Nous reproduisons ci-dessous un entretien de Malika Sorel avec Jean-Paul Brighelli, cueilli sur Bonnet d'âne, le blog de ce dernier. Ils évoquent ensemble les positions d'Emmanuel Macron concernant l'identité française...
Emmanuel Macron et la « décomposition française »
J’étais en train de lire Décomposition française, le beau livre de Malika Sorel paru le 12 novembre 2015 — la veille des attentats du Bataclan —, qui vient opportunément de paraître en Poche, quand Emmanuel Macron a fait en Algérie les déclarations que nous savons sur la colonisation (« crime contre l’humanité », etc.) et a, quelques jours plus tard, aggravé son cas en reprenant, en meeting à Toulon, la déclaration quelque peu ambiguë de De Gaulle aux Pieds-Noirs en 1958, le célèbre « Je vous ai compris ».
Je dis « ambiguë » parce que sur le coup, la foule massée à Alger n’a pas bien compris ce que MonGénéral (comme l’écrivait à l’époque le Canard enchaîné) était en train de lui faire — collectivement. Mais ils ont pigé assez vite.J’ai donc eu l’idée de demander son avis à Malika Sorel, ancien membre de ce Haut Conseil à l’intégration dissous sur décision du gouvernement Ayrault (on sait que le PS ne joue pas l’intégration, mais la dispersion façon puzzle de l’identité française en communautés susceptibles de voter pour lui).
Je reviendrai sur Décomposition française (beau titre !) en évoquant le livre qui vient de sortir d’Amine El Khatmi (Non, je ne me tairai plus, chez Lattès). En attendant, merci à Malika Sorel d’avoir bien voulu répondre aux questions de Bonnet d’âne…Jean-Paul Brighelli
JPB. De passage à Alger, Emmanuel Macron fait les yeux doux à la télévision algérienne et décrète que le colonialisme est globalement « un crime contre l’humanité ». Que vous inspire cette déclaration péremptoire et unilatérale ?
Sa déclaration constitue une accusation lourde contre plusieurs générations de militaires français. Une accusation qui ravive par ailleurs des plaies encore douloureuses et qui dresse, de fait, les populations les unes contre les autres. Cela ne contribue pas à la pacification des esprits mais entretient la bataille des mémoires et la pente victimaire. L’effet peut être désastreux sur des enfants ou adolescents issus de l’immigration algérienne qui éprouveraient un malaise ou un inconfort sur le plan de leur identité personnelle. La comparaison de la démographie algérienne de 1962 à celle de 1830 met en lumière un fort développement qui invalide le jugement d’Emmanuel Macron. Ce qui est navrant, c’est aussi l’absence de sagesse. Pourquoi ouvrir un tel sujet alors que nous sommes en état d’urgence ? La France se trouve justement ciblée en raison même d’une haine tenace qui puise sa source dans tout ce qu’elle est ou a été.
JPB. Quel bénéfice électoral Macron espère-t-il d’une telle prise de position ?
Il convient de rappeler qu’il n’est pas le premier candidat à aller faire la danse du ventre à Alger dans l’espoir de séduire, en France, une portion de l’électorat issue de l’Algérie et plus largement des anciennes colonies. Les politiques parient sur le fait qu’une part conséquente de l’immigration ne s’est pas assimilée et continue de vibrer au diapason de sa terre d’origine. Et pour cause ! Ils ont eux-mêmes créé les conditions d’une quasi impossibilité d’intégration culturelle : flux migratoires si importants qu’ils ont aidé à la duplication des cultures d’origine sur la terre d’accueil ; évolution des programmes scolaires et des horaires alloués à la langue française dans le sens d’une dégradation constante de la transmission du patrimoine culturel français… Alain Viala, qui avait présidé en 2000 la commission chargée de réformer les programmes d’enseignement du français, l’avait reconnu dans un entretien avec Marcel Gauchet, consigné dans la revue Le Débat. Il s’agissait alors d’adapter les programmes à « l’arrivée des nouveaux publics, autrement dit d’adolescents venant de milieux ne leur permettant pas d’avoir une maîtrise suffisante (de la langue française)» selon ses propres termes. Le misérabilisme d’une partie de nos élites, la propension à penser que les enfants de l’immigration extra-européenne ne seraient pas capables de s’élever comme les autres enfants sont terriblement injustes et blessants. Au fil des accommodements, il est devenu presque impossible aux enfants issus de l’immigration de s’assimiler. De ce fait, nombre d’élus ou de ceux qui aspirent à l’être se croient contraints, en raison de l’évolution de la composition du corps électoral, d’adapter par anticipation leur comportement. Ils pratiquent un clientélisme ouvert ou larvé, pensant ne pas disposer d’autre choix. Ce faisant, ils se lient les mains.
JPB. En meeting à Toulon quelques jours plus tard, réalisant la bronca que suscitent ses propos parmi les Pieds-Noirs et leurs descendants (mais pas seulement), Macron lance : « Je vous ai compris ». Cynisme ou gaffe — les ex-rapatriés se souvenant dans leur chair du discours de De Gaulle utilisant cette formule au moment même où il entamait des négociations secrètes avec le FLN ?
Contrairement à un certain nombre de ses collègues dans le monde politique, Emmanuel Macron ne peut bénéficier de l’excuse de l’ignorance. Cet homme semble disposer d’une solide culture. Il connaît l’histoire, la littérature et le poids des mots. En utilisant cette phrase devenue célèbre du général de Gaulle pour s’excuser auprès de ceux qu’il a pu blesser, il a aggravé son propre cas. Est-ce du cynisme ? De la perversité ? J’ai tendance à penser que c’est surtout un homme pressé qui s’est pris les pieds dans le tapis de son opportunisme. Capable de faire feu de tout bois pour satisfaire son ambition d’accéder à la fonction suprême. Examinez attentivement ce passage de son meeting : « Je le dis aujourd’hui, à chacun et chacune dans vos conditions, dans vos histoires, dans vos traumatismes, parce que je veux être président, je vous ai compris et je vous aime. »
JPB. Le discours anti-colonialiste de Macron est-il à rapprocher des suggestions déjà anciennes de Terra Nova conseillant à la gauche de chercher un nouveau socle électoral chez les immigrés et leurs descendants ? À ce titre, le candidat d’En marche pourrait-il être le fils commun de Terra Nova et de l’Institut Montaigne, de Hollande et de Juppé, de la carpe et du lapin ? Mais est-ce vraiment la carpe et le lapin ?
Je ne sais pas quels sont au juste ses « géniteurs ». Vous auriez pu tout aussi bien joindre à votre liste Jacques Attali, le conseiller de François Mitterrand qui recommandait en 2008 au Président Nicolas Sarkozy de relancer l’immigration (Rapport pour la libération de la croissance française). Votre rappel des recommandations de Terra Nova est tout à fait pertinent. Nous sommes en effet dans la continuité de ce rapport, qui a ensuite donné vie à la fameuse refondation des politiques d’intégration en 2013. Cette volonté de refondation s’était alors traduite en un premier temps par un rapport sur la France inclusive, puis par cinq rapports truffés d’un grand nombre d’assertions et de recommandations toutes plus sidérantes les unes que les autres. Souvenons-nous : il y était question de « faire France en reconnaissant la richesse des identités multiples », de « nous inclusif et solidaire », d’un « vivre-ensemble égalitaire », de « faire de l’en-commun ». Le prix à payer par notre société y était annoncé sans ambages : « apprentissage d’un savoir-faire avec l’hétérogénéité et dans la conflictualité », car « la rencontre interculturelle doit être conçue comme un échange entre personnes, ou groupes de personnes, de différentes cultures permettant l’émergence d’un espace de négociation », nous prévenait-on. Rendez-vous compte : la conflictualité érigée en promesse de progrès. Du cynisme à l’état pur ! Lorsqu’Emmanuel Macron assène dans l’un de ses meetings « il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse », il s’érige en digne héritier et défenseur de cette idéologie. Dans le livre des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande le dit : « Emmanuel Macron, c’est moi ». CQFD.
JPB. De façon plus générale, le discours culpabilisateur, qui a déjà de belles années derrière lui, n’est-il pas en train de s’essouffler — ou pire, de susciter une réaction inverse ? Une partie du vote FN ne s’explique-t-elle pas ainsi ?
Malgré les apparences, ce discours a triomphé. Il a imprégné bien des esprits, à telle enseigne qu’un grand nombre d’accommodements déraisonnables de nos principes républicains ne suscitent aucune indignation dans l’opinion publique. Voyez à quel point l’idéologie de culpabilisation-repentance a inspiré l’action du politique ! Prenons simplement ici un domaine que vous connaissez parfaitement, celui de l’éducation-instruction. Nombre des réformes qui ont été déployées depuis 1981 en procèdent. Lorsqu’en 2004 Jean-Pierre Raffarin, alors Premier ministre, institue la Charte de la diversité qui s’appuie sur le rapport Les oubliés de l’égalité des chances rédigé sous l’égide de l’Institut Montaigne, il persiste dans la voie qui a été ouverte par la gauche : le renoncement au respect du principe républicain d’Égalité, au profit de la discrimination positive introduite par la circulaire du 1er juillet 1981 qui porte création des Zones d’Éducation Prioritaires. L’évolution du contenu des manuels scolaires, la réforme des programmes de français évoquée ci-dessus avec Alain Viala dont on mesure à présent les conséquences dramatiques au travers du classement PISA, les pédagogies mises en œuvre, la manière dont sont parfois notées les copies… Dans un autre domaine, la loi dite SRU procède de la même veine. Quant au vote FN, il faut le lire à l’aune des enquêtes qui se suivent et se ressemblent et qui illustrent le divorce des Français avec leur classe politique. Dès 1997, l’historien Jacques Julliard relevait que « nulle part le divorce entre le peuple et les élites n’apparaît de façon aussi éclatante qu’à propos de l’immigration ». Tout se passe, disait-il, « comme si les classes populaires s’exaspéraient de la sollicitude de la gauche intellectuelle, et même de la classe politique tout entière, envers les immigrés et à leur détriment ». Méditez bien ce « à leur détriment ». Aujourd’hui, Jacques Julliard pourrait ajouter « les classes moyennes ». La clé de décryptage du vote FN est là et nulle part ailleurs. Tous les partis, sans exception, doivent entendre le cri de détresse du peuple français qui a droit au respect de ses fondamentaux culturels et de son identité, comme c’est le cas pour tout peuple sur un territoire qui est sa propriété.
Malika Sorel, propos recueillis par Jean-Paul Brighelli (Bonnet d'âne, 6 mars 2017)
PS. 7 mars 2017, Georges Bensoussan vient d’être relaxé de tous les chefs d’accusation de racisme et d’anti-islamisme. Le Parquet et le CCIF sont déboutés et dépités. Champagne !
Commentaires
Une conseillère départementale PS de l’Essonne, condamnée en février, a acheté 13.000 euros de vêtements avec de l’argent public. Que croyez-vous qu’elle va devenir ? Réponse : Elle reste conseillère départementale.
Battons-nous jusqu’au 23 avril pour François Fillon. Combien regretterions-nous d’être resté passifs, s’il échouait de peu ! Il s’agit de parler beaucoup en sa faveur autour de nous, c’est très efficace quand on est nombreux à le faire.
A-t-on compris que Macron dispose de 10 fois plus d’argent que François Fillon ? Le site tvlibertes.com nous offre une série de courtes videos nous donnant des armes. Vous y cliquez sur l’onglet Stoppons Macron !
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Pour ses bailleurs financiers, c’est un avantage que le blanc-bec Macron n’ait pas d’expérience réelle. En tant que marionnette, il n’a qu’à les laisser faire…
La singulière étroitesse de nez de Macron interpelle les psychologues compétents.
Le budget de campagne de Macron : de dix à 15 fois celui de François Fillon.
Le gros argent poussant Macron, produit bancaire avarié, nous devons pour compenser nous battre puissamment jusqu’au 23 avril pour faire gagner François Fillon. Répéter partout, constamment, quelles sont ses qualités : expérience, maturité, endurance, sang-froid, ténacité pour défendre un programme qu’il a affiché très tôt, programme de rupture qui peut commencer à métamorphoser la France les trois premiers mois. C’est un homme.
Macron a la fragilité d’une marionnette débutante.
Au meeting de Macron à Lyon, tous ceux qui criaient leur enthousiasme et secouaient des drapeaux avaient été engagés contre rémunération. On a compris que Macron prend les électeurs pour (compléter).
Bluff et bidonnages, c’est tout Macron.
TF 1
L’homme d’Etat
et le jeune homme
On a vu un homme tanné par 30 ans d’expériences et d’épreuves, pondéré, gardant toujours son calme. En face, un jeune homme nerveux, disert mais utilisant souvent des éléments de langage vides de tout contenu réel. Quand Emmanuel Macron devait écouter l’un des quatre autres candidats, son sourcil gauche se crispait et donnait à son visage une expression désagréable. Irritable, immature, il n’est décidément pas l’homme de la situation.
Tous ceux qui seraient fiers d’avoir un président de la République nommé François Fillon
doivent rester mobilisés jusqu’au 23 avril. Se mobiliser, c’est parler et argumenter énergiquement mais calmement avec son entourage. La France ne doit pas être confiée à un amateur, qui serait vite pris en main par des forces hostiles au pays.
La fragilité du jeune homme Macron est constatée même par des gens qui lui étaient d’abord favorables. Les propos qu’il a l’habitude de tenir commencent à être perçus pour ce qu’il sont : des éléments de langage qui lui ont été fournis et qui sont censés ratisser large. Macron, un gadget ? Confie-t-on un pays à un gadget ?
François Fillon est clairement le seul des candidats à savoir que des taux trop élevés d’impôt sur le revenu détruisent les incitations productives des individus (incitations à travailler, à entreprendre, à épargner et à investir) et incitent même à l’exil quand ce n’est pas à la fraude.
A ce sujet, Emmanuel Macron est dénué de toute crédibilité. Son programme, ambigu et flou, est loin de permettre la rupture dont la France a tellement besoin. Ses déclations d’intentions et ses projets de réformettes censés plaire à droite ou à gauche manifestent la faiblesse de ses convictions. N’oublions pas qu’il a été l’un des principaux inspirateurs de la politique économique de François Hollande. Il est d’ailleurs caractéristique qu’il obtienne de manière croissante le ralliement de personnalités importantes de la gauche qui voient certainement en lui le moyen de prolonger la politique de François Hollande.
Bonjour chère/cher internaute,
Vous savez que seul François Fillon peut rapidement prendre les quelques décisions indispensables au relèvement de la France. Certains, autour de vous pensent la même chose mais préfèrent ne pas le dire, ce qui est plutôt contradictoire. C’est en clamant bien haut notre choix, dès aujourd’hui et très souvent, et en disant pourquoi, que nous pourrons vraiment aider celui que nous avons choisi. N’oublions pas en effet que les hésitants sont très nombreux, et si votre voix les atteint, elle peut les décider.
Maintenant, imaginez que François Fillon échoue de peu, quelques centaines de voix lui manquant. Ne nous frapperions-nous pas la poitrine, en pensant « J’aurais dû en faire plus ! » Réveillons-nous, c’était un cauchemar, il est encore temps ! Merci pour la France.
Le candidat Macron, l’un des porte-parole préférés de l’oligarchie qui se présente néanmoins comme« antisystème, brisant les routines de la classe politique française » , affiche sans complexe un domaine où surtout rien de doit changer en France. C’est la politique d’immigration. Si d’aventure il se trouvait élu en mai prochain non seulement il compte ouvrir grand la vanne des frontières pour les « migrants » mais il renforcerait l’exercice de la discrimination positive (déclaration du 8 mars) c’est à dire celle des passe-droits accordés aux membres de certaines catégories de la population afin de leur permettre d’échapper aux critères du droit commun de la République. Comme le dit Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit constitutionnel, « L’adjectif positif est destiné à gommer le caractère négatif de la différenciation puisque toute discrimination est en l’espèce évidemment positive pour son bénéficiaire mais négative pour celui qu’elle exclut. Une discrimination en faveur des femmes ou des Noirs se fait au détriment des hommes ou des Blancs. Et dès lors que l’on prétend ériger la lutte contre toutes les discriminations en politique publique, il est incohérent de prétendre parallèlement les encourager en faveur de certaines catégories et donc au dépens des autres » (Le Figaro du 16 mars).
Macron, qui veut cacher sa fragilité physique et psychologique par des airs d’assurance bravache, pourrait en fait être balayé par le moindre coup de vent, tel une feuille morte. Diplômé mais soldat de 2ème classe, il veut se faire prendre pour un général.
Les gros medias possédés par l’oligarchie ne savent pas quoi inventer chaque semaine pour faire du tort à François Fillon. Ecoutons son avocat, c’est plus sûr.
Le candidat Macron, l’un des porte-parole préférés de l’oligarchie qui se présente néanmoins comme« antisystème, brisant les routines de la classe politique française » , affiche sans complexe un domaine où surtout rien de doit changer en France. C’est la politique d’immigration. Si d’aventure il se trouvait élu en mai prochain non seulement il compte ouvrir grand la vanne des frontières pour les « migrants » mais il renforcerait l’exercice de la discrimination positive (déclaration du 8 mars) c’est à dire celle des passe-droits accordés aux membres de certaines catégories de la population afin de leur permettre d’échapper aux critères du droit commun de la République. Comme le dit Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit constitutionnel, « L’adjectif positif est destiné à gommer le caractère négatif de la différenciation puisque toute discrimination est en l’espèce évidemment positive pour son bénéficiaire mais négative pour celui qu’elle exclut. Une discrimination en faveur des femmes ou des Noirs se fait au détriment des hommes ou des Blancs. Et dès lors que l’on prétend ériger la lutte contre toutes les discriminations en politique publique, il est incohérent de prétendre parallèlement les encourager en faveur de certaines catégories et donc au dépens des autres » (Le Figaro du 16 mars).
Le candidat Macron, l’un des porte-parole préférés de l’oligarchie qui se présente néanmoins comme« antisystème, brisant les routines de la classe politique française » , affiche sans complexe un domaine où surtout rien de doit changer en France. C’est la politique d’immigration. Si d’aventure il se trouvait élu en mai prochain non seulement il compte ouvrir grand la vanne des frontières pour les « migrants » mais il renforcerait l’exercice de la discrimination positive (déclaration du 8 mars) c’est à dire celle des passe-droits accordés aux membres de certaines catégories de la population afin de leur permettre d’échapper aux critères du droit commun de la République. Comme le dit Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit constitutionnel, « L’adjectif positif est destiné à gommer le caractère négatif de la différenciation puisque toute discrimination est en l’espèce évidemment positive pour son bénéficiaire mais négative pour celui qu’elle exclut. Une discrimination en faveur des femmes ou des Noirs se fait au détriment des hommes ou des Blancs. Et dès lors que l’on prétend ériger la lutte contre toutes les discriminations en politique publique, il est incohérent de prétendre parallèlement les encourager en faveur de certaines catégories et donc au dépens des autres » (Le Figaro du 16 mars).
La candidature Macron, présentée comme une occasion de changement salutaire pour la France, est une imposture dont notre pays ne se relèverait sans doute pas.
Français, réfléchissez bien : notre prochain Président doit-il être un freluquet, sans colonne vertébrale ?
Le multiculturalisme dont Macron se réclame ce n’est pas l’unité dans la diversité mais l’agrégation de communautés repliées sur leurs avantages et leur identité dans un espace donné. Ce processus est en totale contradiction avec les notions de Peuples et de Nation. La nation parvient, au terme d’un processus historique de plusieurs siècles, à fédérer des singularités autour de principes assumés et d’une vision commune. Le multiculturalisme qu’Emmanuel Macron appelle de ses vœux est une déconstruction de notre héritage et un véritable danger pour l’avenir puisque l’unité dans la diversité devient impossible.
La nomenklatura médiatique et les réseaux qui la contrôlent ont fait clairement le choix d’Emmanuel Macron. Il incarne parfaitement leur rêve de nouvelle société philosophiquement et économiquement ultra-libérale, mondialiste, cosmopolite et antinationale. Quand on a compris que les gros médias, c’est l’antiFrance, c’est qu’on voit clair.
Sur le site Polémia, présentation du CV non truqué de Macron par le journaliste Benjamin Dormann. Edifiant. Destruction des nations en vue, la sienne sans doute d’abord.
Français, ne soyez pas dupes. François Fillon est le seul qui peut empêcher Macron d’être au deuxième tour. Macron, sélectionné depuis longtemps et financièrement appuyé sans limite par les mondialistes internationaux. (Voir son CV sur le site Polémia). Ceux-ci sont prêts à toutes les calomnies mensongères pour discréditer François Fillon, ceci jusqu’à la dernière heure de la campagne. Contre Macron, la vérité suffit à le discréditer définitivement, répandez-la autour de vous. Il s’agit d’éclairer d’une part ceux qui ne savent pas trop pour qui voter, d’autre part ceux qui encore aujourd’hui pensent ne pas aller voter.
Le dernier stratagème pour tenter d’affaiblir François Fillon est de démoraliser ses partisans en essayant de leur faire croire qu’il est « en chute libre ». S’ils le croyaient eux-mêmes, ils ne feraient pas tous ces efforts dictés par l’appréhension du maître-mot qui se répand : Tout sauf Macron (TSM).
Etonnant trombinoscope des principaux soutiens de Macron : il parle de renouveau, il n’y a que des vieux ; il parle de parité, il n’y a pas une seule femme ; il voudrait n’être ni de droite ni de gauche, mais aucun d’entre eux n’a fait campagne pour la droite ces dernières années. Derrière le mirage, il y a les faits.
Personnellement, mes deux sites préférés dans le cadre des élections sont Metapo et Toutsaufmacron. On ne peut pas tout suivre, et pour moi ce sont les deux meilleurs.
Macron : un candidat à la présidentielle qui a gagné 3,5 millions
et qui déclare 350.000 euros de patrimoine.
Magique, non ?
Les Français veulent de l'alternance au socialisme qu'ils viennent de connaître pendant cinq ans. Cette alternance, ce n'est pas la continuation du socialisme avec Macron. L'alternance, c'est François Fillon.
Pour dégonfler sûrement et complètement Macron, il faut de bonnes informations avérées.
Au départ, sa biographie détaillée, par le journaliste Benjamin Dormann, sur le site Polémia (article « Plus que le choix des médias… »).
Pour la suite et jusqu’au 23 avril, il est essentiel de rester en contact d’une part avec le site tvlibertés/onglet : Stoppons Macron ! d’autre part avec le site Toutsaufmacron.
Avec ces trois sources sûres, on aplatit facilement l’enflure en question.
« Alors, Monsieur Macron, on est confiant ? »
« Ecoutez, le fric est en général optimiste …
enfin je veux dire que je ne prends encore rien pour dormir »
« Hillary Clinton avait pourtant encore plus d’argent que Trump,
puisque comme vous elle était la candidate des banques et de leurs gros medias … »
« euhhh, oui, enfin nous verrons bien … »
Duplicité et fourberie en Macron étant chaque semaine plus manifestes, sa réputation et sa carrière politique prochaine pourraient très prochainement en souffrir.
Les choses ne se feront pas toutes seules. François Fillon ne peut gagner le 3 avril que si nous luttons à fond pour convaincre les indécis et notamment ceux qui n’avaient même plus envie de voter. … les convaincre de l’honnêteté foncière de François Fillon, et de la traîtrise à son pays de Macron. Notre effort doit s’exercer jusqu’au dernier jour. Parlons, parlons autour de nous. Calmement, mais fermement, comme notre modèle. Beaucoup n’attendent que ça : être guidés et convaincus par de forts et véritables arguments.
> Tout était prêt depuis l'été dernier ...
>
> Texte écrit par Jean PIGEOT ancien de l'état major du FIGARO.
>
> Les enquêteurs ont saisi ce document et, le lendemain, on en trouve un facsimilé dans la presse ! Vous me direz qu'il n'y a pas de violation du secret de l'instruction, puisqu'il n'y a pas d'instruction.
> > > La procédure d'enquête préliminaire par le parquet dispense de faire intervenir un juge d'instruction.
> > > Malin, non ?
> > > Les fuites de documents dans la presse constituent le second étage de la fusée. Tout le complot a été admirablement préparé. Chapeau. La faillite du gouvernement socialiste, la nullité d'un président de la République lui ne se représente même pas, cas unique dans les annales de la V ème, devaient naturellement conduire à une déculottée historique du pouvoir sortant...
> > > Eh bien pas du tout : "Faites-nous une belle primaire, la droite. Désignez votre champion. Dès que ce sera fait, on le dézinguera, avec le concours de procureurs aux ordres et de la part la plus pourrie de la presse.
> > > Moyennant quoi, c'est notre copain Macron qui l'emportera !"
> > > Et on viendra encore prétendre qu'il n'y a eu aucune machination. Que Fillon, simple député depuis cinq ans, intéressait si peu la justice que ces braves procureurs ont attendu un quinquennat entier pour s'apercevoir de ses mauvaises habitudes, qui sont celles de tous les parlementaires.
> > > Il est plus que probable que chaque concurrent avait son dossier prêt, probablement constitué sous la houlette du cabinet noir de l'Elysée. On comprend que Juppé ne veuille pas y aller, maintenant, il a déjà donné.
> > > Au point où l'on en est, il est même permis de douter de la réalité de la "trahison" de Macron.
> > > Vous vous souvenez des commentaires acerbes de toute la hollandouillerie, lorsque le fringant ministre des finances a rendu son portefeuille ? Ce n'est pas si loin, c'était fin août. Le traître, l'ingrat ! Son départ de Bercy, c'était le coup de pied de l'âne à celui à qui il devait tout.
> > > Il faut dire que la piétaille socialiste y a cru. La droite aussi, d'ailleurs, qui regardait distraitement ce jeune homme sans idées, sans convictions, sans projet, lâcher son mentor comme les rats quittent le navire. Il briguerait sûrement l'Élysée, mais en 2022, quand il aurait pris un peu de bouteille. On avait le temps de voir venir...
> > > Qui s'est douté une seconde que tout cela était truqué, préparé, combiné, sûrement depuis avant l'été, entre ce président sans aveu et sa créature ? Lorsque Fillon parle de coup d'État institutionnel, il n'a pas tort. Cette affaire est la plus sordide imposture nationale.
> > > Vraiment, si les Français s'y laissent prendre, ils n'auront pas volé un nouveau quinquennat de douleur. Il est vrai qu'après avoir installé le bébé hollandouillesque à l'Élysée, on pourra toujours le priver de majorité à l'Assemblée. Voilà trente-six ans que la France végète dans le socialisme, on n'est plus à cinq ans près.
M. Jean PIGEOT - Journaliste au service Politique intérieure du quotidien "Le Figaro" -
Répandons ce message pour que les Français soient informés puisque la presse ne fait pas objectivement son travail !
Répétons-le, c’est tellement important ! Allons chaque jour expliquer aux indécis, même aux hostiles la manipulation Macron. Allons partout, c’est le territoire de la France. Les jeux ne sont pas faits, beaucoup de sondages n’ont aucun rapport avec ce que sera la réalité …du 23 avril.
Le programme de François Fillon est un programme pour la France. Celui de Macron n’est pas avoué, il est inavouable !
29 mars 2017
Encore plus fort que Bruno Leroux !
Le préfet qui a violemment réprimé la Manif pour Tous va être jugé pour fraude fiscale
Il n’a pas payé ses impôts, ni même déclaré ses revenus, pendant des années. L’ancien préfet de la région Ile-de-France Jean Daubigny, et ex-directeur de cabinet de Manuel Valls au ministère de l’Intérieur, sera jugé prochainement pour fraude fiscale, a-t-on appris ce mardi de source judiciaire, confirmant des informations de Mediapart et Europe 1.
Jean Daubigny est cité à comparaître, avec son épouse, le 28 avril devant le tribunal correctionnel de Paris, a-t-on précisé de même source. Il est soupçonné de ne pas avoir déclaré ses revenus entre 2011 et 2014, pour un montant d’impôts impayés de 190.000 euros. Selon Mediapart, son comportement remonterait à plus loin encore, mais les faits sont désormais prescrits. En garde à vue, Daubigny s’est dit« dépassé ». Le couple avait été placé en garde à vue en novembre dernier, dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en août par le parquet de Paris. Il s’était notamment dit « dépassé » par la gestion de ses impôts, affirmant qu’il n’était alors pas en capacité de s’en occuper, relate Mediapart. Quant à son épouse, elle ne s’occupe pas de ces affaires-là, avait-elle justifié en garde à vue selon Le Monde. Jean Daubigny, ancien élève de l’ENA, a été préfet de La Réunion, puis des régions Champagne-Ardenne, Midi-Pyrénées, Bretagne ou encore Pays de la Loire. Il avait été nommé en mai 2012 directeur de cabinet de Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avant de devenir préfet de Paris et de l’Ile-de-France en décembre 2012 jusqu’à sa retraite en avril 2015.
Une fraction avariée de la magistrature (le mur des cons) devrait passer en jugement à l’automne. C’est plus de cinq ans, un quinquennat, après la constatation des faits par une photo, que les collègues vont s’entrejuger avec bien entendu toute l’indulgence qui convient,
du genre « ça ira pour cette fois-ci, mais ne vous faites plus prendre … ».
La procédure aura été moins empressée que pour François Fillon et Marine Le Pen.
Macron n’est ni pour, ni contre, bien au contraire …
Macron + Valls, les deux pour le prix d’un, attelage vénéneux !
Macron ? pantin de Hollande.
Trois bouffons : Hollande, Valls, Macron.
C’est quitter la bande des 27 qu’il faut !
Fric, cris, grimaces et bluff, Macron jour ses dernières cartes.
A Marseille, Macron est allé chercher les applaudissements des étrangers.
Poujadasse, un des principaux pourrisseurs de la campagne électorale. Ses instructions sont claires : pour Marine Le Pen, comme pour François Fillon, tout faire pour les empêcher de présenter leurs programmes en multipliant les diversions malhonnêtes. Pour Macron, c’est le tapis rouge, pas de questionnement pouvant vraiment le gêner, une complicité totale.
> > > affaire FILLON
> >
> > > Chers tous,
> > >> Voici trois infos capitales (surtout la première) pour Fillon. Deux
> > > émanent d’un haut magistrat du Parquet, qui “se mouille” et l’autre d’un
> > > ancien Rapporteur général du Budget, ancien député.
> > >>
> > >> 1°) tout d’abord l’accusation d’emploi fictif n’a pas été retenue par le
> > > Parquet national financier, or c’est celle-là qui “plombait” le plus
> > > l’accusation contre Fillon.
> > >>
> > >> CITATION: Le parquet national financier (PNF) a annoncé dans la soirée
> > > avoir ouvert vendredi une information judiciaire pour "détournement de
> > > fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits,
> > > trafic d'influence et manquements aux obligations de déclaration à la
> > > Haute
> > > Autorité sur la transparence de la vie publique".
> > >> Donc Fillon est blanchi par le Parquet lui-même d’avoir payé des emplois
> > > fictifs.
> > >>
> > >> 2°) Ensuite l’information judiciaire contre “X” par le Parquet signifie
> > > que le Parquet ne considère pas que ce soit Fillon le “coupable” des
> > > délits
> > > allégués, mais un “inconnu”, dont il incombera aux juges d’établir
> > > l’identité.
> > >> Traduction: cela signifie que les charges contre Fillon ne tiennent pas,
> > > parce que autrement il aurait été traduit directement en correctionnelle,
> > > en “citation directe”.
> > >>
> > >> 3°) Enfin la note de l’ancien rapporteur général du Budget, Philippe
> > > AUBERGER, (voir second mail contenant la P J)montre l’inanité des autres
> > > accusations, qui ne reposent sur aucun texte applicable.
> > >> Tout cela est une bonne nouvelle, SURTOUT L’ABANDON DE L’ACCUSATION
> > > D’EMPLOI FICTIF.
> > >>
> > >> Qu’on se le dise et qu’on le fasse savoir! pour une fois que le Parquet
> > > national aide Fillon... Cela change la tonalité de la campagne du tout au
> > > tout.
> > >
> > >
> > >
> > >
> > >
> > >>
> > >> *Communiqué de M. Jean Paul Garraud, Avocat général près la Cour d'appel
> > > de Poitiers:*
> > >>
> > >> L'ouverture d'information est faite contre X .
> > >> C'est un point très important car s'il y avait, selon la loi, des
> > > "indices graves ou concordants" contre F. Fillon, le Procureur national
> > > financier était dans l'obligation de le viser dans le réquisitoire
> > > introductif qui saisit les juges d'instruction.
> > >> Cela veut donc dire très simplement qu'il n'y a pas les éléments en
> > > l'état du dossier pour mettre en examen François Fillon.
> > >> L'enquête va donc se poursuivre, dirigée maintenant par des juges
> > > d'instruction.
> > >> Comprenez bien qu'une mise en examen n'a donc pas été requise.
> > >> Contrairement à ce que j'entends sur BFM et ailleurs, cette ouverture
> > > d'information contre X signifie qu'il n'y a ni charge, ni indice grave ou
> > > concordants contre lui à l'issue d'une enquête rondement menée .
> > >> Et pour que les juges, à présent saisis, mettent en examen, il leur
> > > faudrait donc des éléments complémentaires à l'enquête préliminaire.
> > >> Cette enquête a pourtant été déjà très fouillée.
> > >> Je ne vois pas dans ces conditions quel élément nouveau surgirait qui
> > > aurait pu échapper au PNF...
> > >>
> > >> C'est donc plutôt une bonne nouvelle mais les médias nous disent
> > > exactement le contraire !
> > >
> > > Cqfd pour la démonstration de l’ignoble manipulation dont Fillon et nous
> > > électeurs sommes victimes.
> > >>
> > >>
> > >>
> > >> *Note de Philippe Auberger, ancien élève de l'ENA, ancien élève de
> > > l'Ecole polytechnique, ancien député, ancien Rapporteur général du Budget
> > > à
> > > l’Assemblée nationale*
> > >
> > >
> > >
> > >
> > > L'auteur, assumant pleinement son analyse, souhaite qu'elle soit largement
> > > diffusée.
> > >
L'hameçon vénéneux de l'anti-France, Macron, apparaît de plus en plus pour ce qu'il est : le pantin de ceux qui l'ont sélectionné pour se cacher derrière. Il s'agit d'organiser la démolition de la France.
Objet: Fw: Fwd: Tr : Un autre Magistrat...
Une machination typiquement socialiste.
Le piège est ignoble, grossier, évident et les sondages sont faux (qui paye les sondages ?).
Sauf Filteris dont le modèle mathématique exploite 100000 données. Filteris avait prévu l’élection de Trump.
Look here, ca va vous remonter le moral en flèche :
Il faut voter Fillon. Et il sera élu.
Marc
1. Sachant que la gauche ne peut que perdre les élections à l’issue du quinquennat, dans l’entourage du Président, on monte depuis des mois des dossiers sur tous les principaux présidentiables de la droite.
2. Macron est mis en orbite. Sa nomination surprise à Bercy et son départ prématuré le font apparaître comme se démarquant de Hollande et de sa politique alors qu’il est un très proche et qu’il est responsable du bilan.
3. Hollande se retire. Impossible de faire autrement, son quinquennat est calamiteux et sa propre personne totalement discréditée.
4. Les primaires sont organisées pour la galerie. Le vrai candidat, c’est Macron qui, évidemment, ne passe pas par la case primaires.
5. Fillon sort gagnant des primaires de droite. Le canard enchaîné est aussitôt alimenté par la cellule de l’Elysée.
6. Le calendrier est bien étudié. Fillon s’envolant dans les sondages, on fait d’une situation qui a duré plus de 20 ans, où rien n’était caché, où rien n’a été dissimulé, un dossier spectaculaire à son encontre.
7. L’article aussitôt paru, le parquet national financier se saisit avec une rapidité exceptionnelle et ouvre l’enquête alors qu’il est incompétent. La gauche judiciaire est à la manœuvre.
8. La presse de gauche aussi. Le matraquage est intense, la défense de Fillon maladroite. Forcément, il est honnête. Les gens honnêtes se défendent souvent très mal. Je parle d’expérience.
9. Le feuilleton judiciaire est lancé. Toutes les semaines, la presse nourrit la Justice et vice-versa. Seuls les éléments négatifs fuitent du dossier en toute illégalité.
10. Les « sondages » font passer Macron devant Fillon puis à égalité avec Le Pen et finalement devant elle.
11. Alors que la date butoir des candidatures est dépassée et qu’il n’y a plus de possibilité de remplacer le candidat, le PS et le Président de la République demandent à Fillon de se retirer! Une élection sans le candidat de la droite, le rêve absolu.
12. Les ralliements à Macron se multiplient. Quelques hass been en quête d’une gloire perdue et surtout de plus en plus de… socialistes!
13. Le Drian, un des plus proches d’Hollande rejoint Macron. D’autres doivent suivre.
14. Pour parachever l’opération, il faut que Macron dispose d’une majorité à l’Assemblée. Du coup, l’un des derniers éléments du puzzle vise une investiture commune avec le PS après la victoire de Macron. Et le tour sera ainsi joué.
C’est la preuve par A+B de l’opération qui consiste à maintenir les socialistes au pouvoir.
En réalité, Macron est le successeur désigné de Hollande. Macron, c’est Hollande en pire.
Mais, le crime n’est pas parfait car ils en ont trop fait. Cela entraîne un net phénomène de rejet dans l’opinion.
Le piège est éventé.
Le summum: l’émission politique de Pujadas destinée à tuer Fillon mais qui l’a, au contraire, renforcé tellement les attaques étaient outrancières, injustes et sectaires.
La gauche qui montre ainsi son vrai visage commence à perdre du terrain car elle s’est heurtée à un candidat à la résistance exceptionnelle !
Jean Paul GARRAUD
Magistrat, Avocat Général Cour d’Appel
Conseiller Régional d’Aquitaine
En déclarant qu’il avait sept petits-enfants, lui qui n’a eu aucun enfant, Macron dit une fois de plus n’importe quoi. Avec son mensonge, il pervertit et détruit la famille.
Il paraît qu’Emmanuel Hollande (non, pas de lapsus) commence à fatiguer même les journalistes. Jeune homme présomptueux, lancé comme une savonnette avec les millions de Drahi, il est néanmoins désormais de moins en moins exclu qu’il morde la poussière en troisième position.
L’anti-France a absolument besoin d’une pâte molle à la présidence du pays. Macron, affectivement immature, vulnérable, fricophile, a été sélectionné : il ferait un excellent pantin.