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thibault de montbrial

  • Immigration : analyses d'un naufrage français...

    Le numéro 63 du mensuel conservateur L'Incorrect est en kiosque. On peut notamment découvrir à l'intérieur un dossier central consacré au naufrage de la politique d'immigration en France, des entretiens avec le philosophe Rémi Brague et le romancier David Rochefort, ainsi que les rubriques habituelles "Monde", "Essais", "Culture", et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (49)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    • Dans son émission « Le Monde de la Philosophie » sur Radio CourtoisieRémi Soulié reçoit Alain de Benoist pour son dernier livre La puissance et la foi paru aux éditions Pierre-Guillaume de Roux. La conversation érudite se déroule autour du syntagme de théologie politique dont Alain de Benoist souligne la polysémie mais parvient à en dégager les contours avec précision :

     
    • La race et son obsession envahissante dans les rangs de l’extrême gauche et de certains islamistes est au sommaire de Cette année là, l’émission de la revue Éléments sur TV-Libertés :
     
    • Pour être totalement inclusif il convient que les hommes aient également leurs menstruations, du moins si l’on en croit un communiqué de l’Unef, syndicat étudiant qui fait là un grand pas dans la direction du « progressisme ». Une rubrique de Marie Chancel sur le site d’Éléments :
     
    • Rétablir l’autorité pour restaurer l’unité de la nation; c’est le pari que veut faire l’avocat Thibault de Montbrial, président de Centre de réflexion sur la sécurité intérieure et auteur de Osons l’autorité récemment paru aux éditions de L’Observatoire. Délinquance, radicalisation islamisme, ensauvagement, tous ces signes de délitement sont en expansion rapide et ne trouvent face à eux qu’une réponse pénale insuffisante dont nos gouvernants sont les premiers responsables (anarcho-tyrannie). Il est ici interviewé par Sputnik :
     
    • Julien Langella, l’un des fondateurs de Génération Identitaire et présentement porte parole d’Academia Christiana publie un livre-manifeste intitulé Refaire un peuple, pour un populisme radical aux éditions de La nouvelle Librairie. Un excellent ouvrage présenté ici sur le site de Breizh-info : 
     
    • Rudy Reichstadt et Tristan Mendès-France épinglé par l’OJIM pour leur « Complorama » mis en scène par Franceinfo sur la Russie, la Chine et l’Iran qui ourdiraient un vaste complot géopolitique et antisémite mondial:
     
    • La tyrannie des minorités. Michel Onfray était l’invité de l’émission de Laurent Ruquier samedi 6 mars pour la dénoncer. Mieux que de la dénoncer, il faut évidemment la combattre et pour ce faire voici les recettes suggérées par la fondation Polémia :
     
    • Jean-Paul Brighelli retrace dans un entretien sans concession le délitement accéléré de l’école de la maternelle à l’université et le place dans l’évolution de notre civilisation, qu’il dit à bout de souffle et dans la voie d’une décadence comparable à celle de la Rome antique. Excellente vidéo de Vincent Lapierre :
     
    • L’écrivain Pierre Jourde qui anime son blog sur le site de L’Obs se déchaîne à propos  des collaborateurs de l’islamo-gauchisme qui bien sûr n’existe pas, et leur envoie une bonne volée de bois verts, sans mâcher ses mots. Ici commenté par Pascal Tenno :
     
    • Cordicopolis, cité où le coeur a tous les droits à condition qu’il évolue exclusivement dans le camp du « bien ». Olivier Amiel sur le site de Causeur met en cause les Woke (les éveillés) en s’inspirant des réflexions du génial Philippe Muray. Il les désigne comme les principaux coupables de la mise sous tutelle de la jeunesse par les schémas de la cancel culture et les désignent  comme des maître subversif à l’instar de ceux qui embrigadait les jeunes générations dans 
    les Hitlerjugend ou les Komsomol.
     
    • Jean-Marc Jancovici face à Natacha Polony. Pourquoi les médias ne comprennent-ils rien aux questions d’énergie ? Une réflexion pleine de subtilité :
     
    • Jean-Marc Jancovici. Climat, quelle équation pour la chaine alimentaire? Brève intervention lors d’une conférence organisée par la Coopération agricole :
     
    • Les hommes sont trop nombreux sur terre. Didier Barthès, porte-parole de l’association Démographie responsable, tire la sonnette d’alarme. N’est-il pas trop tard pour agir ? Le mode de vie des populations les plus riches est-il un problème ? L’Afrique, souvent pointée du doigt, est elle une bombe à retardement ? En incitant à limiter la natalité, l’invité de « Politique & Eco » milite pour la stabilisation de la population, qui a déjà eu lieu en Europe. Une démarche qui pourra provoquer nombre de croyants et pourtant nécessaire si nous voulons avoir quelques chance de maintenir un planète durable :
     
    • Dans une excellente critique des films de Jean-Pierre Melville (notamment Le Cercle Rouge), Jean-Loup Bonnamy découvre avec talent la nostalgie de la France d’avant qui n’était ni moisie ni rance comme se plaisent à nous la conter des idéologues mal intentionnés mais respirait au contraire la joie de vivre :
     
    • Régis de Castelnau, avocat pénaliste, invité par Élise Blaise fait une bonne radiographie de la justice à l’époque du système Hollande-Macron: 
     
    • Une évolution qui séduit Rokaya Diallo. On attend avec impatience un acteur noir dans la peau d’Adolf Hitler :
     
    • Prenons exemple sur les Anciens qui célébraient sans honte la beauté des femmes et faisons du 8 mars la fête du beau sexe contre ceux qui entendent les dissimuler sous la bâche de leurs préjugés sexistes.
    Ci-joints les mosaïques de la Villa Romana del Casale, en Sicile (IV siècles ACN)
     
     
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  • Quand la Ministre de la justice se prononce pour le retour des djihadistes "français" détenus en Syrie...

    Nous reproduisons ci-dessous une analyse de l'Observatoire du journalisme publiée sur son site et consacrée aux déclaration de la Ministre de la justice en faveur du retour dans notre pays des djihadistes "français" détenus en Syrie...

     

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    Retour de djihadistes en France : une annonce de la Ministre de la justice sans controverse médiatique

    La ministre de la justice a évoqué samedi 11 janvier l’éventualité du rapatriement de djihadistes français détenus en Syrie. Cette annonce a tout du ballon d’essai lancé dans les médias, afin de prendre le pouls de l’opinion publique. Les médias français ont encore une fois été peu critiques face à cette annonce qui si elle était suivie d’effets pourrait être lourde de conséquence pour la sécurité des français.

    Cartes postales politiques

    Connaissez-vous les « cartes postales » en politique ? il ne s’agit pas de la carte en carton que l’on envoie avec un timbre de son lieu de vacances. Non, il s’agit dans le cas présent de messages qu’envoient les responsables politiques, parfois pour se rappeler au bon souvenir des électeurs, parfois pour sonder l’opinion publique et prendre des décisions en fonction des réactions à l’annonce faite à cette occasion.

    L’annonce qu’a faite la ministre la justice Nicole Belloubet au journal Libération le 11 janvier a tout de la carte postale. On prend le pouls de l’opinion publique. Si elle n’est pas trop rétive sur le sujet sensible que l’on a annoncé, on transforme l’essai et on concrétise ce qui a été envisagé.

    Libération sert la soupe

    C’est donc à Libération que la ministre de la justice a livré ses commentaires sur plusieurs « dossiers sensibles ». Parmi ces sujets, Nicole Belloubet est interrogée sur la situation des djihadistes français détenus en Syrie. Le journaliste de Libération pose à la ministre une question en entonnoir, en présentant une série d’arguments en faveur du rapatriement en France de combattants de l’État islamique. Après avoir énuméré la situation préoccupante en Irak, l’impossibilité de laisser la Syrie juger des djihadistes français, le refus de l’Irak de les juger et le fait que les kurdes qui les détiennent n’ont pas un État constitué en mesure de les juger, le journaliste demande à la ministre : « le rapatriement n’est-il pas inéluctable ? ».

    C’est ce que l’on appelle vulgairement « servir la soupe ». La ministre n’a même pas à développer des arguments qui viendraient à l’appui de sa réponse. Le journaliste de Libération lui les apporte sur un plateau. La ministre n’a plus qu’à répondre : « on ne peut prendre le risque d’une dispersion dans la nature ». Puis elle cherche à tranquilliser les lecteurs : « Tout combattant qui serait rapatrié serait judiciarisé comme nous l’avons toujours fait ».

    La couverture médiatique de la déclaration de la Ministre : entre neutralité et empathie

    On pourrait penser que cette déclaration provoquerait une tempête de réactions inquiètes ou indignées dans les médias ou une partie d’entre eux. Loin de là, à rebours de l’opinion publique, les médias de grand chemin oscillent dans cette annonce à peine voilée du rapatriement en France de guerriers de l’État islamique entre neutralité et empathie.

    La neutralité se vérifie dans l’absence dans certains articles de tout commentaire et de tout point vue autre sur la question que celui de la ministre. Ainsi Le Point évoque factuellement « Belloubet (qui) songe au rapatriement de djihadistes français en Syrie».

    Plus nombreux sont les médias à non seulement reprendre les propos de la ministre, mais aussi à donner la parole à un collectif qui milite pour…le rapatriement des djihadistes et de leurs proches.

    C’est le cas de L’Express , du Monde , de 20 Minutes, de RT France, du Figaro , etc., dans des articles souvent rédigés à partir d’une dépêche de l’AFP. Plusieurs médias reprennent les propos d’un membre du collectif « Familles unies » qui salue l’inflexion de la ministre sur ce sujet. Le Parisien donne également la parole à un membre de ce collectif et insiste sur la situation des femmes et des enfants qui sont en Irak. L’avocate des familles de proches partis en Irak estime que « les familles attendaient depuis longtemps que le gouvernement retrouve la raison ».

    Des risques évidents passés sous silence

    Peu de médias ont pris le temps d’apporter d’autres arguments que ceux de la ministre de la justice et de l’association prônant le retour des français partis pour l’État islamique. L’Opinion évoque la « désagrégation » de l’État irakien. Mais le journal mentionne également une enquête de terrain réalisée par un chercheur sur les prisons françaises. Il en ressort que « la propagande islamiste » s’y est largement diffusée. L’opposition de l’ancien premier ministre, Manuel Valls, au rapatriement en France de djihadistes est également mentionnée.

    A quelques exceptions près, les différents médias n’ont pris aucun recul vis-à-vis de l’argumentaire développé par Libération. Les seules personnes interrogées à ce sujet sont la ministre de la justice, l’association de djihadistes proches partis en Syrie et l’avocate de cette association.

    Il y a un an, fin janvier 2019, le gouvernement, le Quai d’Orsay cette fois, avait déjà lancé un ballon d’essai en évoquant le rapatriement de 130 djihadistes. Comme nous le relations dans un article paru le 8 février, le retournement de doctrine du gouvernement français à ce sujet, alors qu’il a toujours affirmé que les djihadistes doivent être jugés dans le pays de leurs méfaits, avait été relayé sans recul par de nombreux médias français de grand chemin.

    Les autres options que le rapatriement

    En ce début d’année, l’histoire se répète :

    - la détention en Syrie de djihadistes est présentée comme plus risquée qu’en France,

    - les seules personnes interrogées sont un représentant du gouvernement français et des proches de ceux qui sont partis en Syrie,

    - les seuls arguments présentés militent en faveur du rapatriement des djihadistes et de leurs proches.

    Des questions que l’on ne pose pas

    Pourtant, plusieurs éléments s’opposent à ceux présentés par la ministre et l’association des proches de ressortissants partis rejoindre l’Etat islamique :

    - La possibilité de confier les djihadistes au pays où ils ont commis leurs exactions, la Syrie. C’est ce que préconise Xavier Moreau, un expert en relations internationales, dans Sputnik International le 30 janvier 2019. « Pour protéger la France, il faut laisser Damas juger les djihadistes, car ils ont commis les crimes en Syrie. La question est que la France ne veut pas reconnaitre avoir perdu la guerre contre la Syrie  ». Au prix de la sécurité des Français ?

    - La difficulté à réunir en France des preuves des exactions commises par les djihadistes en Syrie pour les juger et les condamner. Une difficulté que soulève Xavier Moreau dans son interview. Le directeur du centre de réflexion sur la sécurité intérieure, Thibault de Montbrial, souligne dans une récente interview pour Causeur qu’ « une des raisons pour lesquelles les peines (des djihadistes condamnés en France NDLR) était en 2018 en moyenne de sept ans et demi est le fait que la justice est confrontée à un problème de preuves ». Rapatrier des djihadistes et les remettre en liberté peu après, une perspective réjouissante….

    La déchéance de nationalité

    - La possibilité de déchoir les djihadistes de leur nationalité, comme le préconisait C. Castaner en 2016 avant de considérer en 2019 que les djihadistes sont « Français avant d’être djihadistes ».

    Pour creuser cette piste, c’est dans des médias étrangers que nous apprenons que d’autre pays européens ont pris une autre direction que la France :

    Ainsi, en mars 2019, les médias allemands (Deutsche Welle, etc.) évoquent une solution radicale mais populaire : la déchéance de la nationalité pour les ressortissants allemands partis combattre dans les rangs de l’État Islamique. The local Denmark nous apprend en novembre 2019 que le Danemark vient d’adopter une loi permettant la déchéance de la nationalité, une mesure que la justice s’empresse d’appliquer dans le mois qui suit.

    Le site d’information belge 7 sur 7 nous apprend le 19 décembre que la justice belge a déchu de leur nationalité trois veuves de combattants de l’État islamique. La Suisse n’est pas en reste qui vient en ce début d’année de déchoir de sa nationalité une ressortissante partie combattre avec l’Etat islamique, nous apprend 24 heures le 3 janvier 2020.

    Plus de 250 terroristes libérés dans les deux ans à venir

    Dernier élément : en mai 2019, la ministre de la justice annonçait au journal Le Monde la libération de 254 personnes détenues pour terrorisme islamiste dans les trois ans (107 en 2021, 147 en 2020). Il va commencer à y avoir beaucoup de monde à surveiller… Alors que la France a un vivier de radicalisés qui ne cesse de croitre, sans compter ceux, estimés à 3 000 en 2017 dans un rapport parlementaire cité par le site Polémia, qui ne sont pas passés à l’acte mais sont dans « le haut du spectre » et dans une logique de pré terrorisme, on ne peut pas dire que les lanceur d’alerte soient nombreux dans les médias. L’avenir nous dira si cela était justifié…

    Observatoire du journalisme (OJIM, 14 janvier 2019)

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  • A Viry-Chatillon, comme en Afrique, les coupeurs de route sévissent...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'entretien donné par l'avocat Thibault de Montbrial à Charlotte d'Ornellas, pour Boulevard Voltaire, et consacré à l'attaque aux cocktails Molotov de deux voitures de police, à Viry-Chatillon, par une bande armée de la cité de La Grande Borne...

     


    Viry-Châtillon : il n'y a pas de coupeurs de... par bvoltaire

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  • Une France djihadiste ?...

    Les éditions Ring viennent de publier une enquête d'Alexandre Mendel intitulée La France djihadiste et consacrée aux Molenbeek français, ces fiefs islamistes, qui seraient au nombre d'une centaine d'après l'actuel ministre de la ville Patrick Kanner. L'ouvrage est préfacé par l'avocat Thibault de Montbrial, qui préside le Centre de réflexion sur la sécurité intérieure.

    Né en 1978, formé au Centre universitaire d'enseignement du journalisme de Strasbourg, Alexandre Mendel collabore régulièrement à Réforme, Midi Libre et Valeurs actuelles. Il a également travaillé pour plusieurs titres de la presse quotidienne régionale. Journaliste d'investigation et de terrain, il est le premier en France à s'être intéressé au départ pour l'État islamique des vingt djihadistes de Lunel.

     

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    " « Mens aux mécréants, vole-les, entraîne-toi, ne fume plus, ne bois plus, convertis les faibles, ne serre plus la main des femmes, passe les frontières, viens en Syrie, rentre chez toi, tue au nom d'Allah et attends la guerre civile. Provoque-la. »

    Il existe des enquêtes commises depuis le confort parisien ; elles inondent les librairies. Il existe aussi un journaliste qui a mené l'enquête de terrain que tout le monde attendait, celle à laquelle personne n'a osé se confronter.

    À l'heure où vous lisez ces lignes, la haine est à quinze minutes de chez vous.

    Bienvenue dans la France djihadiste. "

     


    TRAILER OFFICIEL "LA FRANCE DJIHADISTE... par Editions_Ring

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  • Tour d'horizon... (97)

     

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur la lettre Communication & Influence, Bruno Racouchot, directeur de Comes Communication interroge Thibault de Montbrial, avocat et fondateur du Centre de réflexion sur la sécurité intérieure

    Le sursaut ou le chaos : Thibault de Montbrial décrypte le terrorisme entre droit, sécurité et jeux d'influence

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    - sur le Figaro Vox, Périco Légasse, critique gastronomique attaché aux traditions culinaires, interrogé par Alexandre Devecchio, revient sur la question de la viande rouge, classé produit cancérogène par l'OMS...

    Périco Légasse : non à la barbaque américaine, vive la côte de bœuf française

     

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