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jean-christophe buisson

  • Le dernier carré...

    Les éditions Perrin et le Figaro Magazine viennent de publier un ouvrage dirigé par Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia et intitulé Le dernier carré - Combattants de l'honneur et soldats perdus de l'Antiquité à nos jours. Journaliste, Jean-Christophe Buisson est notamment l'auteur de Mihailovic - Héros trahi par les Alliés (Perrin, 1999) et de Assassinés  (Perrin, 2013). Jean Sévillia est quant à lui historien et auteur de nombreux ouvrages, dont  Historiquement incorrect (Fayard, 2011) ou Les vérités cachées de la guerre d'Algérie (Perrin, 2018).

     

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    " Merde ! La garde meurt et ne se rend pas ". La célèbre apostrophe, prêtée au général Cambronne à Waterloo illustre le mépris de la mort et le sacrifice authentique : celui qui consiste à donner volontairement sa vie pour un homme, une cause, une idéologie ou une patrie. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce cas de figure se présente assez souvent à travers les siècles : Thermopyles, sicaires juifs à Massada, derniers cathares, chouans de 1815, sudistes, samouraïs, communards, cristeros, soldats blancs de Russie, vietnamiens du Sud, combattantes kurdes et bien d'autres encore se sont illustrés lors d'événements méconnus ou oubliés tels les frères de la forêt qui ont combattu l'armée rouge dans les pays Baltes après 1945. Tous, dans un dernier geste, ont marqué l'histoire et marqué la postérité.
    Sous la direction de Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia, les meilleurs historiens et journalistes en racontent les épisodes les plus saillants dans des contributions où la solidité de l'enquête se conjugue avec un vrai bonheur d'écriture. L'ensemble offre une histoire inédite de l'héroïsme à travers les âges. 

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  • De qui la droite est-elle le nom ?...

    Le 6 novembre 2020, Martial Bild recevait, sur TV libertés, Guillaume Tabard et Jean-Christophe Buisson pour évoquer Les grandes figures de la droite (Perrin, 2020), ouvrage collectif dont ils ont assuré la direction.

     

                                          

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  • Les snipers de la semaine... (82)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Marianne, Périco Légasse flingue le système ultra-libéral et sa logique mortifère...

    Tout est moins cher mais on est ruiné

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    - sur le Figaro Vox, Jean-Christophe Buisson dézingue la génération 68, celle qui est passée des barricades aux codes-barre...

    Pour en finir avec le conservatisme des soixante-huitards

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  • Assassinés !...

    Les éditions Perrin viennent de publier Assassinés, un essai de Jean-Christophe Buisson consacré à quinze assassinats politiques qui ont marqué l'histoire. Journaliste, Jean-Christophe Buisson est notamment l'auteur d'une biographie de Mihailovic, le rival nationaliste de Tito, intitulée Héros trahi par les Alliés : le général Mihailovic, 1893-1946 (Perrin, 1999), ainsi que d'un essai grinçant intitulé Maos, trotskos, dodo (Editions du Rocher, 2001).

     

     

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    "L'histoire est tragique et accouche toujours dans la violence, comme le dit Marx. On en aura la preuve en lisant cet ouvrage d'investigation historique qui raconte de l'Antiquitéà nos jours l'histoire méconnue, déformée ou oubliée d'assassinats majeurs tant par les personnalités frappées que par les conséquences engendrées.
    Embrassant les siècles et les continents, Jean-Christophe Buisson surprend par des révélations et surtout un art du récit qui lui fait aborder chaque cas à partir de structures narratives différentes et originales. Parfois comme un compte à rebours, parfois du point de vue du bourreau, d'autres fois en suivant la victime ; le plus souvent dans une mise en parallèle chronologique des destins de l'assassin et de l'assassiné jusqu'au moment de leur rencontre fatidique. Au final, quinze chapitres qui sont autant de thrillers mettant en scène attentats, meurtres, complots, exécutions et coups d'Etat."

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  • Un héros trahi par les alliés...

    Les éditions Perrin viennent de rééditer dans leur collection de poche Tempus, Mihailovic - Héros trahi par les Alliés, une biographie du général serbe écrite par Jean-Christophe Buisson. Ce dernier, journaliste au Figaro Magazine et spécialiste des Balkans, est aussi l'auteur d'un ouvrage consacré au général Vlassov, autre figure tragique de la deuxième guerre mondiale...

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    "Le 17 juillet 1946, le général Draza Mihailovic est fusillé par les communistes yougoslaves au terme d'une parodie de procès. Avec sa mort disparaît le chef de la résistance monarchiste anti-allemande, dernier obstacle à la conquête de la Yougoslavie par Tito. Né en 1893 au coeur de la vieille Serbie, décoré à de multiples reprises durant les deux guerres balkaniques (1912-1913) et la Première Guerre mondiale, Mihailovic intègre ensuite l'état-major de l'armée yougoslave. Après un séjour de quelques mois en France, il est nommé attaché militaire à Sofia puis à Prague. Ses
    avertissements contre le danger allemand ne sont pas entendus : la Yougoslavie est balayée en quelques jours par l'offensive du IIIe Reich d'avril 1941. Refusant la défaite, il rejoint le plateau de Ravna Gora où il crée la première guérilla de résistance en Europe occupée. En quelques mois, des dizaines de milliers d'hommes se rangent derrière lui, pour une Yougoslavie libre et royale. Depuis Londres, le roi Pierre II le nomme ministre de la Guerre du gouvernement yougoslave en exil. Après l'entrée en résistance des partisans de Tito en juillet 1941 et l'échec d'une action commune contre l'ennemi nazi, les troupes de Mihailovic doivent combattre sur plusieurs fronts : contre les Allemands, contre les oustachi croates alliés de Hitler, enfin contre les communistes. D'abord considéré comme le héros du monde libre par les Alliés, « le Chouan de Serbie » est abandonné par ceux-ci après des tractations entre Churchill et Staline. Les titistes ne parviennent à s'emparer de lui qu'en mars 1946 alors qu'il est encore à la tête d'une armée de plusieurs dizaines de milliers d'hommes. Draza Mihailovic fut autant victime de l'infiltration des services d'espionnage alliés par
    les agents communistes que par le cynisme et la lâcheté de l'Occident. Surtout, son destin tragique incarne celui de nombreux peuples européens, victimes successives de deux totalitarismes du XXe siècle."

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