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Métapo infos - Page 1032

  • Aujourd’hui, les bourgeois se fichent de Calais !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à la lâcheté de la bourgeoisie face à la question de l'immigration massive et violente que subit notre pays...

     

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    Aujourd’hui, les bourgeois se fichent de Calais

    En 1346, durant la Guerre de Cent Ans, les Anglais assiègent Calais qui résiste courageusement. Mais à l’issue d’un siège de 11 mois la population, affamée, n’a d’autre issue que de se rendre aux envahisseurs. Les Anglais, rendus furieux par la durée du siège, menacent, en représailles, de passer toute la population au fil de l’épée sauf si des otages acceptent de se sacrifier. Six bourgeois, les fameux « bourgeois de Calais », acceptent leur sort pour sauver la population. Finalement ils seront graciés par Edouard III, ému par leur esprit de sacrifice. Et la ville sera épargnée.

    Mais aujourd’hui l’histoire ne se répète pas parce que les bourgeois se fichent du peuple de Calais comme du peuple de France.

    Un drame ordinaire

    Tout le monde a pu voir depuis samedi dernier, sur les réseaux sociaux, les tragiques images de cette famille calaisienne agressée devant son petit pavillon par des « migrants ». Les assaillants leur jettent des pierres, des pneus, des bâtons ; ils tentent d’entrer dans le domicile. On voit la femme qui supplie son mari de ne pas s’interposer. Finalement les assaillants refluent lorsque le fils brandit un fusil (factice ou non chargé).

    Une famille seule face aux « migrants » parce que la police laisse faire. Soyons juste, la police va quand même agir : en fin de journée elle interpelle… le fils au sujet dudit fusil.

    Les bourgeois s’en fichent

    Mais ce drame à Calais n’intéresse plus les bourgeois. Ce n’est après tout qu’une famille autochtone modeste : des « sans-dents », qui peut-être, au surplus, ne votent pas bien. Ce ne sont que des cht’is « franchouillards » qui s’obstinent à ne pas reconnaître l’apport magnifique de ces « migrants » : ils n’ont pas compris, comme nous le vantent les bobos du MEDEF, que ces migrants allaient « améliorer le marché de l’emploi ». Tant pis pour eux !

    Les bourgeois vivent à l’abri

    Les bourgeois se moquent de ce qui se passe à Calais car ils vivent bien à l’abri dans leurs quartiers préservés et dans leurs appartements digicodés. Et en cas de pépin ils peuvent compter sur la réaction rapide de leurs copains dans les ministères ou à la préfecture.

    Ils ne prennent jamais les transports en commun comme les « bidochons ». Leurs enfants ne fréquentent que les bonnes écoles : celles où on ne sert pas de « repas aménagés » et où les élèves sont triés sur le volet. Leurs bambins échapperont, bien sûr, au désastre universitaire français : à eux les écoles de commerce, les grandes écoles, les stages à l’étranger et les universités yankees. Pôle Emploi c’est pour les sans-dents, pas pour eux.

    Les bourgeois ne se confrontent jamais aux « migrants », sauf dans les articles de l’Obs. ou des Echos. Sauf quand le fiston, ému jusqu’aux larmes par le sort du petit Aylan, décide d’aller « faire de l’humanitaire » au profit des « migrants », avant d’entrer se mettre au chaud dans la banque de papa. Car le fiston, bien sûr, ne s’occupe pas des sans-abris français qui, eux, peuvent rester dans les rues : salauds de pauvres !

    Les bourgeois sont responsables de l’immigration

    Les bourgeois ne se confrontent pas aux « migrants » mais, par contre, ils les font venir depuis 50 ans, dans toute l’Europe. Dans les années 1960, ils allaient même les chercher au Maghreb pour être sûrs qu’ils viennent bien.

    Pour améliorer la « profitabilité » des entreprises où les bourgeois travaillent et dont ils sont les heureux actionnaires, c’est-à-dire pour pousser à la baisse les salaires des « bidochons» et à la hausse les profits des bobos.

    C’est pourquoi les bourgeois ont toujours soutenu les gouvernements qui ont ouvert toujours plus les portes à l’immigration. C’est pourquoi les bourgeois haïssent plus que tout le Front national et tous les populistes qui risqueraient de menacer leur « value for money ».

    Les bourgeois se moquent des conséquences de leur égoïsme

    Les bourgeois se fichent des conséquences d’une immigration de peuplement désormais incontrôlable car ils sont à l’abri. Et en cas de grabuge, ils pourront toujours filer ailleurs, là où ils ont d’ailleurs déjà placé leurs économies.

    Les bourgeois ne se sacrifieront plus pour sauver Calais, Cologne ou Paris car ils sont devenus mondialistes. Les bourgeois ne seront pas victimes du Grand Remplacement : ils sont déjà partis ou ils vont partir se mettre à l’abri, laissant les sans-dents se débrouiller avec les charmants allogènes.

    Les bourgeois ne se mettront pas la corde autour du cou pour sauver le peuple comme en 1346. Cette corde il faudra la leur mettre de force. Car ils la méritent.

    Michel Geoffroy (Polémia, 27 janvier 2016)

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  • La bobocratie, une classe à part...

    Les éditions Xénia viennent de publier un essai de Luc Gaffié intitulé La bobocratie. Luc Gaffié est déjà l'auteur de plusieurs livres dont Les idées du conservatisme américain et Le sanspapiérisme (Xénia, 2012).

     

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    " Utilisé à l'origine pour décrire une réalité sociologique américaine bien précise, le terme bobo, à la suite de son succès populaire aux États- Unis, en est venu, à désigner une forme d'esprit et une mentalité qui affecte à des degrés divers l'ensemble des nouvelles classes dirigeantes des pays occidentaux.
    L'émergence de cette bobocratie résulte de l'accession au pouvoir de nouvelles générations aux goûts et aux modes de vie harmonisés par la mondialisation, une nouvelle élite habile à dissimuler le luxe sous des apparences de simplicité et à affecter une générosité qui n'est qu'une posture. "

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  • Petit éloge de la race...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique de Richard Millet, radicale et lucide, cueillie sur son site personnel et consacrée à la question raciale.

    Ceux qui empruntent chaque jour les transports en commun d'Île-de-France peuvent attester qu'il n'y a aucune exagération dans la description faite par l'auteur d'un de ses derniers déplacements en RER...

    Écrivain, Richard Millet vient de publier Tuer (Léo Scheer, 2015), ouvrage dans lequel il revient avec beaucoup de profondeur, après La confession négative (Gallimard, 2009), sur l'expérience fondatrice que fut pour lui sa participation à la guerre civile libanaise...

     

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    Petit éloge de la race

    Le gauchisme culturel au pouvoir, en France, est hanté par le souci d’effacer le mot race du vocabulaire officiel. Les races n’existant pas, disent ces apôtres de la régulation onomastique, pourquoi user encore de ce mot dont la seule profération leur donne des pellicules ? N’appartenons-nous pas tous à la grande famille humaine ?  bêlent ces brebis tondues par le psoriasis idéologique. Or, non seulement les races existent, puisque je ne suis ni noir ni jaune, mais il est heureux qu’il en soit ainsi et qu’elles soient plusieurs, comme les pays, les frontières, les langues. Manière de dire aussi mon bonheur d’être blanc, comme les Noirs et les Jaunes d’être ce qu’ils sont, sans nulle idée de supériorité, il va de soi.

                C’est aussi la raison pour laquelle je refuse d’admettre que la race blanche est à l’origine des maux dont souffrirait l’humanité et que le métissage généralisé soit le remède contre le retour du nationalisme dont on clame qu’il nous a menés « aux heures les plus sombres de notre histoire. » C’est également pour cela que je ne crois pas au multiculturalisme, lequel n’est nullement un régionalisme importé et compatible avec les « valeurs républicaines », mais bien un agent destructeur des vieilles patries, pensais-je l’autre soir, dans le wagon de RER qui me conduisait à Paris, échappant pour une fois à l’un de ces « colis suspects » qui paralysent régulièrement le trafic et faisaient dire à un passager, l’autre jour, que derrière chacun de ces colis il y a un clochard, et derrière le clochard un musulman. Dans le wagon, trois jeunes Algériennes (peut-être  des bi-nationales), comme je le remarque au drapeau algérien ornant la coque du téléphone mobile de la première, une grosse fille à l’air de zébu las, pantalon déchiré, cheveux rouges ; l’autre est entièrement salafisée : niqab et abaya noir corneille, et visage inquiétant,  s’exprimant dans l’immonde français des banlieues, tout comme la troisième, une vraie Lolita avec ses cheveux décolorés, ses nattes, son rouge à lèvres couleur sang de bœuf, son jean moulant. Je me demandais ce qu’elles avaient de français, à part une carte d’identité et ce je ne sais quoi de perdu qui les rapproche des Françaises de souche déculturées et aliénées.

                A Gare-de-Lyon est montée une horde d’Africains, principalement constituée de femmes en boubou et turbans, poussant des landaus chargés d’une progéniture nombreuse – les hommes se tenant en réserve. Cette bruyante cohorte a fait que nous avons bientôt été les seuls Blancs du wagon, une passagère et moi, la passagère, une gauchiste, s’émerveillant à mi-voix de la beauté de ces femmes, tandis que j’étais, moi, importuné par un Africain qui avait passé son coude par dessus le siège, derrière moi. J’ai dû faire comprendre à cet homme qu’on n’était pas dans un autobus africain.

                Descendu à Auber, j’ai vu un Arabe insulter trois jeunes filles de l’ethnie rom, qu’il traitait de voleuses, « comme toute votre race », ajoutait-il dans l’indifférence générale –dans cette forme d’indifférence que suscite la terreur exercée par les lois qui portent les noms de Gayssot et de Taubira. Une tension permanente ; une situation partout explosive. C’est que la guerre civile est bel et bien en cours, à Calais comme à Paris, et partout où l’immigration impose son nombre, et autant dans le djihad que dans la haine que nous vouent la plupart des immigrés, surtout musulmans, lesquels explorent sans relâche les failles du système judiciaire comme le ventre mou de la démocratie, au sein d’un développement séparé qui permet à des millions d’individus exogènes de vivre en Europe comme dans leur pays d’origine, le capitalisme mondialisé appelant multiculturalisme ce qui, dans le Tiers-Monde, est du colonialisme.

                La guerre civile est donc interraciale, et mondiale. Une revendication inlassable. Des actions judiciaires perpétuelles. On l’a vu à la cérémonie des Oscars où des acteurs noirs se sont plaints de ce qu’ils n’étaient pas « représentés » et où une actrice prétend les femmes encore moins bien traitées que les Noirs ; on le voit dans l’incessant gémissement victimaire ; on le devine dans l’enfer du métissage – les races, les ethnies, les sexes, les religions (minoritaires chez nous mais puissamment majoritaires, ailleurs) fournissant les bataillons de cette guerre dont le djihad n’est que la partie la plus visible. Une situation qui me voue, plus que jamais, contre tous les révisionnismes idéologiques, à revendiquer la dimension puissamment identitaire, et non plus seulement fatale, des races.

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 25 janvier 2016)

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  • Les snipers de la semaine... (120)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Causeur, Jonathan Koskas dézingue Cohn-Bendit, chien de garde de la néo-bourgeoisie "cool"...

    Cohn-Bendit: de chien fou à chien de garde

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    - sur RussEurope, Jacques Sapir flingue Laurent Joffrin et ses leçons de politiques pour bobos affolés

    Joffrin, l’histoire et les tyrans

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  • Feu sur la désinformation... (75)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Calais : Dégradation, invasion, une famille se défend.
    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : DPA, le supplément de canal : invités soumis, invités indésirables.
    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : 28 minutes d’entre soi.
    • 6 : Le bobard de la semaine.

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  • Mishima boys, coup d'état...

    Les éditions Akata viennent de publier Mishima boys - Coup d'état, un manga de Seira Nishikawa et Eiji Otsuka. Une bande-dessinée politique qui se veut un « nô moderne » interprété par de jeune nihilistes et par Mishima lui-même sur la « scène » du Japon autour des années soixante.

     

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    " K., M., Y. … Trois lettres, pour trois garçons.
     
    Qui sont-ils ? Quels projets fomentent-ils ? Et surtout, quel étrange lien les relie à Yukio Mishima, écrivain mondialement connu et nationaliste ayant vécu au tournant d'une époque dramatique du pays et prônant un retour aux valeurs traditionnelles du Japon ? Dans un après-guerre tourmenté, alors que le Japon s'ouvre trop vite au capitalisme et à l'Occident, voici un portrait complexe et désabusé de jeunes gens égarés dans une société en perdition…
    Entre meurtres, attentats et terrorisme, voici une oeuvre qui questionne avec force sur les changements qu'imposait une époque. "
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