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liberté de la presse

  • Les médias en guerre contre la démocratie ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Camille Galic, cueilli sur Polémia et consacré à la guerre que les médias mènent contre le peuple français.

     

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    Les médias en guerre contre la démocratie?

    Selon L’Alliance pour les Chiffres de la Presse et des Médias (ACPM), la diffusion en 2022/2023 de la presse écrite, quotidienne ou périodique, a encore reculé de 3,8% par rapport à 2021/2022. Ce qui signifie, commente François Solchaga (1), qu’« une presse réellement indépendante de l’État et des grands trusts mondialisés semble donc condamnée à terme » puisque, plus que jamais, « son avenir passe par les aides de l’État et par le bon vouloir de groupes industriels ou financiers incorporant la presse (papier et numérique) dans le panel des outils utilisés pour leur communication, leur publicité. Voilà qui n’est guère rassurant pour l’indépendance desdits médias ».

    Que reste-t-il de la liberté de la presse ?

    Édités par La Documentation française dépendant de la Direction légale et administrative ou DILA elle-même placée sous l’autorité du Secrétaire général du gouvernement (actuellement : l’énarque Claire Landais, née en 1973 et première femme à occuper ce poste stratégique), les Cahiers français, qui ont pour vocation de « comprendre la société, éclairer le débat public », ont justement choisi « Médias et démocratie » (2) comme thème de leur livraison de septembre-octobre 2023 car « une démocratie ne saurait aller sans l’existence d’une information libre ».

    Certes, mais on peut se demander si l’information est réellement libre quand la loi de 1881 sur la liberté de la presse a été bonsaïsée au cours du dernier demi-siècle par les mutilations qu’ont apportées les lois Pleven (la seule mentionnée en « date-clé » dans les Cahiers français), Gayssot, Lellouche et Perben multipliant à l’infini les catégories de victimes potentielles habilitées à se pourvoir en justice car prétendument attaquées sur les plans racial, religieuse, physique, historique et maintenant sexuel. Et la liberté de la presse est mêmement bafouée quand la Commission paritaire dispensatrice d’aides (colossales dans le cas de Libération, de La Croix ou de l’Humanité dont les dettes ont même été épongées par l’Etat) en prive les organes mal-pensants dès lors qu’ils comptent trop de pigistes et pas assez de journalistes professionnels dans leur rédaction, qu’ils ne vendent pas leur journal assez cher (cas du défunt quotidien Présent survivant aujourd’hui comme Le Nouveau Présent sur internet) ou de l’hebdomadaire Rivarol croulant sous les procès intentés en vertu des lois susdites.

    Une défiance justifiée

    Ainsi muselée la presse libre, qui assurait une certaine diversification, les Cahiers feignent de s’étonner de « la défiance des Français vis-à-vis des médias ». « Si la crise de confiance à l’égard des médias est ancienne , elle n’en est pas moins symptomatique d’un état de fait. Les médias en général et les journalistes en particulier ont, si l’on ose dire, mauvaise presse », constate ainsi le sociologue Rémy Rieffel, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication, qui explique ce désamour par le fait de la « faible diversité sociale » des milieux journalistiques où « les “minorités visibles” sont insuffisamment représentées », ce qui « ne favorise guère une lecture nuancée et plurielle de la réalité » — l’éminent professeur ne doit pas regarder souvent les diverses chaînes de télévision où les intervenants racisés sont, comme dans les publicités, de plus en plus nombreux.

    Évoquant lui aussi ce « réel problème de défiance […] particulièrement notable en France », Bruno Patino, ancien doyen de l’École de journalisme de Sciences Po promu président de la chaîne Arte, déplore aussi que, « en 2022, seulement 29 % des Français disent faire confiance aux médias, et ce chiffre baisse chaque année ». Au profit des sites indépendants d’information, tel Polémia ou Boulevard Voltaire, et des réseaux sociaux.

    A qui la faute ? Peu avant qu’à la présidentielle de 2002, Jean-Marie Le Pen n’ait talonné le sortant Jacques Chirac, éliminant au passage le Premier ministre Lionel Jospin que tous les augures donnaient favori, il ressortait d’un sondage IFOP commandé par Marianne que 90% des journalistes professionnels s’apprêtaient à voter à gauche, pas un n’ayant coché le président du Front national dans la liste des candidats proposés. Deux décennies, plus tard, les Français confrontés à une immigration exponentielle et à ses corollaires, la paupérisation et l’insécurité, sont de plus en plus séduits par le FN devenu RN comme en témoignent les sondages — selon l’un des derniers en date, réalisé par l’IFOP pour Livre Noir, 86% des sondés, majorité écrasante, se prononcent ainsi pour le remigration des clandestins — mais aussi les prises de position souvent très réacs sur les forums de discussion.

    Mais la quasi-totalité de la gent journalistique, elle, campe toujours à gauche. Voir tout récemment, la mobilisation — approuvée par l’ensemble de la profession — des rédacteurs du Journal du dimanche se disant menacés dans leur éthique par l’arrivée à leur tête de Geoffroy Lejeune, ancien directeur de Valeurs actuelles, hebdo unanimement catalogué d’extrême droite. Ou encore le choix du service culturel de France Info qui, le 24 septembre, au lendemain de la grand’messe de Marseille où le pape François avait appelé à l’accueil inconditionnel aux migrants et fustigé ceux qui s’y refusaient, choisissait de mettre en exergue deux livres bouleversifiants (dont l’un pour la jeunesse) sur les affres d’Africains risquant leur vie et parfois la perdant pour rejoindre à tout prix l’Eldorado européen. De la même manière, les deux journalistes (Anne-Claire Coudray pour TF1 et Laurent Delahousse pour France 2 qui, le même soir, interviewaient Emmanuel Macron n’avaient qu’une obsession: savoir combien des « migrants de Lampedusa » allait accueillir la France et dans quel délai. Comme si c’était, ici et maintenant et en dépit des Diktats du pape François, la principale préoccupation du peuple souverain !

    La preuve par CNews

    Rien d’étonnant, donc, si, délaissant une presse majoritairement aux mains du grand capital et les chaînes de radio et de télévision alignées et dégoulinantes de moraline, beaucoup de nos compatriotes ont assuré le succès de CNews et ont renoué avec Europe 1, qui offrent un autre son de cloche avec les encouragements de leur repreneur Vincent Bolloré. Il est du reste symptomatique que ce dernier soit mentionné à trois reprises, et négativement, dans les Cahiers français, muets en revanche sur l’omniprésence au capital des médias d’autres milliardaires tels le défunt Pierre Bergé, le banquier Mathieu Pigasse, Xavier Niel, François Pinault, Bernard Arnauld, le richissime Tchèque Daniel Kretinsky (qui a revendu à Niel ses parts du Monde) ou le très cosmopolite Patrick Drahi, actionnaire majeur de L’Express, patron du groupe Altice (BFMTV, RMC et la chaîne israélienne 124 News) et heureux détenteur des nationalités marocaine, française, israélienne, portugaise et christophienne — du nom de Saint-Christophe et Nieves, un paradis fiscal antillais.

    Il est vrai que, sur certains sujets tels le Covid, l’immigration, le climat, le wokisme ou la guerre russo-ukrainienne, CNews et Europe 1 qui s’inspirent, — avec des moyens très supérieurs — des précurseurs TV Libertés et Radio Courtoisie, passent outre aux oukases de l’État profond et font appel à des intervenants personae non gratae ailleurs. Mais n’est-ce pas cela, justement, la démocratie ?

    Ce qui prouve combien le titre « Médias et démocratie » choisi par les Cahiers français et la neutralité apparente de ces derniers sont trompeurs. La démocratie, d’accord, mais selon la doxa actuelle et dans les clous. Autrement dit, revue et corrigée par l’oligarchie du Nouvel Ordre mondial qui a mis « les médias en servitude » (3).

    Au secours des apprentis-sorciers de la « transition de genre »

    On en dira autant, d’ailleurs, de « Jeunesse, de nouvelles identités de genre » (4), autre fascicule publié en juillet dernier par La Documentation française, dû à Arnaud Alessandrini et dont la philosophie est simple : puisque la loi n’interdit pas aux mineures d’avorter, au nom de quoi pourrait-on leur interdire de changer de sexe, fût-ce au prix d’un bombardement d’hormones et de mutilations irréversibles, afin de « faire respecter leur identité de genre » ? Car leur bonheur futur est en jeu. À preuve, « les professionnels de soin estiment la part de regret à 1% des personnes suivies, notamment dans les cohortes de mineurs ».

    On notera que l’auteur ne précise pas quels sont ces « professionnels de soin ». En revanche, les médecins, sociologues, éducateurs et psychiatres telle Caroline Eliacheff, pourtant fille de ‘icône Françoise Giroud, hostiles aux opérations de transition déjà pratiquées en France sur près de trois cents adolescent(e)s, voire enfants, sont étiquetés par lui « militants » ou même « activistes ». En toute objectivité, bien sûr.

    Au fait, à part le site Fdesouche le 15 septembre, quel média a fait écho à la plainte déposée par Luka Hein, une jeune Américaine du Nebraska, contre les apprentis-sorciers qui l’avaient persuadée, alors qu’elle n’avait que seize ans et était mal dans sa peau comme tant d’ados, de subir l’ablation de ses seins et une hormonothérapie massive qui, loin de favoriser son épanouissement dans sa nouvelle « identité de genre », ont fait d’elle une épave ? Physiquement et psychologiquement. Mais la malheureuse n’est sans doute qu’une de ces exceptions (1%…) confirmant la règle qu’entend promouvoir pour notre bien à tous La Documentation française, naguère mieux inspirée. La parole est à Mme le Premier ministre, tutrice de la DILA.

    Camille Galic (Polémia, 28 septembre 2023)

     

    Notes :

    (1) https://nouveaupresent.fr/2023/09/20/nouvelles-des-medias-partiellement-compense-par-le-numerique-un-nouveau-recul-de-la-presse-papier/
    (2) Médias et démocratie, 104 pages, 10 euros

    (3) https://www.polemia.com/pdf_v2/media-servitudes.pdf
    (4) Jeunesse, de nouvelles identités de genre, collection Doc EN poche, Place au débat, 106 pages, 9,90 €.

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  • La presse peut-elle être libre ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur son blog A moy que chault ! et consacré à la liberté de la presse...

    Animateur du site Paris Vox, rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulés Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019), d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019) et, dernièrement, d'Hécatombe - Pensées éparses pour un monde en miettes (La Nouvelle Librairie, 2021).

     

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    La presse peut-elle être libre ?

    La liberté de la presse est l'un des piliers fondamentaux de toute démocratie. Cette antienne est répétée en boucle, tel un mantra, par tous ceux qui s'enorgueillissent de vivre dans l'une de ces - généralement autoproclamées - « démocraties », au premier rang desquelles on trouve bien évidemment la France, nation pionnière en la matière et phare de l'humanité depuis lors. Dès l'école primaire, nos chères petites têtes de moins en moins blondes sont bercées par les hymnes d'autocélébration de la « patrie des droits de l'homme », farouche garante de l'impeccable indépendance et de la totale liberté des médias qu'elle accueille en son sein généreux et maternel. En France, la presse est totalement libre, c'est une évidence pour tous. La preuve ? L'article 11 de la Déclaration française des droits de l'homme et du citoyen de 1789 dispose que « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi » et l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme affirme également la protection de la liberté de la presse. Sans compter, bien évidemment, la loi de 1881 que le monde entier nous envie ! C'est donc incontestable, la presse est libre en France, puisque, on le sait bien depuis l'avènement de la modernité, il suffit d'énoncer théoriquement un « droit » pour lui donner vie, consistance, réalité et efficience.

    Mais si quelques esprits curieux, voire téméraires, tentaient de regarder au-delà de la propagande et de l’image d’Epinal, que découvriraient-ils ? Et bien, ils apprendraient par exemple que la France n’est que 26e au classement de la « liberté de la presse dans le monde » établi chaque année par le réseau Reporters sans frontières, bien en dessous du Costa-Rica et de la Namibie, juste derrière Trinité et Tobago. Certes, on pourrait considérer que 26e sur 180 pays, ce n’est pas si mal que cela et ce serait sans doute le cas si la France ne prétendait pas être un parangon de vertu dans ce domaine et ne passait pas son temps à donner des leçons aux autres nations.

     

    Comme souvent (toujours ?) l’état des lieux concret est bien moins flatteur que le paysage idyllique dessiné par discours officiel. Il est d'ailleurs même bien pire que ce que ce classement pourrait laisser penser. En effet, il faut en réalité être un bien piètre observateur, un naïf ou un complice de cet état de faits, pour ne pas avoir conscience que la presse française est très largement muselée, entravée, soumise et bâillonnée. Et il ne s'agit pas d'une situation circonstancielle, temporaire ou passagère mais bien le résultat de sa structuration même, de son organisation, de son mode de fonctionnement et bien sûr, en premier lieu, de financement. Qui paye, commande. C'est un adage aussi invariable qu'intemporel et indiscutable. Or qui (se) paye la presse française ? D'une part une poignée de milliardaires mondialistes, de l'autre l'Etat. Deux grands argentiers dont la défense de la liberté d'expression et la promotion de la pluralité des opinions n'est pas exactement la principale préoccupation.

    Pour les premiers (Dassault, Bolloré, Lagardère, Křetínský, Niel...), il s'agit de s'acheter des moyens de « soft power » au service de leurs intérêts économiques tout en se prémunissant contre de possibles enquêtes ou accusations pouvant nuire à ceux-ci. Tous entièrement acquis à la même idéologique surplombante – le capitalisme libéral sans-frontièriste -, malgré des nuances cosmétiques permettant de donner l'illusion de la diversité, ces milliardaires dépensent des sommes colossales, qui se comptent en millions d'euros tous les ans, pour maintenir artificiellement en vie des titres de presse itérativement déficitaires, évidemment condamnés à la complaisance perpétuelle envers leurs bienfaiteurs/sauveteurs. La France est d'ailleurs particulièrement en pointe dans ce phénomène de « concentrations verticales » qui fait que, derrière le foisonnement des présentoirs des kiosques et des maisons de la Presse, on retrouve systématiquement les mêmes groupes, devenus tout puissants, et donc les mêmes intérêts.

    Du côté de l'Etat, un peu de la même façon mais avec l'argent public, on achète, par l'intermédiaire des « aides à la presse », un filet de sécurité face à des médias « d'opposition » qui ne dépasseront jamais les limites de la bienséance ni ne mordront bien violemment la main qui les nourrit partiellement.

    Ainsi la presse française se retrouve dans cette situation aussi ubuesque que schizophrène d'être à la fois subventionnée par l'Etat et (souvent grassement) rémunérée par l'oligarchie libérale qui prétend pourtant vouloir la quasi-disparition de celui-ci. Comme quoi, lorsqu'il s'agit de museler et de châtrer le « 4e pouvoir », les prétendus farouches adversaires parviennent très bien à s'entendre.

    Ainsi le plus libertaire et véhément des éditorialistes de Libé aura beau continuer à se prétendre (et parfois à se croire) un grand révolutionnaire, il n'en est pas moins, de fait, à la fois un fonctionnaire de l'Etat et un domestique du grand capital.

    Il existe cependant, fort heureusement, des exceptions à cette tendance (plus que) lourde. Elles sont rares. Dans le spectre « institutionnalisé » et bien pensant, elles se comptent sur les doigts d'un main (Le Canard enchaîné, Charlie Hebdo, Le Monde Diplomatique...), au-delà, elles sont à peine plus nombreuses et se situent dans les « marges » politiques, celles de l'engagement et du militantisme. Car l'indépendance financière est le premier et le plus important garant de cette liberté tant vantée. Elle permet de penser et de dire ce que l'on veut, d'attaquer qui le mérite et de servir l'intérêt général plutôt que des intérêts particuliers. Elle est malheureusement également généralement synonyme de précarité, d'absence de visibilité, d'audience et de diffusion limitées.

    Alors oui, il existe bien une presse libre en France mais elle est ultra-minoritaire, pauvre et fragile. C'est pourquoi elle a un besoin vital de lecteurs, plus nombreux, qui ne soient pas que des consommateurs mais des acteurs de sa survie et de son développement. Car si les peuples ont les gouvernements qu'ils méritent, ils ont aussi des médias à leur image. A chacun donc de savoir quel reflet il souhaite voir apparaître en ouvrant les pages d'un journal ou d'une revue.

    Xavier Eman (A moy que chault !, 12 décembre 2022)

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  • Feu sur la désinformation... (88)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Olivier Frèrejacques.

    Au sommaire :

    • 1 : La France, mauvais élève du classement mondial de la liberté de la presse...
    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : 2 ans de prison ferme pour le blogueur Boris Le Lay pour de simples écrits...
    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : L’affaire « franc-maçon papers » : un traitement médiatique bien différent de celui des « Panama papers »...
    • 6 : Le bobard de la semaine.

     

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  • Les snipers de la semaine... (100)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Minute, Jean-Marie Molitor flingue Christiane Taubira et son projet de loi liberticide destiné à instaurer une censure administrative de la presse sous prétexte de lutter contre le racisme, l'antisémitisme et l'homophobie...

    La liberté de la presse en très grand danger

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    - sur Nouvelles de France, André Pouchet rafale ceux qui poussent des cries d'orfraies après les déclarations de Roland Dumas sur Manuel Valls...

    Ce qui est vraiment choquant

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