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jean-yves le gallou - Page 36

  • Pour une écologie à l'endroit !...

                                          

     

    Accueil | 2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit

    2020 : la nature comme socle, pour une écologie à l’endroit

    Colloque de l'Institut Iliade

    La nature comme socle,

    pour une écologie à l’endroit

    Samedi 19 septembre 2020 de 10h00 à 18h30
    Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris

    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     

    Programme :

    Ouverture des portes : 9h30
    Début des interventions : 10h00

    Propos introductif : ► Philippe Conrad
    « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié
    L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli
    Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur
    L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni

    Pause méridienne : de 12h30 à 14h00

    La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot
    Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc
    Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella
    L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist
    Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin
    Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou

    Fin des interventions : 18h30
    Fermeture des portes : 19h00

    Ouverture des portes : 9h30
    Début des interventions : 10h00

    Propos introductif : ► Philippe Conrad
    « L’homme, les titans et les dieux » : le regard des Grecs sur la nature ► Rémi Soulié
    L’homme sans racines : universalisme, transhumanisme, fantasme de l’illimité ► François Bousquet avec Michel Maffesoli
    Nature, culture, génétique : une anthropologie réaliste pour une écologie à l’endroit. ► Henri Levavasseur
    L’homme européen, architecte de la nature : comment nos ancêtres ont façonné nos paysages ► Jean-Philippe Antoni

    Pause méridienne : de 12h30 à 14h00

    La nature, notre philosophe intérieur ► Slobodan Despot
    Monts affreux ou monts sublimes ? L’alpinisme, une école de vie ► Anne-Laure Blanc
    Pour une écologie enracinée : localisme et mise en valeur des terroirs ► Table ronde animée par Fabien Niezgoda avec Hervé Juvin et Julien Langella
    L’animal n’a pas de droits, nous avons des devoirs envers lui ► Alain de Benoist
    Chasse et ressourcement dans le monde sauvage (le « recours aux forêts », vision de la nature chez Dominique Venner) ► Lionel Rondouin
    Face à l’écologie hors-sol, pour une écologie enracinée ► Jean-Yves Le Gallou

    Fin des interventions : 18h30
    Fermeture des portes : 19h00

     

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    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     

    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     

    L’idéologie libérale-libertaire étend aujourd’hui ses ravages : elle arraisonne la nature et défigure sans pitié notre monde au nom de la logique marchande, tout en promouvant une écologie mondialiste délirante, déterminée à culpabiliser les Européens, pour mieux « déconstruire » leur identité et leurs traditions. Les mêmes fanatiques appellent aujourd’hui de leur vœux une gouvernance globale destinée à « sauver la planète », tout en souhaitant l’avènement d’une société éclatée, où des individus sans racines pourront s’affranchir des déterminismes biologiques ou des liens héréditaires, culturels et historiques.

    L’heure est venue de remettre l’écologie à l’endroit. Pendre la nature comme socle, c’est reconnaître la diversité du monde : la différence des sexes, la pluralité des peuples et des cultures, la variété des paysages. C’est reconnaître les lois de la filiation. C’est consentir à recevoir et à donner la vie. Entre chaque peuple et la terre qu’il habite existe un lien immémorial : la nature est le socle de notre identité, le lieu où se dévoile notre vision du sacré et l’espace au sein duquel s’ordonne notre cité.

    Les peuples d’Europe sont porteurs d’un héritage biologique et culturel particulier. Ils sont fondés à vouloir transmettre cet héritage dans le cadre civilisationnel qui est le leur, notamment à travers l’institution de la famille, gardienne de la mémoire et de l’hérédité.

    Les peuples européens ont évolué dans un espace géographique donné, au milieu d’un certain type de nature qui les a inspirés, et qui continue de déterminer leur être profond, y compris dans sa dimension sauvage où le sacré se donne à voir et à éprouver : c’est au milieu de cette nature que nos plus grands artistes ont perçu la présence du divin, et l’ont rendue manifeste dans leurs œuvres.

    Les peuples européens ont ordonné, habité cet espace de manière créatrice, modelant cet environnement naturel selon leur génie propre. Il nous faut aujourd’hui nous réapproprier une manière spécifiquement européenne de façonner notre environnement : nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. Venez nombreux au colloque 2020 de l’Institut ILIADE !

     
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  • Feu sur la désinformation... (296)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Le procès en extradition de Julian Assange s’est ouvert et, quelques années après avoir couvert de louanges le fondateur de Wikileaks, les médias français se sont montrés très discrets.
    • 2 : Égorgement gare du Nord : décryptage d’une triple manipulation médiatique
      Minoration et euphémisation, mise en avant – erronée ! – de l’ethnie prétendument européenne de l’agresseur, mise en accusation de la fachosphère… Le traitement médiatique de l’égorgement de la gare du Nord est un modèle de manipulation journalistique.
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Raguenel / Sitbon : 2 poids 2 mesures
      Alors que Louis Raguenel est annoncé comme futur chef du service politique d’Europe 1, son passé de militant UMP et son statut de rédacteur en chef de Valeurs actuelles ont provoqué un tollé énorme au sein du petit monde médiatique parisien. Décryptage et mise en perspective d’une réaction qui dévoile l’absence totale de pluralité au sein de nombreuses grandes rédactions nationales.

     

                                       

     

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  • Contre la diabolisation !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier dans leur collection Cartouches un court essai de Jean-Yves Le Gallou intitulé Manuel de lutte contre la diabolisation. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018).

     

    Le Gallou_Manuel de lutte contre la diabolisation.jpg

    " La diabolisation est une technique de manipulation des esprits. Elle vise à interdire la description des faits ou l’expression de certaines idées en disqualifiant celui qui les rapporte, en l’accusant de « racisme », d’« homophobie », de « populisme », d’« extrémisme », de « dérapage » ou de « provocation ». La diabolisation est l’arme majeure du terrorisme intellectuel. De la domination culturelle par les « progressistes ». Et de l’abaissement de l’Europe et des Européens par la culpabilité et la repentance. Ce livre vise à donner aux diabolisés la force et les moyens de relever la tête.

    Alors que faire? Ne pas plier le genou, relever haut la tête. Assumer, faire face, combattre les mensonges. Démasquer et contre diaboliser les diabolisateurs. "

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  • Feu sur la désinformation... (295)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Retour sur la Une de Charlie Hebdo reprenant toutes les caricatures de Mahomet et analyse du sondage très inquiétant sur les jeunes musulmans réalisé par l’hebdomadaire.
    • 2 : Obono VS Valeurs actuelles : cette liberté d’expression qu’on enchaîne
      Retour du blasphème
      Insupportable 2 poids 2 mesures médiatique
      Unanimisme politico-médiatique totalitaire
      Attaques massives des « confrères » journalistes
      Geoffroy Lejeune écarté de l’antenne de LCI
      Menaces physiques des militants anti-français de la LDNA à l’encontre des journalistes de Valeurs actuelles...
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : USA : désinformation médiatique totale
      Quand les médias Français, et notamment Le Monde, traitent les émeutes Black Lives Matter, le peu de déontologie de cette rédaction anti-Trump s’évanouit totalement...

     

                              

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  • Feu sur la désinformation... (290)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Qui dit 14 juillet dit défilé militaire et feux d’artifices. Mais comment oublier tous ceux qui, le 14 juillet 2016, ont perdu la vie à Nice suite à un attentat islamiste ?
    • 2 : Censure des prénoms : l’aveu des médias
      Alors que les journalistes taisent plus que jamais l’identité des criminels lorsqu’ils sont d’origine immigrés, nous reviendrons sur les aveux de la caste médiatique quant à cette censure et analyserons ses conséquences gravissimes.
    • 3 : Revue de presse
      La chute du New York Times…
      Fogiel qui attaque CNews…
      Comme d’habitude, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine.
    • 4 : 14 juillet : fête nationale et défaite médiatique
      À l’occasion du 14 juillet, Léa Salamé et Gilles Bouleau ont complaisamment interrogé Emmanuel Macron pendant que les journalistes se taisaient sur les émeutes de banlieue.

                               

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  • Feu sur la désinformation... (289)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Lors du dernier Grand Prix de Formule 1, plusieurs pilotes, dont le Monégasque Charles Leclerc, ont refusé de mettre un genou à terre pour l’antiracisme malgré les pressions.
    • 2 : Français tués : le silence des médias
      Philippe, Mélanie, Thomas… Ils sont tous les 3 Européens et ont été tous les trois étés tués cette semaine par des racailles extra-européennes. Les médias, entre lâcheté et manipulation, ont caché l’identité de leurs meurtriers.
    • 3 : Revue de presse
      Une tribune très remarquée contre la censure de l’extrême gauche…
      Les étudiants de l’ICES accusés d’homophobie innocentés…
      Nous reviendrons comme d’habitude sur l’actualité médiatique de la semaine.
    • 4 : Remaniement : des ministres très médiatiques
      Le gouvernement Castex comporte deux personnalités très médiatiques : Éric Dupond-Moretti et Roselyne Bachelot. Nous reviendrons sur ces nominations très étonnantes.

     

                             

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