Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

julien dir - Page 5

  • L’individualisme est-il un vecteur des fractures sociétales et demain, de la guerre civile ?...

    Nous reproduisons ci-dessous une tribune libre de Julien Dir, cueillie sur Breizh-Info et consacré aux dégâts provoqués par l'individualisme dans notre société.

     

    Individualisme.jpg

    L’individualisme est-il un vecteur des fractures sociétales et demain, de la guerre civile ?

    L’individualisme est-il un vecteur des fractures sociétales et demain, de la guerre civile ? En effet, à l’heure où tout est fait pour disloquer les communautés humaines historiques (ethniques, religieuses, culturelles) dans un grand bordel généralisé, il semblerait que les conséquences de cette atomisation continue de la société soient particulièrement douloureuses dans les semaines, mois, années à venir.

    Tout part de la destruction progressive de ce qui fait l’âme d’un peuple, de ce qui fait une nation. « Après la langue, on vise la race » comme chantait Soldat Louis. Et bien depuis plusieurs décennies, entre destruction progressive de nos langues (langues régionales, langue nationale), de plus en plus supplantées par l’Anglais, ou par un néo-langage tribal (écoutez les tendances YouTube…), et destruction de tout ce qui faisait le ciment d’un peuple, d’une civilisation, on se retrouve avec une atomisation de nos sociétés, et à une plongée progressive vers la barbarie.

    Une atomisation entretenue et même accrue du fait des nouvelles technologies : alors qu’il y a encore 30 ou 40 ans, il n’y avait qu’une ou deux chaines de télévision, et que quelques journaux, souvent aux ordres de l’État dans lequel ils émettaient ou étaient imprimés, aujourd’hui, l’individu consommateur a accès, d’un simple clic ou coup de zappette, à des centaines de chaines. À des centaines et des milliers même de médias. Dans toutes les langues. Sur toutes les thématiques.

    Si certains esprits plus éclaires que d’autres parviennent dans cette jungle à diversifier, à tâcher, hygiène mentale impérative, de diversifier ses sources d’informations, de culture, force est de constater que ce n’est pas le cas d’une large majorité au sein même de la population.

    Ainsi, maîtrisant de moins en moins de mots dans leur langue maternelle du fait, en France notamment, d’un travail de destruction progressive de l’Éducation nationale, des générations sacrifiées ne parviennent plus à penser le monde, à penser leur société, en plus de 300 mots. C’est le début de la barbarie, puisque lorsque l’on est plus capable d’exprimer, de mettre de mots sur nos maux, on en vient à adopter des comportements tribaux, violents, barbares.

    Cette barbarie s’accroit par le simple fait de fabriquer ensuite son propre petit monde autour de SES réseaux sociaux, autour de SES préférences, autour de son égo démesuré. Ainsi, la fabrique du crétin et donc du barbare potentiel, qui a débuté sur les bancs d’une Éducation nationale qui n’assume plus sa mission d’instruction, se poursuit, à la maison, en dehors de l’école, au contact de la publicité, des réseaux sociaux et des algorithmes qui, quotidiennement, vous « servent la soupe » c’est-à-dire ce que vous avez envie de voir et de consommer, sans jamais vous proposer la moindre ouverture, la moindre porte de sortie à votre monde virtuel, à votre univers cérébral qui ne se nourrit finalement que des mêmes produits quotidiennement.

    Le passionné de jeux vidéos ne consultera plus que des forums de jeux vidéos, n’aura en contact sur les réseaux sociaux que des amateurs de jeux vidéos. Les publicités qui lui seront proposées, les films qui lui seront suggérées, ne tourneront plus qu’autour de ce petit monde très fermé. Idem pour le jeune de 15 ans tombé un jour sur une vidéo lui expliquant qu’il pouvait changer de sexe, qu’il pouvait ne pas se sentir bien dans son corps et donc évoluer, et qui finalement, se retrouve, à un âge de rébellion, à fabriquer son petit univers étriqué uniquement autour de SON problème, de SON mal-être, et de SA communauté de gens comme lui qui en plus, en viennent, lorsqu’ils se sentent nombreux, à demander à la société, au peuple auxquels ils appartiennent, des adaptations globales.

    Le militant de gauche fermé. « Imperméable au fascisme ». Va se construire son réseau social, son fil quotidien d’actualité, ses relations, autour de son engagement politique et de lui seul. Il finira par ne plus supporter le débat, la confrontation d’idées, la vie de la cité au final. Il en va de même bien entendu du militant de droite qui agrandit chaque jour sa propre bulle.  Il en va de même pour toutes les tribus qui se fabriquent sur le cadavre d’un ensemble jadis appelé peuple, nation, ou patrie.

    On suit quelques Youtubeurs qui pensent la même chose. On consulte toujours les mêmes sites Internet pour s’abreuver, et s’auto persuader de ce que l’on pense déjà. On en oublie totalement la communauté, bien réelle, qui nous entoure et dont les atomes eux aussi se disloquent du fait d’un déracinement organisé (La République contre les peuples qui la composent) d’un appel quotidien à la consommation et à l’individualisation, et d’un mirage faussement communautaire de temps à autre (ici un championnat d’Europe de football, là des Jeux olympiques, là encore, une grande fête à laquelle la communion devient quasi obligatoire pour ne pas être en marge).

    Au final, il n’y a aucun complot à ce qui nous arrive. Il y a simplement une convergence d’intérêts. Avec des entreprises qui ont parfaitement compris qu’il fallait pousser le citoyen consommateur à s’aimer jusqu’à l’extrême, et donc lui offrir tout ce dont il a besoin pour combler sa soif d’égo démesuré. Chacun doit être roi. Avec des responsables politiques, en dessous de tout, mais qui ont tout de même compris que plus le peuple est divisé, atomisé, hétérogène, et moins il est susceptible de leur demander des comptes, et éventuellement de les faire tomber.

    L’immigration massive, acceptée, encouragée même, relève d’ailleurs du même procédé : faire venir sans arrêt plus d’atomes différents, parfois même totalement incompatibles avec notre propre corps communautaire, pour semer la division, le chaos, et au final, la barbarie menant au suicide collectif.

    Le vote dit « populiste » qui s’accroit partout en Europe n’est que la résultante de ce processus. Des individus dont les ancêtres appartenaient à une communauté, à une civilisation, à une patrie, et que l’on a transformé en consommateurs, en atomes isolés. Et qui, de plus en plus, prennent conscience de la situation. Et se révoltent, électoralement d’abord, contre ceux qui les amènent, tels des Lemmings, se jeter dans un précipice.

    Alors que faire ? S’ouvrir l’esprit au maximum. Confronter ses idées. S’informer différemment. Ne pas s’isoler mentalement, ne pas se satisfaire de son confort quotidien. Aller à la rencontre de son propre peuple. Apprendre ses langues. Lui parler. Lui faire ouvrir les yeux. Lui faire prendre conscience de qui il est, d’où il vient.

    Et faire demi-tour alors que le précipice se présente à nous. Laisser faire ceux qui veulent absolument s’y jeter. Et de nouveau marcher, ensemble, main dans la main, à la recherche d’un nouveau chemin à construire pour que notre vieille race européenne ne s’éteigne jamais.

    Julien Dir

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Quel avenir pour les autochtones d’Europe ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info et consacré aux menaces qui pèsent sur les autochtones européens.

     

    Projet Apache 3.jpg

     

    Terreur migratoire, sanitaire, médiatique et sociétale… Quel avenir pour les autochtones d’Europe ?

    Les autochtones d’Europe conscients de qui ils sont et de leur civilisation, sont actuellement dans les cordes d’un ring de boxe, en train de subir des assauts répétés de fossoyeurs qui lynchent en meute.

    Jamais dans l’histoire de la civilisation européenne, nous n’en étions rendus à un tel point, où l’immigration de masse, conjuguée avec l’ethnomasochisme, la haine de soi distillée au quotidien, mais aussi avec un règne de la peur (tyrannie sanitaire, médiatique,  juridique…), ne nous menace clairement de disparition, à moyen terme.

    L’autochtone d’Europe, un monstre ?

    Notre civilisation, aujourd’hui, regorge de millions d’individus à qui l’on n’a pas cessé de dire qu’ils étaient des monstres. Les Allemands ont été éduqués et instruits notamment à l’école dans la honte de leur passé, de leur histoire, dans la culpabilisation de tout un peuple au nom de 15 ans de leur histoire. Les Français eux, ont appris que seule compte la diversité et le « vivre ensemble », et que tout autre choix de société ne serait que racisme, relent colonial, impasse consanguine… Les Britanniques — qui ne cessent de se renier — ont importé sur notre sol toute une idéologie venant d’outre-Atlantique et faisant la part belle à des microcommunautés, à des lubies sociétales hors sol, destinées à faire oublier aux Européens qui ils sont vraiment. Partout en Europe occidentale, les autres nations suivent la même pente, glissante, autodestructrice.

    Quand est-ce que ce cauchemar va cesser ? Quand est-ce qu’enfin les Européens vont sortir de l’état de dormition dans lequel ils sont plongés depuis plusieurs décennies déjà ? Aujourd’hui, nous ne sommes même plus dans une phase d’acceptation des petites minorités importées d’ailleurs (les masses immigrées venues du monde entier) ou inventées pour satisfaire au règne du marché, mais aussi du communautarisme le plus artificiel (les LGBTQ+, les gros, les féministes, les nains, les handicapés joueurs de tennis, les malades mentaux en lutte…). Non, nous sommes rentrés dans l’ère de la tentative de domination de ces petites communautés et minorités agglomérées les unes avec les autres.

    Chacun veut désormais « exprimer son droit à la différence », « s’assumer qui il est » (au final personne), « revendiquer ses droits à… » et au final, s’imposer contre une majorité trop silencieuse, désorganisée, et désormais presque non identifiée tant le socle commun de base, celui de l’identité ethnique, culturelle, religieuse, qui fondait toute société harmonieuse, est aujourd’hui suspecté d’office d’aller à l’encontre d’un « Nouveau Monde » qui est en train de s’imposer à tous.

    Voyez où nous en sommes. Après plus d’un an de tyrannie sanitaire, de mesures les plus délirantes imposées à quasiment toute la planète au nom d’un virus qui n’est pas la peste noire, les masses en sont encore à attendre sagement les consignes de l’État providence, comme un mouton attend son sort à l’entrée de l’abattoir. « Donnez-nous le vaccin, qu’on puisse enfin voyager et retourner au bar et au cinéma » disent-ils, en nombre, tout en jetant l’opprobre sur ceux qui « salopards de complotistes » envisagent de rester, tant qu’ils le peuvent, des hommes libres de leurs choix, de leurs pensées.

    Quel rapport entre la tyrannie sanitaire et les menaces évoquées plus haut qui pèsent sur les Autochtones d’Europe ? Tout est lié. Nous vivons dans une société qui est prête à cesser de vivre pour retarder sa mort programmée.

    Nous sommes à l’ère de la culpabilisation permanente de la majorité par des minorités qui voudraient presque décider de la façon dont nous devons vivre, respirer, et penser au quotidien.

    Nous sommes à l’époque du renoncement généralisé, renoncement des peuples à se révolter contre leurs autorités rendues illégitimes par l’abstention électorale massive, mais aussi par l’abandon des populations à leur triste sort en matière de sécurité, de santé, d’éducation, qui forment pourtant les principales attributions d’un État providence respectant le contrat social qui lie entre eux les citoyens.

    Désormais, ces mêmes autorités veulent nous forcer à vivre avec des Barbares, qui s’entretuent dès l’âge de 12-15 ans gavés qu’ils sont aux émissions de télépoubelle, à la musique dégénérée, à la culture de l’excuse permanente, et exposés qu’ils sont dès le plus jeune âge à la drogue, à la pornographie, à la violence, sans compter leur exposition à toutes les déviances normalisées, dont certaines désormais presque promues jusqu’au plus haut sommet politique ou médiatique, comme cet enfant de 8 ans, « transgenre » exposé comme une marionnette par des parents dont la place devrait être à l’asile ou bien en prison.

    Alors que faire, alors que d’un côté, nous serons 500 millions d’Européens en 2050 (combien d’Autochtones ?) et que dans le monde entier, des masses bien plus importantes émergent ? Que faire alors qu’au sein même de notre espace, de notre berceau culturel, ethnique, et géographique, une partie des nôtres semble déterminée à faire un saut final dans le vide ?

    Vivement le divorce

    Surtout ne pas désespérer. Surtout tenir bon. Il faut rompre, tout simplement. Faire sécession, d’abord mentalement, d’avec cette société mortifère qu’ils veulent aujourd’hui nous imposer.  Non pas pour se réfugier à la recherche d’un passé fantasmé. Non pas pour plonger dans le camp de la « réaction permanente ». Mais pour construire une autre société, toujours à la recherche du Bien, du Beau, du Vrai, du Juste.

    Cette société, nul besoin de la République française ou de la démocratie parlementaire pour la construire, pour la façonner. Cela se passe ici et maintenant, chez vous. A traverse les associations culturelles et politiques. À travers l’émergence de communautés unies par le sang et par le sol de leurs ancêtres. A traverse les écoles hors contrat et l’instruction de nos enfants loin de la prison mentale que constitue de plus en plus l’Éducation nationale. Il faut développer et bâtir nos propres réseaux d’informations, nos propres entreprises, nos propres initiatives dans toutes les strates de ce qui fonde une société saine et harmonieuse. Sans demander quoi que ce soit à l’État providence qui n’est plus une providence pour personne.

    N’oubliez pas : le contrat social est rompu. L’État ne vous protège plus puisque les forces de l’ordre attendent que l’on vous agresse, ou que l’on s’en prenne à vos proches, pour éventuellement enquêter et réagir, le mal étant déjà fait. Puisque la Justice censée être rendue en votre nom maintient sur le territoire — et même en liberté — des individus dangereux.

    L’État vous soigne mal, puisque malgré les impôts et charges que vous payez chaque mois, vous n’avez aucune garantie d’avoir des rendez-vous rapides avec des spécialistes et avec des médecins compétents si jamais vous veniez à vous retrouver en mauvaise posture.

    L’État ne vous aime plus, lui qui ne cesse d’ouvrir les portes du territoire à des masses dont il sait parfaitement que le nombre rend tout « vivre ensemble » impossible. Lui qui ne cesse d’affirmer son mépris et sa détestation de « tout ce qui est Biniou, Béret, Baguette » pour schématiser. Lui qui veut absolument contrôler vos déplacements, votre façon de consommer, lui qui filme le moindre de vos faits et gestes dans les rues des grandes métropoles « pour votre sécurité ».

    Cela n’a de toute façon jamais été une grande histoire d’amour entre une République qui est née sur le sang des partisans de l’Ancien Régime, et une large partie de sa population, intégrée de force à un hexagone trop grand, trop différent, trop abstrait pour qu’il puisse, sur la durée, devenir autre chose qu’un « projet politique auquel tout le monde peut adhérer » comme le disent ses partisans eux-mêmes.

    Les autochtones d’Europe sont en train de mourir sous les coups d’institutions avec lesquelles ils ont été mariés de force. Le temps du divorce est arrivé. Il en va de notre survie. Il faut se réveiller et faire front, ensemble. Il y a urgence.

    Julien Dir (Breizh-Info, 11 mars 2021)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Les snipers de la semaine... (212)

    Lawrence_Webley.jpg

     

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Breizh-Info, Julien Dir allume le gouvernement qui sous prétexte de conforter les principes républicains, pour ne pas lutter véritablement contre l'islamisme, s'attaque aux écoles hors contrat...

    Que la République française foute la paix aux écoles hors contrat !

    Ecole hors-contrat.jpg

     

    - sur Vu du droit, Régis de Castelnau dézingue les juges et les minorités activistes qui s'attaque à la démocratie...

    « L’affaire du siècle » : ce « gouvernement des juges » qui vient

    Justice climatique.jpg

    Lien permanent Catégories : Tour d'horizon 0 commentaire Pin it!
  • Demain la sécession ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh Info et consacré à la signification profonde de la "prise" du Capitole par les manifestants trumpistes à Washington.

    Capitole_Drapeau sudiste.jpg

    Sécession. La fracture civile, culturelle, politique et ethnique aux USA, demain dans toute l’Europe ?

    Les évènements qui se sont déroulés le 6 janvier 2021 dans le Capitole, à Washington, sont historiques. Non pas parce que les manifestants ayant répondu à l’appel de Donald Trump ont réussi un « coup d’État » – ils n’ont rien réussi du tout si ce n’est à être repoussés et à perdre la vie pour 4 d’entre eux sous les balles de la police américaine.

    Non, c’est historique parce qu’inédit (jamais par le passé des manifestants n’avaient pénétré dans le Capitole, jamais non plus le symbolique drapeau Confédéré n’y était rentré…). Parce que c’est le cri de rage de ce peuple sur qui la petite caste politico-médiatique et économique aux manettes, urine depuis depuis des années.

    Il fallait les lire, ce mercredi soir, en France, les Twittos affolés dans les rédactions mainstream, dans les cabinets ministériels. Ils n’avaient pas assez de mots pour décrire leur indignation, leur colère, face à ce coup médiatique réussi mais coup politique échoué (pour le moment). Il fallait les voir ces sénateurs américains, qui prétendent pourtant à faire la pluie et le beau temps d’une des plus grandes puissances mondiales, paniqués, planqués, terrés les uns contre les autres, de peur d’avoir à rendre directement des comptes aux manifestants dans l’enceinte de ce parlement.

    Au delà de ce symbole, ce sont les États-Unis qui sont tout simplement en train d’exploser. Géographiquement, politiquement, culturellement, ethniquement. L’American Way of Life, fantasme de notre petite élite qui multiplie les allers retours outre Atlantique, s’effondre. Le pays est bien trop divisé, les intérêts des uns et des autres bien trop divergents, pour que cela tienne.

    Les « minorités » ethniques sont en passe de ne plus l’être, tandis que la majorité blanche est elle aussi en passe de ne plus être une majorité. Si vous changez la structure ethnique progressive d’un pays, alors il est normal que le pays ne soit plus le même. Culturellement, politiquement, les USA sont divisés entre ceux qui ont fait de ce pays le berceau universitaire de toutes les idéologies les plus folles qui déferlent aujourd’hui sur l’Europe (Gender, LGBTisme, droits des minorités…) et ceux qui entendent bien ne pas céder le moindre centimètre aux fossoyeurs de la famille traditionnelle, de la vie, de l’identité qui a majoritairement contribué à forgé les USA.

    On pourrait dire que « cela ne nous regarde pas », nous les Européens, et nous aurions tort. Depuis qu’ils ont « libéré » le vieux continent à la fin de la Seconde guerre mondiale, les Yankees n’ont eu de cesse de vouloir coloniser l’Europe pour mieux la dominer. Une colonisation mentale, spirituelle, culturelle, commerciale, économique et politique. De Mac Donald's à Deliveroo, de la TV Realité à Netflix, les américains nous ont imposé leur façon de voir le monde. Et pour asservir cette domination, ils ont fondé et dominé durant des décennies les institutions mondiales, de l’OTAN à l’ONU, en passant par l’OMS et toutes les organisations dirigées par la petite caste, et jamais élues par les peuples du monde.

    Ce qui se produit aujourd’hui aux USA arrivera demain, en Europe, et nous commençons déjà à le voir germer. Au nom d’une mondialisation pour laquelle les peuples n’ont pas signé, il se trouve aujourd’hui en Europe beaucoup trop d’ethnies, de religions et de cultures différentes, qui, démographiquement nombreuses, ne pourront pas vivre ensemble à terme.

    Le poison gauchiste/progressiste américain à la sauce Evergreen a par ailleurs contaminé une partie de nos élites, mais aussi de nos universités. Ce qui fait qu’aujourd’hui, ceux qui sont formatés à ce modèle et ce qui y sont formellement opposés ne peuvent plus se parler, se comprendre, et demain, ne pourront plus vivre ensemble, c’est certain.

    Nos élites sont culottées. Cela fait des décennies que certains annoncent le péril en la demeure, que ce soit aux USA comme en Europe, et voici qu’ils accusent maintenant ici les Trumpistes, là les « populistes » ou encore les « factieux d’extrême droite » (et toute la ribambelle de sobriquets dont on affuble désormais les opposants au système, du complotiste au survivaliste….) de semer les germes de la discorde. Alors même que ce sont eux, ceux qui se repassent les postes importants depuis des décennies, comme on passe d’un ministère en France à un poste de diplomate à l’OMS encore en 2021 malgré un échec patent, qui ont tout cassé.

    Non messieurs. Un peu de sérieux. Si Sécession il y a un jour – et elle est bien partie pour exister, au moins demain aux USA – ce sera de votre faute. Vous avez voulu imposer un modèle multiculturel, multi confessionnel, et une mondialisation destructrice, à des peuples qui ne se sont jamais prononcés dans les urnes pour cela. Vous avez voulu mélanger sur des territoires restreints des peuples du monde entier qui pourtant, durant des siècles, ont fait en sorte de vivre tranquillement et plutôt paisiblement chacun sur leurs terres. Vous ne cessez de vouloir culpabiliser l’homme blanc, et ses millénaires d’histoire, tout en prônant la destruction de la cellule familiale et le règne à venir de la femme consommatrice et libérée n’ayant pratiquement plus besoin d’hommes pour se reproduire.

    Et vous vous plaignez ensuite que votre cible refuse de se laisser abattre ? Vous ne comprenez pas que des hommes et des femmes qui portent en eux des siècles d’histoire, de conquêtes, d’inventions, de génies, refusent de mourir ?

    Il serait grand temps d’ouvrir les yeux. Le monde occidental ne se résume pas à celui que l’institut de propagande Netflix voudrait nous décrire dans ses films et ses séries.

    Il y a dans tout l’Occident, des Européens et des descendants d’Européens qui ne se rendront jamais. Les évènements du 6 janvier en sont un petit aperçu.

    « Jouez pas aux cons avec nous ». Tyler Durden.

    Julien Dir (Breizh-info, 8 janvier 2021)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Les snipers de la semaine... (209)

    A bout de souffle.jpg

     

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Breizh-Info, Julien Dir dézingue les zombies de France...

    « Monsieur, votre masque ! ». Lettre aux Zombies de France

    Gestes barrières.jpg

    - sur son blog, Maxime Tandonnet dénonce le triomphe, au cours de l'année 2020, de la lâcheté, du mensonge et de la bêtise....

    2020, pire année de l’histoire?

    Time 2020.jpg

    - sur Figaro Vox, Isabelle Barbéris, allume les promoteurs zélés de la diversité qui sévissent  l'Opéra de Paris...

    «L’Opéra de Paris formaté par l’idéologie décolonialiste?»

    Opéra_Diversité.jpg

    Lien permanent Catégories : Tour d'horizon 0 commentaire Pin it!
  • Lettre à ces Français qui préfèrent vivre à genoux plutôt que de mourir debout...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh Info et consacré à l'absence de réaction du peuple français face aux mesures de restriction des libertés prises au nom de la lutte contre l'épidémie de coronavirus.

     

    Peur.jpg

    Confinement, Covid…« La France a peur ». Lettre à ces Français qui préfèrent vivre à genoux plutôt que de mourir debout

    « Les Français sont majoritairement pour le confinement ». « Les Français ont peur du Coronavirus ».

    La presse mainstream n’a de cesse ces derniers jours de relayer des sondages (qui doivent être traités comme des sondages, c’est à dire sous influence de ceux qui les émettent), évoquant cette majorité de Français qui se féliciteraient des mesures gouvernementales, des privations de liberté, de la tyrannie sanitaire à l’œuvre depuis des mois en France mais aussi dans de nombreux pays d’Europe.

    Aujourd’hui, ces chiens de garde qui possèdent la carte de presse attribuée par un collège de gens qui mangent et qui vivent système, préparent le terrain, aux côtés des « communicants » et des grands groupes de publicité, pour fabriquer le consentement des foules à toutes les mesures liberticides les plus farfelues qui passent sous les radars des décideurs politiques.

    Et déjà ces propagandistes de préparer l’opinion à une troisième vague de coronavirus, à un confinement potentiellement jusqu’en février, puis pourquoi pas jusqu’à la découverte d’un vaccin, ce « miracle » scientifique qui fait déjà « étonnamment » la richesse de plusieurs entreprises côtées en bourse.

    Je vous conseille au sujet de la pandémie de coronavirus de vous procurer tous les numéros de l’excellente revue Faits et Documents qui a traité le sujet, c’est complet, sourcé, et cela vous permettra de secouer un peu les zombies qui vous servent parfois de voisins, de frères, de parents, et d’amis.

    Les décideurs politiques de premier plan derrière, se contentent ensuite, en tâtonnant d’appliquer ce à quoi les foules ont été conditionnées en amont .

    Car ils ne savent que tâtonner, n’ayant aucune compétence réelle, aucune vision de l’Histoire à long terme, et des compétences intellectuelles de plus en plus douteuses plus les générations passent, en Occident du moins.

    C’est redoutablement efficace, et ça fait quasiment mouche à chaque fois, tant les masses sont encore trop nombreuses à n’avoir que les chaines du service public, ou la grande messe du 20h, comme seule source d’information, complétée le cas échéant par un quotidien local subventionné et dont les dirigeants sont tous copains (les coquins) avec les décideurs politiques. Rajoutez-y des décennies de fabrique du crétin par l’Education nationale, et vous avez là un cocktail explosif pour fabriquer des zombies.

    Alors c’est à ces masses là qu’il faut s’adresser aujourd’hui. A celles qui acceptent, y compris en râlant, de porter des masques, en plein air, ou dans des espaces vides de monde, ou d’en faire porter à leurs enfants ( « Le Français n’est jamais content » dixit les ragoteurs et autres piliers de comptoir qui ne vivent eux mêmes leur vie que par procuration).

    « Mais quand même, ce virus est dangereux, ils nous le disent à la télévision ». Et gare à ceux qui ne porteraient pas le masque, ou qui refuseraient de se plier aux injonctions gouvernementales, appliquées sur le terrain par des forces de l’ordre trop heureuses (car trop lâches) de ne pas être expédiées dans les cités pour s’occuper définitivement des dealers et de la vraie racaille.

    Vous les avez quotidiennement autour de vous, ces gens qui appliquent les consignes sans broncher. Qui se taisent. Qui ont peur (de qui, de quoi, difficile de le savoir). Qui se transforment eux mêmes en délateurs, en agents zélés de l’Etat, dénonçant ici celui qui ne porte pas son masque, là celui qui aurait un niveau de vie suspect par rapport à celui qu’il prétend être, là encore celui qui n’aurait pas le même mode d’éducation pour leurs enfants que la masse, toujours la masse.

    Et n’importe quel esprit éclairé de comprendre, en voyant cette âme humaine dégueulasse au grand jour et au quotidien, pourquoi en temps de guerre, l’histoire récente l’a encore démontré, il se trouve beaucoup plus de moutons, mais aussi de salauds, que de résistants et de héros.

    Etant donné que nous vivons sur le même territoire, et avant que les tentations sécessionnistes ne finissent, de toute façon eu égard de la situation géopolitique globale, de séduire les plus éveillés, il faut s’adresser à ces mougeons (moutons, et pigeons). Et secouer le cocotier. Et ne pas hésiter à sortir des sentiers battus, à heurter.

    Dans une société féminisée, où l’émotion prime sur toute raison, où l’hystérie est trop souvent la règle, il est temps de retrouver des attitudes « de bonhomme » vis à vis de son entourage, de sa communauté, que l’on ne peut se résoudre à abandonner aux apprentis Frankenstein qui sont en train de nous préparer un monde qui porte en lui un avant goût prononcé de l’enfer.

    Il est temps de demander à son voisin, qui a peur du coronavirus, si il est prêt à porter le masque encore 5 ou 10 ans, à renoncer à ses libertés individuelles, à son droit à être maître chez lui, dans son domicile, sur son territoire, au nom d’un virus dont la létalité ferait rigoler nos ancêtres européens, eux qui ont traversé des épidémies poussant parfois la moitié de la population 6 pieds sous terre, et qui n’ont pas cessé de vivre pour autant.

    Car à quoi sert donc de passer sa vie à vivre à genoux ?

    Avec un masque pour lutter contre le coronavirus, en mangeant 5 fruits et légumes par jour, en ne fumant pas, en ne buvant que deux verres d’alcool maximum, en évitant certains propos tombant sous les lois votées par de petites minorités à l’Assemblée nationale, en s’abstenant de rouler ici à 80km/h, là à 30, là à 50 au gré des décisions d’élus politiques d’une lâcheté et d’un opportunisme stupéfiant.

    Pourquoi travailler toute sa vie et fermer sa bouche quand on vous dit de la fermer, bien docilement ? Et éventuellement se prendre un coup de lame chaude, quand, une fois dans l’année, on s’accorde une sortie dans une métropole sécuritairement abandonnée par cet Etat qui prétend ensuite vous astreindre à résidence, masqué, et confiné.

    Pourquoi continuer à attendre que le cancer vous atteigne, comme il atteint de plus en plus d’Occidentaux, malgré les 5 fruits et légumes par jour, en raison de la véritable épidémie, de malbouffe celle-ci, qui se propage jusque dans les assiettes de nos enfants cobayes d’industriels qu’il ne faudra pas oublier un jour d’enfermer, et pour longtemps ?

    Quel intérêt que nos vies à genoux, en la passant en plus parfois à fantasmer sur des hommes et des femmes qui elles, ont fait le choix de mourir debout ?

    Si les Européens ne se réveillent pas aujourd’hui, alors dans quelques décennies, il ne faudra pas s’étonner, que nos enfants, nos petits enfants, nous tournent le dos et nous laissent crever avec tout le mépris qu’ils nous devront dans des hôpitaux et des EHPAD.

    Ces morgues, là où sous assistance respiratoire (ou pas selon les moyens de santé du moment), entre deux changements de couche, nous mèneront piteusement le combat le plus minable de l’Histoire : un combat pour survivre 3 semaines ou quelques mois de plus à un cancer, ou tout simplement à la vieillesse, ce naufrage que nous pourrions tous éviter si nous acceptions la vie telle qu’elle devrait être pour tous les hommes libres de cette planète.

    Debout les morts !

    Julien Dir (Breizh info, 4 novembre 2020)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!