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  • La Bretagne, nouvelle colonie de la criminalité importée ? Basta !...

    Nous reproduisons ci-dessous un coup de gueule de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et consacré à la prise de contrôle des villes bretonnes par les gangs de narcotrafiquants.

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    Fusillade dans le quartier de Villejean à Rennes

     

    La Bretagne, nouvelle colonie de la criminalité importée ? Basta !

    Il faut avoir le courage de dire ce que tout le monde voit mais que personne n’ose énoncer publiquement — parce que la vérité, aujourd’hui, est parfois devenue un délit. De Nantes à Brest, de Rennes à Saint-Brieuc, les tirs résonnent, les fusillades se répètent, le deal prospère comme jamais, et les médias nous parlent encore de « jeunes », de « Parisiens », de « tensions entre quartiers ». La liturgie anesthésiante du déni.

    Mais nous n’avons plus le temps. La Bretagne étouffe. La Bretagne saigne. La jeunesse bretonne va mourir.

    Les balles sifflent désormais dans nos rues, et l’on nous intime encore de sourire, d’applaudir, de célébrer le « vivre-ensemble ». Vivre-ensemble ? Non. Survivre sous contrôle narco-ethnique, voilà le programme qu’on nous impose.

    Car il faut cesser de tourner autour du pot : les réseaux qui inondent nos villes ne viennent pas de la lande ni des monts d’Arrée. Ils ne sont pas celtes. Ils ne sont pas bretons. Ils sont le produit direct de la politique migratoire massive, incontrôlée, délirante menée depuis vingt ans avec la bénédiction des élus régionaux, de l’État, des technocrates du ministère, et des éditorialistes qui vivent en centre-ville sécurisé.

    Afriques francophones, Maghreb, Europe sud-balkanique qui arrivent en Bretagne via les métropoles françaises, via les politiques de la ville… on sait. Tout le monde sait. Mais personne, dans les grands journaux subventionnés, n’a les tripes de le dire (à moins que ce ne soit volontaire ?).

    On parle de « jeunes d’origine parisienne ». Ou de « jeunes locaux » pour rappeler aux lecteurs que, parce que vivants en Bretagne, ils seraient des Bretons comme « vous et moi ».

    Traduction pour ceux qui ne sont pas idiots : bandes afro-maghrébines et réseaux importés des banlieues françaises. Toutes les sources le démontrent. Il n y a pas de gangs de Suèdois, ni de gangs d’Argentins, en Bretagne. Pas non plus de vrais gangs dirigés par des autochtones même si certains d’entre eux servent de petites mains dans des réseaux qui essaiment aussi en ruralité. On qualifie de « conflits de territoire » des règlements de compte à l’arme de guerre.

    On nomme « incivilité » un kidnapping en rase campagne. On maquille le réel comme un cadavre qu’on pompe pour lui donner bonne mine.

    Ce n’est pas un fait divers. C’est une conquête territoriale.

    À Rennes, Villejean devient un far-west métissé où l’on tire pour un point de coke. À Nantes, on voit tomber des corps dans la Loire. À Brest, des quartiers entiers vivent sous économie parallèle. À Vannes, Lorient, Quimper, les réseaux avancent, infiltrent, recrutent.
    Les caïds dictent leur loi et les élus posent des fresques « contre la discrimination ».

    Les politiques regardent ailleurs, pleurent sur « les quartiers oubliés », financent des associations-passerelles qui servent de couverture et libèrent des subventions pour acheter la paix sociale — une paix achetée comme on paye un racket.

    Ils ne protègent pas les Bretons. Ils négocient avec ceux qui les menacent.

    Et ils veulent que nous trouvions ça normal.

    Soit nous continuons à nous coucher, en acceptant la transformation accélérée de la Bretagne en zone métastable, mosaïque ethnique sous contrôle de trafiquants. Soit le peuple breton — ce qu’il en reste encore de debout, d’insoumis, de lucide — ouvrira enfin les yeux et dira : STOP.

    Déjà, la lassitude monte. Déjà, le murmure devient grondement. Les Bretons, peuple long à s’échauffer mais impossible à soumettre, savent ce qu’est la reconquête. Nos ancêtres ont repris leur terre à la pointe de l’épée ; aujourd’hui, on nous demande d’abandonner nos rues, nos villes, notre identité pour ne pas heurter quelques élus trouillards, et la presse subventionnée.

    Eh bien non. Pas ici. Pas chez nous.

    Nous ne voulons plus mourir dans le silence. Nous ne voulons plus être spectateurs. Nous ne voulons plus être complices par résignation.

    Dehors les trafics, et les narco trafiquants, dehors ceux qui les organisent, dehors ceux qui les couvrent. Au tribunal tous ceux qui ont permis la destruction d’une société qui vivait parfaitement ensemble sans ces individus. Les Bretons méritent autre chose que la soumission polie et la peur nocturne. Nos villes ne doivent pas devenir les laboratoires d’un modèle multiculturel déjà effondré ailleurs.

    La Bretagne n’est pas à vendre. Et encore moins à piller Basta. Stop. Harz !

    Julien Dir (Breizh-Info, 9 décembre 2025)

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  • Istor Breizh, la Bretagne dans l'histoire...

    La revue Istor Breizh consacrée à l'histoire de la Bretagne vient de sortir son premier numéro. On y trouvera notamment un dossier sur le mouvement artistique des Seiz Breur.

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    Au sommaire :

    DOSSIER : LES SEIZ BREUR, UNE REFONDATION DE L’ART BRETON, par Daniel Le Couédic

    • Jeanne Malivel, artiste solaire, interview de Laurence-Pauline Boileau par Christian Gouerou

    • René-Yves Creston, l’énergie des Seiz Breur. Entretien avec Saphyr Creston, par Christian Gouerou

    • Les incroyables mappemondes de René-Yves Creston, par Bernard Jules Verlingue

    • La chapelle Saint-Joseph de Lannion, chef-d’œuvre des Seiz Breur, par Jean-Jacques Monnier

    • L’éphémère revue Kornog, par Christian Gouerou

    > Il y a un siècle, la difficile naissance de l’État irlandais, par Aindrias Ó Cathasaigh

    > Une histoire en Gwenn ha Du, par Mikael Bodlore-Penlaez

    > Quand Nantes off rit son cœur d’or à la reine Claude, par Gildas Salaün

    DOSSIER : CELTIQUE ? : UNE POLÉMIQUE QUI DURE, par Christian Gouerou

    • Exposition Celtique ? Des a priori idéologiques, par Ronan Le Coadic

    • Garder vivants nos imaginaires, par Corinne Poulain.

    • Jean-Michel Le Boulanger : “Nos sentiments d’appartenance nous construisent”, Grand entretien,

     par Christian Gouerou

    > Armor de Pierre Toulhoat, lecture d’un bas-relief, par Armel Morgant

    RUBRIQUES

    > Sept bonnes raisons d’aller (re)visiter le musée Dobrée, par Julie Rault

    > Un lieu, un moment – Nominoé à la bataille de Ballon, par Christian Gouerou

    > Kartenn wenn da / Carte blanche à – Malo Bouëssel du Bourg, An dever hag ar gwir da c’houzout

    > Exposition – Chevaliers, exposition au château des Ducs de Bretagne à Nantes

    > Publications – La Rouërie dans l’actualité, par Jacques-Yves Le Touze

    > Brèves

    > Point de vue – L’Histoire de la Bretagne ferait-elle peur ?, par Joël Cornette

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  • Plus de pardons pour les Bretons...

    Les éditions Auda Isarn viennent de rééditer un roman de Saint-Loup intitulé Plus de pardons pour les Bretons. Aventurier, journaliste engagé et écrivain, Saint-Loup, de son vrai nom Marc Augier, est l'auteur de nombreux récits et romans dont Face nord, La peau de l'Aurochs, La nuit commence au Cap Horn (Transboréal, 2015), La République du Mont-Blanc (Auda Isarn, 2020) et Nouveaux Cathares pour Montségur (Auda Isarn, 2020).

    Saint-Loup_Plus de pardons pour les Bretons.png

    " Traqué par les Anglais, Cian, le héros de la guerre de libération irlandaise (1919-1921), s’est réfugié en Bretagne. C’est là qu’il rencontre la fille aux cheveux rouges des légendes celtiques, incarnée par la mystérieuse Morigane. De leur union vont naître deux fils, l’un savant et l’autre fort, qui soutiendront leur père dans son combat pour la libération de leur patrie charnelle : la Celtie.

    Dans ce livre, conte moderne autant que roman historique, Saint-Loup a su recréer avec bonheur l’atmosphère enchantée des mythes celtiques en nous décrivant l’épopée des combattants bretons de la révolution européenne. "

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  • Les Bretons et la Mort...

    Les éditions Ar Gedour viennent de publier un essai de Bernard Rio intitulé Les Bretons et la Mort - Rites, croyances et traditions.

    Écrivain et journaliste, Bernard Rio est l'auteur de plusieurs ouvrages historiques et ethnologiques comme Mystères de Bretagne (Coop Breizh, 2018), 1200 lieux de légende en Bretagne (Coop Breizh, 2020) ou La forêt sacrée des Celtes - Du paganisme au christianisme (Yoran, 2023) ainsi que d'un roman, Un dieu sauvage (Coop Breizh, 2020). Il tient également la chronique "Un païen dans l'église" dans la revue Éléments...

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    " Les Bretons entretiennent des relations singulières avec la mort et les morts, tel est le constat de cette vaste étude dans la Bretagne d’hier et enquête dans la Bretagne d’aujourd’hui. L’Ankou n’est pas seulement un personnage de légende. Ce « conducteur des morts » dans l’au-delà apparaît toujours au XXIe siècle comme en attestent plusieurs témoins dignes de foi. A l’ère d’internet, les Bretons perçoivent de nouveaux intersignes annonçant les décès ou révélant la présence des « Anaon », les « âmes errantes » qui hantent les chemins et les maisons. Perdues au fond des bois, des tombes immémoriales continuent de recevoir les offrandes de visiteurs anonymes !

    Quel sens donner à ces phénomènes mystérieux, révélateurs d’un véritable culte des morts et d’une croyance dans l’autre monde ? Qu’est-ce que le marteau bénit ? Pourquoi dépose-t-on le cercueil du défunt à la croisée du transept dans l’église ? Où se trouve l’enfer froid ? A quoi reconnait-on la présence de l’Anaon ? Ou voir la danse macabre ? Qui sont les passeurs d’âmes ? Autant de questions auxquelles Bernard Rio apporte des réponses dans ce livre qui renouvelle complètement le célèbre Légende de la Mort écrite par Anatole Le Braz au XIXème siècle. "

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  • Les snipers de la semaine... (270)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Breizh-Info, Julien Dir allume les tartuffes de la presse qui s'interrogent sur les raisons de la montée de l'extrême droite en Bretagne...

    Pourquoi l’extrême droite monte en Bretagne ? Je vais vous le dire…

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    - sur Hashtable, H16 dézingue la propagande délirante diffusée par le pouvoir et les médias aux ordres...

    Faites attention, les Russes (et les supporters anglais) sont partout !

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  • Avec les fées...

    Les éditions des Équateurs viennent de publier un récit de Sylvain Tesson intitulé Avec les fées.

    Géographe, aventurier et journaliste, Sylvain Tesson est l'auteur de récits tirés de ses expéditions comme L'axe du loup (Robert Lafont, 2004), Dans les forêts de Sibérie (Gallimard, 2011), Sur les chemins noirs (Gallimard, 2016) ou La panthère des neiges (Gallimard, 2019), mais aussi de recueils de nouvelles, parfois grinçantes, comme Une vie à coucher dehors (Gallimard, 2010) ou d'un essai consacré à l'Iliade et à l'Odyssée, Un été avec Homère (Equateurs, 2018).

     

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    " L’été venait de commencer quand je partis chercher les fées sur la côte atlantique. Je ne crois pas à leur existence. Aucune fille-libellule ne volette en tutu au-dessus des fontaines. C’est dommage : les yeux de l’homme moderne ne captent plus de fantasmagories. Au XIIe siècle, le moindre pâtre cheminait au milieu des fantômes. On vivait dans les visions. Un Belge pâle (et très oublié), Maeterlinck, avait dit : « C’est bien curieux les hommes… Depuis la mort des fées, ils n’y voient plus du tout et ne s’en doutent point. » Le mot fée signifie autre chose. C’est une qualité du réel révélée par une disposition du regard. Il y a une façon d’attraper le monde et d’y déceler le miracle de l’immémorial et de la perfection. Le reflet revenu du soleil sur la mer, le froissement du vent dans les feuilles d’un hêtre, le sang sur la neige et la rosée perlant sur une fourrure de mustélidé : là sont les fées. Elles apparaissent parce qu’on regarde la nature avec déférence. Soudain, un signal. La beauté d’une forme éclate. Je donne le nom de fée à ce jaillissement. Les promontoires de la Galice, de la Bretagne, de la Cornouailles, du pays de Galles, de l’île de Man, de l’Irlande et de l’Écosse dessinaient un arc. Par voie de mer j’allais relier les miettes de ce déchiquètement. En équilibre sur cette courbe, on était certain de capter le surgissement du merveilleux. Puisque la nuit était tombée sur ce monde de machines et de banquiers, je me donnais trois mois pour essayer d’y voir. Je partais. Avec les fées. "

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