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Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média surTV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.
Au sommaire :
1 : L’image de la semaine L’image de la semaine c’est celle de cet enfant se disant transgenre sur le plateau de Quotidien...
2 : Zemmour face à la haine médiatico-politique Les attaques contre Eric Zemmour sont violentes après un prétendu dérapage. Mensonges médiatiques, spectacle politique, appels à la censure… Rien ne lui aura été épargné.
3 : Revue de presse
4 : Trump : l’aveu de France Info Alors que Donald Trump est toujours violemment attaqué par les médias à quelques semaines des élections, un journaliste de France Info a fait un aveu inattendu.
Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média surTV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.
Au sommaire :
1 : L’image de la semaine Les médias semblent peu intéressés par une guerre aux portes de l’Europe.
2 : Attentat islamiste. L’arnaque des mineurs isolés Nous analyserons ensuite les réactions médiatiques au dernier attentat islamiste et évoquerons les manipulations autour des mineurs isolés.
3 : Revue de presse Notre revue de presse de la semaine sera largement axée sur la liberté d’expression, toujours plus menacée par la gauche. Nous reviendrons notamment sur les polémiques liées à Éric Zemmour.
4 : Les médias en roue libre contre Trump Enfin, nous reviendrons sur la folie anti-Trump des médias français.
Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média surTV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.
Au sommaire :
1 : L’image de la semaine L’image de la semaine, c’est cette iconisation politico-médiatique de Ruth Bader Ginsburg, juge de la Cour suprême américaine récemment décédée.
2 : Bobards médiatique et dictature sanitaire Alerte rouge sur la France ! L’atmosphère autour de l’épidémie de Covid-19 devient de plus en plus anxiogène, malgré plusieurs éléments positifs.
3 : Revue de presse
4 : L’émotion au service de l’immigration Les manipulations médiatiques battent leur plein sur la question migratoire. Plus que jamais, l’émotion semble mise au service de l’immigration.
Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média surTV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.
Au sommaire :
1 : L’image de la semaine Une page médiatique qui se tourne avec l’annonce par Jean-Pierre Pernaut de son départ du 13H de TF1 à la fin de l’année.
2 : Deux journalistes menacées de mort par des islamistes Judith Waintraub, journaliste au Figaro, a relevé que BFM avait mis en avant une femme voilée le jour du 11 septembre. Une simple remarque qui a suscité une nuée d’insultes et de menaces. Zineb El Rhazoui, ancienne journaliste de Charlie Hebdo, s’est aussi retrouvée menacée après avoir soutenu Judith Waintraub.
3 : Revue de presse
4 : Les khmaires verts Les propos délirants des maires de Bordeaux et Lyon, membres d’Europe écologie les verts, font réagir...
Les éditions de la Nouvelle Librairie viennent de publier, dans la collection de l'Institut Iliade, un ouvrage dirigé par Olivier Eichenlaub et intitulé Pour un réveil européen. Présenté par Philippe Conrad et Grégoire Gambier, il est complété par une postface d'Alain de Benoist.
" Vivre, aimer, servir, combattre, transmettre, conscients de notre double vocation d’héritiers et de refondateurs : tel est l’appel au grand réveil des Européens que lancent les auteurs de ce livre, membres ou amis de l’Institut Iliade. Les douze chapitres de l’ouvrage nous invitent ainsi à une réflexion actualisée sur les trois impératifs de la triade homérique définie par Dominique Venner.
Reconnaître la nature comme socle, c’est respecter les équilibres naturels et renouer avec la dimension communautaire de nos tarditions pour rebâtir la cité sur le fondement de notre identité.
Rechercher l’excellence comme but, c’est cultiver l’exigence envers soi-même et tendre à se dépasser pour renouer le fil de la continuité avec « ce que nous sommes », sous une forme toujours renouvelée, depuis des millénaires.
Viser la beauté comme horizon, c’est rompre avec l’utilitarisme bourgeois et refuser l’extension du domaine de la laideur, c’est adopter une éthique de la tenue et suivre la voie des « cœurs aventureux », déterminés à ré-enchanter notre monde et retrouver le sens sacré.
Il n’y a aucune fatalité au déclin des peuples et des nations d’Europe. Lorsque les lumières s’éteignent, les torches doivent s’embrasser !
Ont participé à cet ouvrage : Jean-Philippe Antoni • Alain de Benoist • Anne-Laure Blanc • Thibaud Cassel • Philippe Conrad • Olivier Eichenlaub • Paul Éparvier • Grégoire Gambier • Jean-François Gautier • Jean-Yves Le Gallou • Henri Levavasseur • Alix Marmin • Rémi Soulié • Guillaume Travers. "
Accueil | 2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit
2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit
Colloque de l'Institut Iliade
La nature comme socle,
pour une écologie à l’endroit
Samedi 19 septembre 2020 de 10h00 à 18h30 Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
Programme :
Ouverture des portes : 9h30 Début des interventions : 10h00
Propos introductif : ► Philippe Conrad « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni
Pause méridienne : de 12h30 à 14h00
La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou
Fin des interventions : 18h30 Fermeture des portes : 19h00
Ouverture des portes : 9h30 Début des interventions : 10h00
Propos introductif : ► Philippe Conrad « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni
Pause méridienne : de 12h30 à 14h00
La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou
Fin des interventions : 18h30 Fermeture des portes : 19h00
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !
L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.
L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.
Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.
Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.
Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !