Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

xavier eman

  • Nos campagnes en danger !...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°213, juin - juillet 2025) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à la mort progressive de nos campagnes, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Pierre-Henri Tavoillot, Christophe Guilluy, Frédéric Saenen, Thomas Hennetier ou Jacques Terpant...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non, de Bernard Rio et de Michel Marmin...

    Eléments 214.jpg

    Au sommaire :

    Éditorial
    Qui jugera les juges ? Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    Pierre-Henri Tavoillot: plaidoyer pour une civilisation d’adultes, propos recueillis par Thomas Hennetier

    Cartouches
    Jean-François Davy : scout toujours !, par Michel Marmin

    L’objet disparu: le roman-photo, par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéma: terrorisme sur grand écran, par Nicolas Gauthier

    Un homme, une maison d’éditions : Yoran Embanner, propos recueillis par Gérard Landry

    Curiosa Erotica: le double visage d’Apollinaire, entre érotisme et sadisme, par David L’Épée

    Champs de bataille: au bonheur du fana mili (I/III), par Laurent Schang

    Uranie, la faute (6), par Bruno Lafourcade

    Le droit à l’endroit: le mariage sans la chair, anatomie d’une déconstruction, par Aristide Leucate

    Économie, par Guillaume Travers

    Le tchékiste de Vladimir Zazoubrine, par Olivier François

    Bestiaire: la devise expérimentale des souris, par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    Christophe Guilluy: « L’inéligibilité du peuple, jusqu’à quand ? », propos recueillis par Daoud Boughezala et Xavier Eman

    Le regard de Jean-Robert Raviot sur la doctrine Poutine, par Gabriel Piniés

    Peter Turchin: quand l’histoire devient prédictive, par François Bousquet

    Thomas Hennetier: penser la décadence avec la revue Krisis, propos recueillis par Xavier Eman

    Salomon, vous êtes judéo-chrétien ? Un Occident introuvable, par Daoud Boughezala

    Léon Degrelle, la biographie-événement de Frédéric Saenen, propos recueillis par Laurent Schang

    Soviets de table: l’URSS côté cuisine et dépendances, par David L’Épée

    Comment devient-on Simon Leys ?, par Olivier François

    Voyage chez les Kalashs, derniers polythéistes du Pakistan, par Jean-Eudes Gannat

    Karl Kraus, l’anti-journaliste, par Jean Montalte

    Twin Peaks: protégez vos gosses !, par François-Xavier Consoli

    Le vrai Tchang Tchong-jen, l’ombre chinoise de Tintin, par David L’Épée

    Vers un game over du wokisme dans les jeux vidéo, par Thomas Gerber

    Pierre Michon ou l’Iliade intérieure, par Claude Chollet

    Jacques Benoist-Méchin, l’homme qui rêvait d’empire(s), par Thomas Hennetier

    Dossier
    Comment sauver nos campagnes

    Habiter, bâtir, transmettre: le défi rural, par François de Voyer

    Que reste-t-il de ces beaux jours ? Archéologie rurale et populaire, par Christophe A. Maxime

    Charles Stépanoff et les chasses paysannes, une anthropologie du rapport au sauvage, par Guillaume Travers

    Entre passion et désillusion, le paysage contrasté du « retour à la terre », par Xavier Eman

    Jacques Terpant: ce qu’il reste de la civilisation paysanne, propos recueillis par Xavier Eman

    Panorama
    La leçon de philo politique : Penser Heidegger avec Giorgio Locchi, par Ego Non

    L’esprit des lieux: Fiume ou Rijeka, l’élégance craquelée, par Daoud Boughezala

    Un païen dans l’Église: le loup vert de Boscherville, par Bernard Rio

    Il serait temps de lire Senancour, par Michel Marmin

    Esthétiques: Mathieu de ma jeunesse, par Michel Marmin

    Éphémérides

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • Adriano Scianca : « Il existe une troisième voie : celle qui cherche à conjuguer force et liberté, droit et identité, technique et enracinement. »

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Adriano Scianca à Xavier Eman pour le site de la revue Éléments, dans lequel il évoque la question de l'Europe qu'il a traité dans un essai remarquable et essentiel, Europe versus Occident - La fin d'une ambiguïté (Institut Iliade/La Nouvelle Librairie, 2024).

     

    Scianca_Adriano.jpg

     

    « Il existe une troisième voie : celle qui cherche à conjuguer force et liberté, droit et identité, technique et enracinement. »

    ÉLÉMENTS. Votre dernier ouvrage est consacré à la dichotomie entre « Europe » et « Occident », thème récurrent et central de la pensée de la Nouvelle Droite notamment. Pourquoi avoir ressenti le besoin d’une « mise au point » sur ce sujet ?

    ADRIANO SCIANCA : Parce que les réactions à la guerre en Ukraine que j’ai pu observer dans le monde non conformiste italien (mais je pense que la situation n’est pas différente en France) m’ont montré, d’une part, des milieux pro-russes qui ont suivi le discours de Moscou au point de confondre totalement la notion d’Europe avec celle d’Occident, en faisant un bloc unique « satanique » hostile à l’avancée du « monde multipolaire » ; et, d’autre part, des milieux hostiles à ce discours au point de se ranger  tout aussi absolument du côté du camp opposé, celui des libéraux et des occidentalisés, à la BHL. En pratique, la notion d’Europe a été ramenée à celle d’Occident par deux directions opposées : ceux qui s’opposaient à ce bloc et ceux qui l’exaltaient. C’est pourquoi j’ai jugé opportun de revenir sur cette distinction élémentaire.

    ÉLÉMENTS. Si vous concluez à la la différence ontologique entre « Europe » et « Occident », votre propos refuse cependant tout manichéisme simplificateur et vous n’hésitez pas à égratigner certaines « habitudes mentales » de la droite radicale qui adopterait parfois, selon vous, des postures caricaturales notamment vis à vis des États-Unis considérés comme « le Grand Satan ». Mais s’ils ne sont pas le « mal » absolu, les États-Unis n’en restent-ils pas moins l’ennemi principal d’une Europe souveraine, puissante et indépendante qui seule pourrait véritablement les concurrencer ?

    ADRIANO SCIANCA : J’avoue nourrir un certain scepticisme à l’égard de la catégorie d’« ennemi principal », qui me semble découler d’une mauvaise lecture de Schmitt. Le juriste allemand est un maître de la pensée concrète et lorsqu’il parle de l’ennemi et de l’ami, il a à l’esprit un conflit existentiel qui est déjà en cours avant même que les analyses politologiques ne se mettent en marche. À l’inverse, si je me mettais maintenant à dresser une liste des ennemis principaux, en classant une série de puissances géopolitiques en fonction de mes sympathies et antipathies philosophiques, je ferais un exercice très abstrait, donc très peu schmittien. Aujourd’hui, l’ennemi principal d’un Ukrainien est-il la Russie ? L’ennemi principal d’un Italien en 1915 était-il l’Empire austro-hongrois ? L’ennemi principal d’un Français qui s’est rendu au Bataclan le soir du 13 novembre 2015 est-il l’islam ? J’ai l’impression que dans tous ces cas, c’est toujours la réalité qui choisit pour nous, avant toute évaluation philosophique. Je ne veux toutefois pas éluder la question : les États-Unis restent certainement une puissance spirituelle, culturelle, géopolitique et économique anti-européenne. Je n’ai aucun doute à ce sujet. Les Américains nous voient encore comme l’empire corrompu qu’ils ont fui pour fonder la Nouvelle Israël. Cependant, refuser le manichéisme moraliste qui voit dans les États-Unis le Grand Satan et dans quiconque se déclare anti-américain un allié objectif ne signifie pas faire un pas vers Washington, mais au contraire, envisager une autonomie vis-à-vis des États-Unis d’une manière moins infantile et plus réaliste, donc aussi plus efficace.

    ÉLÉMENTS. Vous affirmez, à juste titre, que le rejet de « l’Occident » ne doit pas se confondre avec un néo-luddisme technophobe et une volonté de retour à « la lampe à pétrole ». Sans tomber dans ces excès, le sens de la mesure, du respect de la nature et de ses limites, la volonté de lutte contre l’hybris d’une certaine fuite en avant techno-scientiste ne font-ils pas partie de l’ADN européen ?

    ADRIANO SCIANCA : Les anciens Romains sacralisaient les frontières, placées sous la protection du dieu Terminus, mais ils ne cessaient de les repousser toujours plus loin. Chaque découverte, chaque invention, de la roue au feu, de la poudre à canon à l’énergie nucléaire jusqu’à l’intelligence artificielle, conduit à dépasser des limites et à en expérimenter d’autres. En fin de compte, personne, aussi « faustien » soit-il, n’aime s’écraser contre un mur à toute vitesse ou mourir des suites d’une irradiation nucléaire. L’absence totale de limites serait en effet invivable. Il n’en reste pas moins qu’une certaine tension vers l’inconnu, vers l’aventure, vers le risque, vers la découverte et l’expérimentation me semble inhérente à l’esprit européen et presque uniquement à lui. Bien sûr, ce trait identitaire vit une dialectique complexe avec la tension vers l’ordre, l’harmonie, la tradition. Mais aucun ordre n’est éternel, pas même le divin, comme nous l’enseignent les théogonies indo-européennes mouvementées. Ce qui me semble intrinsèquement anti-européen, c’est l’idée d’une limite absolue, d’une interdiction métaphysique, de règles données une fois pour toutes, que l’homme devrait se contenter d’accepter passivement. Quant à l’hybris, rappelons-nous qu’à l’origine, il s’agit de l’arrogance d’un homme envers son semblable du même rang (par exemple Agamemnon qui vole le butin d’Achille) dans un jeu de pouvoirs toujours tendu et contesté, et non du « péché » d’un homme qui ne sait pas « rester à sa place » dans des hiérarchies ontologiques fossilisées.

    ÉLÉMENTS. Vous écrivez que pour  affirmer son « européanité » face aux États-Unis, il ne suffit pas de se priver de Coca, de MacDo, de jean’s et de Marvel. C’est incontestable mais n’est-ce pas là néanmoins un indispensable préalable ? Pour refonder cet « être au monde » spécifiquement européen que vous appelez de vos vœux, n’est-il pas nécessaire se débarrasser des oripeaux imposés par le « soft power » américain au fil du temps et qui, loin de n’être que superficiels, façonnent les esprits et les comportements ?

    ADRIANO SCIANCA : Il ne peut certainement pas exister de bon Européen qui ne mange que du MacDo et ne regarde que des films Marvel. Ma critique vise toutefois un certain moralisme, qui résout toute la question dans une course à la pureté individuelle. Je crois en outre qu’un soft power se combat en lui opposant un autre soft power, et non en jouant les ascètes. J’ajouterai une réflexion supplémentaire : l’américanisation se propage-t-elle aujourd’hui davantage à travers les hamburgers de MacDonald’s ou à travers des récits que l’on voudrait même « dissidents » ? Il y a une américanisation à travers le conformisme, certes, mais il en existe une autre, peut-être plus dangereuse, qui s’impose à travers un prétendu anticonformisme. Aujourd’hui, une « dissidence » qui raisonne selon des schémas strictement américanisés s’est imposée. Il y a quelques années, j’ai entendu une dame du même âge que mes parents, étrangère à toute affiliation politique radicale, qui voulait me faire croire que Biden avait été arrêté en secret et que les grands médias cachaient la vérité. Pourquoi cette grand-mère placide, qui n’a probablement jamais mangé un Big Mac, au cœur de l’Italie profonde et authentique, me répétait-elle avec conviction les idioties de Qanon ? Pourquoi entendons-nous de plus en plus souvent les « dissidents » suivre des prédicateurs religieux, adopter des catégories politiques messianiques, prêcher le droit absolu à l’autodéfense armée sur sa propriété ? Avant de juger les Américains loin de nous, regardons ceux qui sont déjà parmi nous.

    ÉLÉMENTS. Vous appuyez sur la nécessité d’un certain « pragmatisme politique » pour sortir du romantisme improductif et de « l’absolutisme » incapacitant. Jusqu’où doit aller ce « pragmatisme », sans risque qu’il se mue en « compromission » ? Par exemple, peut-on (ou doit-on) soutenir Emmanuel Macron du fait de son aspiration proclamée à la création d’une « armée européenne » qui pourrait devenir à terme l’un des piliers d’une « Europe puissance » à laquelle nous aspirons ?

    ADRIANO SCIANCA : Si un gouvernement « ennemi » fait quelque chose qui va dans la bonne direction, il est juste de souligner ses contradictions, son inadéquation, son hypocrisie, mais on ne peut pas soutenir du jour au lendemain le contraire de ce que l’on a toujours soutenu juste pour contrarier les dirigeants. Il est clair pour tout le monde que l’activisme de Macron sur le front de la défense commune n’est qu’une tentative désespérée de figurer dans l’histoire comme un homme d’État européen malgré ses échecs dans son propre pays. Tout comme il est clair pour tout le monde que son profil anthropologique et culturel est mal adapté au rôle de meneur qu’il prétend soudainement pouvoir jouer. Et pourtant, après avoir reproché à cette Europe d’être impuissante, sans défense, désarmée, hors de l’histoire, on ne peut pas ensuite lui reprocher exactement le contraire, simplement par crainte d’être associé à Macron. Dans mon livre, j’évoque l’image d’une « singularité européenne », sur le modèle de la singularité technologique. Comme on le sait, cette dernière représente la phase où les machines intelligentes commencent à se programmer elles-mêmes, de plus en plus rapidement, échappant au contrôle de ceux qui les avaient conçues à des fins tout autres. De la même manière, il est possible que l’Europe puissance, une fois mise en mouvement par ces classes dirigeantes, devienne autre chose, échappe au contrôle de ceux qui l’ont évoquée et les balaye. En tout état de cause, je ne deviendrai pas un partisan de notre impuissance par crainte de paraître compromis avec le macronisme. D’autant plus que ceux qui portent de telles accusations ont généralement des fréquentations bien plus embarrassantes.

    ÉLÉMENTS. Dans les dernières pages du livre, vous évoquez comme objectif des « bons européens » le concept d’Hespérie, également mis en avant par David Engels, un terme qui peut paraître à première vue légèrement abstrus ou du moins relativement « désincarné ». Pourriez-vous en donner une définition concrète ?

    ADRIANO SCIANCA : Il s’agit d’un concept qui résulte d’une traduction quelque peu créative d’une distinction heideggérienne. Le philosophe allemand opposait l’Occident et l’Abend-Land. Le premier est l’Occident que nous connaissons, mondialiste et déracinant. Le second est quelque chose de complètement différent, c’est la reprise du génie grec mais dans un contexte qui n’est plus celui de la Grèce. Les traducteurs français ont rendu Abend-Land par Esperia (qui est d’ailleurs l’un des plus anciens noms donnés à l’Italie par les Grecs). Guillaume Faye a repris ce concept et l’a développé à sa manière. Il est évidemment toujours un peu difficile de donner une substance concrète à des concepts philosophiques, mais dans mon cas, le concept servait à briser la dialectique binaire entre l’occidentalisme des Lumières et l’anti-occidentalisme obscurantiste. Il existe une troisième voie : celle qui cherche à conjuguer force et liberté, droit et identité, technique et enracinement. Occident est le nom du lieu où le soleil meurt, Esperia est le nom de la terre qui garde le soleil dans la nuit du monde, en attendant son inévitable renaissance.

    Adriano Scianca, propos recueillis par Xavier Eman (Site de la revue Éléments, 25 avril 2025)

    Lien permanent Catégories : En Europe, Entretiens 0 commentaire Pin it!
  • Lovecraft, le créateur de mondes...

    Le quarante-neuvième numéro de la revue Livr'arbitres, dirigée par Patrick Wagner et Xavier Eman, est en vente, avec un dossier consacré à H. P. Lovecraft...

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

    Livr'arbitres 49.jpg

    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Nouveautés

    Gabriel Saillard

    Claude Bard

    Oskar Freysinger

    Maxime Dalle

    Coups de cœur

    Frédéric Schifter

    Jean-Pierre Martinet

    Jean Hautepierre

    Jean-Claude Jeener

    Coups de projecteur

    André Suarès

    Paul Morand

    Jean Dutourd

    Lucienne Desnoues

    Portrait

    Rudyard Kipling

    H. P. Lovecraft

    Entretien

    Jean-François Bory

    Luc Delisse

    Pierre Jonnon

    Pierre Le Vigan

    Alain Malraux

    Michel Mourlet

    Philippe Pichon

    Rémi Soulié

    Domaine étranger

    G. K. Chesterton

    Milorad Pavic

    Histoire-panorama

    Collection longue mémoire

    Conquistadors

    Tristan Derème

    Chant des partisans

    Jean-Edern Hallier

    Jacqueline de Roux

    In memoriam

    Jean-Paul Charygues de Olmetta

    Carrefour de la poésie

    Peinture en prose

    Poème en prose

    Poème en musique

    Jeux de mots

    Constant Burniaux

    Michel Marmin

    Cinéma

    Entretien avec Eric Le Roy

    Littérature jeunesse

    Trois album à lire avant le printemps

    Bande dessinée

    Les piliers de la terre, Jules Matrat

    Franquin

    Sturmtruppen

    Nouvelles

    J'avais vingt ans à l'époque

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • Transhumanisme : la grande accélération...

    Pour cette nouvelle édition de "Cette année-là",  sur TV Libertés, Patrick Lusinchi, avec Xavier Eman, Olivier François, Daoud Boughezala et Christophe A. Maximeremonte le temps jusqu’en en 2020 et plus particulièrement au numéro d’Éléments consacré au "transhumanisme", à ses thuriféraires, à ses projets plus ou moins fous et aux nombreuses interrogations et inquiétudes qu’il soulève. Des craintes qui ne font que grandir à l’heure où ce qui n’était encore, il y a cinq ans, que des prévisions ou des anticipations devient une réalité concrète, notamment au travers de la robotique de pointe et de l’intelligence artificielle.

     

                                                

    Lien permanent Catégories : Débats, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Le retour des dieux ou comment réenchanter le monde...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe du magazine, autour d'Olivier François, à l’occasion de la sortie du nouveau numéro, se penche sur la renaissance des religions autochtones païennes, notamment à l’Est de l’Europe, où elles sont à la fois une affirmation identitaire locale et une réponse au nihilisme matérialiste de la post-modernité.

    Au menu également : un focus sur la débâcle française en Afrique et le "tour de France des 14 écoles de journalisme", pouponnière du politiquement correct, à l’occasion de la sortie du livre de Xavier Eman, "Formatage continu"…

    On trouvera sur le plateau Xavier Eman, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, ainsi que Daoud Boughezala et Christophe A. Maxime...

     

                                                   

    Lien permanent Catégories : Débats, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Jack London, l'écorché vif...

    Le quarante-huitième numéro de la revue Livr'arbitres, dirigée par Patrick Wagner et Xavier Eman, est en vente, avec un premier dossier consacré à Jack London, un deuxième à l'imaginaire en littérature (suite) et un troisième aux écrivains aventuriers...

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

    Livr'arbitres 48.jpg

    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Nouveautés

    Eric Poindron

    Romain Lucazeau

    Jackie Berroyer

    Céline Laurens

    Paulina Dalmayer

    Jacques Cauda, Philippe Pichon

    Coups de cœur

    Richard Millet

    Stéphane Barsacq

    Charles-Henri d'Elloy

    Thomas Morales

    Sarah Vajda

    Coups de projecteur

    Alain Durel

    Olivier Amiel

    Alexis Legayet

    Jean-Paul Lasmoles

    Portrait

    Jack London

    Jean-Loup Trassard

    Dossiers

    Écrivain et aventurier

    Littérature et imaginaire

    Entretien

    Antoine Dresse

    Santiago Espinosa

    Marc Obregon

    Domaine étranger

    Somerset Maughan

    Karl Kraus

    Willem Frederik Hermans

    Monde des idées

    Pierre Corneille menteur

    Collection longue mémoire

    Henri Laborit

    Histoire-panorama

    Léon Daudet critique littéraire

    Pèlerinage de Chartres

    In memoriam

    Pierre de Ronsard

    Anatole France

    Carrefour de la poésie

    Peinture en prose

    Poème en prose

    Portraits

    Recension

    Littérature jeunesse

    Idées cadeaux

    Bande dessinée

    Sysiphe et Tristan et Iseut

    Don Quichotte de la Manche

    Vagabondage

    Un retour en Cévennes

     

     

     

     

     

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!