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Métapo infos - Page 1578

  • De la psychopathologie en économie libérale...

    Nous avons reproduit ci-dessous un excellent point de vue de Claude Bourrinet, cueilli sur Voxnr et consacré aux ravages provoqués par l'idéologie libérale...

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    De la psychopathologie en économie libérale
     
    Tout béotien inculturé par des lustres d’endoctrinement lobobotisant, tout modeste consommateur dysneylandisé, a besoin un jour d’y voir clair, surtout quand il se prend des coups. D’où vient donc cette bastonnade qui lui meurtrit l’échine, quand, il n’y a guère, fleurissait le lendemain radieux de la nouvelle société ?

    L’atroce assassinat d’une jeune fille projette une lumière lugubre sur notre époque. Voilà un établissement scolaire réputé, une sorte de terre promise réservée aux familles pouvant aligner 12 000 € d’inscription, une structure harmonieuse, parfaite, mirifique, intégrée à un cadre bucolique, gérée par une équipe au-dessus de tout soupçon, aux racines protestantes bien établies, donc mue par la rationalité bien assise, décente et illuminée, qui sied à la gouvernance paisible de notre époque. Voilà qui ne pouvait qu’éblouir et rassurer les familles. Et pourtant…

    Ne jetons certes pas l’opprobre sur nos pauvres protestants, qui ne sont là que comme un paradigme, dans une société complètement protestantisée, à la bien pensance optimiste, à la raison doucement raisonnable, pourvue néanmoins d’une haine sournoise pour tout ce qui peut fêler la confiance dans l’intelligence humaine. Un tel drame aurait pu se produire n’importe où, et il n’est pas rare qu’un crime soit perpétré par un récidiviste dont les spécialistes en psychiatrie assuraient les capacités à se réinsérer. D’autant plus qu’aux dernières nouvelles, la direction du collège n’avait pas été tenue informée de la nature exacte de la condamnation du jeune homme, pour un viol sur mineur de quinze ans en août 2010. Encore eût-il été judicieux d’être plus curieux, et d’exiger des explications. En revanche, le thérapeute qui le suivait savait, ainsi que les services de justice qui avaient donné leur aval pour son placement dans l’établissement, n’étaient pas sans savoir...

    Cela n’enlève rien au fond du problème, et ne fait que déplacer la question d’une instance à l’autre, d’une naïveté à l’autre.

    Car pour ce qui est de la fêlure, c’en est une, une bien belle, comme si le Diable s’était rappelé à nos bons souvenirs. Pensez donc : un mineur violant, saccageant une vie sauvagement, brûlant le cadavre… et ayant prémédité froidement cet assassinat. La barbarie aurait-elle l’audace de se produire avant 18 ans ? Pourtant, le rapport du psychiatre assurait bien qu’il pouvait aisément s’intégrer, qu’il n’était pas dangereux, malgré ses antécédents, à tel point qu’on n’avait même pas prévenu ses camarades, ni leurs familles, ni les responsables du collège, d’une potentielle dangerosité liée à son cas ?

    Il est vrai que, pour une fois, c’est un milieu aisé qui est touché. Nul doute qu’on demandera des comptes à qui de droit. Mais à qui s’adresser quand pédophiles, fous et criminels récidivistes sont lâchés inconsidérément dans la nature, au milieu d’une population ignorante, et soumise à la prédation de fauves qu’il faudrait enfermer ? Pourquoi les psychiatres, qui prennent si légèrement de si graves décisions, ne devraient-ils pas héberger quelques fous dans leurs foyers ?

    La question, du reste, s’était posée en matière d’immigration : pourquoi les riches, ceux qui pèsent sur l’orientation politique de la société, ceux dont les représentants, à droite ou à gauche de l’agent, décident, n’acceptent-ils pas dans leurs beaux quartiers, les flots d’immigrés à qui ils ont ouvert généreusement les portes du pays, et qui se massent dans des ghettos ? Pourquoi ne traque-t-on pas efficacement, sans pitié, les pourvoyeurs de drogue, les assassins de la jeunesse ? Pourquoi est-on si indulgent pour une sous culture mortifère, qui abrutit les gens et les livre à un déracinement nihiliste ? Pourquoi a-t-on ouvert les frontières à une marchandise fabriquée par des esclaves, au point de détruire notre économie ? Pourquoi mène-t-on un processus d’annihilation de notre éducation nationale ?

    Les questions de ce genre sont innombrables. A croire qu’une équipe de psychiatres intoxiquée par leur logique froide et méprisante pour le bon peuple (« qui ne comprend pas tout ») s’est emparée du pouvoir…

    Pourquoi ? Parce que ceux qui ont pris ces décisions l’ont fait au nom du bonheur. Leur idéologie repose sur la croyance que les hommes peuvent vivre en se mêlant, en effaçant des aspérités qui séparent, en menant une existence raisonnable, guidée par la main assurée de l’utilité. L’utopie a empoisonné les consciences. La foi dans la rationalité humaine, aux dépens des liens subjectifs, affectifs, irrationnels, au détriment des attaches, en dépit même de la nature humaine, empreinte d’agressivité, de violence, pourvue d’un instinct que seule une éducation ferme et lucide peut canaliser, sans l’éradiquer, a conduit à une schizophrénie périlleuse : d’un côté, on nous a promis la lune, et de l’autre, on nous a mené en enfer.
    Claude Bourrinet (Voxnr, 22 novembre 2011)
     
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  • Un sens à la vie dans la roue des saisons...

     Nous vous signalons la parution du quatrième numéro de la belle revue Figures de proues, dirigée par Pierre Bagnuls.

     

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    Editorial

    • Un Sens à la Vie dans la Roue des Saisons par Pierre Bagnuls

     

    Pistes de réflexion

    • Il faut donner un sens à la vie des hommes par Antoine de St-Exupéry

    • L’archipel de la culture par Abel Bonnard

    • Proue vers la Haute Mer par Jean Cazeneuve

     

    Essai Culture Littérature Poésie Mémoire

    • Voyage littéraire au cœur-même du nihilisme par Pierre Bagnuls

     

    Les Sources Vives

    • Fingal et Ossian : le Chant du cygne gaélique par Pierre Bagnuls

     

    Textes fondateurs

    • Réflexions magistrales sur les Fiannas par Marie-Louise Sjoestedt

    • Ossian et l’école romantique par Junius Castelnau

    • Ossian et les bardes d’Ecosse par Jean-Jacques Ampère

    • La Quête des Hautes Terres par Philippe Le Guillou

     

    Horizons nordiques

    • L’Islande entre rêve et réalité par Pierre Bagnuls

    • Ultima Thulé par Xavier Marmier

    • Thulé d’Islande par Paul Gayet-Tancrède, dit Samivel

     

    Notre tradition

    • En attendant le retour du soleil par Jean Mabire

    • Être, c’est se taire, penser, agir par Jean Mabire

    • Le recours à la tradition par Dominique Venner

    • Permanence et tradition par Alain de Benoist

    • Conservation et tradition par Arthur Moeller van den Bruck

    • Pulsions et tradition par Arnold Gehlen

    • Le Réveil de notre tradition par Dominique Venner

    • Réaction et tradition par Nicolas Gomez Davila

     

    Géographie sacrée

    • Dans le labyrinthe secret du Mythe et de l’Histoire :

    l’énigme atlante par Pierre Bagnuls

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  • Pour une Afrique maîtresse de son destin !...

    Vous pouvez visionner ci-dessous une présentation par Bernard Lugan de son livre Décolonisez l'Afrique !, publié aux éditions Ellipses. Pour l'auteur, "l'Afrique subit une recolonisation économique, politique et morale. Un demi siècle après les fausses indépendances, la véritable libération de l'Afrique est donc à la fois nécessaire et urgente."


    Bernard Lugan : "Décolonisez l'Afrique !" par realpolitiktv

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  • Le dieu de la guerre...

    Les éditions Perrin viennent de publier un ouvrage de Bruno Colson et... Napoléon, intitulé De la guerre. Historien, politologue et stratégiste, Bruno Colson est un spécialiste des guerres napoléoniennes. Dans ce livre appelé à devenir un classique, il met en regard la pensée stratégique de Clausewitz et celle de son inspirateur, Napoléon.

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    "Le grand traité sur la guerre que Napoléon voulait écrire à Sainte-Hélène.

    Isolé à Sainte-Hélène, Napoléon envisagea de rédiger le grand traité stratégique dans lequel il aurait dévoilé les secrets de son génie. Mais il renonça, laissant à la postérité des bribes éparses.
    Bruno Colson a relevé le gant, d'abord en rassemblant tous les propos existants de l'Aigle : lettres nombreuses, confessions orales notées par les mémorialistes sans compter des inédits puisés aux archives. Ensuite, il a ordonné cette riche matière en suivant le plan choisi par Clausewitz dans son fameux traité De la guerre, de bout en bout inspiré par l'épopée impériale.
    Le résultat dévoile comme jamais la pensée et l'action de celui que Clausewitz qualifiait de « dieu de la guerre ». Vitesse, concentration éclair, manoeuvres, capacité à exploiter l'instant charnière de la bataille, art de la poursuite ; autant d'inventions matricielles de la guerre de masse et de mouvement se révèlent dans un style limpide et percutant. Le dialogue au sommet établi avec Clausewitz, dont les idées maîtresses sont exposées en ouverture de chaque partie, achève de hisser cet ouvrage sans précédent au rang de futur classique pour quiconque aspire à comprendre la guerre moderne."

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  • L'Union européenne contre l'Europe !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Andrea Massari cueilli sur Polémia et consacré à la trahison de l'europe par l'Union européenne... 

     

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    L'Union européenne contre L'Europe

    La confusion entre l’Union européenne (institution politico-bureaucratique politiquement correcte) et l’Europe (héritage culturel et mythologique) est un mensonge qui fait beaucoup de mal. Car ce qui va de travers est attribué à l’Europe alors que ce qui est en cause, c’est l’Union européenne et son idéologie néfaste.

    Destruction des frontières et conflits de frontières

    En fait, la destruction des frontières et la volonté générale de normalisation et de centralisation dressent les Européens les uns contre les autres :

    - ce sont l’Irlande et la Pologne qui s’opposent à propos des immigrés polonais en Irlande ; ou la Roumanie qui entre en conflit avec les autres pays à propos des Roms ;
    - ce sont l’Italie et la France qui se chamaillent à propos des migrants clandestins de Lampedusa ;
    - c’est le Danemark qui se fait gourmander quand il rétablit des contrôles à ses frontières ;
    - ce sont les pays du nord qui ne veulent pas payer pour les pays du sud, appelés avec mépris les pays de « Club Méd » ;
    - ce sont les pays du sud qui se sentent humiliés par les pays du nord qui veulent racheter leurs îles et leurs côtes ;
    - ce sont les petits pays qui regimbent devant les diktats des plus grands.

    « L’Europe c’est la paix » est un slogan qui parle encore aux générations qui ont connu la guerre. Mais dans la réalité d’aujourd’hui, c’est de la novlangue, car l’Union européenne – qui n’est pas l’Europe – est un multiplicateur de conflits entre Européens.

    L’euro et le retour de la germanophobie

    L’euro a imposé une monnaie unique à des pays qui ne constituaient pas une zone monétaire optimale. L’euro a imposé le même carcan monétaire à des pays de culture économique et monétaire différente. La monnaie commune était une idée heureuse, la monnaie unique une idée dangereuse.

    Aujourd’hui les craquements de l’euro – sorte de Mark continental – développent l’acrimonie entre Européens. Les Allemands se plaignent de l’irresponsabilité et de la nonchalance de leurs voisins. La France et les pays du sud répondent que le modèle allemand n’est pas généralisable : pour une raison simple, l’Allemagne réalise ses excédents commerciaux non sur le reste du monde (elle a eu, en 2009, 19 milliards de déficit commercial sur la Chine) mais sur les autres pays européens. Si les voisins de l’Allemagne s’alignaient sur le modèle allemand, l’Allemagne plongerait dans la déflation.

    Cette analyse objective s’accompagne souvent de commentaires germanophobes : sur le site Atlantico, l’essayiste Jean-Luc Schaffauser, qui se présente comme « Alsacien, Germain et Français », écrit : « Il revient à la France, avec l’appui de l’Espagne et l’Italie, et d’autres pays de l’Europe du Sud, de contenir le démon allemand. A défaut, l’Europe n’aura aucune chance de survie. Nous sommes, en effet, en train d’aller vers une Europe allemande, c’est-à-dire vers plus d’Europe du tout ! L’Allemagne, après avoir détruit deux fois l’Europe, risque fort de la détruire une troisième fois par la guerre des temps modernes, la guerre économique. L’Allemagne a besoin d’une correction ; sa correction, c’est la vérité sur sa politique ! ». « Europe allemande », « démon », « correction » : derrière une analyse économique rationnelle, c’est le retour d’un vocabulaire stigmatisant, culpabilisant et diabolisant, peu propice à l’amitié entre les peuples.

    Dans le même esprit un auteur des Echos avait sérieusement envisagé que l’Allemagne prenne en charge la dette grecque au titre de « réparations » dues pour la Seconde Guerre mondiale pourtant officiellement terminée il y a… deux tiers de siècle.

    La faute de l’Union européenne : ne pas s’être (op)posée face au reste du monde

    L’Union européenne a un marché unique et une monnaie unique mais elle n’a pas de politique commerciale face au reste du monde. L’Union européenne est la zone économique la plus ouverte du monde ; son déficit commercial n’est pas dû à ses faiblesses économiques mais à ses faiblesses politiques. Son tort est d’accepter le dumping social et environnemental des pays émergents ; son tort est d’accepter les pratiques commerciales déloyales de ses principaux concurrents ; son tort est d’accepter sans réagir la politique mercantiliste de la Chine qui impose un yuan sous-évalué tout en exigeant des exportateurs européens qu’ils transfèrent leur technologie et abandonnent, de facto, leurs droits de propriété intellectuelle.

    L’Union européenne a une monnaie unique mais elle n’a pas de politique financière commune. Elle se trouve donc exposée aux pratiques prédatrices de la finance anglo-saxonne. Les déficits budgétaires américains et britanniques sont supérieurs à ceux de l’Italie et de la France ; leur endettement public et privé est aussi supérieur : pourtant la spéculation (« les marchés ») s’attaque à l’Italie et à la France, non, pour le moment du moins, aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne. La raison en est simple : les banques centrales anglo-saxonnes rachètent la dette des Etats anglo-saxons ; la Banque centrale européenne ne rachète pas (elle n’en a d’ailleurs pas le droit) les dettes des Etats européens. Résultat : la masse monétaire créée par les Anglo-Saxons est disponible pour spéculer sur les dettes européennes. Inspiré par l’Allemagne, le modèle monétaire de la BCE est sans doute vertueux mais il n’est pas tenable dans un monde complètement ouvert. L’Union européenne devra choisir : réglementer et protéger son marché financier ou faire, comme les autres, fonctionner la planche à billets.

    L’Union européenne cherche à construire un gouvernement économique commun mais les personnalités mises en avant appartiennent toutes à la superclasse mondiale : le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, est un homme du Bilderberg et de la Trilatérale ; comme l’est Mario Monti, le nouveau premier ministre italien, par ailleurs ancien de Goldman Sachs ; tout comme Mario Draghi, le nouveau président de la BCE. Ce qu’on appelle la « gouvernance européenne » est de fait au service de la finance mondialisée.

    L’Europe, une figure singulière face aux trois impérialismes : américain, musulman, chinois

    Les peuples et les nations européennes sont en train de reprendre leurs chicaneries.
    Pour deux raisons :

    - l’Union européenne veut leur imposer des règles communes qui ne leur conviennent pas ;
    - et dans le même temps l’Union européenne les livre pieds et poings liés à trois impérialismes :

    • l’impérialisme financier des Etats-Unis et de la superclasse mondiale ;
    • l’impérialisme commercial des Chinois ;
    • l’impérialisme migratoire et civilisationnel des musulmans.

    En face de cela, l’Europe ne peut survivre qu’en retrouvant le sens de son identité, de ses frontières et de ses intérêts. L’Europe a des concurrents, des adversaires, des prédateurs et même des ennemis. Son problème c’est que l’Union européenne ne veut pas en tenir compte.

    Andrea Massari (Polémia, 24 novembre 2011)

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  • Au bord du gouffre...

    Les éditions Krisis viennent de publier Au bord du gouffre - La faillite annoncée du système de l'argent, le nouvel essai d'Alain de Benoist. Le directeur des revues Krisis et Nouvelle Ecole dresse la généalogie de la crise systémique qui secoue le monde globalisé et en analyse les conséquences avec sa clarté habituelle. 

    Le livre est disponible sur le site de la revue Eléments : http://www.revue-elements.com/

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    "Le 11 septembre 2001, à New York, les tours du Centre mondial du commerce (WTC) s’enflamment. Un symbole ! Sept ans plus tard, une crise financière profonde se déclenche aux Etats-Unis, puis s’étend rapidement au reste du monde. Elle trouve son origine immédiate dans une surchauffe de l’endettement privé. Pour sauver les banques et les compagnies d’assurances, les Etats empruntent à leur tour. En 2011, la crise de la dette privée s’est muée en crise de la dette publique. Les marchés financiers attaquent les Etats les plus faibles. La Grèce est la première touchée, suivie par le Portugal et l’Espagne, en attendant l’Italie et la France. Aujourd’hui, tout le monde pilote à vue. Le système financier international vacille sur ses bases, l’euro semble au bord de l’implosion. La dette ne cesse d’augmenter, doublée de déficits d’une ampleur encore jamais vue. Les estimations contradictoires des experts s’ajoutent à l’impuissance des politiques. Est-ce la fin annoncée du système de l’argent ?
    Ce livre retrace les étapes de la crise financière mondiale actuelle, et s’efforce d’en identifier les causes. Mais il va bien au-delà. Il fait le point sur la situation économique qui prévaut de nos jours et sur les problèmes sociaux qui l’accompagnent. La crise actuelle n’est pas une simple crise conjoncturelle, mais une critique structurelle, systémique. Elle est la conséquence de la logique du capital, qui ne connaît qu’un mot d’ordre : toujours plus ! Toujours plus de profits, plus de marchandises, plus d’échanges, fût-ce au prix de mesures d’austérité qui frappent les plus faibles. Un tel système ne peut durer éternellement. Voici pourquoi."

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