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racisme anti-blanc

  • Notre avant-guerre civile...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe du magazine, autour d'Olivier François, à l’occasion de la sortie du nouveau numéro, revient sur l'enquête de la rédaction consacrée à cette autre Amérique, plus populiste que conservatrice, plus libertaire que libertarienne, qui tourne le dos aux néo-conservateurs et à leurs guerres, aux "woke" et à leur censure, aux hygiénistes et à leurs interdictions – et a de quoi séduire les Européens, fussent-ils hostiles à l’imperium américain.

    Au menu également : un reportage exclusif sur le racisme antiblanc dans les écoles, tabou des tabous, un duo/duel Delon-Belmondo, le nouveau livre de Rodolphe Cart paru à La Nouvelle Librairie : "La menace néoconservatrice - Une France et une Europe sous influence".

    On trouvera sur le plateau François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart...

     

                                             

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  • Et si on parlait du racisme anti-blanc ?...

    Pour cette nouvelle édition de Cette année-là, sur TV Libertés, Patrick Lusinchi, avec François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments, Olivier François, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cartrevient sur les polémiques autour du racisme anti-blanc, tabou de l’antiracisme officiel, mis sous le tapis de la République.

    Au menu : les non-dits du vivre-ensemble, la guerre des yeux, l’inassimilation, l’hyperviolence, la question d’un néonationalisme ethnique qui traverse à peu près toutes les communautés.

     

                                              

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  • Tragédie de Crépol : un simple fait divers ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'analyse à chaud par l'Observatoire du journalisme du traitement par les médias du raid sauvage mené par une meute d'allogènes armés de couteaux contre le bal du village de Crépol, qui s'est terminé par le meurtre du jeune Thomas Perotto.

    Thomas_Crépol.jpg

     

    Tragédie de Crépol : rixe ou agression ?

    Tragédie de Crépol : rixe ou agression ?

    Un bal d’automne dans la Drôme tourne au massacre. Dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023, à Crépol, une quinzaine d’individus armés de couteaux font irruption dans la salle communale, assassinent Thomas, jeune lycéen, et blessent 16 autres personnes. Un énième “fait divers” qui vient troubler la tranquillité de ce village auvergnat.

    Une couverture à géométrie variable

    Cette attaque d’une violence inouïe a frappé Crépol le week-end du 18 novembre 2023. À cette période, tous les médias mainstream étaient tournés vers l’agression au cutter par un vieillard de Mourad, un jardinier dans le Val-de-Marne dont le camion bloquait une route, mais n’ont eu aucun mot pour Thomas pendant les trois jours suivant l’attaque (Boulevard Voltaire, 22/11/2023).

    Marion Maréchal a alors pris la parole affirmant que “Pour un Mourad, il y a cent Thomas” et ajoutant que ce fait divers révèle “les prémices de la guerre civile” et d’une ”guerre ethnique” (Le Figaro, le 22/11/2023).

    « Rixe» employé à la place d’attaque préméditée

    Il est intéressant de noter le choix délibéré et systématique du terme “rixe” dans les premiers rapports médiatiques. Ce choix sémantique semble avoir été privilégié pour banaliser et minimiser l’importance de ce “fait divers”, en renvoyant à une altercation entre jeunes plutôt qu’un acte unilatéral de violence préméditée. Effectivement, lors de sa conférence de presse, le procureur de Valence, Laurent de Caigny, avait qualifié l’événement de “rixe générale” et d’”expédition programmée” (Valeurs Actuelles, le 20/11/2023).

    Cette volonté de marteler la notion de “fait divers” constitue une réelle stratégie visant, selon certains, à dépolitiser un sujet d’une plus grande ampleur (Valeurs Actuelles, 22/11/2023).

    « Planter des blancs »

    Alors que la section de recherche de Grenoble est chargée de l’enquête, les militaires assurent – sans rire — qu’il n’y a eu “aucune revendication religieuse ou politique” et que les faits s’apparentent davantage à une “bagarre” ou “une rixe” (Le Figaro, le 19/11/2023).

    Comme le rapporte Le Dauphiné (20/11/2023), des mères s’insurgent : “Certains médias disent qu’il s’agit d’une rixe ou d’un règlement de comptes, c’est faux ! On ne peut pas laisser dire ça !”. Un jeune homme présent au moment des faits rapporte que les agresseurs ont dit vouloir “planter des Blancs” et ajoute : “C’était l’horreur. Pour moi c’est clairement un attentat”.

    Entre euphémismes et cachotteries

    « Il faut à ce stade rester prudent sur l’origine des agresseurs » témoigne une source proche de l’enquête dans Le Parisien, BFMTV fait état d’une “rixe”, d’une “bagarre” et du “pain bénit pour l’extrême droite” que constituerait cette affaire.

    France Info s’est aussi vu attribuer une note de la communauté sur le réseau social X suite à sa description de l’attaque mortelle de samedi soir comme une “rixe en marge d’une fête à Crépol”. Cette note souligne que “la manière dont l’information était présentée de manière trompeuse. Il s’est agi d’un meurtre, de tentatives de meurtre, coups et violence en bande organisée commis par des jeunes contre les participants pacifiques à une fête de village”. En effet, le terme “rixe” fait davantage allusion à une querelle violente dans un lieu public, entre deux groupes antagonistes, et non à une telle agression conclue par le meurtre d’un adolescent et les blessures d’autres innocents. Ce même média a préféré accuser l’”instrumentalisation” et la “surenchère de la récupération politique” de la part d’une partie de la droite (FranceInfo, le 21/11/2023).

    En réalité, l’enquête est menée pour “tentatives de meurtre, de coups et de violences en bande organisée” (Le Dauphiné, le 22/11/2023).

    De nombreux témoins s’agacent des termes utilisés par les publications susnommées, minimisant la réelle ampleur de l’événement, comme Emmanuelle, l’une des organisatrices du bal affirmant : « C’était une attaque pas une rixe ou une bagarre ! Y’avait du sang partout… Des gens essayaient de sauver Thomas » (Le Parisien) ou encore Léo, l’un de ses amis “On a la haine, Personnellement j’ai un sentiment de violence incontrôlable” .

    Une affaire Lola bis

    Comme Lola ou encore Enzo, et tant d’autres innocents, Thomas sera rapidement oublié, n’aura pas de minute de silence à l’Assemblée nationale, et ne sera pas élevé au rang de “petit ange parti trop tôt”. L’appareil médiatique préfèrera se conforter dans la pusillanimité, renonçant une nouvelle fois à énoncer la réalité.

    Observatoire du journalisme (Ojim, 24 novembre 2023)

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  • Feu sur la désinformation... (390)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      En image de la semaine, une vidéo drôle captée lors d’une manifestation de soutien aux iraniennes luttant contre le port obligatoire du voile islamique. Elle implique bien sûr une élue qui nous est chère...
    • 2 - Un élu socialiste dénonce le racisme anti-blanc
      Pour notre premier sujet, nous jetons un coup d'œil à la bataille que livre Libération à CNEWS, entre accusations infondées et, peut-être, parts de vérité.
    • 3 - Revue de presse
      En revue de presse, nous allons, en plus de vous présenter l’actualité marquante de la semaine, nous concentrer sur les rouages et les mécanismes du système médiatique !
    • 4 - Lula vs Bolsonaro
      Et enfin, une petite rétrospective sur le traitement médiatique réservé aux élections brésiliennes et particulièrement à Jair Bolsonaro, le président sortant qui ne sortira peut-être pas.

     

                                                

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  • Feu sur la désinformation... (325)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      L’image de la semaine est une caricature à propos de la subvention d’une mosquée radicale par la mairie de Strasbourg. Une caricature qui n’a pas été retenue par le média régional Les Dernières Nouvelles d’Alsace !
    • 2 : Audrey Pulvar : la haine des blancs au programme
      Dans un entretien accordé à BFM, Audrey Pulvar a annoncé que les Blancs devaient se taire s’ils assistaient à des réunions réservées aux extra-européens. Des propos de l’ancienne journaliste qui en disent long sur la dérive idéologique anti-blanche de la gauche.
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Covid-19 : catastrophisme et confinement
      Depuis plusieurs jours, une pression médiatique énorme était mise sur l’opinion publique avec la multiplication de propos catastrophistes. Emmanuel Macron a finalement annoncé une extension d’un confinement « allégé » à toute la France. Le « en même temps » macronien pour satisfaire tout le monde et personne à la fois ?

     

                            

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  • Noir c'est plus noir !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur son blog A moy que chault ! et consacré à un psychodrame médiatico-sportif, mettant en scène un pseudo-incident raciste, qui défrayé la chronique pendant quelques jours. Animateur du site Paris Vox, rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulé Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019) et d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019).

     

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    Noir c'est plus noir !

    Est-il insultant, haineux, abject, en un mot « raciste », de désigner quelqu’un par sa couleur de peau ? Oui, si l’on en croit le psychodrame « antiraciste » qui a frappé le monde du sport et le landernau politico-médiatique à l’occasion de la rencontre de football entre le PSG et le club turc du Basaksehir (voir ici). Pourtant lorsque l’on veut désigner à l’attention d’autrui une personne dont on ne connaît pas le nom, n’est-il pas tout à fait logique et normal de la qualifier par le trait distinctif le plus parlant, le plus évident ? C’est bien sûr ce que la plupart des gens font quotidiennement. Si ce procédé d’usage commun peut paraître déplacé ou désobligeant lorsqu’il réduit la personne concernée  à un handicap ou à un trait particulièrement disgracieux (« le borgne », « la boiteuse »,  « le bigleux », « l’obèse »… etc… encore que généralement la personne n’est pas sensée entendre cette qualification…), il n’en est rien lorsqu’il s’agit de couleur de peau, celle-ci n’ayant rien de péjorative, de dégradante ou d’indigne en soi. A moins d’avoir honte de celle-ci, de la porter comme une disgrâce, une souffrance ou un boulet…  Or ce n’est pas le cas, puisqu’on nous rebat au contraire  quotidiennement  les oreilles avec l’affirmation  de la « fierté noire » (« Black lives matter ! », « Black pride ! », « Black power ! »…). Puisque les noirs sont  fiers de l’être, en quoi est-il raciste et injurieux de dire qu’ils le sont ? C’est  parfaitement absurde et profondément tartuffe,  mais nous en sommes pourtant  là… Pour quelle raison ? Et bien parce que l’antiracisme activiste est devenu si  vindicatif et totalitaire qu’il interdit aux blancs le droit même de prononcer un mot que seuls les principaux intéressés peuvent utiliser pour se qualifier. Évidemment cet interdit chromatico-sémantique n’est valable que dans un sens. Comme toujours.  « Je suis noir si je le veux, ce n’est pas au blanc de m’assigner à une couleur de peau dont pourtant je suis très fier ! »…  On voit bien que nous ne sommes plus là dans le domaine du débat rationnel mais dans celui des psychopathologies, dont l'une des expressions les plus fréquentes est l’hystérie. Une hystérie qui nourrit ce que l’on peut désormais  appeler sans exagération une nouvelle Terreur. Une Terreur « antiraciste » avec sa loi des suspects, ses condamnations arbitraires, ses procès sans avocat, ses lynchages collectifs, ses chasses à l’homme… Une Terreur où « l’antiracisme » n’est en réalité que le cache-sexe d’un autre racisme, anti-blanc celui-là, d’une volonté revancharde d’humiliation et de soumission des anciens prétendus « maîtres ».

    Xavier Eman (A moy que chault, 11 décembre 2020)

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