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Livres - Page 177

  • Raskar Kapac, la suite...

    Les éditions du Rocher viennent de publier un deuxième tome de l'anthologie de la revue littéraire Raskar Kapac, dirigée par Maxime Dalle, Yves Delafoy et Archibald Ney. Une bonne occasion pour découvrir les textes de cette excellente revue.

     

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    " Les premières années furent celles des horizons lointains. Rappelez-vous : Raskar Kapac, gazette artistique et inflammable, était partie sillonner les espaces les plus inaccessibles. Entre 2016 et 2017, elle est allée s'exiler sur l'île engloutie de Mû aux côtés de Corto Maltese, elle est revenue d'entre les morts en suivant les pas sanglants de Guillaumet dans les Andes, elle a traqué avec Henry de Monfreid les peuplades perdues du Yémen et de l'Ethiopie...
    Les deux années qui suivirent - réunies intégralement dans cette seconde Anthologie -, furent pour Raskar celles des marges. Ce fut l'époque où la momie ne fréquenta que les damnés, les caraques et les inadaptés. De Fellini à Kazantzaki, de Blaise Cendrars à Tabarly, de Drieu à Antonin Artaud ; c'est un équipage hétérodoxe qui a composé avec maestria les dix derniers numéros de Raskar Kapac.
    Olivier de Kersauson, Titouan Lamazou, Patrick Tabarly, Benoît Heimermann, Christiane Rancé, Sylvain Tesson, Julien Hervier, Pierre Adrian, Charles Gonzalès, Stéphane Barsacq, Frédéric Beigbeder, Gabriel Matzneff et tant d'autres plumes ont aidé à la résurrection des grands artistes et des aventuriers, authentiques phares pour notre temps.
    Dans ce nouveau volume, se succèdent des textes variés, des entretiens exclusifs, des photographies ainsi que de nombreux dessins inédits.
    Alors en route pour un ultime voyage à bord du Transsibérien ! La momie attise la locomotive et, à sa suite, cahote le fabuleux wagon des artistes et des hors-la-loi ! "
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  • Végâneries !...

    Les éditions Via Romana viennent de publier Végâneries, un ouvrage du Club des Ronchons coordonné par Alain Paucard. Fondé en 1986 par ce dernier, le Club des Ronchons aura eu pour président d'honneur Jean Dutourd (1920-2011). Le règlement intérieur stipule que les réunions sont interdites « aux femmes, aux enfants, aux animaux et aux plantes vertes », ce dernier ajout à la demande de Jean Tulard. Le Club des Ronchons est fondamentalement opposé à l'idée totalitaire du Bonheur.

     

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    Au sommaire :

    Alain PAUCARD : Le féminisme ne suffit plus

    Jacques ABOUCAYA : Comment je suis devenu végan
    Jean BERTEAULT : Prescription de véganine
    Arnaud BORDES : Délivrance
    Michel BOUVIER : Le boeuf clandestin
    François CÉRÉSA : Robert le Végan
    Philippe DUMAS
    Jean DUTOURD (1958) : Cheval
    Alfred EIBEL : Végane : à l’arbordage
    Charles-Henri d’ELLOY : Parigot, tête de veau !
    Bertrand FOSSAT : El Extasio, sonnet végan
    Alain GERBER : [sans titre]
    Olivier GRIETTE : La morale, une et indivisible
    Pierre GUINGAMP : J’exagère ?
    Philippe LACOCHE : La grosse carpe végan qui pue la vase
    Bruno LAFOURCADE : La nouvelle arche
    Bernard LECONTE : Supervegan
    Bernard LE SAUX : Les enfants de William Kramps
    Boris MOISSARD : Le Cu Cul Clan
    Alain PAUCARD : Fake news
    David PERINI : Le général Vegan s’en va-t-en guerre !
    Jean-Jacques PÉRONI : Au nom du pâté, du figatelli et du saint-nectaire
    Xavier RAUFER : Végans, végétariens en peau de lapin (si j’ose dire…)
    Ivan RIOUFOL : Mangez un végan !
    Philippe de SAINT-ROBERT : Malthus, nous voilà !
    Olivier SARRADE-LOUCHEUR : Le protocole de Panurge
    Gérald SIBLEYRAS : Végan en pot
    TREZ
    Jean TULARD, de l’Institut : Napoléon végan ?
    & Pensées ronchons

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  • Ernst Jünger, entre les dieux et les titans...

    Les éditions Via Romana viennent de publier un essai d'Alain de Benoist intitulé Ernst Jünger entre les dieux et les titans. Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Ce que penser veut dire (Rocher, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019) et La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

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    Lié de nombreuses années avec le grand écrivain allemand Ernst Jünger (1895-1998), prix Goethe 1982, Alain de Benoist passe ici au crible près d’un siècle de création littéraire (journaux, souvenirs, essais, romans) habitée par un cheminement de poète tout à la fois libre et fidèle à une double aspiration vers la nature et l’âme, le réel et le sacré.
    Anti-individualiste, théoricien de la révolution conservatrice revenu de sa mystique de la guerre et de sa foi en une industrie prométhéenne, la pensée de Jünger transparaît dans toute son acuité et actualité d’écosystème affranchi de la loi de l’argent et du désenchantement matérialiste. Tout cela à travers le remarquable décryptage systématique effectué par Alain de Benoist des figures du Soldat du front, du Travailleur, du Rebelle, et de l’Anarque, invitation à un voyage à travers l’univers symbolique et enraciné de celui dont François Mitterrand dit qu’il fut « l’un des plus grands Européens du XXe siècle ».

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  • Ungern, le dieu de la guerre...

    Les éditions Lohengrin viennent de rééditer Ungern, le dieu de la guerre, le récit historique de Jean Mabire, avec une préface de Christopher Gérard et de magnifiques illustrations de Jacques Terpant. Décédé en 2006, Jean Mabire, qui était un des grands écrivains de l'aventure, qu'elle soit historique, mythologique ou politique, a aussi été un combattant pour la cause de l'identité des peuples européens.

    Le livre est disponible à la commande sur le site des éditions Lohengrin.

     

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    " L’incendie allumé en 1917 par le Bolchevisme emporte dans un tourbillon de feu et de sang le cœur même de l’Asie. Contre les hordes qui déferlent sur le pays ravagé, se dresse, solitaire, un simple chef d’escadron de cavalerie qui se proclame de lui-même général. Il se nomme Roman Feodorovitch von Ungern-Sternberg. D’origine balte, fruste, sauvage, impitoyable, il se veut loup parmi les loups de la steppe. Il va franchir en 1920 la frontière mongole, conquérir Ourga la capitale et tenter de réaliser le grand rêve de Gengis-Khan : la conquête de l’Asie puis de l’Europe. Dernier chef des armées blanches, il sera bien près de réaliser sa folle ambition. Trahi et capturé par les Rouges en 1921, après avoir été célébré par les Mongols comme leur dieu réincarné de la guerre. "

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  • Le politique ou l'art de désigner l'ennemi...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier Le Politique ou l'art de désigner l'ennemi, un recueil de textes de Julien Freund présentés par Alain de Benoist et Pierre Bérard. Philosophe et sociologue, Julien Freund (1921-1993), qui a été le principal introducteur de la pensée de Carl Schmitt en France, est l'auteur de plusieurs ouvrages fondamentaux comme L'essence du politique (1965), Sociologie du conflit (1983) ou La décadence (1984).

     

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    " Rien de plus éloigné du politique que la morale. Là où l’un trace une frontière entre l’ami et l’ennemi, l’autre l’occulte commodément. Le politique n’a pas à s’aligner sur la morale privée, car il est ordonné au bien commun. Nul plus que Julien Freund n’eut conscience de cette irréductibilité. Alors qu’aujourd’hui, le débat des idées s’enfonce de plus en plus dans la médiocrité et le primat de l’émotion, que la politique laisse place aux arrangements politiciens, il est plus indispensable que jamais de remettre au goût du jour les analyses de ce grand réaliste. Les voici présentées dans ce recueil où, sans jamais céder au politiquement correct ni aux raccourcis, il défend inlassablement l’autonomie et les exigences du politique, en aristocrate de la pensée.

    Textes présentés par Alain de Benoist et Pierre Bérard "

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  • Un dieu sauvage...

    Les éditions Coop Breizh viennent de publier un roman de Bernard Rio intitulé Un dieu sauvage.  Écrivain et journaliste, Bernard Rio est l'auteur de plusieurs ouvrages historiques et ethnologiques comme Mystères de Bretagne (Coop Breizh, 2018) ou tout récemment 1200 lieux de légende en Bretagne (Coop Breizh, 2020). Il tient également la chronique "Un païen dans l'église" dans la revue Éléments...

     

     

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    " Il y a les gens d’En-Bas qui vivent à Létavie, le port des Frontières Maritimes, les gens d’En-Haut à Albe, la ville des Terres Intérieures, et le gouvernement des Prêcheurs dans la capitale Urbi. Dans une société où tout désordre est interdit, chacun est surveillé dans ses faits et gestes par un réseau de caméras et une puce électronique placée dans l’auriculaire. Mais des événements viennent troubler l’apparente tranquillité des deux cités. Un mystérieux inconnu est soupçonné être l’auteur de plusieurs assassinats.

    Quatre femmes, Senta la tisseuse, Beara l’aubergiste, Andarta la bibliothécaire et Mata le médecin voient dans ces phénomènes, qui perturbent l’ordre et la morale, des signes de liberté. Elles transgressent alors les interdits et se lancent à la poursuite de l’inconnu tandis que les prêcheurs contrôlent de moins en moins la situation. Trois hommes : le cavalier inconnu, le docteur Rodati et le professeur Namanto interviennent dans le cours des événements, devenant chacun à sa manière un fauteur de troubles, le premier agissant sciemment dans l’ombre, le second inconsciemment à son poste officiel et le troisième par orgueil.

    Du monde planifié des Prêcheurs va naître le chaos. La confusion se généralise à l’image du docteur Rodati qui perd la raison et va prôner la contrition en dénonçant le vice infestant la société. La révolte solitaire d’une femme devient universelle. Au sentiment de l’absurde d’une situation succèdent les temps de la rébellion, de la mort puis de la renaissance.

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    Plongeant le lecteur dans un univers fantastique, le récit revisite les mythes antiques tout en s’inscrivant dans une réflexion contemporaine : le devenir de l’homme dans un monde totalitaire et ses capacités de survie, d’évasion et de liberté. "

     

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