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  • Généalogie d'une identité interdite...

    Les éditions Hétairie viennent de publier un essai de combat de Julien Rochedy intitulé Qui sont les Blancs ? - Généalogie d'une identité interdite.

    Publiciste et essayiste, Julien Rochedy, qui est une figure de la mouvance identitaire, a déjà publié plusieurs essais dont Nietzsche l'actuelL'amour et la guerre - Répondre au féminisme, Philosophie de droite et dernièrement Surhommes et sous-hommes - Valeur et destin de l'homme (Hétairie, 2023).

     

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    "Les « Blancs » sont le sujet le plus controversé de notre époque. D’un côté, on répète qu’ils n’ont aucune réalité ; de l’autre, on parle d’eux sans relâche, toujours pour les blâmer. Partant de cette contradiction, ce livre propose la généalogie d’une empreinte ― climatique, culturelle, spirituelle ― qui a façonné une identité aux contours multiples mais toujours reconnaissable.
    Comment un même peuple, aux mille variations, s’est-il métamorphosé sans jamais cesser d’être lui-même ? Énergie, effort, militarisme, sens de la propriété, esprit d’indépendance, pragmatisme, curiosité, rationalité, individualisme, morale intériorisée, altruisme, sentimentalisme, universalisme, impérialisme, goût de la règle et de la liberté : autant de traits hérités, amplifiés et transmis pendant des millénaires jusqu’à nous.
    Ni autocélébration, ni autoflagellation ici : une enquête qui commence dans les hivers glaciaires et se poursuit jusqu’aux excès du XXe siècle, en passant par les cavaliers indo-européens, l’héritage gréco-romain, la matrice chrétienne, les invasions germaniques, la Renaissance, les Lumières et la révolution industrielle. Les Blancs existent-ils vraiment ? Et si oui, qui sont-ils ?

    Un essai personnel mais honnête ― polémique, certes, précisément parce qu’il ose affronter une question taboue et pourtant obsessionnelle, aux enjeux colossaux.

    - Un essai qui ose poser une question tabou et pourtant centrale : qu’est-ce qu’être blanc aujourd’hui ?
    - Un sujet brûlant, sous-jacent à mille débats, rarement traité de front.
    - Une enquête qui mêle histoire, anthropologie et philosophie.
    - Un angle inédit : comprendre l’identité blanche au-delà des clichés et des condamnations.
    - Enfin une synthèse sur l’identité européenne, qui manquait.
    - Une approche singulière : montrer la continuité identitaire des Blancs depuis des millénaires. Une histoire longue et passionnante.
    - L’explication causale de toutes les réussites, grandeurs et errements de la civilisation européenne.
    - Comprendre l’essentiel sur les Indo Européens, les Grecs, les Romains, les Germains, la Renaissance, les Lumières, la société industrielle, le nihilisme du XXe siècle.
    - Réfléchir sur l’incidence profonde du christianisme dans la longue durée européenne.
    - Découvrir pourquoi les Blancs sont fondamentalement les enfants du froid.
    - Savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va : de nos spécificités génétiques issues de la préhistoire au monde actuel.
    - Défendre une exceptionnalité civilisationnelle aujourd’hui en grand danger."

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  • Royaume-Uni : selon une étude, les Blancs britanniques seront minoritaires dans 40 ans...

    Nous reproduisons ci-dessous un article de Samuel Martin, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré au Grand Remplacement qui est en train de se réaliser au Royaume-Uni.

     

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    Royaume-Uni : selon une étude, les Blancs britanniques seront minoritaires dans 40 ans

    Ce 10 juin, Sadiq Khan a été fait chevalier par Charles III. Maire de Londres depuis 2016, Khan a salué cet honneur en rappelant ses racines : « Évidemment, étant donné mon origine, étant fils d’immigrés, mes parents étant venus du Pakistan, c’est un événement important pour nous. » Une réussite familiale et individuelle qu’on ne peut s’empêcher de confronter aux chiffres et aux projections qui font le constat d’un bouleversement de la population du Royaume-Uni d’ici à une génération.

    72 écoles sans Blancs britanniques

    Concernant 21.500 écoles primaires et secondaires, les statistiques scolaires que vient de publier le ministère de l’Education nationale sont éloquentes. Pour en tirer l’essentiel :

    Les élèves britanniques blancs sont minoritaires dans une école sur quatre, où la majorité des élèves, soit est « Blancs non britanniques », soit appartient « à une minorité ethnique » (on mesure toute la limite d’un concept de minorité ethnique… majoritaire) : noire, indienne, pakistanaise, bangladaise, etc.

    Quand on parle d’élèves britanniques blancs minoritaires, ils le sont parfois dans une proportion écrasante : le Telegraph compte 454 écoles où ils représentent moins de 2 % des effectifs. Et même 72 écoles où il n’y a aucun Blanc inscrit. C’est le cas, par exemple, de la Rockwood Academy de Birmingham.

    Londres ne s’est pas défaite en un jour. Déjà, en 2012, des chiffres officiels montraient que « les enfants blancs nés en Grande-Bretagne sont désormais minoritaires dans de nombreuses écoles londoniennes ». Qu’ont fait les conservateurs, aux manettes de 2010 à 2022, pour enrayer la tendance ? Les Cameron, May, Johnson, Sunak ? Rien. La pression migratoire et nataliste n’a fait que s’accroître et se répandre au-delà de Londres : Birmingham, Manchester, Bradford, Leicester, sont des villes maintenant fortement concernées par cette disparition progressive des Blancs des photos de classe.

    La projection à long terme

    Fin mai, est parue une étude de Matthew Goodwin qui, par projections, donne une image du grand remplacement à moyen et long terme. « Les Britanniques blancs deviendront une minorité d’ici à 2063. Les personnes nées à l’étranger et leurs enfants seront majoritaires d’ici 2079. Et environ 1 personne sur 5 sera musulmane d’ici 2100 », a synthétisé sur X cet ancien professeur de l’université de Buckingham. Les Blancs britanniques ne se contenteront pas d’être minoritaires. Ils le seront de plus en plus. En 2100, ils ne représenteront plus que 33,7 % de la population. Ce que Matthew Goodwin appelle « des changements considérables et sans précédent dans la composition de sa population ».

    Sur les réseaux sociaux, le Pr Goodwin tient un discours politique : ni droite, ni gauche, trumpiste, anti-woke. Cela infirme-t-il son étude démographique ? Il ne semble pas. Elle a été publiée par le Centre for Heterodox Social Science, dont il est professeur invité et qui dépend de l’université de Buckingham : un gage de sérieux. De plus, ses projections sont « raccord » avec les chiffres publiés depuis par le ministère de l’Éducation : comment en irait-il autrement du Royaume-Uni dans une génération dès lors qu’il y a de moins en moins d’enfants blancs dans les écoles ? Car tout cela, c’est « d’ici à 2063 ». Cela paraît loin, mais c’est dans 38 ans. Autant dire très peu de temps avant que « ces îles n’aient une apparence et une perception profondément différentes », dit encore M. Goodwin.

    Starmer, Badenoch… ou Farage ?

    Les projections ne valent que si on laisse les choses courir en l’état, en accueillant toujours plus de population extra-européenne et sans relancer une politique nataliste. Un changement de cap les modifierait. Mais qui donnera ce coup de barre ? Les paroles martiales de Keir Starmer, pris il y a quelques semaines d’une frénésie de contrôle des frontières, se concrétiseront-elles ? Les bonnes intentions de Kemi Badenoch feront-elles oublier les années où les conservateurs n’ont rien fait ?

    Reste Nigel Farage, député depuis un an et dont le parti Reform UK est sorti renforcé des élections locales de début mai, avec 677 sièges gagnés, tandis que droite et gauche traditionnelles s’effondraient. Les Britanniques font confiance à 37 % à Reform UK, devant tous les autres partis, pour réformer. Ça tombe bien, c’est son nom. A condition de se dépêcher. A l’horloge du grand remplacement, il est minuit moins cinq.

    Samuel Martin (Boulevard Voltaire, 11 juin 2025)

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  • Voyage dans la France d'en bas...

    Les éditions du Seuil viennent de rééditer dans leur collection de poche Point un essai d'Aymeric Patricot intitulé Les petits Blancs - Un voyage dans la France d'en bas. Agrégé de lettres et professeur en banlieue parisienne, Aymeric Patricot a notamment publié Autoportrait du professeur en territoire difficile (Gallimard, 2011).

    Métapo infos avait reproduit un entretien que l'auteur avait donné au Figaro à l'occasion de la sortie de son livre en 2013 : Le malaise de la France des « petits Blancs ».

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    " Moi, je peux toujours crever dans mon quartier pauvre. Et plus ça va aller, plus mon quartier va s'appauvrir parce que les bourgeois blancs vont partir et les bourgeois noirs et arabes aussi et il ne restera que les déchets de la France, avec moi dedans. " Comment vivent les petits Blancs des quartiers pauvres de la République ? Les Américains utilisent, pour désigner ces oubliés du progrès social, méprisés d'être plus pauvres encore que les Noirs ou les Latinos, l'expression white trash. Se vit-on, dans la France métissée d'aujourd'hui, comme un " déchet blanc " ? Une conscience raciale est-elle en train de se substituer à la conscience de classe ? Un communautarisme blanc est-il en voie de se forger ? Loin des préjugés, ou de la frayeur, qui empêchent de s'intéresser à ces hommes et ces femmes, Aymeric Patricot est allé à leur rencontre. Récits, analyses, portraits, conversations libres, approfondies, sans tabous : il trace le tableau précis et vivant d'une réalité plus diverse que l'idée qu'on en a, une réalité certes brutale, parfois cynique, souvent désespérée, mais qu'éclairent la générosité et la lucidité de certains de ses interlocuteurs. Le racisme, la violence, la haine de soi et du monde sont une tentation permanente quand, pauvre et sans horizon, on se sent relégué. Beaucoup s'y abandonnent, d'autres non. Tous offrent, sous le regard acéré d'Aymeric Patricot, un visage inattendu de notre société, qu'il est urgent de regarder en face.

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