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belle époque

  • La fin de l'homme blanc...

    Les éditions DIE viennent de publier un roman de Martin Peltier intitulé La fin de l'homme blanc. Journaliste, Martin Peltier, qui a collaboré au Figaro magazine, au Quotidien de Paris et à Minute, notamment, est aussi l'auteur de 20 bonnes raisons d'être anti-américain (DIE, 2015).

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    " Le décor de la Belle époque était truqué. L'appétit de vivre, le raffinement, un étonnant progrès scientifique et technique, masquaient mal les terribles conflits qui agitaient la France, l'Europe et la planète. A Paris et dans le monde, un groupe de jeunes gens tâche d'y survivre et d'y vivre, la belle et libre Hortense, Jean, le journaliste, Jacques, le marin, Nicolas le jeune russe cosmopolite, Egon, le Juncker philosophe. L'intensité même de leurs illusions les mènera dans le mur, ou plutôt au naufrage, puisque la lumière du désastre de Tsou Shi Ma éclaire la fin de ce terrible roman historique. 1905 amène 1914 et 1917, la guerre et la révolution d'où sortira la fin de l'homme blanc. Perdue dans l'histoire, l'héroïne éprouve la terrible angoisse des civilisations mort-vivantes : se trouver niées et calomniées par leurs héritiers. "

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  • Metropolis...

    Les éditions Delcourt viennent de publier Metropolis, un bande-dessinée scénarisée par Serge Lehman, dessinée par Stéphane de Caneva et colorisée par Dimitris Martinos. Auteur de science-fiction, et notamment de la superbe série Faust, spécialiste du roman d'anticipation européen de la première moitié du XXe siècle, Serge Lehman s'est tournée avec brio vers le scénario de bande-dessinée et on lui doit, en particulier, La Brigade chimérique, une fascinante « plongée archéologique au cœur de l’imaginaire mutilé de l’Europe ».

     

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    " Printemps 1935. L'Europe est en paix depuis trois quarts de siècle. Metropolis en est la capitale politique. Elle est née dans l'Interland franco-allemand suite à la réconciliation des deux pays en 1912. La Belle Epoque n'a jamais pris fin. L'optimisme scientiste et la puissance impériale assurent la prospérité du continent, et, déjà, la conquête de l'espace se prépare sous les auspices d'Albert Einstein.

    Metropolis est la capitale de tous les excès, de tous les délires urbanistiques. Un carrefour de tous les mouvements politiques et artistiques, mais aussi un centre névralgique de l'espionnage et des coups tordus. Pour le jeune inspecteur Gabriel Faune, l'avenir est incertain. Car dans les profondeurs de la ville rôde un tueur introuvable, un démon peut-être porteur d'une autre histoire. "

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  • L'apocalypse de la modernité...

    Universitaire et auteur de nombreux ouvrages sur le fascisme, dont plusieurs ont été traduits en français, comme La religion fasciste ou Qu'est-ce que le fascisme ?, Emilio Gentile vient de publier chez Aubier un nouvel essai intitulé Apocalypse de la modernité - La grande Grande Guerre et l'homme nouveau.

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    "Le 11 novembre 1918, lorsque prennent fin les quatre années de combats, de sacrifices et de massacres qui ont bouleversé l'Europe, les hommes, hébétés, contemplent les ruines. Ces ruines, ce sont celles d'une époque: celle de la modernité triomphante. où les maîtres mots étaient progrès. science. culture, et où l'on avait foi en l'avenir de l'humanité. Beaucoup, alors, diagnostiquent le déclin de la civilisation européenne, et s'interrogent avec angoisse sur la destinée de l'homme moderne. Ces réflexions, révèle Emilio Gentile, étaient cependant loin d'être nouvelles: elles étaient en germe. déjà, dans les années précédant la Grande Guerre. L'Europe de la " Belle Epoque", que l'on se représente resplendissante, sûre d'elle. conquérante, était minée par des courants sombres: isolées d'abord, puis de plus en plus nombreuses. des voix s'étaient fait entendre, qui prophétisaient la fin de la civilisation et appelaient à la régénération de l'homme par la guerre. En nous invitant à les écouter, l'historien italien dévoile pour la première fois une Belle Epoque traversée de cauchemars, rongée par l'angoisse, et entraînée malgré elle dans la spirale apocalyptique de l'autodestruction."

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