Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jean-yves le gallou - Page 72

  • Feu sur la désinformation... (112)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Trump : Facebook-émissaire et déni de démocratie.

      Élection de Donald Trump, la réaction des éditorialistes : entre Point Godwin et déni de démocratie. Pour Jean Michel Apathie, ce résultat nous oblige à nous « interroger quelquefois sur le suffrage universel ». L’animateur Nagui, rappelle quant à lui, qu’Hitler avait « été élu avant de devenir dictateur ».
      Ces résultats sont « scandaleux », il faut trouver un coupable, un bouc émissaire, les réseaux sociaux sont les premiers accusés « Mark Zukerberg ne peut pas s’exonérer » de sa responsabilité.
      I-média décrypte.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

      Élection présidentielle en Autriche : le point Godwin de Calvi.
      « Dérapage » Jean Pierre Pernaut : En plein journal, le présentateur de TF1, fait un parallèle entre les capacités d’accueil des migrants et des sans domicile fixe. Le journaliste a été dénoncé par l’ensemble de la classe médiatique. Jean Pierre Pernaut enregistre pourtant des records d’audiences : 6,3 millions de téléspectateurs.

    • 3 : Agression sexuelle à Arzon, la réinfosphère déjoue la censure.

      Quand la réinfosphère déjoue la censure médiatique : Jeudi 10 novembre, un migrant agresse sexuellement une habitante d’Arzon, un village du Morbihan. L’information est occultée par la presse : Jeudi, vendredi, samedi, aucune information ne parait.
      Dimanche, le site breizh-info publie l’information.
      Lundi, l’ensemble de la classe médiatique finira par publier cette information. Mais, c’est sous l’angle de la « polémique », que le « fait divers » sera abordé.
      I-média réinforme

    • 4 : Les tweets de la semaine

      Etude de Médecin du monde : seul 13.7 % des migrants ont émigré pour fuir la guerre
      Le Préfet de la région Ile-de-France, Jean François Carenco, se dit prêt à passer outre l’avis des maires : « ils gueulent je m’en fous ».

    • 5 : Fin de la grève à I-Télé, décryptage.

      Fin de grève à Itélé, Les salariés du groupe Canal + ont voté la fin du conflit avec la direction de la chaîne. Retour et décryptage de 31 jours de grève, la grève la plus longue dans le secteur audiovisuel depuis 1968.
      I-média décrypte.

     

                                     

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Le temps de la dissidence est venu !...

    Dissidence_Polémia.jpg

    Deuxième forum de la Dissidence

    Quand les médias travestissent la réalité, quand les journalistes occultent les faits dérangeants, quand tous les moyens leur sont bons pour imposer la novlangue...

    Quand les préfets tolèrent les incendies volontaires  et les caillassages à l’encontre de policiers et de pompiers, encouragent à loger et nourrir des envahisseurs étrangers, rebaptisés migrants, tout en interdisant et réprimant les manifestations des patriotes...

    Quand les juges trouvent des excuses aux délinquants violents, refusent d'expulser les clandestins  mais condamnent intellectuels et essayistes pour délit d'opinion...

     

    ALORS LE TEMPS DE LA DISSIDENCE EST VENU !

     

    Face à la dictature du langage préfabriqué par les médias, venez entendre des journalistes indépendants témoigner de leur lutte quotidienne pour montrer le réel. Responsable au Visegràd Post, Ferenç Almassy vous donne des nouvelles de la rébellion hongroise, qui refuse de se soumettre au Grand Remplacement !

    Face à la tyrannie des juges, qui condamnent les maires pour leur refus de se conformer au dogme de la pensée unique, venez soutenir ces élus qui résistent. De Marie-Claude Bompard, au tribunal pour avoir refusé de célébrer des simulacres de « mariages » entre personne de même sexe, à Robert Ménard, qui n’abandonne pas sa ville de Béziers aux envahisseurs, venez supporter les maires entrés en résistance !  

    Face à la complicité des autorités, accueillant à bras ouverts des vagues allogènes aspirant à faire de la France une terre d’Islam ; à l’heure où les patriotes corses sont enfermés pour défendre leur territoire, la résistance s’impose !  Venez entendre ces nombreux collectifs résistants. De Vigilance Hallal à Pas de migrants en Ile-de-France, de Riposte Laïque au Siel : venez apprendre à résister !

     

    Samedi 19 novembre 2016, Polémia vous invite à entrer en résistance ! De 13h30 à 19h, l’Institut vous attend nombreux à l’Espace Cap 15, 13 rue de Grenelle (Paris XV).

    Inscrivez-vous dès maintenant sur la plateforme en ligne (https://www.weezevent.com/2nd-forum-de-la-dissidence-polemia) et prenez des nouvelles de la résistance sur nos réseaux en ligne (Polémia : http://www.polemia.com/ @_polemia / Facebook : Polémia). 

     

                    

    Lien permanent Catégories : Conférences 0 commentaire Pin it!
  • La revue de presse d'un esprit libre... (21)

    Veilleur.jpg

    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    A propos de la victoire de Donald Trump aux élections américaines...

    Alain de Benoist tirant le bilan à chaud des élections américaines pour le site Breizh info fait la distinction décisive entre le personnage Trump d'une part et son électorat d'autre part :
     
     
    Succès de Donald Trump. Slobodan Despot qui a la dent dure et l'humour féroce décrypte. C'est dans L'Antipresse du 13 novembre 2016. Lettre dominicale à laquelle il est possible de s'abonner gratuitement :
     
     
    Avec l'élection de Donald Trump sonne l'heure de la revanche pour les ploucs émissaires trop longtemps raillés par les médias de propagande. Elisabeth Lévy rhabille pour l'hiver le monde de l'entre-soi journalistique. Il a certes en ce moment la gueule de bois mais cette douche écossaise ne saurait venir à bout de la servilité des média vis à vis de l'oligarchie. Il est déjà de retours avec ces certitudes en béton, ses experts calibrés, son ton péremptoire et sa moraline dégoulinante :
     
     
    Alain Finkielkraut se méfie d'une éventuelle "trumpisation" de l'esprit français. La colère et l'exaspération de ceux qui rejette à juste titre un monde politico-médiatique qui pratique un antiracisme devenu hystérique  ne doit pas les pousser à adopter des porte-paroles aussi ostensiblement incultes et aussi pulsionnels que peut l'être Donald Trump. Certes il faut se réjouir du camouflet administré à la caste qui communie avec arrogance dans le gauchisme culturel, mais faut-il pour autant se fier à un Trump, produit labellisé de la télé-réalité, des jeux vidéo, et des réseaux sociaux.  Sommes-nous condamnés à l'alternative misérables de la "pensée Trump" et de la pensée "Terra-nova" ? Le besoin se fait sentir chez Finkielkraut d'une contre-élite sachant manier les codes de la logosphère tout en étant émancipée de la rhétorique convenue du politiquement correct :
     
     
    Pascal Bruckner : "la victoire de Trump, c'est la vengeance du réel" (vidéo) :  
     
     
    Dans l'émission I-Media Jean-Yves Le Gallou se livre à une salutaire critique du traitement médiatique des élections américaines. Il ne fut pas seulement partisan mais éhonté et calomnieux. Un véritable naufrage. sur LCI  Christine Ockrent affirme que Trump est antisémite alors que son élection a été saluée par des manifestations de liesse en Israël tandis que BFM assure que Trump dépasse Hitler sur l'échelle de la psychopathie et que France Info insiste sur le fait qu'il est soutenu par le Ku Klux Klan. Les exemples de ces dérives de l'information sont innombrables au point que l'on se demande si les journalistes ne sont pas coiffés de cagoules plus épaisses que celle qu'arborent les chevaliers du Klan. Notre accablement est grand de s'apercevoir que les médias de grand chemin ne parviennent plus même à faire la distinction entre un mensonge crédible et une propagande effrénée. Comme l'écrivait l'éditorialiste du New York Times entamant son mea culpa "Si les médias d'information n'ont pas réussi à présenter un scénario politique basé sur la réalité, alors ils ont échoué dans l'exercice le plus fondamental de leur fonction". "Pour dire les choses crûment, les médias ont raté l'actu. Les journalistes, éduqués à l'université, citadins et pour la plupart progressistes, vivent et travaillent plus que jamais à New York et Washington ou sur la côte Ouest. Ils se sont posés dans la Rust Belt pour quelques jours pour interviewer quelques mineurs de fond ou ouvriers de l'automobile au chômage mais il ne les ont pas pris au sérieux", résume Margaret Sullivan du Washington Post  :
     
    http://www.tvlibertes.com/2016/11/11/11279/i-media-s03e39-trump-medias-partiaux-impensable-victoire
     
    Brisant les élans de ceux qui se réjouissent trop vite de la victoire de Donald Trump, Gil Mihaely directeur de la publication de Causeur soutient que le nouveau président des États-Unis n'est sans doute pas l'antithèse du système américain mais en représente la dernière chance de survie : 
     
     
    Pour Eric Zemmour le facteur sonne toujours deux fois, d'abord le Brexit, puis Trump enfin, au cœur de l'économie-monde qui sert de modèle à toute la planète. Une chronique pleine de sel :
     
     
    Jared Taylor, responsable du think-tank conservateur American Renaissance montre devant les cameras de Tv-Libertés un visage avenant et des idées judicieuses. Il est interrogé, en octobre, sur l'enjeu des élections présidentielles américaines : 
     
     
    Hilary Clinton exige que Trump retire cette vidéo, et l'on comprend pourquoi... Trump y dévoile je jeu d'un système de pouvoir allié à la corruption des médias qui étend son influence sur l'ensemble du monde occidental. Bien entendu cela n'a pas été montré à la télévision française qui a préféré dauber "l'islamophobie", le "sexisme" et la "xénophobie" du personnage ainsi cadenassé dans la cage aux phobes. Pourtant cela aurait sans doute permis de comprendre pourquoi la moitié des électeurs américains ont rallié sa candidature. Mais comprendre et faire comprendre ne fait pas partie de l'agenda médiatique qui préfère s'en tenir à ses stéréotypes et à sa "trumpophobie" :
     
     
    Grand entretien à la Revue des deux mondes de Mathieu Bock-Côté, à propos de la victoire de Trump :
     
     
    Une caricature du Midi Libre ? Pas tant que ça puisque ce quotidien de la presse régionale illustre au plus haut point, comme les autres, la bienpensance pudibonde, ses interdits et ses opinions recommandées. Les Brigandes l'illustrent avec un talent iconoclaste dans leur dernier clip : 
     
     

    Soleil noir.png

     
    Lien permanent Catégories : Tour d'horizon 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (111)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Trump : médias partiaux, impensable victoire !

      « La victoire de Donald Trump est mathématiquement impossible ! » La presse est unanime. Pour BFM, « Trump dépasse Hitler sur l’échelle de la psychopathie ». Quant à Slate, l’élection de Donald Trump correspond à un « cataclysme historique » comparable à l’assassinat de François Ferdinand le 28 juin 1914.
      Pour Ingrid Riocreux, auteur de La langue des médias, le vocabulaire utilisé était différent en fonction des candidats : Clinton “portait des attaques à Trump” , Trump lui ” lançait des boules puantes” !
      Quel est le portrait des candidats dressé par les médias ? Exemple avec France Info : Donald Trump est « soutenu par le Ku Klux Klan », tandis que Hillary Clinton est la « grande copine des stars ».
      Retour sur le traitement médiatique partisan des élections américaines.
      I-Média décrypte.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

      Scènes « gênantes » de caricature de Donald Trump et séquences lacrymales diffusées dans l’émission Quotidien sur TMC.
      Pour Daniel Morin et Guillaume Meurice, les pseudos humoristes de France Inter qui ne savent être que dans l’insulte : « c’est le peuple le plus con de la terre qui a voté ».

    • 3 : Élection américaine : le direct de la catastrophe
      Experts, instituts de sondage, journalistes, tous se sont trompés. Parmi eux : Soufian Alsabbagh, « l’Expert » qui se trompe d’analyse sur le plateau de BFM pour enchainer ensuite sur le plateau de l’émission Quotidien de Yann Barthès.
      Sur les plateaux les mines sont « inquiètes, préoccupées ». Sur LCI, Christine Ockrent, journaliste pour France Culture, continue, après les résultats à diaboliser le nouveau président, elle ira même jusqu’à affirmer que Donald Trump est antisémite.
      La surprise pendant ce direct est de taille. C’est la confrontation du monde oligarchique au réel.
    • 4 : Les tweets de la semaine

      France Inter, à travers l’édito de Pablo Mira, fait quasiment un appel à l’assassinat politique, Tandis que, l’ambassadeur de France aux Etats-Unis, Gerard Arnaud, commet une ingérence grossière dans les affaires électorales américaines.

    • 5 : Média : l’heure du mea-culpa

      C’est l’heure du bilan pour les médias qui ont professé la victoire de Clinton. Certains médias font leur mea-culpa : Béatrice Houchard, journaliste à l’Opinion, tweete : « Un jour, il faudra que les journalistes se rappellent que leur (notre) métier est de raconter le monde tel qu’il est, pas comme ils le rêvent »
      Ce Mea-culpa reste minoritaire, il est même étouffé par les Unes de presse annonçant la fin du monde en même temps que l’élection du nouveau président américain.
      I-Média réinforme.

     

                            

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • De Gaulle : identité, souveraineté, dissidence...

    Nous reproduisons ci-dessous un florilège de citations du général De Gaulle établi et commenté par Jean-Yves Le Gallou pour Polémia...

     

    De Gaulle 2.jpg

     

    De Gaulle : identité, souveraineté, dissidence

    Tout le monde se presse à Colombey-les-Deux-Eglises, le 9 novembre, pour commémorer la mort du général de Gaulle. Un géant par rapport aux nains qui lui ont succédé et s’en réclament. Indûment. De Gaulle est cité par tous. Récupéré par tous. Mais ses convictions étaient à l’opposé du politiquement correct contemporain. Et ses propos, s’ils étaient tenus publiquement aujourd’hui, lui vaudraient la correctionnelle.

    De Gaulle avait une conception essentialiste de la nation, à l’opposé de celle des négateurs de l’identiténationale. Sa conception de la souveraineté populaire était incompatible avec « l’état de droit », cache-sexe du pouvoir des juges.

     

    Une conception essentialiste de la nation

    Les phrases qui suivent sont connues, régulièrement citées et jugées « controversées » :

    « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leur djellabas ? […] Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? […] Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! » (Conversation entre de Gaulle et Alain Peyrefitte le 5 mars 1959 suite aux événements d’Algérie dans C’était de Gaulle, tome 1, Alain Peyrefitte, éditions de Fallois/Fayard, 1994, ISBN 978‐2‐213‐02832‐3, p. 52).

    Cette déclaration est tellement « choquante » pour la bien-pensance contemporaine qu’elle est niée. Or c’est un verbatim d’Alain Peyrefitte, mémorialiste scrupuleux. Un mémorialiste dont personne sur le moment (en 1994) ne contesta la véracité des propos qu’il rapportait.

    Au demeurant, cette citation reflète si bien la pensée du général de Gaulle qu’on la retrouve, sous une forme plus littéraire, dans les Mémoires d’espoir, livre qui s’ouvre ainsi : « La France vient du fond des âges » et qui se poursuit ainsi :

    « Pour moi j’ai, de tout temps, mais aujourd’hui plus que jamais, ressenti ce qu’ont en commun les nations qui la peuplent. Toutes étant de même race blanche, de même origine chrétienne, de même manière de vivre, liées entre elles depuis toujours par d’innombrables relations de pensée, d’art, de science, de politique, de commerce, il est conforme à leur nature qu’elles en viennent à former un tout, ayant au milieu du monde son caractère et son organisation » (Extraits des Mémoires d’Espoir, Tome 1, Plon, 1970, p. 1 et 181-182).

     

    Une conception de la souveraineté incompatible avec l’Etat de droit

    Là aussi nous sommes aux antipodes de la doxa dominante qui a fait des juges – européens, constitutionnels, administratifs et judiciaires – les législateurs de fait.

     « Souvenez-vous de ceci : il y a d’abord la France, ensuite l’Etat, enfin, autant que les intérêts majeurs des deux sont sauvegardés, le Droit. »

    Difficile de faire plus court et plus bref comme éloge de la raison d’Etat. C’est pourtant la première chose que le général de Gaulle ait dite à Jean

    Foyer lorsqu’il l’a nommé Garde des Sceaux en 1962. Et c’est cette phrase qui ouvre les mémoires de Jean Foyer : Sur les chemins du droit avec le Général : mémoires de ma vie politique (1944-1988).

    On doit aussi au général de Gaulle cette formule choc :

     « En France, la meilleure cour suprême, c’est le peuple » (Mémoires d'espoir, Plon, 2014)

    Bien sûr, les esprits forts ne manqueront pas de dire qu’il s’agit de témoignages et non de déclarations. Mais là aussi les faits et les textes viennent appuyer l’authenticité des propos.

    « Le suffrage universel est la seule source du pouvoir » : tel fut le premier principe fondateur de la constitution de la Ve République. Et d’ailleurs, lors de la rédaction du texte constitutionnel, les textes généraux (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, Préambule de la Constitution de 1946) furent explicitement écartés du contrôle de constitutionnalité.

    Et les propos du général de Gaulle sont très explicites.

    « La parole est au peuple. La parole du peuple, c’est la parole du souverain  » (Discours du 25 août 1944).

    On le voit : rien n’est plus subversif au regard des normes actuelles du politiquement correct que les propos et la pensée du général de Gaulle. Dommage que tous ceux qui vont s’incliner devant son tombeau n’aient pas le courage d’assumer sans peur ses déclarations.

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 8 novembre 2016)

     

    Lien permanent Catégories : Citations 0 commentaire Pin it!
  • Feu sur la désinformation... (110)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : France Télévisions : De plus en plus chère et de moins en moins d’audiences

      « Panique à France télévisions » : des audiences en berne, des salaires trop élevés. Une conséquence de la politique de la nouvelle présidente du groupe Delphine Ernotte.
      La présidente de France Télévisions a fait de la place à la diversité. En septembre 2015, Delphine Ernotte confiait au micro de Jean Michel Aphatie que la télévision publique devait « résonner avec son public […]. On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans ».
      Cette prise de position politique, de la télévision publique se heurte aujourd’hui à l’attente des téléspectateurs Français. En six mois, Delphine Ernotte, ancienne directrice du groupe Orange, a accéléré le déclin du groupe France télévision.
      I-Média décrypte.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

      Nicolas Bedos critique vertement Karine Le Marchand. Elle aurait « rendu sympathique » Marine Le Pen grâce, notamment par le recours à un fond sonore. Un procédé pourtant utilisé pour l’ensemble des candidats interrogés.
      Le camp de migrant de la place Stalingrad évacué à coups de « gaz lacrymogènes ». Pendant les Manifs pour tous, ces mêmes gaz étaient appelés « aérosols » par les médias.

    • 3 : Migrants la leçon lacrymale de France 3

      « Certains de vos commentaires sur l’arrivée des migrants sont insupportables » c’est le titre de l’article de France 3 Midi-Pyrénées du jeudi 27 octobre, qui dénonce la colère des internautes. Après avoir cité quelques commentaires, Fabrice Valéry précise que : « nous ne pouvons pas laisser dire des choses fausses et laisser publier des propos insupportables sur notre page facebook sans réagir ».
      Au pied de cet article figure un encadré écrit par Marie Martin, une véritable leçon de morale : Les internautes de la région Midi-Pyrénées « ont oublié leurs larmes devant le journal de 20 heures qui montrait le petit corps d’Aylan ».
      I-Média réinforme

    • 4 : Les tweets de la semaine

      Sur BFMTV, la spécialiste USA Anne Deysine, porte fièrement un badge « Yo Hillary ».

    • 5 : Décodeurs du monde en guerre contre la réinformation

      Les Décodeurs du Monde dénoncent les « vrais faux sites d’infos locales ». Samuel Laurent rentre en guerre contre les sites de réinformation. Pour lui, ces sites se contentent de faire de la propagande « d’extrême droite ».

     

                              

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Manipulation et influence, Multimédia 0 commentaire Pin it!