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xavier raufer - Page 15

  • Les habits neufs de l'impérialisme...

    Les éditions Eska viennent de publier le neuvième numéro de la revue Sécurité globale dont le dossier est consacré aux "habits neufs de l'impérialisme", avec des contributions, notamment, de Xavier Raufer, d'Hervé Juvin, de Christian Harbulot et de Bruno Racouchot...

     

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    Au sommaire :

    À propos de la parution d’ Une France soumise. Les Voix du refus, par Georges Bensoussan

     

    Champ criminologique

    Prévenir la récidive : une expérience dans l’agglomération du Saint-Quentinois

    Le recours aux bombes artisanales (explosives ou incendiaires) en France : une dangereuse évolution

     

    Dossier : Les habits neufs de l’impérialisme

    Les habits neufs de l’impérialisme : pourquoi ? Comment ?, par Xavier Raufer

    De la lutte anticorruption au capitalisme du chaos, huit thèses sur une révolution du droit, par Hervé Juvin

    Géopolitique du droit américain : dernières nouvelles du front extérieur, par Oliver de Maison Rouge

    La conquête du monde immatériel, par Christian Harbulot et Nathalie Grasselli

    Cyberespace, nouvelles menaces et nouvelles vulnérabilités, par Philippe Muller Feuga

    L’Entreprise, acteur de la sécurité nationale, par Bertrand Pauvert

    Penser l’influence dans les rapports de force de la guerre économique : de la compétition aux manœuvres criminelles, par Bruno Racouchot

     

    Rubriques et chroniques

    Pangloss au paradis ?

    Pierre Manent et les Tontons Flingueurs

    Faits & Idées

     

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  • Le pouvoir des villes...

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    La revue Conflits, dirigée par Pascal Gauchon, vient de sortir en kiosque un cinquième numéro hors-série passionnant consacré au rôle géopolitique des villes.

    Vous pourrez y découvrir, notamment, outre un entretien avec Gérard-François Dumont ("Géopolitique des métropoles"), des articles de Pascal Gauchon ("La plus importante question géopolitique" ; "La tentation de la sécession"), de Julien Damon ("L'urbanisation du monde" ; "Les métropoles vont-elles gouverner le monde ?"), de Pierre Royer ("L'archipel des villes globales" ; "« On n'est pas d'un pays, mais on est d'une ville»"), de Florian Louis ("Les penseurs de la géographie urbaine" ; "Le nouvel âge des cités-États"), de Jean-Philippe Antoni ("La logique pavillonnaire" ; "En défense de la ville"), de Jean-Baptiste Noé ("Ville et agriculture. Complémentarité ou contradiction ?" ; "L'uniformisation architecturale des métropoles"), d'Alexandre Moustafa ("L'aéroport. Un microcosme de la mondialisation"),  de Bruno Tallent et Erik Bertin ("Cité, identité, stratégie"), de Grégoire Dupont-Tingaud ("Comment attirer ?"), de Thibaut Renard ("La guerre des tours"), du général Vincent Desportes ("La guerre, le soldat et la ville"), de Tancrède Josseran ("Bombe, béton et population. Le terrorisme en ville"), de Xavier Raufer ("Métropoles, crime et «politique de la ville»"), de Bernard Quirin ("La ville utopique, cité idéale ?"), de Serge Le Diraison ("Quand le pouvoir se donne à voir"), de Sylvie Brunel ("La ville africaine, menace pour le monde ou opportunité ?"), de Hervé Juvin ("Peurs sur la ville") ou de Frédéric Laupiès ("Supériorité de la ville : ce que disent les mots").

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  • Les vraies valeurs de la gauche caviar...

    Le 17 février 2017, Elise Blaise recevait, sur TV libertés, Xavier Raufer pour évoquer les donneurs de leçons de la gauche bienpensante, qui brillent plus dans leurs paroles que dans leurs actes. Journaliste et criminologue, Xavier Raufer a publié récemment Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et Cybercriminologie (CNRS, 2015).

     

                                       

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  • Mensonges et trucages au ministère de l'intérieur...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien de Charlotte d'Ornellas avec Xavier Raufer réalisé le 2 janvier 2017 pour Boulevard Voltaire, et consacré à la tentative pathétique du gouvernement de masquer son échec en matière de lutte contre l'insécurité. Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a récemment publié Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014).

     

                                       
                                        Xavier Raufer : « M. Cazeneuve et son... par bvoltaire

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  • Grands médias d’"information" : bobards et propagande !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Raufer, cueilli sur Le nouvel Économiste et consacré au mensonge médiatique...

     

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    Grands médias d’"information" : bobards et propagande

    Arrosés par millions d'euros de subventions officielles, les grands médias vantent tous une “mondialisation heureuse” à la Davos-Goldman-Sachs, à laquelle plus grand monde ne croit – sauf peut-être encore quelques milliardaires. Dans le champ d'expertise d'un criminologue, ces périodiques, sites, radios et télévisions, matraquent les trois allégations que voici :

    - Les “migrants” sont des malheureux fuyant la guerre et la mort.

    - Les Noirs américains sont victimes d'une police raciste qui les persécute bien plus que les autres races (Blancs, Hispaniques).

    - Terroristes et criminels ripostent à la misère et à l'exclusion qu'ils subissent.

    Or cela est faux. Prouvons-le (bien sûr, nos sources probantes sont à disposition de quiconque les demandera).

    “Les migrants gagnant l'Europe fuient la mort et la guerre” – Si c'était vrai, des familles entières fuiraient. Or une étude d'août 2016 (Wall Street Journal-Pew Research Center) établit que ces migrants dans l'Union européenne sont :

    - À 53 % âgés de 18 à 34 ans,

    - Avec, dans cette tranche d'âge, une proportion d'hommes de : (Syriens) 71 %, (Irakiens) 75 %, (Pakistanais) 76 %. (Bangladais), 76 %, (Gambiens) 80 %, (Afghans) 80 % – énorme déséquilibre établissant la migration économique, non la fuite affolée de familles entières, sous les obus et les rafales.

    Homicides de Noirs aux États-Unis - En 2015 (FBI), 7 049 Noirs sont assassinés aux États-Unis, dont 89,3 % par d'autres Noirs. L'âge des victimes révèle que les guerres de gangs de jeunes Noirs (Crips, Bloods, etc.) provoquent la plupart de ces homicides. Mais les médias d'information ignorent ces neuf assassinats sur dix, entre gangsters. Prenons le premier semestre 2016 : 123 Noirs abattus par des policiers (FBI), dont une moitié de cas explicables (sinon excusables) : victime armée et dangereuse… faute sincère de maniement d'arme par le policier… Bousculade d'où part un coup de feu… Policier noir donc peu suspect de racisme, etc.

    Restent quelque 62 cas (odieux) où un policier tire sur un Noir désarmé, sans motif valable. Soit 1,8 % du total des Noirs assassinés. Les autres 98,2 %, les médias d'"information" les passent par perte et profit.

    Ces mêmes médias matraquent que le taux d'arrestation et fouilles au corps des Noirs est énorme, par rapport à leur pourcentage de la population (12,5 % de Noirs sur 320 millions d'Américains). Or cette comparaison est absurde, car on n'arrête, ni ne fouille, des bébés, des vieillards, etc. Ici, la seule comparaison valide est celle du nombre d'arrestations, par rapport à la quantité de crimes et délits vraiment commis par ethnie. Exemple, en 2014 à Chicago (derniers chiffres disponibles), les Noirs (35 % de la population) ont commis 76 % des homicides. Or cette comparaison valide, ces médias ne la font jamais.

    Terrorisme, crime, etc., le bobard des "Misérables" - restons aux États-Unis. Une célèbre enquête sociologique expose que, dans la décennie 1980, une vague de “boat-people” haïtiens gagne Miami (Floride). Clandestins, ces Noirs illettrés et ignorant l'anglais ont un lourd passé d'esclavage et d'exploitation. Or chez ces réels exclus, dans la pire situation possible aux États-Unis, le taux de criminalité-délinquance est fort inférieur à celui des Noirs américains, vivant au même endroit, au même moment – et bien mieux.

    Le terrorisme maintenant. Après le 11 septembre 2001, la Maison-Blanche veut savoir : la misère sociale génère-t-elle la terreur ? Cette explication (ou "culture de l'excuse") pourrait-elle prévenir le terrorisme ? La recherche est confiée à un prestigieux économiste, le professeur Alan B. Krueger, docteur en économie de Harvard, titulaire de la chaire d'économie de l'université Princeton et membre du renommé National Bureau of Economic Research.

    Elle étudie des guérillas palestiniennes ou libanaises, des terroristes juifs des territoires occupés, des terroristes allemands, italiens, irlandais, japonais, turcs, etc. Maints tableaux, dix pages de références et de sources. Conclusion : “Le lien entre pauvreté et terrorisme est aussi faible qu'indirect. À titre individuel, les terroristes ne proviennent d'usage pas de milieux pauvres. À l’inverse, ils sont souvent mieux éduqués et plus aisés que leurs contemporains. Les niveaux de terrorisme ne sont pas vraiment plus hauts dans les pays les plus pauvres ; mais les pays se développant normalement et connaissant de vives phases de modernisation fournissent au terrorisme un nombre élevé de recrues.”

    Naguère, ces médias vantaient l'“eldorado brésilien”. On voit aujourd'hui ce qu'il en est : au Brésil, 60 000 homicides volontaires par an, un Hiroshima tous les trois ans.

    Tels sont les mensonges mondialistes des médias subventionnés. Pas étonnant que nombre de lecteurs s'en détournent désormais.

    Xavier Raufer

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  • Quand le système judiciaire français coule à pic...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue du criminologue  Xavier Raufer, cueilli sur Atlantico et consacré à la déliquescence de la justice française... 

     

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    Justice, ruine et délires : quand le système judiciaire français coule à pic

    Tribunaux surchargés, gardiens de prison débordés, laxisme généralisé : l'institution judiciaire, clé de voûte de la République française, est aujourd'hui dans un triste et inquiétant état.

    • A l'intention des persécuteurs stipendiés "Décryptage", "Décodeurs" & co., membres du Taubira-fan-club : tous les faits et chiffres ici mentionnés sont dûment sourcés et bien sûr, à leur entière et inquisitrice disposition.

    1) La ruine

    Une justice de qualité est-elle encore rendue dans la France de l'automne 2016 ? On peut en douter car le (fort pâle) garde des Sceaux lui-même parle d'une justice "exsangue". Situation d'autant plus grave que, bien sûr, la justice est la clé de voûte de tout Etat de droit.

    Commençons par une - affligeante - visite du domaine judiciaire. Déjà, il est bien sous-dimensionné : par rapport à la moyenne de l'Union européenne, la France compte quatre fois moins de procureurs et deux fois moins de juges.

    En France même et à l'automne 2015, le président de la conférence des procureurs dénonce "la faillite du service public de la justice" et - fait rarissime - les forts mutiques procureurs généraux élèvent désormais la voix. Tous dénoncent "des retards persistants d'exécution des décisions" et des "difficultés croissantes à faire fonctionner les chambres et fixer les audiences". Ainsi, en juin 2016 "au tribunal de Bobigny, 7 300 peines attendent d'être appliquées".

    Avocats d'un côté, syndicalistes de la pénitentiaire de l'autre, tous dénoncent des "juridictions françaises en ruine". Bobigny, on l'a vu, mais aussi Créteil, Nanterre, Brest, Agen, Nantes : postes vacants, exécrables conditions de travail, piètres qualités des jugements ; encore et toujours, énormes délais d'audiencement.

    Côté syndical, on constate que les détenus deviennent maîtres des prisons - bandits, islamistes, hybrides (les deux ensemble, type Kouachi-Abdeslam-Coulibaly). Résultat : mutineries et émeutes à répétition, gardiens agressés dans des maisons (d'arrêt ou centrales), où la discipline se perd. Le patron du principal syndicat pénitentiaire parle de "déliquescence du système" et d'"autorité en fuite". Dans les prisons, désormais, "presque chaque détenu possède un portable. Certains en ont plusieurs" - quand c'est bien sûr formellement interdit.

    Autre symptôme d'effondrement, les cafouillages dans l'appareil judiciaire ; d'abord, les "libérations intempestives". "Toujours plus de détenus relâchés devant l'impossibilité de s'expliquer devant un juge". Faute d'escortes, des multirécidivistes sont ainsi purement et simplement libérés. Au-delà, des couacs judiciaires en rafales (parmi vingt autres ces derniers mois) :

    "Le receleur remis en liberté après une erreur du tribunal"... "Prison : une faute d'orthographe lui permet de sortir et de s'évader"... "Une figure du milieu marseillais libéré pour délai judiciaire dépassé", ainsi de suite.

    Autre couac, financier celui-ci. "Victime" d'un premier imbroglio judiciaire, un islamiste de gros calibre reçoit du ministère de la Justice... un chèque de 20 000 euros de dédommagement. L'Obs' - qui n'est pas exactement un brûlot sécuritaire - dénonce une "erreur judiciaire grossière".

    A Montargis, des documents de justice confidentiels sont mis à la poubelle et jonchent le trottoir.

    Bien sûr, il y a eu les ravages-Taubira, ses expériences libertaires conclues par un bide intégral. Son diaphane successeur finit ainsi par reconnaître l'échec de la "contrainte pénale" (seul acte notable de l'ère Taubira), un "outil peu utilisé par les juridictions". Dit en clair : les magistrats se tapent des inventions de la camarilla-Taubira. S'ajoute à cela le foutoir qui règne depuis lors dans le (pourtant crucial) suivi des condamnés. Dispositif que la Cour des comptes, qui peut avoir la litote cruelle, dénonce en mai 2016 comme "empilement de nombreux acteurs qui peinent à s'organiser et coopérer".

    L'idéologie libertaire est bien sûr en cause, mais aussi, une vaste incompétence. Ici, le récent et triste exemple donné par Mme Adeline Hazan, "contrôleuse générale des lieux de privation de liberté" (Inspecteur des prisons, en novlangue socialo). A l'été 2016, la "contrôleuse" déclare ainsi que "plus on construira de places de prison, plus elles seront occupées" - pathétique ânerie sur un banal effet d'optique-statistique, que l'on explique, pour le corriger, aux étudiants en criminologie de première année, vers le deuxième ou troisième cours...

    Bazar, idéologie, incompétence... Là-dessus, les bobards de journalistes naïfs ou complices. Après un braquage, combien de fois lit-on dans le journal que "le vol avec usage ou menace d'une arme est puni, au maximum, de vingt ans de réclusion criminelle et de 150 000 euros d'amende". Bon, se dit le lecteur : au moins, un malfaiteur paiera pour ses crimes. Tu parles.

    Car sous Taubira & succession, voici comment passe la justice, la vraie, celle du quotidien. Août 2016 : lisons "Le Phare dunkerquois", de ces petits hebdos de province où affleure encore le réel criminel. Omar B. est toxicomane. 27 inscriptions au casier judiciaire. Enième affaire de vol en flagrant délit. Tribunal et sentence : "Le condamné n'est pas maintenu en détention (il sort donc libre)... Sa peine de neuf mois fermes est aménagée (en français, annulée) pour qu'il puisse entrer en post-cure et être opéré du genou". Vous avez bien lu. La justice Taubira & co., désormais appendice de la Sécu.

    De telles affaires, chaque semaine.

    2) Les délires

    Dans les décombres de notre justice, les aberrations se succèdent, le burlesque un jour, l'effrayant le lendemain - le scandaleux, toujours - sur un rythme accéléré.

    De ces aberrations, voici la dernière (à ce jour) : Nancy, un criminel incarcéré, en prime, proche d'un "dangereux détenu radicalisé", reçoit par erreur (on l'espère...) les noms des agents pénitentiaires ayant rédigé un rapport sur lui.

    Peu auparavant, un autre bandit incarcéré profite d'une "sortie à vélo" pour s'évader et sauter dans la voiture où l'attend son frère, un islamiste fiché.

    Et Reda B.

    (17 condamnations dont 7 pour braquage) dont on lit qu'il s'est évadé (en 2012) de la prison du Pontet (Vaucluse) "à l'occasion d'un tournoi d'échecs".

    Et ces évasions de la prison d'Amiens - deux en quelques mois ! - où des détenus scient les barreaux de leur cellule... Les draps de lit le long de la façade... Le complice dehors qui jette la corde... A l'ancienne, façon Fanfan la Tulipe ! La direction du lieu-dit, par antiphrase, "de privation de liberté", se demande "comment des lames de scie ont pu parvenir jusqu'à eux" - judicieuse question, vraiment.

    Et ce tribunal de Grenoble qui, d'abord, prend comme caution d'un caïd de la drogue 500 000 euros en espèces, 1 000 billets de 500 euros "dégageant une forte odeur d'alcool... pour dissiper les traces suspectes".

    Parfois, ces foirades confinent au burlesque : "Oise : un cours d'art martial pour les détenus, les surveillants indignés"... "Haute-Garonne : le détenu cachait une piscine gonflable dans sa cellule"... Registre happening, toujours : "Un styliste sans-papiers organise un défilé [de mode] clandestin au Palais de justice de Paris".

    Les sportifs maintenant : "Nantes : à peine condamné, un détenu s'évade du tribunal en pleine audience". Le multirécidiviste "bondit hors du box et s'échappe". Les magistrats, bras ballants. Sans doute, ce bondissant "nantais" a-t-il été inspiré par un "collègue" de Colmar qui, plus balèze encore, "A peine condamné, s'évade par la fenêtre du tribunal".

    Telle est aujourd'hui la justice, Taubira ou post-Taubira. Car, cette dernière partie jouer les idoles pour médias subventionnés - elle dont, à l'automne 2015, l'action était rejetée par 71% des Français - ça ne va pas mieux.

    Un exemple, là encore pris entre dix autres analogues. Février 2016, gare de Lyon : un policier est massacré (triple fracture de la mâchoire, etc.) par un colosse de 110 kilos connu pour trafic de stupéfiants, vols de voiture, rébellion, etc. Arrêtée, la brute épaisse est laissée libre "sous contrôle judiciaire".

    A chaque désastre, le transparent garde des Sceaux promet - que faire d'autre ? Tout va s'arranger... Les contrôles seront renforcés... Puis attend, résigné, que le suffrage universel abrège son calvaire.

    Voici les dernières convulsions. Au gouvernement, incompétents, idéologues et pragmatiques-largués se déchirent. Suite à une pique du Premier ministre sur la modestie de son bilan effectif, Mme Taubira montre les dents et déclare "Je peux devenir méchante".

    Enfin ! Un point sur lequel on peut lui faire pleinement confiance.

    Xavier Raufer (Atlantico, 28 septembre 2016)

     

     

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