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politiquement incorrect

  • Parlez-vous le mème ?...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un essai, sous forme de lexique, d'Anne Tremblay et Paul Francpain intitulé Parlez-vous le mème ? - Une contre-culture numérique de droite. Anne Tremblay est illustratrice et Paul Francpain étudiant en histoire et en sciences politiques. Tous deux fréquentent assidument les secteurs les plus politiquement incorrects et inventifs de la Toile.

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    " Il y a sur Internet des mots, insolents et facétieux comme des lutins ou des farfadets. Des petits êtres lexicaux qui se cachent dans ses forums et ses arcanes. Par magie, ils échappent aux griffes de la pensée unique. Ce sont des incels, des coomers, des chads. Et même des animaux : loups alpha, bêta, gamma ou batracien effronté. La forêt numérique est peuplée de ces créatures libres. Les voici présentées et illustrées.

    La jeunesse est un état d’esprit mais surtout un vocabulaire, qui évolue à vive allure sur la Toile. Parlez-vous le mème ? Anne Tremblais et Paul Francpain vous livrent les secrets de la contre-culture numérique de droite. Un florilège des expressions les plus populaires. "

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  • Géopolitique et cultures...

    Les éditions Béliveau, installées au Québec, viennent de publier Géopolitique et cultures - Mentalités, identités, rivalités, un essai de Gérard Montifroy et de Donald William. Professeur de géopolitique au Québec, Gérard Montifroy a publié aux éditions Frison-Roche et chez l'Age d'Homme avec Marc Imbeault, entre 1995 et 2005, une série d'essais de géopolitique particulièrement décapants. Donald William fait partie de cette même école québecquoise et a publié un essai intitulé Le choc des temps (Frison-Roche, 2000).

     

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    Les temps changent... la géopolitique aussi.
     
    Cette mutation aura eu pour espace-temps le XXe siècle. À l'origine académique, puis idéologique, le dernier quart du XXe siècle aura vu l'émergence de sa dimension dynamique. C'est pourquoi celle qui se développe en ce début de XXIe siècle s'est éloignée des ambivalences universitaires, de ses pesanteurs et repousse les idées reçues qui entravent les constantes et les variables. La recherche de l'efficacité dans l'analyse se situe au plus près des faits.
     
    Ces faits dérangent les idéologies de la pensée dominante officielle: ils bousculent les tabous. D'un côté, l'idéologie dominante; de l'autre, l'analyse géopolitique. Réagir aux nouvelles données en amont avant les autres, c'est prouver sa capacité d'adaptation et son indépendance: c'est l'actuel défi géopolitique. Il s'inscrit dans un rapport de forces.
     
    Pour les auteurs, le défi était clair: ne pas se raconter d'histoires, mais situer les références pour comprendre les faits dans le temps qui passe.

     

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  • Les esclaves heureux de la liberté...

    Les éditions David Reinharc viennent de publier un essai décapant du philosophe et journaliste espagnol Javier Ruiz Portella, intitulé Les esclaves heureux de la liberté - Traité contemporain de dissidence. Pour Dominique Venner, il s'agit d'"un formidable et réjouissant instrument de nettoyage des méninges et des idées reçues", d'"une petite bombe atomique philosophique"... L'ouvrage est préfacé par Bruno de Cessole.

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    "Sous le titre Les esclaves heureux de la liberté. Traité contemporain de dissidence, un essayiste espagnol parfaitement francophone publie un formidable et réjouissant instrument de nettoyage des méninges et des idées reçues. Son livre a d’abord été publié en Espagne à la veille de l’été aux Editions Altera (Madrid). Il s’agit d’une véritable "bombe atomique philosophique" comme l’a remarqué la Nouvelle Revue d’Histoire dans sa parution de septembre/octobre 2011, en annonçant la parution du livre. Philosophie sans le jargon des philosophes mais avec de multiples emprunts à l’histoire. C’est un essai qui prouve, entre autres, le pouvoir régénérateur de la pensée et de la mémoire historiques. Aucun disciple de Nietzsche n’avait écrit quelque chose d’aussi fort, avec tant de poésie, d’humour et de vigueur renversante. Pourquoi la beauté et la vigueur ont-elles déserté notre monde ? Pourquoi les hommes libres de la modernité sont-ils les plus esclaves de tous ? Comment échapper à cette fatalité ? L’ironie et l’humour affleurent déjà dans le titre, dans lequel il est question d’esclaves... heureux du fait même de leur liberté ! Qui sont-ils ? Ce sont nos contemporains. Ce sont les hommes et les femmes plongés dans le plus cruel des paradoxes : celui qui marque les êtres les plus libres de toute l’histoire... mais aussi, de fait, les plus soumis aux objets, aux produits et à la consommation. Autrement dit : soumis au pouvoir de l’argent et à la mainmise du matérialisme. Tel est le paradoxe de nos temps : l’homme moderne connaît une heureuse prospérité, eu égard à l’histoire de l’humanité... mais il est misérable, dès lors qu’on porte son regard sur le sens qu’il donne à sa vie et au sort qu’il réserve à la beauté du monde. C’est bien une critique acérée de notre temps qu’entreprend ce Traité contemporain de dissidence, sorte de manuel du "politiquement incorrect"."

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