Etat interdisant le spectacle "Le Mur" a créé un précédent inquiétant dans la jurisprudence française, laissant magistrats et politiques dicter l'humour, le comique et le bon goût.
    La patrie des droits de l'homme et de la liberté de pensée va-t-elle basculer dans la censure à cause d'une "quenelle"? Dans cet ouvrage de témoignage et d'analyse, les avocats de Dieudonné reviennent sur cette ahurissante campagne et ses conséquences sur la loi, les libertés et le vivre-ensemble français en tant que tel. Interdit de rire offre ainsi un récit circonstancié des persécutions dont Dieudonné et son entourage ont fait l'objet, mais également une analyse symbolique et historique du fameux geste de la quenelle, dont les conclusions ont de quoi surprendre ! On y évoque aussi la nature du rire, la fonction du comique dans une société, mais également des affaires plus concrètes et passées sous silence, tel l'incroyable et somptueux cadeau fiscal offert à Dieudonné par le ministre Cahuzac en février 2013.
    Fortement argumenté, magnifiquement écrit, cet essai est un réquisitoire saisissant contre un pouvoir en proie à l'incohérence et à la dérive autoritaire."

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  • En liberté surveillée...

    Les éditions des Bouquins de Synthèse nationale viennent de publier un essai de Georges Feltin-Tracol intitulé En liberté surveillée - Réquisitoire contre un système liberticide. Animateur du site de réflexion non-conformiste Europe Maxima, d'inspiration européiste et solidariste, Georges Feltin-Tracol a déjà publié quatre ouvrages : Bardèche et l'Europe (Bouquins de Synthèse nationale, 2013),  Réflexions à l'Est (Alexipharmaque, 2012), L'Esprit européen entre mémoire locale et volonté continentale (Heligoland, 2011) et Orientations rebelles (Heligoland, 2009).

     

     

    En liberté surveillée.jpg

    " En matière de liberté d’expression, la France donne facilement des leçons aux autres. Mais est-elle la mieux placée pour cela ?

    Spectacles de Dieudonné interdits, livres édités par Soral ou d’autres caviardés, manifestations violemment dispersées, mouvements patriotiques dissouts… c’est tout le système français, mais aussi occidental, que met en cause Georges Feltin-Tracol.

    Étayé par de nombreux exemples pris dans la presse officielle, il démontre que loin de demeurer le « pays des hommes libres », la France est devenue, suite au sécuritarisme développé par l’UMP sous Sarkozy et appliqué avec zèle par Valls et par Hollande, un Hexagone surveillé où comportements et pensées sont scrutés en permanence.

    Aujourd’hui, il est préférable d’être un délinquant de droit commun plutôt qu’un opposant politique convaincu au mondialisme.

    En sept chapitres d’observations accablantes et parfois terrifiantes, Georges Feltin-Tracol examine l’incroyable et lente évaporation des libertés publiques avant d’esquisser quelques réponses révolutionnaires, populaires et identitaires.

    Mais, faites attention, le simple fait de lire ce livre risque de vous rendre suspect aux yeux du Pouvoir… "

     

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  • Le foot, miroir de notre société ?...

    La revue Réfléchir et Agir publie dans son dernier numéro (n°47 - été 2014), disponible en kiosque, un dossier sur le football, comme miroir de notre société...

     

    Réfléchir&Agir 47.jpg

    Au sommaire :

    Quenelle
    Dieudonné

    Dossier : Le football, miroir de notre société

    D'où viens-tu football ?
    par Pierre Gillieth

    Le foot moderne, miroir de notre époque
    par Pierre Gillieth

    Quand le football était encore un sport populaire
    par Eugène Krampon

    Qatar: le sport comme outil de réputation
    par Eugène Krampon

    Au royaume des trous de balle
    par Benoît Lambert

    Footballistiquement incorrect
    Entretien avec Alexis Bosetti, propos recueillis par Pierre Gillieth

    Entretien avec Yann Vallérie, propos recueillis par Pierre Gillieth

    L'exemple de Coubertin
    par Pierre Gillieth

    Entretien
    Béatrice Bourges

    Actualité
    Me Frédéric Pichon: de la manif pour tous à la répression pour tous
    propos recueillis par Eugène Krampon

    Histoire
    La Commune n'est pas morte
    par Pierre Gillieth

    Réflexion
    Immigration, arme du capital
    par Laurent Rodesches

    Politique étrangère
    L'Ukraine, pivot géopolitique de l'Eurasie
    par Edouard Rix

    Notes de lecture
    Cinéma

    Art
    Raymond Espinasse
    par Pierre Gillieth

    Musique
    Soldat Louis
    par Eugène Krampon

    Disques

     

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