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Métapo infos - Page 691

  • Feu sur la désinformation... (215)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Les médias veulent siffler la fin de la partie
      Mobilisation en baisse, violence et même accusations d’antisémitisme… Tous les moyens semblent bons pour tenter d’endiguer la révolte populaire des Gilets Jaunes !
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Macron se maquille les mains mais n’hésite pas à les exhiber au Tchad. Pendant ce temps, les Gilets Jaunes continuent de se révolter, allant jusqu’à rester sur leur rond-point pour Noël !

    • 3: Menu de fête pour les médias : intox sur lit de propagande
      Période de fête oblige, les médias ont décidé de nous repasser quelques films cultes… revisités !
      Au programme : Un métro nommé délire, grand classique, et L’Expert (avec Sylvain Boulouque à la place de Stallone).
      En plus, ils nous ont offert un drôle de spectacle son et lumières avec des policiers voltigeurs n’hésitant pas à allumer eux-mêmes les feux d’artifices.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Alors que LVMH verse 80 millions d’euros au Parisien pour éponger des dettes abyssales, la jeune Fiorina a reçu 50 000 € de la part de milliers d’internautes. Chacun sa solidarité !

    • 5 : Journaliste primé, articles truqués
      En Allemagne, c’est un énorme scandale médiatique. L’un des jeunes journalistes les plus récompensés avait falsifié de nombreux articles !

                                                  

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  • La France, une histoire de soldats...

    Le magazine Valeurs actuelles publie un numéro hors-série intitulé  Nos soldats, ces héros. Un beau panorama de la france guerrière des origines à nos jours...

     

    Valeurs actuelles HS17.jpg

    " Bravoure, coups d'éclat, sacrifices... C'est à un voyage hors norme dans les pas de l'héroisme de nos soldats, de ses origines à nos jours, que vous convie ce nouveau numéro. Combattants de légende (Guynemer, Bigeard, les grands généraux et amiraux...), héros anonymes bardés d'exploits ou tombés au champ d'honneur, batailles triomphales, mais aussi histoire de nos corps d'élite et des quatre armes (terre, air, mer, gendarmerie) ayant scellé un pacte d'amour et de sang avec la patrie. 132 pages richement illustrées et aux anecdotes inédites, ponctuées de beaux textes célébrant nos soldats. Un hommage à nos enfants de la Gloire sans qui la France ne serait pas la France.  "

    Au sommaire :

    NOS SOLDATS, CES HÉROS :

    La France, une histoire de soldats par François d'Orcival

    Les enfants de la Gloire par Arnaud Folch

    LES SEIGNEURS DE LA GUERRE :

    "Legio patria nostra" par Claude Jacquemart

    La légende des bérets rouges par Louis Bassompierre

    La marche des Centurions par Arnaud Folch

    "Les chasseurs se font tuer mais ne se rendent jamais!" par Jean Mabire

    Les commandos SAS de la France libre par François Cote

    "Mon baptême para dans la baie du Mont-Saint-Michel" par Louis de Raguenel

    POUR L'HONNEUR DE NOS COULEURS :

    Aux armes, citoyens! par Philippe Conrad

    Mousquetaires, au nom du roi et du panache! par Arnaud Folch

    Guynemer, l'as des as par Arnaud Folch

    Les derniers maréchaux par François Cote

    SAS en Algérie, l'armée au secours des populations par Arnaud Folch

    Comment la Sécurité militaire traque les djihadistes par Louis de Raguenel

    La gloire de l'Arme par Pierre-Marie Giraud

    GIGN : "S'engager pour la vie" par Gaëtan Thomas

    L'Odyssée de la Royale par Marie Clément-Charon

    Grands amiraux, les seigneurs de la mer par Jérôme Besnard

    A la conquête de l'arme atomique par Philippe Delorme

    "Ma nuit en intervention avec les soldats du feu"par Amaury Brelet

    DU PANACHE, TOUJOURS DU PANACHE

    15 victoires mythiques des armées françaises par Arnaud Folch

    Napoléon, le guerrier stratège par Frédéric Valloire

    Muiron, le martyr du pont d'Arcole par Arnaud Folch

    D'esclave à général, le fabuleux destin de Yousouf par Eric Letty

    Robert Dubarle "le Bayard du 68ème" par Cyril de Beketch

    Eugène Bullard, au nom de tous les siens par Arnaud Folch

    Albert Roche, le soldat inconnu aux neuf blessures et... mille deux cents prisonniers par Arnaud Folch

    Les héroïnes de l'Indo par Sabine Dusch

    SE SOUVENIR POUR NE PAS MOURIR...

    Ecrivains dans les tranchées par Eric Letty

    "Plus qu'on ne pouvait demander à aucun homme..." par Maurice Genevoix

    Hélie Denoix de Saint Marc, sentinelle de l'honneur par Maurice Lemoine

    Commandant Guillaume, la vie comme un film par Vladimir de Gmeline

    Bibliographie.

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  • Cette année-là... (9)

    Dans Cette année-là, l'équipe de la revue Éléments, autour de Patrick Lusinchi,  nous fait découvrir sur le plateau de TV Libertés des livres, des chansons, des films, des évènements qui ont marqué la société française en bien ou en mal et qui marquent encore notre présent. Un rendez-vous classé par année, sous le signe d’un retour sur notre passé, avec ce qu'il faut de passion et d'impertinence... Et on retrouve sur le plateau Pascal Esseyric, Fabien Niezgoda , Olivier François et Christophe A. Maxime...

    Au sommaire ce mois-ci :

    – un livre : Langue fantôme, suivi de Éloge littéraire d’Anders Breivik, de Richard Millet (2012)

    – un événement : Le premier Camp Hobbit en Italie (1977)

    – un film : Les Gaspard, de Pierre Tchernia (1974)

     

                          

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  • Les Gaulois, vérités et légendes...

    Les éditions Perrin viennent de publier un essai intitulé Les Gaulois - Vérités et légendes. Directeur de recherches au CNRS, spécialiste des Gaulois, Jean-Louis Brunaux est l'auteur de nombreux ouvrages sur le sujet, dont Les Druides (Seuil, 2015) ou Les religions gauloises (CNRS, 2016).

     

    Brunaux_Les Gaulois.jpg

    " La civilisation gauloise n'aura plus de secrets pour vous.

    Les fouilles archéologiques menées depuis une trentaine d'années ont mis au jour villages et fermes fortifiées, tombes et sanctuaires. Leur étude a révolutionné l'histoire des Gaulois, brisant moult légendes et établissant des vérités incontestables. Mais qui étaient-ils justement, ces Gaulois... ou ces Celtes ? Des géants blonds et moustachus qui combattaient nus ? Habitaient-ils des huttes rondes ? Craignaient-ils que le ciel ne leur tombe sur la tête ? La Gaule est-elle une invention du Romain César ? Les druides étaient-ils de simples prêtres ? Le site d'Alésia se situe-t-il en Bourgogne ? Les Gauloises jouaient-elles un rôle important ?
    Grâce à cette brillante synthèse sous forme de questions-réponses, la civilisation gauloise n'aura plus de secrets pour le lecteur. "

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  • Pacte de Marrakech : un texte qui nous désarme face à l’immigration de masse...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un point de vue de Carl Hubert, cueilli sur Polémia et consacré au Pacte de Marrakech et à ses conséquences.

     

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    Pacte de Marrakech : un texte qui nous désarme face à l’immigration de masse

    Le 10 décembre 2018, 164 Etats ont signé à Marrakech, le pacte mondial de l’ONU « pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ». L’Assemblée générale des Nations Unies l’approuvera le 19 décembre. Il restera aux Etats signataires à le ratifier. En France, il devrait s’agir d’une formalité, d’autant plus que la ratification de ce traité ne sera, sauf surprise, pas soumise à l’autorisation du Parlement. Et pour cause : comme le clament les instigateurs de ce pacte et les journalistes serviles ou paresseux, ce pacte est « juridiquement non contraignant ». Certes, mais il est politiquement engageant ! Car à quoi bon vouloir faire signer à l’ensemble des Etats du monde un texte s’il est dépourvu d’effet ?

    Peter Sutherland et Louise Arbour, concepteurs du pacte, sont des agents du mondialisme

    Avant de préciser le contenu du pacte, il faut revenir sur sa genèse. Son principe a été fixé par la Déclaration de New York du 19 septembre 2016 pour les réfugiés et les migrants. Cette déclaration a été préparée sous la direction de Peter Sutherland, alors représentant spécial du Secrétaire général pour les migrations internationales et le développement et décédé depuis. Celui-là même qui, alors président de Goldman Sachs International, avait déclaré, le 21 juin 2012, lors d’une audition à la Chambre britannique des Lords, que tout individu doit avoir la possibilité d’étudier et de travailler dans le pays de son choix : une affirmation du droit tant à l’émigration qu’à l’immigration. Cet administrateur du groupe Bilderberg, qui fut aussi président de la Commission trilatérale et le premier directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, appelait également les Etats européens à « miner leur homogénéité nationale » [1]. Le pacte pour les migrations était pour lui une manière d’approfondir la mondialisation : après la libre circulation des marchandises devait venir la libre circulation des personnes !

     

    Le successeur de Peter Sutherland au poste de représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour les migrations, Louise Harbour, a également un profil militant. Cette ancienne juge canadienne s’est récemment faite connaître par ses efforts pour désinformer le public et occulter les effets du pacte de Marrakech et ses fondements mondialistes. Avant de prendre ses fonctions, on notera qu’elle a présidé, de 2009 à 2014, l’organisation International Crisis Group. Cette ONG très particulière est financée par les Etats et par de généreux mécènes, tel l’Open Society Institute de George Soros, qui est un des fondateurs de cette organisation. Elle exerce une activité de lobbying auprès des décideurs internationaux, auprès desquels elle promeut une politique interventionniste, et est connue pour soutenir l’action belliciste de l’OTAN. C’est un des hauts conseillers de cette officine occidentale mondialiste, le Canadien Michael Kovrig, que les autorités chinoises ont récemment arrêté en représailles à l’arrestation au Canada de la numéro 2 de Huawei.

    Un pacte immigrationniste qui engage ses signataires

    Avec de tels géniteurs, le pacte « pour » des migrations ne pouvait qu’être immigrationniste, les négociations entre Etats n’ayant pas fondamentalement corrigé son inspiration – si ce n’est à la marge, en évitant par exemple tout engagement à régulariser les immigrés clandestins. Selon l’ONU, le pacte vise à « faire face aux défis qui sont associés aux migrations d’aujourd’hui, et [à] renforcer la contribution des migrants et des migrations dans le développement durable ». En résumé, il n’est pas exagéré de dire qu’il s’agit de renforcer les migrations économiques et même climatiques. Quant aux migrations politiques, un second pacte mondial, encore en cours d’élaboration et qui portera sur les réfugiés, s’en chargera.

    Le pacte comporte 23 objectifs, qui peuvent en première approche paraître équilibrés. D’un côté, par exemple, le pacte affirme que les immigrants contribuent à la prospérité mondiale et devraient être davantage protégés dans les pays d’immigration. D’un autre côté, « en même temps », le pacte indique que la lutte contre les filières de passeurs devrait être accentuée et que les Etats devraient mieux collaborer pour organiser le retour dans leur pays des émigrés. Mais la lecture du pacte dans le détail [2] convainc de l’ampleur des engagements qu’ont pris les pays occidentaux en le signant. Quant aux engagements pris par les pays d’émigration, ils n’engagent que ceux qui y croient.

    Le pacte détaille d’abord des « ambitions communes » et principes directeurs, rédigés à l’impératif catégorique kantien : le point 13 comporte pas moins de quatre fois l’expression « nous devons » (par exemple : «  nous devons donner aux migrants les moyens de devenir des membres à part entière de nos sociétés »), nonobstant son caractère « juridiquement non contraignant ». Le point 15 souligne que le pacte est « centré sur l’individu », reprenant une rhétorique individualiste qui est l’ennemie du droit des peuples souverains.

    Le pacte énumère ensuite 23 objectifs de manière très détaillée. Comme l’a relevé notamment André Posokhow [3], ces objectifs, qui sont autant d’engagements, nous désarment face aux invasions migratoires : rendre les filières de migration régulière plus accessibles (ce qui revient à régulariser des migrations aujourd’hui irrégulières), notamment en accordant des titres de séjour aux étrangers fuyant des catastrophes naturelles ou la dégradation de leur environnement, ainsi qu’en assouplissant le droit au regroupement familial (objectif 5), aller sauver les migrants en danger (objectif 8), ne recourir au placement en rétention administrative qu’en dernier ressort, notamment pour les enfants (objectif 13), donner des moyens en faveur de la pleine intégration et de la cohésion sociale, en ouvrant aux immigrants tous les droits sociaux et culturels et en promouvant les échanges avec les « communautés de destination » (sic) (objectif 16), faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues y compris en sensibilisant les professionnels des médias et en cessant d’allouer tout soutien aux médias qui ne promouvraient pas la vision attendue et même en organisant des activités « pour promouvoir le respect mutuel, notamment lors des campagnes électorales » (objectif 17), faciliter les envois de fonds au pays (objectif 20)…

    Enfin, le pacte comporte des stipulations pour contrôler sa mise en œuvre (c’est dire s’il ne comporte aucune obligation !…). Tous les deux ans, le secrétaire général de l’ONU rendra compte à l’Assemblée générale de la mise en œuvre du pacte (point 46). Il s’appuiera à cet égard sur un « réseau » onusien, coordonné par l’Organisation internationale pour les migrations (point 45), dont les capacités seront être renforcées par « le secteur privé et les fondations philanthropiques » (point 43). Enfin, un « forum d’examen des migrations internationales » se réunira à haut niveau tous les quatre ans (point 49) mais fera chaque année un point « informel » sur la mise en œuvre du pacte  (point 51). Quant aux Etats, ils sont invités à élaborer des plans nationaux de mise en œuvre et à se soumettre à des « examens » impliquant toutes les « parties prenantes », au nombre desquelles les inévitables ONG (point 53).

    Un instrument de droit souple, de portée à la fois politique et juridique

    Si le Président de la République ratifie ce traité, qu’il a fait signer par le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste Lemoyne, il engagera la France dans une politique favorable à l’immigration la plus large et la moins contrôlée, ainsi que dans un renoncement à l’homogénéité nationale – pour reprendre la vision du mondialiste Peter Sutherland –, puisque les immigrants ont droit à s’installer tout en conservant leur culture.

    Les ONG immigrationnistes, au rang desquelles il faut bien compter l’Eglise catholique, et autres collabos de l’invasion migratoire auront tôt fait de passer au crible notre législation pour détecter des écarts aux objectifs du pacte de Marrakech – en Allemagne, les Verts ont commencé ce travail. Quant à durcir notre législation, il risque d’être difficile de même en discuter compte tenu de ce que les médias seront invités à déployer leur propagande favorable à l’immigration. Restreindre les critères du regroupement familial ? Contraire au pacte mondial ! Introduire un délai de carence pour que les étrangers bénéficient des droits sociaux ? Contraire au pacte mondial ! Continuer à placer des mineurs en rétention ? Contraire au pacte mondial ! Bloquer les transferts de fonds pour faire pression sur les pays d’émigration ? Contraire au pacte mondial ! Etc. En outre, le Gouvernement devra rendre compte de son action et subir les satisfecit, réprimandes et recommandations de l’ONU. Vous avez dit « respect des souverainetés nationales » ?

    Quant aux juges, il est probable qu’ils sauront s’engouffrer dans la brèche ouverte par le pacte de Marrakech. Non pas forcément pour s’appuyer expressément sur ses stipulations, mais pour s’en inspirer ou pour en tenir compte dans l’application du droit national ou d’autres normes internationales. Le Conseil constitutionnel n’a-t-il pas récemment sorti de son chapeau un principe de fraternité universelle qui a conduit la Cour de cassation à annuler la condamnation de délinquants coupables d’aides à l’entrée et au séjour irrégulier ? L’inventivité des juges est aussi grande que leur ethnomasochisme.

    Nous allons donc vers toujours plus d’impuissance et de laxisme migratoire. Jusqu’au jour où un Gouvernement voudra effectivement recouvrer sa souveraineté nationale et faire respecter les droits de son peuple. Ce ne sera pas celui d’Edouard Philippe, homme adoubé par le Bilderberg en 2016, qui refuse que l’on puisse débattre de l’immigration : un premier effet du diabolique pacte de Marrakech ?

    Carl Hubert (Polémia, 20 décembre 2018)

     

    Notes :

    1]    Cf. https://www.bbc.com/news/uk-politics-18519395

    [2]    Disponible en français sur le site de l’ONU : https://documents-dds-ny.un.org/doc/UNDOC/GEN/N18/244/48/pdf/N1824448.pdf?OpenElement

    [3]    https://www.polemia.com/mensonges-medias-pacte-marrakech-onu-decodeurs/

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  • Pourquoi combattre ?...

    Les éditions Perspectives libres viennent de publier, sous la direction de Pierre-Yves Rougeyron, un ouvrage collectif intitulé Pourquoi combattre ? . Pierre-Yves Rougeyron dirige le Cercle Aristote et la revue Perspectives libres.

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    " « Une nation qui fait une grande distinction entre ses érudits et ses guerriers verra ses réflexions faites par des lâches et ses combats menés par des imbéciles”. Thucydide citant un roi de Sparte.

    La nécessité de recréer une pensée patriotique et d’aider à forger les hommes pour la porter nous ont amené, il y a plus de 10 ans, à créer ce qui devait être une association d’étudiants et d’amis et qui se transforma en communauté d’idées, de projets et d’affects sans que nous ne l’ayons ni voulu ni cru possible. Cet ouvrage est le fruit de ces 10 ans de réflexions au sein du Cercle Aristote, entre dictionnaire et mélange. Il donnera au lecteur curieux ou au militant sérieux un manuel de questions plus que de réponses. Pour que la France soit et reste, il faut commencer par en avoir une certaine idée. "

    Avec des contributions de :

    Luc-Olivier d’Algange, Philippe Arondel, Erick Audouard, Thomas Arrighi, Romain Bessonnet, Françoise Bonardel, Bernard Bourdin, Yves Branca, Alberto Buela, Leonardo Castellani, Hélène Clément-Pitiot, Denis Collin, Philippe Conrad, Vincent Coussedière, Charles Coutel, Alexandre Dorna, David L’Epée, Philippe Forget, Gabriel Galice, Eric Gueguen, Christian Harbulot, Alexandre Lande,  Julien Funnaro, Sébastien Gaboulaud, Jean-Louis Harouel, Laurent Henninger, Véronique Hervouet, Roland Hureaux, François-Bernard Huyghe, Arnaud Imatz, Leo Imbert, Hervé Juvin, Richard Labévière, Jean-Gérard Lapacherie, John Laughland, Lucas Leroux, Pierre Magnard, Rémi Magott, Kostas Mavrakis, Philippe Murer, Charles Onana, Norman Palma, Baptiste Rappin, Bertrand Renouvin, Luc Roche, Claude Rochet,   Pierre Yves Rougeyron, Alberto Scotti, Pascal Sigoda, Rémi Soulié, Mustapha Suna, Jean-François Susbielle, Guillaume Tahar, ​Christian Teyssandier, Pierre Le Vigan

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